Les obligations de Julie 01

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Assise à la terrasse d’un bar de la Gare de Toulouse Julie, 30 ans, robe mi-cuisse et petits escarpins le tout en rouge, prenait un café avec Jules avant qu’il ne parte en direction de chez lui. Ils discutèrent un long moment puis vint le temps de son départ. Ils s’embrassèrent langoureusement. Elle le remercia pour ce superbe week-end tout les deux et il l’a quitta en direction des quais.

La jolie brune au cheuveux plutôt courts prie la direction opposée pour rentrer à son hôtel. Elle croisa alors un ancien copain de sa belle-soeur qui vint à sa rencontre.

” Salut Julie! Comment vas-tu? Cela fait un bout de temps que je ne t’avais pas vu. Que fais-tu ici? ” Lui demada le jeune homme.

” Salut Marc, ça va très bien merci et toi? Je suis ici pour un séminaire pour le taf.” Répondit gentillement la jeune femme d’un mètre soixante dix.

” Super ça. Mais tu n’es plus à ton compte? Tu n’as plus ton cabinet sur Bordeaux? ” poursuit-il.

” Si bien-sûr, justement ce séminaire peut m’apporter quelques réponses pour le soutien aux familles en délicatesses financières que j’aide. ” Lui répondit-elle.

” Ok. Et les enfants ça va? Et Paul comment va t-il? Un café? Tu as bien cinq minutes non? ” Quetionna le jeune homme.

” C’est gentil. Toute la petite famille se porte comme un charme Marc. Malheureusement je vais devoir y aller, je dois préparer la journée de demain. Mais c’est sympa merci. ” Répondit tout sourire Julie.

” Arf, si tu as bien les cinq minutes que je te demande je pense. Tu as visiblement eu tout ton week-end pour ton amant. Enfin je suppose que c’était ton amant, je ne crois pas que tu es pour habitude d’embrasser n’importe qui comme ça il me semble… ” Lachâ à son tour tout sourire le trentenaire.

Rouge écarlate Julie se sentie gênée au plus haut point. Visiblement elle venait de se faire griller par un proche de sa belle-soeur, Loïs. Les larmes lui montèrent aux yeux.

” Hum! Heu… Tu m’as vu alors? Je… ” Se perda t’elle aussitôt.

” Oui effectivement. Allez viens allons nous asseoir au café d’où tu viens et discutons-en tranquillement. ” insista Marc.

Il prit la tête de la route et Julie le suivie jusqu’à une table en terasse du café. Là Marc ne perdit pas de temps et enchaina.

” Bien, comment est prévue ton séminaire? Tu es là pour la semaine? ” Reprit-il.

” Tu m’as vue avec mon amant quand exactement? ” Tenta Julie.

” Julie, je ne voudrais pas foutre ta parfaite petite vie bien rangée, de femme modèle en tout point, en l’air. Répond à mes questions et je te répondrais ensuite. Je suis si étonné que tu es un amant, toi qui est si tirée à quatre épingles et qui te veux si exemplaire aux yeux de tes familles et amis. Bref, alors ce séminaire? ” Repris l’homme moins jovial dans le ton.

” Je… Ok! Je suis sur Toulouse pour la semaine. J’ai payé pour suivre ce séminaire en entier sur la semaine de demain à samedi inclus. Je ne rentre sur Bordeaux que dimanche prochain. Je t’en prie ne dit rien. Je.. Je tiens à ma famille et à ma vie. Je t’en supplie! ” Répondit Julie pleurant toutes les larmes de son corps.

Elle sortie un mouchoir s’essuya les yeux, se moucha et souflla pour se reprendre. Une serveuse arriva pour la commande:

” Bonjour, que puis-je vous servir? “

” Un café pour moi et un Gin Tonic pour madame s’il vous plaît. ” Répondit Marc avant même que Juie puisse en placer une.

La serveuse repartie. Julie enchaina:

” Tu as vu l’heure, il est 15h. Et je n’aime pas trop les alcools forts. Pourquoi me commander ça? T’es con ou quoi? ” se rebella la jeune femme.

Marc sortie son téléphone le bidouilla et tendit une photo en direction de Julie qui écarquilla les yeux de stupeur.

” Oui, il s’agit bien de toi et ton amant vous embrassant langoureusement. J’en ai une autre où il a sa main sur ton cul quand vous vous séparez. Une vidéo aussi de vous deux assis, ta main sous la sienne sur la table et lui faisant du pied. Je serais toi, je me calmerais de suite et je serais attentive. On est d’accord tu ne souhaites pas un divorce? ” Répliqua séchement Marc.

” Mais… Je.. Merde tu étais au fond du bar… Non… Je ne veux pas divorcer, j’aime ma vie et je ne veux pas perdre ma famille et mon cabinet. Que veux-tu? ” Balbutia la jeune femme au bord de l’effroi.

” Voilà, très bonne question. Que les choses soient claires, ces preuves restent entre nous ma grande mais pour cela c’est relativement simple, ton séminaire tu l’oublies de suite et tu es… disons à ma botte pour la semaine. De maintenant à ton départ dimanche prochain. Cela te va? ” répondit Marc toujours aussi froidement.

” Non mais ho! t’es pas bien? J’ai pas envie de me faire vio… ” tenta Julie.

” Il ne s’agit pas de te baiser forcément. Je ne te toucherais pas sans ton consentement je peux te l’assurer. Qu’est ce qui le prouve? Rien. Enfin si mon passé. Je n’ai jamais été déplacé avec les femmes. Mais as tu vraiment le choix? Soit tu me crois, tu me donne ton accord face caméra, soit tu te casse et tu kahramanmaraş escort assumes pleinement tes tromperies. Compris? ” enchaîna Marc d’un ton glacial.

La serveuse revint posa les verres que Marc paya en liquide et repartie laissant le temps de réflexion nécéssaire à Julie.

” Putain, merde, ok! Salaud! ” Souffla la jeune femme pleurant de nouveau.

” Bien, très bien. Enfin ou pas c’est ton choix. Bref je vais te filmer avec mon téléphone me dire que tu est parfaitement consentante pour ce petit jeu hebdomadaire avec moi. Sois convaincante et sourie. Je ne veux pas non plus d’ennuis passé dimanche prochain. Pense à ta famille pour t’aider…” expliqua Marc.

Julie sécha encore une fois son visage, se moucha et face au téléphone orienté vers elle s’exprima d’une petite voix et d’un sourire forcé:

” Marc je suis consentante pour nos rencontres prévus en cette semaine de séminaire. Nous sommes tout deux des adultes responsables de nos actes et j’assume entièrement les miens pour cette semaine. ” Se força la jeune femme.

Marc rangea le téléphone dans sa veste et bu son café dans un silence de plomb.

” Bien, bois d’une traite ton Gin Tonic et file aux W.C. me retirer ta culotte. Je te veux les fesses à l’air le reste de l’après-midi. Nous allons flaner tranquillement pendant que je t’explique comment je vois les choses. Tu mettras ta culotte sur la table de mon côté en revenant en me disant ” Tiens cadeau chéri! “. Autre chose, tu t’entretiens le minou ou c’est au naturel? ” Lui ordonna Marc.

Julie les yeux encore une fois ecarquillés siffla son verre d’une traite, faisant la grimace en reposant le verre, répondit simplement ” C’est au naturel. ” et sans un mot de plus prit la direction des toilettes.

Marc en profita pour regarder dans le sac de sa prisonnière et faire un petit check-up de son contenu. Il y trouva deux cartes de crédits, une à son nom d’usage l’autre à son nom de jeune fille, il prit la seconde, rangea la première et continua son inspection. Il sortit un vernis transparent et un tube de rouge de lèvres couleur ” au naturel” et reposa le sac et le reste de son contenu. Julie revint l’un de ses poing serré. Elle posa directement sa culotte noir en dentelle sur la table près de Marc. ” Tiens mon chéri. ” se contenta la jeune femme rapidement.

” Reste debout et va me jeter ses babioles à la poubelle, nous irons t’acheter un rouge à lèvre bien pétant et du jolie rose pour tes ongles de pieds et de mains. Et on va y aller dans la foulée; ” Ordonna le jeune homme de deux ans plus agé que sa proie.

Julie écarlate se dirigea vers la poubelle et rejoignit Marc qui lui tendit son sac à mains.

” Nous allons aller au parc près de la gare nous poser gentillement. ” expliqua le jeune homme

Ils marchèrent cinq minutes et s’assirent sur un banc. Julie croisa les jambes et machinalement rabaissa sans succès sa courte robe.

” Non non, décalle toi et fais face à ce vieux jambes écartées ma petite. Regarde le avec insistance. Je vais t’expliquer deux trois choses quand à ton comportement pour la semaine. ” Commença Marc.

Julie se décala et écarta doucement les jambes pleine de honte regardant dans la direction de l’homme en question posé sur le banc d’en face.

” Dorénavant tu m’appelera Maitre Marc quand nous serons seuls, vouveoiment oblige. Et quand nous sommes plus de deux tu m’appelles ” mon chéri ” en me tutoiant, je ne veux aucun soupçon de qui que ce soit quand à tes obligations. Compris trésor? ” Continua Marc

” Oui… Mar… Maitre Marc. ” se désola Julie.

Le vieil homme leur faisant face se délectait du plaisir qui lui était offert et scrutait de la tête aux pieds une Julie honteuse, pourtant si prude habituellement.

Le vieil homme lui souriait avec pervesion.

” Tiens va t’asseoir près de notre ami et discute avec lui cinq minutes. Montre lui ta culotte! ” Rigola Marc.

“Mais! Je te l’ai donné! Je n’en porte plus! ” s’exprima Julie interloquée.

” Je le sais ça oui! C’est tout l’enjeu…. Allez file me montrer comment tu te débrouille, nous partirons juste après si cela peut te rassurer.” Ria encore marc.

” Bien… Maitre Marc” répondit Julie en se levant, se dirigeant vers l’homme.

Marc ne pu rien entendre de la conversation mais il observa une Julie des plus gênée et dégoutée, discuter et se laisser rapprocher par l’homme qui finit par lui caresser une cuisse relevant légèrement la robe afin d’avoir un accès jusqu’à la hanche et mieux voir son intimité. Elle posa une main sur la sienne lui faisant comprendre que la limite était là et ils passèrent deux minutes de plus à discuter ainsi, main sur la cuisse. Elle sembla le remercier se releva et rejoignit Marc pour reprendre le chemin.

L’homme les suivit sur plusieurs mètres et Julie inquiète s’en plaignit:

” Il nous suit. Je… Maitre Marc je ne me sens pas en sécurité. Je… enfin… Peux-tu rester près de moi s’il te plait. Il se rapproche de nous dangeureusement. “

kastamonu escort Pardon ma douce mais j’en dû mal entendre… ” Répondit Marc se décalant de Julie la laissant un peu plus seule et exposée au suiveur.

” Excusez-moi Maitre Marc, Ne me laissez pas seule avec ce vieil homme!! “

” Et donc que proposes-tu? ” demanda le maitre-chanteur.

” Donnez-moi la main, faites moi passer pour votre compagne. S’il vous plaît Maître Marc! ” Supplia Lucie se rapprochant de Marc.

” Ok. Mais je la tiens jusqu’à notre arrivée à notre prochain point de chute ok? Et souviens toi que c’est toi qui me l’a demandée hein! ” souria le jeune homme.

” Oui je ne vous lâcherait pas du trajet, promis! ” Répondit Julie toute stressée, épiant du coin de l’oeil le suiveur se rapprochant d’elle.

Marc la saisie par la main et se retourna d’emblée vers le vieil homme:

” Monsieur, s’il vous plaît, auriez-vous la gentillesse de nous laisser flaner tranquillement ma compagne et moi? “

” Oh pardon Monsieur, je croyais que c’était simplement une amie à vous l’exhibitioniste et pas votre compagne. Pardon. Bonne journée! Au revoir chère Madame et merci pour la cuisse hahaha! ” Ria le grand-père.

” Merci Marc… ” Souffla presque tout bas Julie rassurée.

Marc ne releva pas l’oublie d’obligation, son ex belle-soeur venait de le remercier le plus naturellement du monde pour une contrainte qu’il avait lui même mis en place, il souria et se contenta d’être main dans la main de sa petite chose qui lui appartenait pour la semaine.

Ils marchèrent ainsi traversant le parc et deux patés de maisons avant de s’arrêter devant un sex-shop ce qui bloqua littérallement Julie, ses jambes se mirent à trembler…

” Non, S’il vous plaît je… C’est la honte Maître Marc. “

“Allons, allons ma petite poule reprends-toi pense “famille” et tu vas voir ton courage va revenir vite. Sinon aucun soucis on envois les photos! alors? ” Questionna Marc.

” Non! C’est bon allons-y mais promettez-moi que vous ne me toucherez pas! Personne! ” Exigea gentillement Julie.

” Aucun soucis! Comme je te l’ai dit je ne vais pas t’agresser. Tu sais on est arrivé au point de chute tu peux lâcher ma main. ” Lui assura Marc.

Julie souffla, lâcha prise et suivie de près, peu rassurée, son maître.

Ils passèrent dans tout les rayons, le regard de Julie souvent éffarée par tant d’objets différents et dont elle ne connaissait rien. Le monde du sex et du porno n’était pas du tout son domaine et ça Marc le savait très bien en ayant, quelques fois, parlé avec son ex du temps où ils sortaient ensemble. Une fois de retour à l’entrée, Marc se tourna vers elle :

” Bien nous allons refaire un tour complet du magasin, quand je vais te proposer des choses à prendre tu auras toujours le choix entre deux mais c’est toi qui décide, si tu as besoin d’explications sur l’utilisation tu pourras me demander sinon tu pourras choisir directement. Tu paieras et inutile de jouée les stressées, tu as une carte à ton nom de jeune fille, c’est sans doute celle que tu utilises pour tes rendez-vous avec ton amant… ” Expliqua Marc.

Julie soupira, il avait raison…

Ils commencèrent donc par la partie vêtements.

” Tenue en résille intégrale ou monokini en v? ” Commença Marc. Le monokini en v était de couleur verte fluo et Marc désignait évidemment celui de très petite taille. Julie vit sur l’image qu’elle n’aurait que les tétons de cachés ainsi que le vagin bien enveloppé et très apparent.

” Tenue Résille! ” Répondit donc du tac au tac Julie.

” Monokini en v ou maillot de bain taille XS? ” Continua t’il.

” Pourquoi ce choix? ” S’inquiéta Julie.

” Nous irons à la piscine chérie et au spa aussi. ” Répondit enjoué Marc.

” Merde… Maillot de bain XS. ” répondit mollement Julie.

L’ensemble des propositions qui suivirent ne laissait guère de “vraie” choix à Julie qui devait choisir entre le monokini en v et l’autre choix, le moins pire à chaque fois… Tenue d’écolière sexy, jupe ultra courte, bas avec porte jaretelles, mini short et t-shirt s’arêtant au nombril faisaient partie des choix.

” Bien belle sélection, passons au chaussures. ” continua Marc.

Ils poursuivirent de la même manière avec à chaque fois un choix entre des bottines de cuirs mi-cuisse ou figurait l’inscription “WHORE” à l’arrière et l’autre choix, toujours le moins pire. Des talons hauts, des spartiates, des ballerines rose pétant, tout y passa. La carte de crédit allait prendre feu pensa la jeune femme.

” Tes jouets maintenant chérie ” Ria Marc.

Julie eu un vertige et due s’asseoir quelques instants pour retrouver ses esprits. Puis les choix bien plus dures que pour les tenues durent être pris par la malheureuse jeune maman.

Plugs anaux, boules de geisha, vibros, godes avec petites queues pour le clito furent choisies. Marc eu une totale victoire sur ce coup-là, Julie perdait pieds.

Elle dûe alors faire preuve d’un certain courage pour kayseri escort ne pas montrer son total désarroi à son bourreau. La semaine n’était pas encore commencé, il ne lui fallait pas défaillir si facilement.

Pour son plus grand soulagement le rayon BDSM fut évité, sans doute sa demande de ne pas être violentée pensa la jeune femme.

” C’est bon, à la caisse ma douce. J’ai ta carte au nom de jeune fille, celle dont tu te sers avec ton amant j’en suis sûr. Tu vas payer nos achats évidemment, donne-moi ton code. Elle va pas mal nous servir cette semaine. Au fait tu as combien sur ce compte? Ne ment pas je pourrais le vérifier à un guichet…” Conclua Marc après avoir selectionné une valise rose sur laquelle figurait la fameuse grosse tête de lapin.

” 20 000€ Mon chéri. ” Se força Julie.

Au vu du prix total des achats, le gérant laissa le choix à Marc de choisir trois articles de son choix gratuits, dans la limite du raisonnable. Non seulement il ne le demanda pas à Julie mais pire encore il l’ignorait totalement comme si elle n’était pas là. La masculinité dans toute sa splendeur. Julie enrageait intérieurement. Mais le pire vint juste après.

” Je vais vous prendre le monokini vert fluo en XS, le pack avec les deux paires de menottes et le pack baillon-bandeau si vous le voulez bien. ” Demanda Marc anéantissant les choix fait par Julie pour les fringues.

Ils sortirent du magasin avec une dépense colossale pour Julie. Un taxi les y attendait.

Ils prirent le chemin de l’hôtel quatre étoiles de Julie.

” Et bien, certes le coût de nos courses fut énorme mais je vois que madame baigne dans le pognon avec son cabinet, conseillère de vie dans le privée sa paie.” Constata Marc.

Ils montèrent jusqu’à la chambre de Julie où un groom fit parvenir l’ensemble des courses tout en dévisageant Julie de la tête aux pieds ce qui l’a rendit une fois de plus folle de rage et pleine de honte.

” Bien , je te laisse te doucher. Tu en sortiras en peignoir. Je vais faire simple ma grande, le dimanche impossible de trouver un salon ouvert. Nous allons faire venir une épilatrice ici. Tiens, c’est le numéro, j’ai eu le temps pendant que tu t’amusais avec le vieux de consulter deux trois numéros. Tu vas demander une intégrale, je ne veux plus un poil sur ta chatte. Tu vas demander aussi de te faire la raie. Je suppose que quelques poils y trainent vu que tu es au naturel. Tu demanderas si la présence de ton compagnon est un soucis. Une dernière chose avant que tu te mette encore à pleurer. Tu demanderas qu’elle prenne son travail en photos, devant comme derrière. Et avant que tu me dise Paul ceci ou Paul cela rassure-toi tu lui enverras une photo de ton vagin tout épilé avec comme simple mot ” Surprise! ” ça devrait l’exciter autrement que vos missionnaires de dix minutes le dimanche après la messe! Compris? ” Exigea d’un ton autoritaire Marc.

Julie, eu un rictus au visage et un petit relachement au niveau des genoux. Mais toujours pleine de fiertée et pensant avant tout à la sauvegarde de sa vie actuelle, elle se contenta d’un simple ” Oui Maitre Marc! Merci! ” assez sévère toutefois.

Elle appela donc le numéro et toute écarlate demanda ce qu’exigeait Marc:

” Bonjour, seriez vous disponible cet après-midi. Oui? Très bien. Quel style? Je souhaiterais une intégrale et une épilation de la raie des fesses également…. Mhm, Mhm, je suis au naturel là, c’est une surprise oui tout à fait. ” Conversa Julie qui bouillait de l’intérieur et qui déglutit plusieurs fois pour ne pas fondre en larmes devant tant de honte.

” Mon… mon com… compagnon peut-il être présent? ” Balbutia t’elle.

Elle lui balança l’adresse, la chambre, raccrocha et au bord des larmes, laissant Marc seul dans la pièce se réfugiant sous la douche sous laquelle elle pleura chaudement.

Marc, pendant ce temps fit un tri dans les affaires de Julie et remit dans la valise de cette dernière tout les fringues qu’il estimait inutile pour la semaine: Culottes, soutifs, jeans, pulls en laine, chaussons, chaussettes et un bon paquet de t-shirts. il l’a ferma et la plaça près de l’entrée de la suite.

Il plaça à l’inverse dans la valise rose le peu de vêtements qui lui restait et ses nouveaux achats pliés et rangés.

Julie sortie de la salle de bain vêtue de son peignoir et resta quelque peu ébétée devant le tri de Marc.

” Que… ” Voulut-elle commencer.

” Non, rien à dire je crois. Ce sont tes affaires pour la semaine voilà tout. Tu peux garder ta robe rouge et les talons qui vont avec. Tu es assez sexy dedans comme tu le sais très bien. Tu ne te serais pas saper ainsi pour ton amant sinon. ” Expliqua Marc.

” Bien parlons donc un peu de ta misérable vie sexuelle ma petite. Réponds seulement aux questions par oui ou non je n’ai pas besoin d’en savoir plus. Tu as déjà sucé un homme? L’anal tu connais? Tu t’es déjà fait prendre en levrette? tu te caresse souvent? “

” Oui, non,non et non. ” se contenta Julie.

” Putain t’as vraiment une vie sexuel de merde. Le pauvre Paul… Enfin chacun fait ses choix. ” Remarqua Marc.

” Bon afin de ne pas faire douter notre épilatrice, fous-toi à poil, retire-moi ce peignoir et tiens toi les mains dans le dos face à moi. Au moins tu seras moins stressée quand tu devras te mettre nue sur la table d’épilation. ” Exigea autoritaire Marc.

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René et ses Proies 01

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Big Dicks

Voici l’histoire de René et des proies qu’il attire, séduit et pervertit. Bien entendu, ce récit est de l’ordre du fantasme, l’auteur ne cautionne pas un seul instant de tels comportements dans la vie réelle. Il s’agit ici d’un récit imaginaire, réservé à un public averti, destiné aux plaisirs des sens, de la lecture et s’il déclenche caresses et séances de plaisirs jubilatoires solitaires ou partagées, Mulierscriptor vous en remercie!

Je préfère ici prévenir les lecteurs que cette première partie est une introduction et une mise en place destinée à créer une histoire agréable à lire avec des personnages que j’espère crédibles et excitants à leur découverte.

***

René était un vieux cochon qui adorait par-dessus tout pervertir les âmes et les corps des jeunes femmes et hommes qui passaient à sa portée. Il n’avait pas de préférences réelles et le seul plaisir de dominer un être qu’il amenait le plus loin possible dans une forme d’abandon et de déchéance sexuelle sous sa coupe lui suffisait.

Approchant des soixante-cinq ans au compteur, son corps affichait les stigmates d’excès divers et variés. Vingt kilos de trop au bas mot s’étaient surtout accumulés dans une bedaine consistante aux plis latéraux disgracieux, son front dégarni avouait son âge avancé, ses mains boudinées semblaient vouloir attraper et retenir tous les trésors du monde.

Il avait gardé cependant un beau regard et ses yeux bleu aidaient à séduire encore. Il fallait un peu oublier ce visage, certes normal, mais d’où suintait la perversité du personnage. La nature l’avait doté d’une pilosité quasi animale sur l’ensemble de son corps, d’une peau très douce et surtout, avantage non négligeable, d’un beau sexe. On pouvait détester René, il fallait être honnête, son engin suscitait l’admiration.

Dans les dix-centimètres, certes pas gigantesque, mais d’un diamètre et d’une forme imposante. Quand il bandait et sortait son membre, tous tombaient amoureux de sa bite épaisse, parfaitement dessinée et surmontée d’un gland décalotté absolument exquis à regarder. Parfois, le simple fait de le voir nu se saisir de son sexe pour le caresser avait amené des hommes et des femmes à s’agenouiller et à la sucer sans qu’il ne sollicite aucune faveur d’eux.

René avait presque toujours pu constater le pouvoir quasi hypnotique que sa bite avait sur ses proies. Il était bien incapable de comprendre le pourquoi de l’affaire, mais il en profitait allègrement.

La plupart du temps, hommes ou femmes passés entre ses bras, finissaient dans l’industrie du X ou dans des clubs privés. Rarement stars, plus souvent pénétrés par tous les orifices et chair à canon volontaire allant de gang-bang en scènes et plans où des mecs bien montés, des trans avec leurs trois pièces tendues comme des épées ou des lesbiennes équipées de godes de grandes tailles les labouraient dans des séquences où l’on oubliait leurs visages maculés de spermes, d’urines ou de crachats.

Ils étaient les victimes consentantes et peu rémunérées, voire volontaires et gratuites, qui déclenchaient les torrents de spermes et de mouilles solitaires des milliards de voyeurs du Net.

Les plus chanceux « séduisaient », grâce à René bien évidemment, une autre personne dominante et souvent nettement plus âgée qu’eux. Ils partageaient alors une vie de couple tant que leurs époux étaient satisfaits de leurs services et de leur dévotion à leur débauche. Amis intéressés, hommes et femmes aux moyens conséquents partageant ses goûts pour la dépravation, René avait l’embarras du choix. Il était connu, reconnu et apprécié pour les nombreux recrutements qu’il réussissait toujours.

Du comptoir de sa boutique de bijoux de pacotilles qui masquait son « Home Sweet Home » ainsi qu’une partie arrière divisée en plusieurs pièces toutes équipés de micros et caméras, René observait pensif les comportements des clients qui se présentaient chez lui. Assis, les yeux fixés alternativement sur chacun, telle une araignée qui s’apprête à bondir sur une mouche engluée dans sa toile pour la ficeler et la dévorer à sa guise, il attendait le bon candidat désespérément depuis plusieurs semaines.

Cela faisait maintenant trop longtemps qu’il n’avait pas senti d’opportunités réelles de s’amuser et cela commençait à lui peser. Sa dernière prise était une jeune catho de 18 ans complètement innocente chez qui il avait senti la fêlure à exploiter. Après s’être occupée d’elle, la petite était devenue une experte de bien des pratiques sexuelles imaginables.

René avait lâché l’affaire quand un milliardaire venu de l’Est s’était amouraché de son corps après l’avoir copieusement baisé et lui avait laissé une belle mallette en Euros pour solde kuşadası escort de tout compte. Apportée par deux molosses bas du front, aucun mot n’avait été échangé sauf « Louisa » (le nom « d’artiste » dont René avait affublé la jeune fille). Le message était clair et René sans état d’âme avait pris le fric sans poser aucune question. Il n’avait jamais revu « Louisa » ni entendu parler d’elle ensuite.

Ce jour-là pourtant son instinct ne lui dit rien sur l’instant. Ce ne fut qu’en soirée qu’il constata l’absence d’une bague dans un des présentoirs. Il se souvenait avoir ouvert cette vitre dans l’après-midi pour deux gamins de la banlieue, mais il savait très exactement ce qu’ils avaient acheté. Un petit malin s’était permis de lui piquer un bijou dans son dos sans qu’il ne s’en aperçoive. La vache, cela faisait longtemps qu’on ne lui avait pas fait ce coup!

Petit hic pour le voleur, René avait disposé et caché une bonne dizaine de caméras HD en vidéo surveillance qui couvraient toutes sa boutique et lui permettait même d’observer les moindres détails de la vie de ses clients quand ils entraient dans son magasin. La qualité des technologies actuelles étaient telles que si une étiquette d’un string dépassait d’un jean taille basse, il pouvait en lire la marque et toutes les informations imprimées en deux réglages et recherches d’images.

Trouver qui l’avait arnaqué, le laissa sur les fesses. Le jeune mec était plutôt petit et mince en comparaison des autres clients. Il le vit clairement chaparder la bague à deux balles accompagné de ses copains et copines qui le congratulèrent en sortant de sa boutique. René devinait la jeunesse et la petite vingtaine à tout casser des membres de la bande, l’aspect provincial dans les fringues du chapardeur et ce comportement innocent et transparent qui ne laissait rien deviner du petit vol à venir. Ce gamin avait l’habitude de se faire oublier, c’était évident.

En réalisant un agrandissement du visage de son voleur, René se gratta le ventre, signe d’un questionnement interne assez puissant chez lui. Rien à faire, ce visage lui disait quelque chose à bien l’observer, mais quoi… Peau de zob, cela ne lui revenait pas.

René se coucha et sa petite branlette nocturne sur les images d’une jeunette à très forte poitrine, sans grands moyens, à qui il avait laissé sa carte en espérant la brancher dans le futur moyennant quelques Euros pour l’amener à lui dévoiler sa poitrine, n’arrivèrent pas à le calmer. Rien à faire, il restait dans ce doute et ne savait pas pourquoi il était persuadé de connaître son voleur.

René s’endormit énervé et se réveilla heureux. La nuit lui avait donné la solution.

Il partit dès son premier café avalé d’un trait fouiller les derniers CV qu’il avait reçu pour un éventuel job de vendeur.

René n’avait jamais engagé personne et ne comptait pas le faire! Le chômage aidant, des dizaines de jeunes lui envoyaient des candidatures pour un hypothétique boulot qu’ils n’auraient qu’en rêves! À travers ses CV, les photos portraits jointes et quelques détails sur la vie des intéressés, René obtenait parfois des informations suffisantes pour tenter des approches concluantes. Dans tous les cas, en dehors de ses activités de chasseur, il ne répondait jamais. C’était un miracle qu’il eut gardé sa fiche (ou un signe du destin après tout).

Il ne fallut pas plus de cinq minutes à René pour retrouver l’impétrant. Son portrait imprimé en couleur et de bonne qualité ne laissait planer aucun doute. Il avait toutes les informations sous les yeux et même le numéro de mobile de l’intéressé. Le dommage était ridicule, trente Euros en comptant large, mais René était vexé de s’être fait posséder et il venait de décider de se venger.

Faire croire à cet imbécile de Kevin, puisque c’était son prénom, qu’il était contacté pour un entretien d’embauche était un jeu d’enfant. René se fit séducteur et recruteur au possible en parlant au jeune gars d’un salaire généreux et d’un job intéressant. Il pouvait venir le jour même à 19h, juste avant la fermeture, c’était parfait. RDV était pris.

A l’heure convenue, René accueillit son jeune candidat à l’embauche (et à la débauche) avec un grand sourire et s’empressa de verrouiller la porte derrière lui, histoire « que nous soyons tranquilles pour discuter de votre futur emploi, mon jeune ami ».

En une petite heure, René savait tout de Kevin. La confirmation de ses origines provinciales, sa mère seule au foyer et ne pouvant l’aider, la bourse d’étude pour ses années de fac, ses rêves de réussites sociales, bla bla bla bla… René demanda à Kevin de lui suivre dans une pièce à l’arrière et lui annonça kocaeli escort :

– Maintenant, mon petit Kevin, le clou du spectacle, mon système de vidéosurveillance!

Alors qu’il avait la main sur son épaule, René sentit avec délectation le corps du petit malin se raidir d’un coup. Ce petit con pensait vraiment le voler et avoir un job en récompense?! Il allait comprendre sa douleur!

– Asseyez-vous sur le fauteuil en face de cet écran, vous allez me dire ce que vous pensez de mon matos, lui dit-il en saisissant rudement ses deux épaules et en le poussant d’autorité sur la chaise.

Il entoura le fauteuil de ses bras, pressant son torse de côté et posant presque sa tête sur l’épaule de Kevin qui ne mouftait plus. De la main droite, René cliqua sur la souris. La séquence sélectionnée ne demandait qu’à se lancer, l’écran s’alluma.

Le plaisir qu’il prenait à ferrer ce petit poisson donnait la gaule à René qui pensait déjà au confort de cette petite bouche ou de ce petit cul qu’il rêvait de tester au plus vite.

Kevin découvrit avec horreur que son petit larcin avait été filmé et qu’on le reconnaissait parfaitement :

– Je suis désolé Monsieur, je peux tout vous expliquer, on m’a forcé, je ne voulais pas, je vous le jure!!! s’écria-t-il

René s’en tapait de ses excuses, le futur de Kevin était entre ses mains. Il le regarda de son air le plus vicieux et savoura cet instant où le destin d’un individu s’offrait à lui :

– Mon petit Kevin, je m’en fiche un peu du pourquoi… Me demander un boulot et venir me voler, vraiment? C’est clair que maman ne va pas comprendre quand la Police va l’appeler… Ni quand l’Éducation Nationale va lui apprendre qu’une bourse d’étude est supprimée… Ah ben, forcément, on n’aide pas non plus les voleurs à s’élever dans la société hein! C’est logique tout cela!

Kevin, complètement affolé, ne réfléchissait plus logiquement et s’était effondré. Il pleurait de toutes ses larmes comme un gosse et il supplia :

– Monsieur, non pas ça, je vous en prie, pas la Police, je vais vous rembourser, je suis prêt à travailler gratuitement pour vous rembourser, mais pas la Police s’il vous plaît!

René pouvait jouer le magnanime, le piège venait de se refermer.

– Écoute Kevin, d’habitude je ne suis pas aussi gentil, mais la discussion que nous avons eu tout à l’heure m’incite à penser que tu mérites peut-être une dernière chance.

René laissa passer un ange ou plusieurs démons dans le silence.

– Voilà ce que je te propose. Tu me rejoindras au magasin et tu m’aideras trois soirs par semaine et le dimanche. Je te laisse tes mardi et jeudi soir pour tes études et tes amis ou un autre job ainsi que le samedi aussi. Je te libère aussi un week-end par mois pour aller voir maman puisque c’est ce que tu m’as expliqué faire depuis que tu es en Fac. À la fin de l’année scolaire, si je suis satisfait, j’effacerai sous tes yeux ces vidéos et nous serons quittes (mais j’en aurai bien d’autres beaucoup plus intéressantes, pensa-t-il).

– À la moindre incartade de ta part, je préviens le Commissaire de l’arrondissement qui est un ami et ton compte est bon. C’est compris?

René ne pouvait lui avouer qu’il préviendrait quand même le Commissaire qui était un grand amateur de petits culs de minets et adorait les pénétrations viriles à l’arrière de son Audi personnelle ou parfois chez René ce qui était très pratique pour ses petites vidéos persos.

Le petit Kevin allait vite comprendre que dans la Police, un cul était un cul, une bouche une bouche et peu importe qu’un vagin ou une bite accompagnent le paquet cadeau. Dans tous les cas, ces messieurs-dames savaient se servir de toutes ces pièces à convictions et à pénétrations avec un grand professionnalisme!

Kevin dans son malheur et sa peur était soulagé et reconnaissant, il lança un :

– Oui, c’est ok. Merci Monsieur, Merci! J’accepte, je vous le jure Monsieur!

René marqua une longue pause en regardant fixement Kevin sans ciller des paupières. Il lisait en lui comme dans un livre ouvert :

– Kevin nous sommes bien d’accords, tu seras à mon entière disposition ces jours-là, tu ne poseras aucune question et tu accepteras de faire tout ce que je te demanderai sans jamais rien refuser, nous sommes bien d’accords?

À ce stade, Kevin lui appartenait déjà, c’était trop facile…

– Oui Monsieur, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le jure : Jusqu’à la fin de l’année scolaire, je vous obéirai en tout sans discuter, c’est promis!

René en bandait de joie et de plaisirs futurs ; à cet instant, il eut envie que le petit Kevin s’agenouille devant lui et le suce jusqu’à l’extase. konya escort Il imaginait ses lèvres charnues s’ouvrir et avaler son gland. Ses grosses mains se poseraient alors sur les temps de Kevin pour mieux saisir son crâne et faire coulisser son membre lentement dans sa bouche. De temps en temps, il lui demanderait de lui lécher les couilles, de garder la bouche ouverte et lui cracherait même dedans.

Puis à la fin, il s’enfoncerait bien au fond de ce jeune fourreau et lui demanderait de déguster son sperme.

Ensuite, il ferait bien évidemment un montage bien crade de la vidéo et la mettrait en ligne sur un site payant. Auparavant, René aurait disséminé des extraits gratuits bien bandants sur tout le Net où l’initiation d’un jeune homme par un vieux pervers poilu qui finirait par le défoncer, excitait sa clientèle d’habitués. Mais pas ce soir, il ne pouvait pas brusquer les choses à ce point.

René reprit son souffle et constata que le petit Kevin était lui aussi en apnée, attendant sa réponse.

– Bon, Kevin, ce sera la première et dernière fois de ma vie que je serai aussi généreux. Tu peux partir, je t’attends demain à 19h pour signer ton contrat. Si tu n’es pas là à l’heure pile demain soir, tu peux préparer tes affaires pour aller au Commissariat. Je te le dis, que ce soit bien clair entre nous. Demain 19h ici ou plus tard avec la Police, compris?

Kevin baissa les yeux devant l’autorité naturelle de René et murmura :

– Oui Monsieur, c’est compris.

René cria aussitôt le faisant sursauter :

– Kevin, je n’ai rien compris! On part sur de mauvaises bases là! Quand tu me parles, tu t’exprimes clairement (et bientôt tu ajouteras Maître, mais cela il le garda pour lui)!

Kevin avala ses derniers sanglots, sécha ses larmes et dit clairement cette fois-ci :

– Oui Monsieur, c’est compris

René se tourna et indiqua une direction à l’opposé d’où ils étaient entrés

– Tu trouveras à gauche un couloir avec une issue de secours à son bout. Kevin, tu sors et tu entreras par cette porte à partir de maintenant. Dans l’année à venir, l’entrée du magasin t’es interdite. Ta porte, c’est celle-là, celle de derrière. C’est bien compris?

Kevin hocha la tête et ne prononça pas un mot de plus, René enchaîna :

– Demain à 19h précise, je l’ouvrirai. Si tu y es, tout ira bien, si tu n’y es pas…

René laissa planer un long silence très parlant. Cette phrase n’appelait aucun réponse. Kevin se leva et presque en courant se rua sur la porte et quitta les lieux comme s’il avait un fantôme à ses trousses.

René était dans un état d’excitation intense, il fallait qu’il partage sa joie tout de suite avec un vieil ami.

Il envoya un long message à Robert, lui expliquant la situation et joignant des extraits de la conversation, bien entendu filmée et enregistrée, avec le petit Kevin.

La réponse de Robert ne se fit pas attendre :

– « René, tu es le plus fort et tu as un goût exquis! Tu me mets ce futur petit mignon au frais. Dès que tu l’auras entièrement à ta main, je me ferai une joie de venir tester ses orifices avec toi. Je crois que l’on va le faire hurler de plaisir tellement il va apprécier nos belles bites! Merci mon ami, merci mon René, je pense que je vais me branler plusieurs fois en pensant à tout cela avant de m’endormir. À très bientôt, ton ami Robert. »

La réponse de Robert ne surprenait pas René, il connaissait bien les goûts de son vieil ami et sa passion pour les initiations et partages de jeunes hommes. Robert était aussi un as de la féminisation… Pourquoi pas, après tout se demanda René pensif.

Il prit encore quelques minutes pour annoncer la bonne nouvelle à ses nombreuses connaissances en multipliant la diffusion de son premier courriel à «sa liste spéciale».

À la fin de son repas du soir, plus de vingt messages de remerciements étaient déjà arrivés, chacun souhaitant déjà tester au plus vite le petit Kevin présenté par René.

Tu as déjà tes fans, mon petit. Tu as vraiment été inspiré de venir me piquer une bague toi!

René s’endormit comme un loir après s’être longuement branlé. Il avait joui abondamment et puissamment comme s’il avait retenu son plaisir plusieurs fois durant un longue séance de baise.

Tout à la joie de sa trouvaille du jour, son sperme se répandant sur son torse, René sourit intérieurement aux quelques gouttes qui avaient même touché son visage. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas éjaculé avec une telle force, qu’il prit un peu de son sperme sur ses doigts et s’en délecta.

On était jeudi, la soirée du lendemain s’annonçait chargée et le dimanche à venir allait être crucial pour l’asservissement volontaire de Kevin.

René rêva de pénétrations, de fellations et de séances de découvertes des clubs où seul le plaisir compte. Kevin occupait la place centrale de ses rêves.

La suite très rapidement (en espérant vous intéresser aux aventures de ce chers vieux pervers)!

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Le feu couve sous la Braise 01

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Amateur

Voila ce que l’on entendre ce matin, je prend mon café tranquillement pourquoi m’inquiétée. Je vis dans le centre, j’ai un appart payé par mes parents proche de ma fac. Ce matin pourtant je n’ai pas cours mais j’ai un truc important à faire. Il faut que j’aille acheter du cana gare du nord.

Et oui, moi marie 22ans étudiante j’aime les soirées maroco entre amis.

Me voila prête, après un bol de céréale et deux tartines, je me rend en métro gare du nord. Il fait froid en ce mois de novembre. Vivement les vacances de noël. Oui avec mon copain et ses parents on va partir en Autriche.

Une fois sur place si tu connais ton dealer c’est facile. Carole m’avait mise en relation avec un certain Marc. Le passe un coup de fils à ce marc et le l’attend, rien de très compliqué. Le voila,

-“Salut Marie c’est ca? Ca va?”

-“Oui et toi c’est Marc.”

-“Oui Carole m’a parlé de toi tu es réglo”

-“Oui, Pas trop dur pour venir”

-“Si c’est le bordel, j’ai rien pu amener, il y a des keuf partout.”

-“Merde, Marc demain j’ai des invités.”

-“Oui Marie je sais mais on peu gérer ça. On va la chercher chez moi et on revient sur paris comme un couple pas de risque avec toi. Une blonde ça ne se fait jamais contrôlée.”

-“Oula, ça c’est l’embrouille ça”

-“Marie, tu décides si t’en veux tu me suis sinon tu te casse.”

-“Bon ok mais on fait vite.”

On pris les transport en commun juste que dans la cité du nord est de la capitale. Pas jolie on marche. On tchatche un peu hatay escort sur le chemin. On se dirige vers une des nombreuses tours du quartier. En bas, un groupe de jeune, Marc discute avec eux. Je suis copieusement sifflée.

Marc n’est pas étonné de l’accueil. Je sens qu’il est assez fier de son effet.

On monte. L’ascenseur sent la pisse. Il est complètement tagué. 5ieme. Voila appartement 54. Marc frappe, un black assez baraque ouvre et le fait rentré. Moi je reste sur le pas de la porte. Etonnée! Mais bon. La porte s’ouvre Marc me présente à Armand. On rentre.

-“Marie tu veux du cana,” me demande Armand

-“Oui, j’en voudrais 150 grammes. J’ai l’argent. “

-“C’est bien c’est bien. Tu es une régulière de Marc? “

-“Euh non, c’est la première fois”

Armand attrape son téléphone. “Ouais c’est moi, tu montes avec fouad. Oui vite. “

-“Marie, voila la marchandise arrive.”

La porte s’ouvre deux jeunes arrivent. Armand on est la.

Je stress un des jeunes a un couteau. Armand annonce marc tu as fait du bon boulot. On tient notre otage. Merde j’essaye d’atteindre la porte on me chope par le bras.

Je suis plaqué sur le sol par les deux jeunes. Marc referme son blouson et m’enjambe.

La porte se ferme, je suis seule avec mes ravisseurs. Armand se penche a coté de moi. Ecoute -“Marie, c’est bien ca.”

-“Oui;”

J’aime avoir des esclaves a mon service. Surtout des esclaves comme toi. Alors maintenant tu es à moi.

Je ığdır escort panique, j’essaye de me débattre. Non Non. Laisser moi partir.

Calme toi Marie tu ne peux plus rien changer maintenant a ta destinée.

On me tord les bras le poignets je suis menottées. J’ai mal. Ils me redressent. “Ecoute petite pute”, un couteau à la main Armand me parle “tu ne parle pas tu ne dis rien tu ne fais rien ou je te crève”.

On se retrouve dans l’ascenseur un main ferme me malaxe ma poitrine, face à la paroi, je fixe le mur métallique et taggué.

Quelques étages plus hauts, ils me poussent dans un appart. Enfin une sorte d’appart. Il me jette dans une pièce sur le sol trois matelas, usagés.

Armand et ses deux acolytes me regardent, je tremble, je pleure. Un des deux a une bâte de baseball. Ils ferment la porte de la pièce à clef, ensuite on me détache.

-“Déshabilles toi”

-“Non”

-“Choisi c’est ça ou on te refait le visage avec la bâte.”

Je tremble mais je m’exécute. Après les vêtements d’hiver j’en viens au sous vêtement.

-“Plus vite”

J’essaye de cacher mon intimité avec mes mains. Je suis rouge de honte.

-“Tourne toi”

-“Oh le cul! Elle est bonne.”

-“Retire tes mains”

Je ne réagie pas

-“Fouad.”

Fouad s’avance la bâte à la main. Je retire mes mains. Il s’approche je recule. Aculée contre le mur, il l’appuis sur mon ventre. Il contourne mes seins. Il soulève mes bras. Je lui la les bras en l’air.

Armand ısparta escort s’approche, “Voila, ce que j’appelle une belle blanche. Tu connais le dressage Marie, tu sais comment on dresse une femelle?

-“Euh non”

Le dressage d’une femelle c’est comme pour les chevaux. Ils faut les casser ensuite elle sont dociles.”

-“Tourne toi voila, mets tes mains sur la tête, c’est bien cambre toi.” La bâte est sur mes reins.

J’entends des vêtements.

-“Retourne toi.” Armand est nu. Il est musclé, sec. -“Mets-toi à quatre pattes!”

J’obéie.

-“Regardez moi ce jolie abricot qui ressort.”

Il se place derrière moi. Et je sens sa main ferme entre mes cuisses, sur mon sexe. Il le caresse, un doigt s’insinue en moi me faisant tressaillir

Fouad se place devant moi, il place la bâte au niveau de ma bouche et m’ordonne de la lécher. Je sors une langue timide. Je reçois une claque sur les fesses, Armand m’ordonne de lécher avec amour. J’y mets toute mon énergie. Il continue à me fouiller. Fouad passe la moi. Il lui passe cet engin. Armand, la passe entre mes jambes, la frotte à mon sexe. Il m’oblige a avancer à quatre pattes poussée par cet objet.

Il l’éloigne, Sa main caresse mes jambes, il me prend les jambes et me retourne sur le matelas. Ecarte tes jambes Marie. Allez plus vite. Il se place sur moi

J’ouvre les yeux d’effroi devant ce sexe sans capote. Il plonge en moi, me déchire. Je crie quand brutalement Armand plonge entre mes cuisses

Il me pénètre me fends en deux. Il est virile je recule sous ses coup de boutoir. Je crie. Je regarde le plafond, son visage crispé qui se couvre de sueur.

Il se crispe, il a joui. Il se relève. Tu es une bonne esclave Marie, je vais te garder. Fouad, Malik attachez la bien. On la prendra ce soir.

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L’ombre du Passé Ch. 09

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Amateur

Chapitre 9 : La vie s’organise.

Bientôt, la tâche de chacune se diversifia, ainsi Arlette Dumas, qui en plein après-midi se promenait dans la ville haute, se livrant à une partie de lèche vitrines, se vit aborder par un arabe à la mine patibulaire, la cinquantaine, qui l’invita à prendre place dans sa Mércédés rangées quelques mètres plus loin .

Il s’assit au milieu du siège arrière et la pria de le rejoindre, profitant du moment ou Arlette enjambait le marche pied, pour glisser avec décision sa grosse main entre les cuisses disjointes, empaumant à pleine main le sexe dénudé, le malaxant cruellement avant qu’elle ne s’assoit, jupes relevées, serrant frileusement les fesses au contact du cuir du siège.

Il introduisit fiévreusement ses doigts boudinés dans son intimité, défri-pant les grandes lèvres, les suivant, avant d’enfoncer son index jusqu’à la dernière phalange dans son con vibrant.

Arrachant sa fermeture éclair, il fit jaillir un gros membre noueux, sur-monté d’une grosse prune bistre, qu’il décalotta lui même, avant de la saisir par les cheveux, la contraignant à se pencher sur ses genoux, lui forcent la barrière des dents d’une queue impérieuse, s’enfonçant jus-qu’au fond du gosier pour lui projeter des salves de jus acres au fond de la gorge.

Elle resta longuement inclinée sur son chibre, le toilettant de sa langue habile, avant de la ranger dans son slip.

Elle si sage, il y a encore huit jours, se retrouvait dans une voiture, la queue d’un parfait inconnu projettant en saccades sa purée au fin fond de sa bouche, avant que docilement elle ne la nettoie soigneusement, retroussant les replis du prépuce, aspirant les dernières gouttes du pré-puce, sans un mouvement de révolte, sans même s’enquérir de la suite de l’aventure.

Bientôt la voiture stoppa devant un hôtel louche de la périphérie, la main aux fesses il la poussa à l’intérieur, lui dégrafant sa jupe, avant de la propulser ventre nu entre les rangées de consommateurs qui détaillaient ses charmes étalés.

La jupe à la main, elle pénétra dans un vaste bureau qui semblait être la tanière du fauve qui l’entraînait, quelques sbires, aux mines sombres, à l’œil allumé les suivirent dans leur ascension, et c’est à cinq qu’ils se re-trouvÈrent dans la pièce.

La le gros arabe fit les présentations :

– Mes hommes : Marc, Denis, Smaïl, Rachid et Miloud mon bras droit…..

– Madame Arlette Dumas, l’épouse du commissaire principal, res-ponsable de tous nos ennuis, profitez en vous aurez jamais une telle occasion de vous venger …… Prenez la comme vous voudrez …… Vous allez la saillir tout l’après-midi …… Je veux qu’elle s’en rappelle!…..

A ces mots, sur un signe de la main, Miloud la saisit par un bras et l’en-traîna dans une des chambres attenantes.

Marc, l’œil luisant de convoitise, le front bas, l’air borné, Denis, un gros blond fadasse, Smaïl un grand arabe, dégingandé, la figure barrée de cicatrices, Rachid gros , onctueux, les lèvres épaisses, l’air vicieux, obéissaient visiblement aux ordre de Miloud, un nain contrefait qui se réjouissait déjà à l’idée de s’envoyer cette belle pute, ils bavaient tous d’envie, assis sur le vaste lit, attendant que Miloud donne le signal des réjouissances.

Il posa un disque sur une platine, un air lent, langoureux, un des slows à la mode retentit dans la pièce, lui claquant les fesses, attardant sa main sur ses formes rebondies, il ordonna :

– Allez ma belle, fais nous un strip …… Vas y lentement ….. On a tout notre temps …… Débrouille toi pour nous elazığ escort faire bander! ….

Elle commença à onduler, essayant de suivre le rythme de la chanson, virevoltant sur elle même, elle déboutonna son corsage, et le geste am-ple le lança à un de ses spectateurs qui riaient de la voir évoluer au bord des larmes, le contraste entre sa mine déconfite, désolée et ses gestes sensuels étaient tel que bien vite les bites grossirent, formant de grosses bosses sous les braguettes.

Elle se débarrassa successivement de sa jupe, de ses bas, de son porte jarretelles, et enfin intégralement nue continua de danser seule, au rythme des claquements de mains des cinq salauds.

Précipitamment, ils arrachèrent leurs frusques, Miloud les freina cependant, enjoignant à Arlette de prendre des poses obscènes, propres à déchaîner leurs instincts.

Allongée sur le lit, elle dut relever les jambes, écartant les cuisses en grand, promener ses longs doigts vernis de rouge le long de ses babines, ouvrir de tous ses doigts son vagin, en révélant la texture in-terne, puis à quatre pattes, reins cambrés, elle exposa de même le cul.

Enfin Smaïl s’étendit sur la couche, elle l’enfourcha et les jambes pliées le long de son torse s’encloua sur sa virilité dardée, le chibre conséquent la remplit toute, la prenant aux hanches, il l’attira sur son ventre et à deux mains lui ouvrit les fesses, révélant son cratère contracté de frousse à ses complices.

Marc cracha sur ses doigts puis lui graissa l’anus avant de présenter sa pine mafflue devant l’œillet annelé, elle n’avait pas bien vu son sexe, mais la qualité de la pression, les difficultés auxquelles il se heurtait lui prouvÈrent rapidement son ampleur.

Elle aurait frémi, su elle avait pu apprécier de l’œil la taille du gourdin qui la menaçait, il paraissait inimaginable qu’une si énorme mentule puisse entrer dans son petit trou serré par l’appréhension, le contraste était tel, que les trois spectateurs approchèrent pour mieux voir l’impossible s’ac-complir.

Bêlante de douleur, elle sentit d’abord le gland s’insinuer, dilatant son anneau à craquer , son sphincter le baguait si étroitement, qu’il dut faire une pause pour éviter de se déverser immédiatement dans le boyau frémissant.

Elle profita de ces quelques instants pour reprendre souffle, s’habituer à l’énorme présence, son oeillet prit les mesures de son agresseur, se conforma à ses dimensions, s’apaisa attendant peureusement la pro-chaine étape, la bite dans son ventre s’était immobilisée, elle grossissait encore à la vue de l’ignoble enculage.

D’un coup de reins il se propulsa au fond de sa gaine, elle hurla tandis que son boyau se dépliait, faisant place au chibre triomphant qui la rem-plissait jusqu’à l’estomac.

Perforée jusqu’au cœur, les deux membres se mirent en action, sortant ensemble de ses orifices pour y retourner de toutes leur longueur, se frottant l’un contre l’autre au travers du périnée.

Elle sanglotait convulsivement, à chaque coup de boutoir elle se sentait éventrée, à chaque retrait, il lui semblait que ses boyaux sortaient de son ventre accompagnant les immondes visiteurs

Lassé de ses pleurs, Miloud la bâillonna de son braquemart imposant.

Si la taille du bonhomme était réduite, en compensation celle de son chibre était énorme, il dépassait en longueur et en grosseur tout ce qu’elle pouvait imaginer, d’emblée, s’enfonçant au fond de son palais, il força aux commissures des lèvres, les déchirant pour mieux entrer dans un élan inarrêtable.

La erzincan escort bouche, le con et le cul plein des trois types, inerte, hébétée, elle se laissait faire comme une poupée de son, masturbant à pleine mains les deux chibres libres quand ses tourmenteurs le lui demandÈrent, s’appli-quant à bien faire de fa‡on tout à fait mécanique, alors que de ses organes malmenés, des ondes de souffrance montaient jusqu’à son cerveau, comme engourdi, anesthésié par la douleur.

Enfin elles les sentit se raidir, et elle ressentit un réel soulagement au torrent de sperme qui lui englua les fesses, à son tour Smaïl se vida dans sa matrice, puis les yeux exorbités, elle absorba en hoquetant, en suffocant le flot de semence que Miloud lui injecta en longues giclées dans l’œsophage, lui engluant les amygdales alors mˆme que les deux qu’elle branlait jaillissaient à leurs tours sur sa poitrine plantureuse, cou-vrant ses seins de filaments blanchâtres.

Ils changèrent alors de place, un des deux branlés en bouche, l’autre en ventre, elle dilata désespérément son anneau, poussant comme pour déféquer pour mieux admettre l’énorme gourdin de Miloud dans son anus, des éclairs éclatant derrière les paupières, elle força encore logeant l’épaisse byroute dans son fondement, un à un les obstacles cédaient devant l’impitoyable bélier, cela craquait dans son cul, elle crai-gnait d’être mutilée, et pourtant elle forçait encore pour faire cesser le calvaire de cet interminable empalement.

Enfin elle le sentit bien calé au fond de son rectum, les poils de ses bourses lui chatouillant les fesses, elle respira à fond, appréhendant la terrible douleur qu’allait endurer lorsqu’il se mettrait en branle.

Ce fut encore pire que tout ce qu’elle craignait, elle s’évanouit plusieurs fois, folle de souffrance, ne revenant à elle que pour repartir dans les limbes.

C’est dans un corps inerte qu’il se soulagea avec abondance.

De retour à la conscience, elle enquêta du doigt dans son anus, pour apprécier l’étendue des dégâts, à son grand étonnement son anneau s’était fait à l’énorme envahisseur et seuls quelques gouttes de sang avaient suinté de ses reins, la ou elle craignait une abondante hémorra-gie.

Elle subit passivement ses deux derniers enculeurs, ne ressentant ni plaisir ni douleur de les sentir au fond, tant elle était élargie, ils ne prirent d’ailleurs pas grand plaisir, se perdant dans l’anus distendu, baignant dans le jus de leurs prédécesseurs, ils préférèrent la tenir aux oreilles, pour se servant de sa bouche comme d’un vagin artificiel la secouer de grands coups de pine avant de s’exonérer dans sa gorge tendue.

Toujours nue, dégoulinante de foutre, le palais imprégné de liqueur spermatique, elle rejoignit Miloud qui s’entretenait avec ses protecteurs au téléphone, il lui passa l’écouteur, elle put ainsi suivre les tractations :

– Dis donc Ali … On s’est copieusement servi de la commissaire …. Elle en a prit plein les miches … Je passerai te payer …. Mais je voudrai encore l’utiliser ces jours ci, c’est possible? ….

– Si t’y mets le prix tout est toujours possible! ….

– As-tu d’autres putes qui aurait rapport avec la justice?…

– J’ai encore la femme du maire, une femme d’avocat ….. Une femme de procureur …… Un prix de vertu …… Comme tu veux tu choisis! …..

– Un de ces soirs je voudrai disposer d’Arlette et ….. De l’avocate ….. Je les ferai faire le spectacle ……. Tu peux les faire raser …… elles travailleront pour des Nord-Afs, erzurum escort tu connais leurs goûts ….. Et même pour nous un abricot lisse ……

– C’est d’accord, tu reprends contact pour le jour, en attendant je te les ferai préparer…..

Les larmes aux yeux, l’anus brûlant, le ventre meurtri, hébétée, Arlette comprenait que prochainement elle aurait de nouveau affaire à ces sa-lauds qui se défouleraient sur elles pour se venger de son mari.

Titubante, sous l’œil goguenard des deux hommes elle se rhabilla avec des gestes frileux, puis s’agenouillant, elle suça une dernière fois leurs gros braquemarts, avant de monter dans le taxi qu’ils lui avaient appelé, pour rentrer chez elle.

A peine rentrée, elle prit un long bain, relaxant son corps et son esprit, puis allongée sur le lit se massa longuement le cul et le con avec une pommade calmante, avant de se remaquiller, pour dissimuler les cernes mauves qui cernaient ses yeux.

Puis, rompue, lasse elle attendit le retour du mari se comportant alors en parfaite épouse, digne de la confiance de son cocu .

L’affaire se traita le surlendemain, Karim, le distingué truand qui avait étrenné Arlette prit contact avec Ali, il voulait organiser une soirée qui lui permettrait de se venger en bloc de la société Moulinoise, pour cela il avait prévu une soirée spéciale, il l’organiserait pour son plaisir, la totalité des gains reviendrait à Ali.

Ils convinrent d’une date : le vendredi soir paraissait le mieux indiqué, Karim voulait disposer de quatre femmes au sexe rasé, qui feraient le spectacle et deux salopes, proches du maire pour distraire le service d’ordre qui serait formé d’employés municipaux.

Dès le lendemain, au briefing quotidien, Ali distribua les tâches.

Mohamed était chargé de transformer les sexes velus d’Arlette, Sylvette, Milène et Jeannine en figues imberbes.

Toutes quatre participeraient au spectacle, alors qu’Aurore et Isabelle serait chargées de distraire le service d’ordre.

Passablement inquiètes, les quatre femmes, devant les yeux ravis de Mohamed et Moktar se rasèrent mutuellement la fente, avec précaution, douceur, se demandant ce que l’avenir leur réservait.

Connaissant la préférence des arabes pour les chattes épilées, elles se doutaient qu’elles seraient livrées à une meute de moricauds déchaînés, mais en ce qui concerne le spectacle qu’elles devraient assurer au pré-alable, elles se perdaient en conjonctures.

Aurore et Isabelle savaient elles ce que seraient leurs tâches, elles s’en réjouissaient à l’avance, préférant combler les désirs de quelques membres du service d’ordre, bien qu’elles ignorassent à ce moment la constitution de ce groupe, aux incertitudes auxquelles étaient livrées leurs compagnes.

Les trois jours qui précédèrent, elles furent toutes six retirées du circuit, et subirent un entraînement intensif sous les ordres de Mohamed et Moktar.

Pendant les trois après-midis elles se firent ramoner par tous les trous, les cinq hommes se relayaient dans leurs orifices, leur élargissant le goulot, assouplissant leurs sphincters, les faisant évoluer jambes serrées sur de menus cylindres qu’elles devaient retenir dans leurs ventres et leurs culs, musclant leurs muscles intimes, en renforçant l’élasticité, les rendant capables d’absorber les plus grosses queues tout en continuant à pouvoir comprimer les plus humbles.

Enfin le grand soir arriva, un transit chargea les quatre artistes les em-menant sur les lieux de leur prestation ; Ali en compagnie de Clothilde amènerait plus tard Aurore et Isabelle, alors que Mohamed, qui avait fait de Solange sa préférée se ferait charrier par cette dernière .

Une fois en présence de Karim, après avoir déjà soulagé des lèvres Mi-loud et consort, les quatre artistes partirent se mettre en tenue .

Coulybaca

Texte personnel

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La prof du lycée

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Asian

Chapitre 1.

Laura était professeur d’histoire-géographie dans un lycée d’une banlieue d’un quartier dit « difficile ». Elle avait 28 ans, brune aux yeux bleus, cheveux longs, assez grande, et svelte, une assez belle femme, ce qui lui avait valu des débuts difficiles dans l’enseignement, mais elle avait réussi rapidement à faire valoir son autorité sur ces élèves. Ni trop gentille, ni trop méchante, elle avait trouvé le juste milieu, pour se faire respecter.

Elle possédait un certain charisme qui lui permettait de faire ses cours, et d’intéresser la plupart de ses élèves quand elle racontait certains périodes de l’histoire, elle savait capter leur attention, et cela se ressentait dans leurs résultats.

Malgré tout, il y avait toujours des récalcitrants, qui ne voulaient faire aucun effort, et n’en feraient jamais quoi qu’il arrive. Elle s’était habituée à cette idée, et se concentrait dorénavant sur ceux qui en valaient la peine. Une de ces classes était particulièrement difficile, du fait d’un élève surtout. Il s’appelait David, c’était le « chef » d’une poignée de jeunes, et il pouvait leur faire faire ce qu’il voulait. Il détenait une certaine aura auprès d’eux, et surtout des filles. Il en avait toujours 2 ou 3 qui le collait, et jamais les mêmes. « Pauvres filles!!»se disait Laura en elle-même. Elles étaient si naïves, toujours habillées de manières provocantes, eskişehir escort avec des décolletés, et des mini-jupes, et un maquillage exagéré. « Que pouvaient-elles espérer de ce garçon?? » pensait-elle.

Au cours de l’année scolaire, une nouvelle élève arriva dans la classe, elle s’appelait Sophie. Une petite brune assez jolie, bien élevée, et très brillante. Dés le premier jour, Laura remarqua rapidement le regard de David posé sur Sophie. Elle était à peine arrivé qu’il la convoitait déjà.

Plusieurs semaines passèrent et un jour qu’elle cherchait des manuels à l’intercour dans la petite salle conjointe à la salle de classe, elle entendit des voix dans la salle de classe. Elle jeta un coup d’œil dans l’entrebaillement et aperçut David et Sophie.

« Bon voilà je suis là, qu’est ce que tu veux David dit Sophie d’un ton assez enervé.

« J’ai envie de sortir avec toi ma belle…

« Arrêtes ça!! je t’ai déjà dis que j’étais pas intéressée!!

« Attends de voir ce que j’ai à t’offrir avant …

Laura ne quittait pas la scène des yeux, et vit le petit sourire en coin de David.

« Je ne veux rien de toi!! rétorqua Sophie. Je m’en vais d’ailleurs

Elle eut à peine le temps de se diriger vers la porte que David la retint par le bras violemment, l’entraînant près de lui.

« Arrêtes! tu me fais mal cria Sophie

« gaziantep escort Regardes ça d’abord lui dit-il en souriant tandis qu’il déboutonnait son pantalon, et que son sexe jaillissait. Sophie en fut bouche bée, ainsi que Laura. Le sexe de ce garçon était vraiment énorme, plus de 25 cm au moins.

« Alors dit-il qu’en penses tu ma belle?

Mais Sophie ne disait rien, elle fixait toujours le sexe imposant de David.

Il en profita alors pour se rapprocher d’elle, et prit sa main pour la poser sur sa queue. Sophie se laissa faire toujours tétanisée. Machinalement, elle se mit à faire des mouvements de haut en bas le long de sa tige.

« Oui, je savais que tu aimerais ça, vous êtes toutes les mêmes.

Il souriait, heureux de sa victoire. Laura n’osait pas bouger dans la pièce à coté, elle aurait pu, elle aurait du intervenir mais quelque chose l’en empêchait.

David posa les deux mains sur les épaules de Sophie, et la fit mettre à genoux, tandis que le branlant toujours, elle faisait non de la tête. Lorsque sa bouche arrive à hauteur de la queue, elle voulut dire non mais David profita qu’elle ouvrit la bouche pour lui enfourner. Elle essaya de se dégager mais David lui maintenait bien la tête. Il commença alors aller et venir dans sa bouche.

« Ouais, ta bouche est délicieuse comme je l’imaginais, tu vas giresun escort aimer ma petite Sophie…. Oh mais tu aimes déjà ça je vois ricanait-il alors que Sophie faisait maintenant d’elle même une fellation à David. Elle essayait d’engloutir toute sa queue, mais elle était trop grosse, alors elle le branlait en même temps. Elle l’astiquait de plus en plus vite, passant sa langue sur le gland.

« Ouiii vas-y, fais moi jouir, on a plus beaucoup de temps. Une fois que t’as goûté mon sperme, tu verras, tu ne pourras plus t’en passer, tu seras toute à moi…

Sophie accéléra ses caresses buccales, et David lui maintint la tête tandis qu’il déversait dans sa bouche sa semence. Il retira sa queue, lui tint la bouche fermée, l’obligeant à avaler ce qu’elle finit par faire.

« Voilà Sophie, tu vois, c’était très agréable de me sucer, et tu verras ce n’est que le début. Je vais faire de toi ma tite chienne, comme les autres.

Sophie restait toujours à genoux devant lui se léchant les lèvres, et finit par nettoyer d’elle même la queue de David, qui se délectait de la voir faire. Puis il regarda sa montre.

« Bon faut y aller, la cloche va sonner. On continuera chez moi après les cours ce qu’on vient de commencer.

Il la releva, lui roula une pelle, et la prit par la taille en sortant de la salle. Au dehors, elle entendit ces potes le félicitait de le voir sortir ainsi avec Sophie.

Laura, hypnotisée par ce qui s’était passé, n’avais toujours pas bouger. Ce ne fut que quand la cloche retentit qu’elle se réveilla, et se dépêcha de finir de préparer ses affaires pour le cours suivant. Mais ces images allaient la hanter tout le reste de la journée, et bien plus…

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Esclave de Mère – Ch. 04 et fin

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Amateur

Je me suis totalement remise des opérations, et je reste surprise chaque fois que je croise mon image dans le miroir. Si je suis habituée, maintenant, à la lourdeur de ma poitrine, la vue de celle-ci provoque chaque fois une profonde excitation en moi, d’autant que l’ensemble créé par Sandrine semble plus sortir d’un manga que d’une réalité, tellement je me trouve jolie, affolante, sexy, fraîche et perverse à la fois. Un drôle de mélange. Mes anneaux tirent sur mes tétons, et avec la barrette derrière l’anneau, ils sont extrêmement proéminents.

Les choses changent à la maison, cela a commencé subtilement. Une remarque de Sandrine à Mère sur les marques qu’elle m’a faite avec un couteau. Des ébats entre elles de plus en plus bruyant et, à ce que je juge, de plus en plus violents. Des tortures me concernant qui se concentrent ces derniers temps sur mes précieuses couilles. Sandrine voulait que je la supplie de mes les enlever, mais je ne peux plus supplier, alors chaque jour je le lui fais comprendre. Mais elle me dit qu’elle n’est pas encore convaincue de ma vraie volonté. Et pourtant, je le suis, convaincue, tant elles me font souffrir continuellement.

Ce qu’elles préfèrent, quand elles ne me piétinent pas, c’est de les coincer entre deux plaques de plexiglass épaisses, et serrer autant que possible les deux plaques l’une contre l’autre, pour les aplatir, serrant les 4 vis progressivement, faisant une pause quand je m’évanouis, pour continuer ainsi au maximum de leur force! Je n’ai plus que deux masses écrasées, je ne comprends pas qu’elles n’éclatent pas. Les plaques sont percées de plusieurs trous, leur permettant de faire passer aiguilles ou broches, contacteur pour les électrocuter, voire la mèche de la perceuse. J’en pleure en continue, et ma seule satisfaction est de les voir se faire jouir sur le spectacle comme des folles, prendre des photos pour les publier sur un blog que Sandrine tient depuis le début.

C’est dans cette situation, complètement brumeux de tant de souffrance, que j’ai pu assister pour la première fois au basculement de leur relation. Tandis que Mère allait enfoncer une broche à poulet dans mon sein, Sandrine l’a violemment prise par les cheveux, l’a giflée, et jetée à terre, en lui intimant l’ordre de ne pas m’abimer, que j’étais son œuvre maintenant. J’étais choquée, non par ses mots, mais par sa violence. Mère a essayé de résister, mais Sandrine l’a giflée à nouveau, longuement, Mère se laissant finalement faire, et finissant par baiser les chaussures de Sandrine en lui demandant pardon!

– Ce n’est pas la première fois que tu me désobéis, maintenant cela suffit.

– S’il vous plaît Maîtresse, j’aime tellement cela

– Oui je le sais, mais ce n’est plus ton fils, c’est Camille ma créature, elle ne t’appartient plus. Et aujourd’hui j’ai décidé que tu ne t’appartenais plus.

– Pardon (Mère est interloquée, relève son visage vers Sandrine, qui lui assène une gifle terrible)

– J’en ai marre de tes crises et de ton comportement, tu ne vas pas être la première que je vais dresser!

– Tu, tu veux me dresser (Mère est ébahie, mais malgré ma confusion, je ne la sens pas effrayée)

– Tu en rêves n’est-ce pas?

– Oh mon Dieu Sandrine (Nouvelle gifle, suivie d’un coup de pied entre les cuisses de Mère)

– Maîtresse dorénavant, tu m’entends? (Elle me fait peur, je ne l’ai jamais vue aussi redoutable)

– Oui Maîtresse (Mère rampe à ses pieds, c’est totalement déstabilisant pour moi, mais je ne dis rien évidemment, je ne fais rien évidemment, et finalement je ne pense rien)

– Je préfère cela, tu es comme Camille au fond, une vraie chienne, les chiennes ne viennent pas des chattes! Je vais parfaire Camille et en même temps je vais faire de toi une autre chienne, et tu vas avoir le même destin.

– Oh Maîtresse (Mère Gémis et tremble de tout son corps)

Je vois alors Mère se caresser et jouir dans un orgasme au volume inconnu, elle se tord dans tous les sens, les membres explosés van escort de plaisir. Sandrine la regarde avec un sourire méprisant.

– Profites-en tant que tu as un clitoris. Tu hais tellement les hommes, je vais faire de toi une pute de bas étage, qui va se faire baiser à la chaîne, tu ne seras que trois trous béants comme ta progéniture.

Voir Mère ainsi est stupéfiant. J’ai l’impression que Sandrine a pris vingt centimètre de taille.

Du coup la vie à la maison a pas mal évolué. Plutôt en bien pour moi, car si je reste torturée et contrainte en permanence, c’est bien plus limité, avec mes couilles en point d’orgue (Sandrine m’a promis de s’en occuper dès que Mère serait mieux dressée), mon cul et ma taille. Qu’elle a décidé d’accentuer, puisque Mère ne s’y oppose plus, elle veut que je fasse un petit vingt-huit et je pourrais porter du 12 ans me dit-elle.

Le rythme de vie est lui le même, je m’occupe de toutes les corvées, je subis mon lavement profond deux fois par semaine, mais il est prodigué exclusivement par Mère, puis je dois le lui prodiguer à mon tour. Mère a interdiction de lever le regard sur moi, c’est quelque chose d’étrange, et cela modifie progressivement mon regard sur elle. Je ne suis plus terrifiée, car elle n’a aucun droit sur moi, et peu à peu je suis remplie du mépris que Sandrine lui témoigne. Un mépris d’une violence inouïe, et je sens Mère ployer un peu plus à chaque fois, tout en coulant et en se caressant frénétiquement. Je ne sais ce que Sandrine lui a fait, rien sans doute, mais cet aspect de Mère m’était totalement inconnu.

Mais les plus gros changements sont ailleurs. D’abord je suis bien plus chouchoutée, je suis parfois massée par Mère, souvent enduite de crème nourrissante pour ma peau ou mes cheveux, tout mon corps est définitivement épilé, je suis en permanence manucurée, maquillée, la peau ultra douce. Mon corps n’est plus jamais fouetté, et surtout, je suis libérée du corset la journée. C’est étrange car elle veut me resserrer, mais elle souhaite que je puisse aussi évoluer sans. Je me sens tellement démunie dans ces cas-là.

La grande nouvelle a été l’arrivée de Sylvie à la maison. Je l’ai reconnue tout de suite, bien entendu, la vendeuse du CA, qui est l’amante de Sandrine depuis de nombreuses années, à l’insu de Mère, humiliée de sa déchéance, et devant ramper devant cette jeune femme aussi sadique que perverse. Les deux femmes ont préparé depuis longtemps la déchéance de Mère, et ne manquent pas de lui raconter par le menu tout ce qu’elles ont fait à son insu, tandis que Mère est ligotée sur la table, torturée de bien des manières que j’ai connues en profondeur! Tellement mortifiée d’avoir été ainsi manipulée st se retrouver sous la coupe de sa rivale!

Sylvie a à peine vingt ans, et au contact de Sandrine, devient d’une incroyablement perversité. Le fait qu’elle soit de mon âge est très perturbant pour moi, qui voyais les Femmes Dominantes comme mures. Elle n’est pas trop dure avec moi, comme Sandrine, aime ma présence, jouer avec moi, m’utiliser pour son plaisir, c’est un délice. Elle n’est pas la dernière à me martyriser le sexe et les couilles, et à inventer de nouveau jeu, mais je la sens plus dans le jeu avec moi que dans l’expiation. De nouveaux jeux, comme la dilatation de ma vessie avec la fameuse crème de Sandrine, si efficace pour torturer longuement et sans se fatiguer un esclave. Mère l’a subie tant de fois, y compris dans son utérus : Sandrine avait démesurément ouvert le vagin de Mère, extirpé le col, et injecté la crème au plus profond d’elle, en quantité telle que le ventre s’est gonflé. Sylvie a voulu alors le gonfler autant que possible, et elles y ont injecté en plus de quatre litres d’eau. J’avais vraiment l’imression de voir Mère enceinte. Sandrine a ligaturé le col, laissant Mère giser à peine consciente à terre, les deux femmes fouettant son ventre ainsi gonflé.

Car Mère a clairement pris ma place tout en bas de la hiérarchie. Comme yalova escort si Sandrine et Sylvie voulaient lui faire payer le fait d’avoir du se cacher si longtemps? Elle a suivi un chemin comparable au mien, Sandrine ne changeant pas ses plaisirs. Elle a ainsi perdu la voix, beaucoup de kilos, eu un visage rajeuni de façon spectaculaire. Nous paraissons plus comme deux sœurs que Mère et Fille. Même opération des tendons d’Achille, mais elle a subi aussi l’ablation des côtes flottantes, puisque partant d’un quarante, le travail était considérable à réaliser. Sylvie voudrait un trente-deux, mais Sandrine juge plus raisonnable de maintenir les trente-quatre. Le corset semble bien plus serré que les miens je trouve! Mais pour souffrir, elle souffre!

Elle n’a pas voulu toucher à ses seins les trouvant déjà assez gros, mais a décidé, à l’effroi total de Mère, de lui raser définitivement la tête. Laser aidant, elle va rester complètement chauve, avec son collier métallique identique au mien, son côté esclave est flagrant, tandis que je fais plus fantasme de soumission, c’est très différent. Mère a tellement pleuré, et a hurlé, sans bruit bien entendu, quand Sandrine a demandé à Sylvie s’il fallait lui supprimer la poitrine. Les deux femmes ont repoussé la décision! Pauvre Mère. Elle est tellement fébrile, se précipite aux pieds de ses Maîtresses, en totale dépendance et obéissance, je pense qu’elle est dressée. Alors que les deux Maîtresses nous apprennent que demain c’est notre grand jour, encore un, Mère est suspendue au plafond par ses seins, tandis que je le suis par mon paquet, nous gisons là comme deux lustres de décoration.

Sandrine a décidé de me délivrer de mes souffrances. En deux étapes, la première sans anesthésie, la seconde avec. Mais avant, je suis spectateur de l’opération sans anesthésie sur Mère, où Sandrine va lui arracher les ovaires. Sylvie est tellement excitée, elle essaie de se calmer en se faisant jouir maintes fois, mais sans résultat. Mère est solidement ligotée, hurle sans bruit, essaie de bouger, implore, mais rien n’y fait. Je trouve qu’elle donne vraiment envie de la torturer, et plus elle implore, et plus j’aurais envie de lui faire mal.

Sylvie prend plaisir à baigner ses mains dans le sang de Mère, embrasse Sandrine pendant l’ablation. Mère perd plusieurs fois connaissance, mais doit ouvrir la bouche pour avaler le premier puis le second ovaire. Elle pleure, mais Sandrine la force à la remercier en lui tendant la main à baiser. Elle recoud rapidement, Sylvie lèche le sang éparpillé et Mère est sortie de la table d’opération sans ménagement, l’opération est bénigne. Je ne suis pas certain que Mère, en pleurs, soit d’accord. Son visage ainsi tout lisse est magnifique, même les sourcils ont été supprimés, elle ne ressemble plus à un être vivant, mais à un manneauin en magasin! Et elle fait si jeune, c’est fou.

Je suis attaché tout aussi solidement, mon sexe et mes scouilles posées devant moi. Je suis soulagée depuis le temps que j’attends ce moment. Sandrine ne sait pas à quel point, car il ne s’agit pas seulement des souffrances occasionnées, mais surtout de ce qu’il signifie, de ce que j’étais et qui va disparaître. J’en suis comblée. Elle incise la peau des bourses, le sang coule à peine, j’ai une perfusion d’adrénaline. Je regarde fascinée, comme Sylvie. Mère est attachée dans une position obscène, nous montrant son cul atrocement dilaté par un gode enfoncé jusqu’à la garde. Ma pauvre Mère, elle semble à la fois tellement souffrir, mais tellement à sa place, je dois l’avouer.

Sandrine retire une boule sombre, reliée par un long fil, c’est étrange. La douleur est instantanée, très forte, mais franchement j’en ai connu tellement. Sandrine me regarde en souriant, coupe le fil, la couille pend par son fil. Elle s’approche de Mère et lui fait avaler l’horrible morceau, en souvenir de tout ce qu’elle a pu me faire souffrir. Mère voudrait hurler, mais n’émet qu’un peu d’air, pas même de bruit. çorlu escort Mon sexe bande, à ma grande honte. Je sais qu’il n’en a plus pour longtemps. La seconde couille subit le même sort, me voici soulagée. Le plus dur commence, Sandrine taille dans la peau des bourses, en enlève une grande partie, mais pas tout. Cela brûle, Sylvie me caresse doucement le cou, elle me regarde avec des yeux qui me font fondre. Je crois qu’elle sait, comme je suis profondément amoureuse d’elle. Sandrine c’est autre chose, mais Sylvie, c’est ma véritable Maîtresse, elle possède mon cœur à tout jamais. Je la vois sourire, comme si elle entendait mes pensées.

Celles-ci s’arrêtent net, car, sans que je ne l’ai perçu, un puissant soporifique m’a été administré. Sandrine me dira que la suite était trop délicate pour que je puisse y assister. Je ne sais si je le regrette. Je me réveille avec Sylvie me couvant des yeux, mon cœur bondit. Elle sait, elle sent ce qui se passe entre nous. Je crois que Sandrine aussi, qui s’en moque, car elle a Mère à son service et cela lui va bien pour exercer son sadisme. Je n’ai bien entendu pas d’analgésique, je ressens des douleurs curieuses, mais aussi des paliptations, des sensations comme si j’avais mon sexe, sans doute l’effet du membre fantôme.

Après deux semaines de galère, avec les sondes urinaires et autres, Sandrine dévoile devant les trois femmes son chef d’œuvre. Je ne suis qu’à moitié surprise, mais folle de joie, de voir que mon sexe, mes couilles ont laissé la place à une très jolie vulve, avec des lèvres charnues, dépourvue néanmoins de petites lèvre, et avec juste un capuchon, sans clitoris. J’apprends alors que pendant ma convalescence, Sandrine a décidé de laisser ses seins à Mère, mais de réduire considérablement son clitoris, ses orgasmes sont devenus rares, difficiles, mais tellement puissants. Mère n’est plus là, son regard est rivé à Sandrine, elle est en totale adoration, fascination, dévotion, c’est tellement beau à voir. Et c’est drôle, car plus Sandrine est méchante voire ignoble avec Mère, plus celle-ci est collée à elle!

Pou revenir à moi, je passe des heures à regarder mon sexe, absolument fascinée. Mais les choses difficiles commencent, il faut étirer mon vagin, avec des exercices quotidiens et progressif pour m’ouvrir. Sylvie s’en charge, pour mon plus grand bonheur. Et lors de l’introduction du premier, petit, gode j’ai la surprise de ma vie, avec le fou rire de Sandrine, et l’incompréhension de Sandrine. Si je pisse par le vagin, c’est que Sandrine m’a greffé mon gland dans le vagin, comme un col de l’utérus, gardant ses fonctions inervées. Chaque pénétration, provoquent en moi plein de frissons, de désirs et une excitation démentielle, vaine car je ne peux plus jouir, et je reste ainsi des heures, collé à la fuck machine, au bord d’une jouissance qui ne viendra jamais. C’est le summum de sa perversité.

Avec beaucoup d’application, il ne me faut pas plus de deux mois pour avoir un vagin fonctionnel et lubrifié avec les glandes que Sandrine m’a greffée, empruntant une partie de celles de Mère. Je suis tout à fait fonctionnelle, et, hormis les testorone que je prends quotidiennement et qui me maintiennent excitée, j’ai tout d’une jeune femme, d’une magnifique jeune femme, à ce que je peux voir dans les yeux de Sylvie et de tous ceux que nous croisons dans nos sorties.

Nous sortons toutes les quatre dans un club sm et faisons sensation, mais surtout Mère qui y est chaque fois plus suppliciée, alors qu’en ce qui me concerne, c’est surtout le fétichisme qui est la pratique que Sylvie m’impose, avec des tenues d’écolières plus crédibles que nature, même si en latex ou en skai! Si j’excite énormément les hommes et femmes présents, c’est surtout Sylvie qui en ressort trempée et en besoin de sa poupée.

J’apprends que le plan initial était de me louer à l’année comme esclave sans limite pour de riches étrangers. Mais Sandrine est trop attachée à sa création, et Sylvie à moi, aussi elles décident que nous restertons ainsi à 4, Sandrine et Sylvie mariée, chacune avec sa témoin esclave à son service. Heureusement Sylvie reste dure et sadique, car cela me rassure chaque fois que je souffre, mais cela n’atteint jamais ce que j’ai pu endurer sur mes parties sensibles!

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Changements de vie pour Jessica 19

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Self Shot

Traduction d’une histoire de Cathartico.

Voici la suite demandée par certains d’entre vous sur les aventures de Jessica. Je vous conseille de lire ou relire les parties antérieures afin de vous refamiliariser avec le contexte.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n’aimez pas.

*******

Finalement, l’heure s’écoule rapidement. La porte s’ouvre et Daniel entre dans mon bureau et se dirige directement vers moi.

– Alors, tu as tenu le fort? C’est toujours appréciable d’avoir une idiote au bureau qui prend son travail au sérieux. Même s’il s’agit de taches subalternes. Me dit-il, moqueur.

Il s’approche de ma chaise et tend tout de suite la main pour la poser sur ma chatte trempée. Il commente alors :

– On dirait que tu apprécies tes contraintes. Je suppose que tu veux continuer alors.

Je n’ai pas le temps de répondre qu’il ouvre les boutons de ma veste en cuir bordeaux. J’essaie de l’arrêter, mais il gifle mes mains.

– Tu veux que je t’attache les bras aussi? Me demande-t-il, agacé.

Je ne veux pas que ma veste soit grande ouverte, mais je veux encore moins que mes bras soient liés à ma chaise. Comment suis-je censée me cacher? Je ne peux donc faire que la moue pour exprimer mon mécontentement, ce qui fait rire Daniel. Il me taquine :

– En fin de compte tu me remercieras pour m’avoir laissé montrer tes seins à tes collègues, petite salope exhibitionniste. Tu aimerais n’est-ce pas? Je parie que tu fantasmes sur le fait de montrer tes gros nichons à Damon ou Eric depuis longtemps.

Je voudrais crier non. Mais il ne se trompe pas vraiment. Après tout, l’idée de servir mes collègues comme un animal de compagnie m’a traversé l’esprit lors de la dernière réunion.

Daniel s’éloigne de moi pour vérifier son travail. Les boutons enlevés, ma veste en cuir bordeaux est ouverte et pend librement sur mes seins comme des rideaux. Les pans sont essentiellement soutenus par mes mamelons durs comme le roc qui pointent. La moitié de mes seins est exposée et mon décolleté fait un grand V qui descend jusqu’à mon nombril avec le corset bien en vue.

Ma tenue est plus qu’indécente. C’est totalement obscène et plus qu’inapproprié au travail. Apparemment, Daniel ne semble pas satisfait de seulement me taquiner. Il se retourne et ouvre la porte de mon bureau.

– Pourquoi faites-vous ça? Essayez-vous de vous faire virer avant que Matt le fasse? Demandé-je au voyou macho, incrédule.

Je n’arrive pas à croire qu’il prend tous ces risques. Je suis enchaînée à la chaise de mon bureau et je ne peux pas en bouger. Je suis bien en vue. Quiconque passe dans le couloir peut me voir!

– On doit jouer ensemble aujourd’hui, tu ne te souviens petite pute? Je dois convaincre cet enfoiré ou alors il devinera notre entente. Explique-t-il.

Je n’aime pas son explication, mais c’est logique. Tout au long de la semaine, Matt a défié mon homme et a essayé de devenir le mâle dominant. Le latino a toujours réagi en augmentant la mise et je l’ai même encouragé. Il ne peut pas se permettre d’être moins dur maintenant, sinon Matt remarquera qu’il se passe quelque chose.

Daniel me laisse alors dans mon bureau, la porte ouverte. Voilà pour augmenter l’intensité du jeu! Enchaînée et exposée, je suis sur les nerfs. J’ai trop envie de me réfugier dans un trou de souris. Je n’arrête pas de prier pour que Daniel revienne et mette fin à cette mascarade. Et mon esprit continue de s’égarer en fantasmant sur les choses que ce jeune latino pourrait me faire alors que mon corps est lié et impuissant.

Chaque petit bruit dans le couloir me fait sursauter de peur sur ma chaise. Mais de toute façon, je ne bouge pas beaucoup avec mes jambes attachées. Et à chaque petit bruit, ma chatte reçoit une décharge d’excitation. Soudain j’entends des pas, ils se rapprochent.

C’est O’BANNON, le PDG de l’entreprise. Il est tellement pressé qu’il passe devant la porte de mon bureau sans regarder. Quelques minutes plus tard, il repasse pour une autre réunion. Encore une fois, il passe devant mon bureau et il se contente d’un bref signe de tête. Pourtant ses passages m’ont presque provoqué une crise cardiaque.

J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que j’entends de nouveaux pas. Le bruit se rapproche très vite. A chaque pas mon cœur bat plus fort. Puis j’ai l’impression qu’il s’arrête de battre. C’est ORTEGA qui se dirige vers mon bureau. Il s’arrête dans l’encadrement de ma porte.

– Merci d’avoir pris mes appels! Me dit-il simplement.

Un soupçon de sarcasme est clairement perceptible dans sa voix comme si ses appels étaient plus importants que mon travail. Cependant je sens que je mérite sa dérision. Après tout je n’ai pas protesté et j’ai accepté de jouer sa secrétaire.

Avant de continuer à me parler, il hésite soudainement. Il me regarde droit dans les yeux et je ne peux tenir son regard. Je sens ses yeux se baisser sur ma peau et mon décolleté. Il est en train de urfa escort remarquer mon décolleté indécent.

Je voudrais fuir et me cacher. Mais je ne peux rien faire avec mes jambes attachées à la chaise. Frénétiquement, je bouge mon corps et pousse la chaise sur le côté. Ainsi, je réussis à positionner mon corps derrière le moniteur de mon ordinateur pour cacher mon large décolleté.

Ouf! Ma tenue indécente est caché pour le moment.

Pourtant ORTEGA a dû remarquer quelque chose. A chaque seconde qui passe, il peut s’approcher de mon bureau. A chaque seconde qui passe, il peut voir ma veste ouverte et mon corset sans balconnets.

– Bon… Avez-vous reçu des appels importants pour moi? Me demande finalement ORTEGA en me lançant un regard perplexe.

La façon dont il fronce les sourcils me fait comprendre clairement que mon mouvement l’a dérouté pendant quelques secondes.

– Euhhhh….

Je m’attendais à autre chose qu’à cette question.

– Non, pas un seul! Répondis-je en essayant de mettre du dédain dans ma voix afin d’insinuer qu’il n’est pas aussi important qu’il le pense.

Je peux voir la déception s’afficher sur son visage. Pourtant il semble satisfait de ma réponse , se détourne et se dirige vers son bureau sans un autre mot. Sa déception me donne un peu de satisfaction. Néanmoins, je ne comprends pas pourquoi il n’est pas venu voir pourquoi je me comportais aussi étrangement. Il devait être trop pressé…

Une demi-heure plus tard, ORTEGA Part rencontrer un client, confirmant mon analyse et apaisant un peu mes nerfs. Cette fois il ne me demande pas de jouer la secrétaire et passe rapidement devant ma porte. Je suppose qu’il n’est pas satisfait de mon travail précédent. Comme si je m’en soucie…

De toute évidence Daniel attendait seulement le départ de O’BANNON et ORTEGA car il ne lui faut que quelques minutes pour revenir dans mon bureau avec les autres stagiaires à sa suite. Le latino s’approche de moi et passe son doigt sur ma fente. Triomphalement, il le montre recouvert du jus de ma chatte.

Je gémis quand je vois Matt tendre à mon homme un billet de cinq dollars. De toute évidence ils avaient fait un pari sur le fait que je mouille après avoir été enchaînée à ma chaise de bureau. Plus que jamais, je me sens le jouet des stagiaires, un jouet à utiliser comme bon leur semble.

CLAC! CLAC!

– AIEEEEEE!

Je glapis quand Matt gifle chacun de mes gros seins. De toute évidence il ne semble pas content d’avoir perdu le pari.

– Espèce de salope stupide! Quelle tête vide! N’importe quelle attention t’excite n’est-ce pas? Me réprimande-t-il.

Au lieu de répondre je lui lance un regard noir. Après tout, ce n’est pas moi qui ai demandé d’être attachée dans mon bureau. Cependant il n’a pas tort. Plus les stagiaires m’accordent de l’attention à mon corps, plus ils m’utilisent comme un vulgaire objet, plus je suis excitée.

– Voyons à quel point elle désire vraiment notre attention. C’est mon tour de toute façon. Intervient Taylor.

Alors que je réfléchis encore à l’autorité nouvellement trouvée du stagiaire noir, il se place derrière moi et attrape mes bras. Les tirant en arrière, il accroche les bracelets de mes poignets derrière le dossier de la chaise. Maintenant mes bras et mes jambes sont attachées et je ne peux plus bouger. Je suis complètement à la merci des stagiaires.

– Tu veux que je prête plus d’attention à tes grosses mamelles, coquine? Me demande Taylor de façon provocante.

– Oui Monsieur. S’il vous plaît, donnez à mes gros nichons l’attention qu’ils méritent. S’il vous plaît, amusez-vous avec comme vous le voulez Monsieur. Dis-je en ne pouvant m’empêcher de m’humilier devant les quatre jeunes.

– Bof, ça ne paraît pas sincère! Dit Matt qui ne peut s’empêcher d’intervenir.

– Nous devrions la laisser y réfléchir pendant un moment je pense. Ajoute Daniel en réaction aux mots de Matt et en faisant signe aux autres stagiaires de le suivre hors de mon bureau.

– Non, je vous en prie Monsieur. Gémis-je de désespoir quand ils se sont tous dirigés vers la porte.

Putain! Cette maudite rivalité entre les deux me met sur les nerfs. Ils ne peuvent pas me laisser comme ça, pas avec les bras attachés aussi.

– S’il vous plaît Monsieur, Giflez votre stupide salope! Giflez mes grosses mamelles! Dis-je à Matt avant qu’il ne suive Daniel.

CLAC! CLAC!

– Aiieee! Ouillle!

Cet arrogant salaud ne laisse pas passer cette invitation et il gifle violemment mes seins de gauche à droite avant de prendre mes mamelons et les pincer rudement. Tout en serrant, il commence à tirer dessus jusqu’à ce que ma poitrine soit tendue au-dessus de mon corps. Bien que ce soit le tour de Taylor pour le défi du rouge à lèvres, Matt me torture sans rien demander au stagiaire noir.

– OUILLLE! Qu’est-ce que vous faites? Dis-je alors qu’il continue à tirer.

– Tu as supplié pour que tes seins soient maltraités n’est-ce pas Miss BRATZ? Maintenant tu sivas escort as ce que tu voulais, alors tais-toi chienne pleureuse!

Sa réponse me fait taire instantanément. Il continue à tirer sur mes mamelons sensibles jusqu’à ce que la chaise de bureau commence à bouger. Il me remorque comme un jouet à tirer. Et il continue sans s’arrêter.

Les autres stagiaires sont pliés de rire à la vue humiliante de la directrice d’entreprise qui gémis comme un animal autant par honte que par la douleur infligée à ses seins. Matt ne s’arrête que lorsqu’il a tiré la chaise loin de mon poste de travail et jusqu’au milieu du bureau. C’est vraiment vicieux.

– Tu en veux plus? Me demande Daniel en prenant la place de Matt devant moi.

Non je ne veux pas! Bien sûr que non! Pourtant je ne le dis pas. Après tout, je ne veux pas qu’ils me quittent en sortant du bureau. A ce moment-là mon jus de chatte coule si librement qu’il laisse une tâche humide sur le siège de ma chaise. Bon sang, il semble que je veuille encore plus de ce traitement brutal et dégradant.

– Oui Monsieur Daniel! Votre animal aime la façon dont vous faites attention à son corps de salope!

En m’ayant utilisé comme il vient de le faire, Matt a placé la barre très haute. Il va être difficile de faire mieux. Toutefois, comme Daniel est mon homme, je veux l’aider à surpasser l’autre salaud dominateur. Mes sentiments ont peu d’importance.

– S’il vous plaît Monsieur Daniel, j’ai besoin que l’on s’occupe de ma chatte! Peu importe comment! Dis-je en essayant de lui donner un indice.

– Ce n’est pas assez petite chatte! Répond-il pour augmenter les enjeux.

– Oh s’il vous plaît Monsieur, crachez sur moi! Montrez-moi ce que vous pensez de moi! Supplié-je aussi fort que possible.

Rrrrrrrrrrr Pfeuthhh!

Je pense que mon auto-dégradation avait été assez bonne, car Daniel a instantanément accepté ma demande et m’a craché un gros mollard sur le visage. Son crachat frappe ma joue gauche et coule lentement sur ma peau. Cet impact fait frémir de dégoût mon corps entier.

– Mmmm! Merci Monsieur! Réussis-je à dire malgré mon dégoût.

Toutefois les rires des gars ne sont pas aussi bruyants qu’auparavant. Il semble que l’action de Daniel ne soit pas aussi perverse que celle de Matt. Il faut qu’il fasse quelque chose de plus dégradant. J’échange un regard avec lui et je hoche légèrement de la tête, lui permettant ainsi de passer à l’étape suivante.

Daniel recule d’un pas et lève la jambe. Une seconde plus tard, je tremble encore une fois dans mes liens. Mais cette fois, je ne peux pas réprimer un gémissement de dégoût.

Le latino vient de poser sa semelle sur ma chatte exposée et il la frotte sur ma fente rasée. Je peux sentir la rugosité de la semelle en cuir sur ma chatte sensible. Je peux sentir chaque caillou et chaque saleté sur ma peau douce. C’est tellement dégoûtant! Mais je ne peux que rester immobile en tremblant dans mes liens.

Puis il retire son pied pour le tenir à quelques centimètres seulement de ma chatte. Il veut que ce soit moi qui frotte mon sexe à sa semelle de chaussure sale. Je soulève mes fesses de la chaise autant que je le peux, mais il est trop loin.

Je commence à me cabrer alors que les bracelets de cheville et de poignets me maintiennent en place. Encore et encore j’essaie de lever ma chatte rasée. Lentement, la chaise de bureau commence à avancer, petit à petit.

Bon sang, c’est difficile et je commence à transpirer. Néanmoins je continue jusqu’à ce que je halète. Je dois vraiment avoir l’air ridicule. La pute de bureau attachée pousse son corps vers l’avant pour déplacer une chaise et atteindre une chaussure sale avec sa chatte.

Toutefois je m’en fiche tant que Daniel reste le dominant. Les éclats de rire des autres stagiaires me font comprendre qu’ils apprécient le spectacle pathétique que je donne. Je suis sur la bonne voie.

– Ahhhhh! Ohhhhh!

Quand finalement j’arrive à atteindre le pied du latino, il le retire brusquement. J’avais poussé en avant si fort que je manque de basculer en avant et m’écraser le visage par terre. Hurlant bruyamment, je réussis à garder l’équilibre tandis que mes gros seins ballottent et que mon anneau de nombril rebondit sur mon ventre.

Les rires montent d’un cran. Je deviens l’objet de risée de tous. Je suis la clown de bureau divertissant les stagiaires avec ma maladresse. Mais malgré ça, mon homme a l’impression d’avoir dépassé Matt en vice. Il pousse alors sa semelle sur ma chatte.

– Oooooohhhhh! Mmmmm!

Je ne peux m’empêcher de gémir au toucher. Daniel n’a pas besoin de frotter sa semelle plus de deux fois sur mon sexe avant qu’un orgasme ne me traverse. Je me débats une fois de plus dans mes liens. Je me frotte contre la chaussure sale comme si c’est la bite la plus magnifique que j’ai vu de ma vie.

Il continue à frotter ma chatte tremblante pendant que je jouis. Quand finalement je me remets lentement de ma jouissance, je suis épuisée. La sueur tekirdağ escort scintille sur mon front et mes cuisses tremblent d’épuisement.

Comme Taylor n’a pas encore commencé son tour pour le défi du rouge à lèvres, il semble qu’il s’impatiente. Sans me donner la chance de récupérer des forces, il passe derrière moi et détache mes poignets pour libérer mes bras. Ensuite il enlève les bracelets de cheville, mes jambes sont enfin libres.

Puis en tirant mes cheveux châtains, Taylor me retourne. Me poussant en avant il m’oblige à m’agenouiller sur la chaise de bureau. Toujours avec une traction sur ma chevelure, il pousse le haut de mon corps sur le dossier de la chaise. De cette façon, mes gros nichons pendent de l’autre côté.

Puis il pousse chacune de mes jambes à travers l’espace sous les accoudoirs des deux côtés avant de tirer mes bras en arrière. Enfin il accroche mes poignets et mes chevilles ensemble. Encore une fois, je me retrouve attachée à ma chaise de bureau.

Le jeune noir se place ensuite en face de moi. Il a sorti le rouge à lèvres de mon sac et il me l’applique sur la bouche. Après l’avoir rangé il revient derrière moi.

– Ohhhhh! Gémis-je quand je le sens saisir mes fesses et pousser.

La chaise tourne. Tout tourne autour de moi et je ne peux rien y faire. Attachée dans cette position, à genoux sur le siège, je suis complètement impuissante tandis que la chaise tourne jusqu’à ce que je fasse face au stagiaire noir.

Sans rien dire, il pousse son sexe dressé contre mes lèvres. J’ouvre la bouche et je le laisse pousser son engin à l’intérieur. Mes lèvres s’étirent largement autour de sa queue épaisse. Poussant son membre jusqu’au fond de ma gorge, j’étouffe immédiatement.

Les muscles de ma gorge se contractent autour de l’objet de chair qui m’envahit tandis que Taylor tient ma tête en place. Mes yeux commencent à pleurer, les larmes coulant sur mes joues. C’est à ce moment que Taylor sort son sexe de ma bouche et me laisse reprendre mon souffle.

Pendant ce temps, mes gros seins pendent sur le dossier de la chaise. Soudain, je sens une paire de mains rugueuses attraper ma chair tendre et commencer à la pétrir. Daniel est passé derrière moi et commence à tripoter rudement ma poitrine.

En poussant mes fesses, ce macho fait de nouveau tourner ma chaise. Encore une fois je dois subir les volontés des stagiaires. Je ne suis qu’un objet amusant pour eux. En tournant, mon visage frotte le pantalon et l’entrejambe de Daniel avant d s’arrêter.

– Mec, je crois que je ne pourrais jamais me lasser de la vue de ces gros nichons! S’exclame Taylor en regardant mes seins se balancer sur le côté.

– Héhéhé! Si on regarde bien, on peut même voir son anneau au nombril virevolter. Ajoute Daniel avec un rire.

Le spectacle doit être vraiment amusant, car le stagiaire noir donne une autre poussée à la chaise et il me fait tourner plus vite. Ça me prend tellement par surprise que je pousse des grands cris alors que ma poitrine se balance violemment et que l’anneau sur mon nombril frappe à gauche et à droite contre mon ventre.

Taylor tient sa grosse bite d’ébène et me gifle la joue avec lorsque mon visage se trouve devant lui. La honte de me faire gifler avec une queue me fait rougir. Mais j’oublie tout lorsque Daniel touche mon clitoris et m’envoie de nouvelles vagues de plaisir dans le corps.

Taylor pousse mon épaule pour faire de nouveau tourner la chaise. Je ne peux m’empêcher de crier à nouveau jusqu’à ce que la bite de Daniel me gifle aussi. En même temps, Taylor tend la main et gifle mon clitoris, m’envoyant une nouvelle décharge d’extase dans la colonne vertébrale.

– EEEHHH Oooooohhhh EEEEHHHH!

Mes cris se transforment en gémissements, pour redevenir des cris lorsque Daniel me pousse une nouvelle fois et fait tourner la chaise. Les deux stagiaires m’utilisent comme une toupie chantante. Ils jouent avec moi comme des enfants avec un nouveau jouet.

La directrice d’entreprise est réduite à une toupie bruyante pour le plaisir des jeunes gars. De plus en plus j’ai l’impression de n’exister que pour le plaisir de ces gars.

Les deux stagiaires continuent de me faire crier et gémir en me faisant tourner sur ma chaise, leur bite giflant mes joues et leur main claquant mon clitoris. Je tourne encore et encore et bientôt je suis étourdie. Quand ils arrêtent finalement de jouer avec moi, je me retrouve face à la bite de Daniel.

– C’est mon tour! Dit Taylor en poussant mes fesses pour faire tourner la chaise.

– Non c’est mon animal de compagnie, ma suceuse! Dit Daniel.

Avant même que la chaise s’arrête ; il donne une nouvelle impulsion sur mon cul et fait tourner mon corps. Comme des gamins mal élevés, les deux gars se disputent pour savoir qui va être le premier à mettre sa bite dans ma bouche.

Et je tourne! Et je tourne!

La rotation devient de plus en plus rapide. Le balancement de ma poitrine est devenu de plus en plus violent. J’aurais basculé de la chaise si je n’étais pas attachée.

– S’il vous plaît, j’ai le vertige! Crié-je alors que je commence à avoir des nausées.

Heureusement ils arrêtent le mouvement et ils éclatent de rire. Ils ne se disputaient pas en réalité. Il voulait tester la résistance de leur jouet. Quels salauds!

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Fanny 03

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Babe

Fanny. 03

TEXTE POUR LECTEUR AVERTI

Fanny est à nouveau officiellement depuis trois mois la copine de Franck. Elle est heureuse. Les autres filles l’envient. Les garçons lui fichent la paix. Franck vient la chercher régulièrement devant le lycée. Tous la voient monter dans cette voiture et filer avec son homme.

Son vagin lubrifie dès qu’il reçoit le sexe puissant de Franck. Son anus s’est assoupli et elle peut boire toute la semence envoyée par son amant dans sa bouche. Dès que son homme la touche elle devient fontaine. Dès que ses fesses sont sollicitées, elle se cambre. Elle est folle de son mec. Hypnotisée par lui comme une souris devant un serpent.

Ils vont régulièrement dans la maison des répétitions. Le groupe est toujours présent. La musique tonitruante. Ils baisent dans la même chambre. Franck est endurant et la fait jouir plusieurs fois. Avec son sexe ou sa langue dans tous les trous de la jeune fille. Elle est réceptive à tous les attouchements de son homme. Il l’appelle ma petite enculée même devant les musiciens. Cela ne la gêne plus alors qu’au début elle n’osait même plus les regarder.

Franck lui demande de passer un weekend complet avec lui. Difficile de convaincre ses grands-parents. Franck lui trouve une fille qui lui servira d’alibi. Fanny est très gênée de mentir mais l’envie est trop forte et le pouvoir du garçon sur elle impossible à contrecarrer.

Elle a préparé un sac plein à craquer de toutes sortes de tenues. S’est épilée en cachette de sa grand-mère.

Il vient la chercher vendredi. Elle est heureuse.

Elle reconnait la route, demande à Franck pourquoi on va chez les musiciens. Il lui répond d’un air gourmand qu’il a envie d’elle tout de suite. Cela la flatte. Il lui demande d’écarter les jambes et de remonter sa robe au maximum. Elle obéit avec plaisir. Elle est excitée.

– Ecarte ton slip… Montre-moi ton épilation….

Il dévore des yeux les lèvres intimes glabres et fermée.

– T’as une super chatte… Sors ton bouton et caresse-toi…. Aller personne peut voir…

Elle mouille et fait ce qu’il demande…

– Putain j’ai une super gaulle… Attends qu’on arrive… Reste comme çà… Continue tes caresses…

Ils arrivent enfin. Fanny était à deux doigts de l’explosion. Ils saluent à peine les musicos et filent dans la chambre. Ils sont vite nus. Franck vient en elle direct. Il la pilonne de toutes ses forces. La jouissance monte crescendo et Fanny est prise de tremblement sous la puissance de l’orgasme. Elle ne peut s’empêcher de crier son bonheur. Il la libère sans jouir. Se couche sur le dos, sa bite bien droite.

– Viens dessus

Elle s’empale. La bite l’occupe pleinement. Elle ondule lentement sur le mandrin palpitant.

Son amant lui pétrit les seins, pince ses tétons. Un des doigts lui frotte le clitoris. Sa chatte est pleine par le barreau de chair brûlant et son bouton caressé par les doigts inquisiteurs de son amant.

C’est trop pour elle qui jouit à nouveau.

Elle s’affale sur le lit, en position fœtale, une main sur son sexe. Elle est repue. Lui non. Toujours bandé.

Il allume une cigarette.

– Suce-moi…

Elle est fatiguée, mais elle ne peut pas lui refuser la demande après la jouissance qu’il lui a donnée.

Il la regarde s’occuper de son sexe en fumant lentement.

– Suce mieux que ça

Il jette un coup d’œil à sa montre. Tire un dernier taf avant d’écraser sa cigarette. Il lui relève la tête et devant l’air interrogateur de la fille, il lui montre le tube de gel.

– Vas y prépare moi ….

Fanny comprend et fataliste prend une noisette de gel dans sa paume et branle lentement le sexe très dur. Elle recommence plusieurs fois l’opération étalant la crème tout le long de la tige, jusqu’aux couilles pleines.

– Tartine ton cul…

Elle obéit à l’ordre sordide, puis sans attendre la demande de son amant se met à plat ventre, cul surélevé, fesses tendues légèrement entrouvertes, jambes bien écartées. Position de grenouille.

Sans attendre son amant roule sur le côté et la couvre. Ses jambes musclées et velues écartent mieux celles de Fanny. Il ne met pas longtemps à trouver la voie et d’un seul coup l’embroche au maximum. Fanny pousse un cri, mélange de douleur et de stupeur sous l’assaut.

– Putain! Qu’est-ce que t’es bonne!

Il la sodomise à grands coups de reins. Sourd aux gémissements que pousse la fille sous la puissance des chocs. Il va de plus en plus vite. Son corps puissant immobilise sa maitresse. Il l’encule en force. La bite entre le plus loin possible, pistonne le conduit anal. Franck, à la recherche de son plaisir, est sourd aux petits cris que pousse Fanny sous la douleur de l’intromission. Il empale en puissance la fille offerte et le cul ouvert. Puis il la libère, la manipuler comme une marionnette pour la positionner sur le dos en missionnaire. Il met les mollets de la fille sur ses épaules. Fanny est pliée en force les deux orifices offerts. Franck veut le cul et il l’embroche d’un coup. La fille en perd le souffle.

– Caresse-toi sinon trabzon escort tu vas avoir mal…. Vas-y caresse-toi la chatte… J’adore…

Elle obéit. Il a raison. Elle est emportée dans un maelstrom de sensation dons le centre brûle son ventre. Elle devient fontaine et hurle de jouissance quand il lui inonde les intestins. Il libère ses reins. Il est toujours tendu. S’approche de son visage à genou. Ses doigts musclés fouillent da chatte coulante. Puis les doigts forcent les lèvres.

– Suce….

Elle obéit subjuguée. Puis c’est le sexe qui se pose sur ses lèvres. Il vient de sortir de son anus. Il force à peine avant qu’elle n’ouvre ses lèvres pulpeuses et subisse cette virilité jusqu’au bord de l’étouffement.

– A fond. Applique-toi. T’as une bouche faite pour ça.

Il continue de lui fouiller la chatte pendant qu’elle le suce de plus en plus fort. Puis elle jouit une deuxième fois en pleurant.

Franck sait qu’elle est devenue sa chose. Qu’elle est totalement à sa disposition. Il est convaincu et comprend que c’est le moment. Il se lève, enfile son caleçon. Il la lève. Elle veut se vêtir.

– Pas la peine. Viens…

– Mais je suis nue! Ou on va…

Elle rechigne à le suivre. Mais obtempère. Quand il ouvre la porte elle gémit.

– Non Franck non…

Il la tire de force dans l’escalier. Dans un éclair de lucidité, elle sent le sperme coulait de sa chatte et son anus. Elle plaque sa main libre contre son vagin. Elle se sent faible et suit son amant. Elle a les larmes aux yeux en comprenant les intentions de son homme. La musique couvre tous les autres bruits et les musiciens ne se rendent pas tout de suite compte de leur présence. Elle veut se cacher derrière Franck, mais lui au contraire la tient devant lui, par les bras. Nue et immobile.

Franck siffle. Brusquement la musique stoppe. Les musiciens dans un ensemble parfait se tournent vers le couple et se figent silencieux. Ils dévorent des yeux la jeunes filles nue, bouche bée.

– Elle est belle hein les mecs…?

Ils ne répondent pas, la dévisagent en silence. Franck reprend

– Je viens de la baiser à l’os par tous les trous.

Fanny sanglote silencieusement.

– Venez la voir de plus près les mecs. Elle a un super cul et une chatte d’enfer.

Il l’oblige à ouvrir les jambes, ils peuvent deviner la chatte luisante de sécrétion et les traces sur le haut des cuisses. Franck la retourne leur présente les fesses.

– Et ce cul! Regardez ce cul les mecs.

Il lui ouvre les fesses dévoilant l’anus encore entre ouvert. Elle tente d’échapper, mais il est trop fort et elle devine que les autres s’approchent lentement.

– Allez-y! Vous gênez les mecs. Visez un peu la marchandise que je baise…

Des mains sur ses épaules, son dos, la chute de ses reins. Puis ses fesses et le haut des cuisses.

Elle sursaute en sentant un doigt s’enfoncer dans son fondement. Une main entre ses cuisses à la recherche de son intimité.

Son amant parle au bassiste. Elle ne comprend ce qu’ils se disent.

La musique reprend. Mais les musiciens sont toujours autour d’elle.

Ils la portent comme un fétu de paille dans l’escalier, puis dans la chambre. Quand ils la balancent sur le lit elle tente un dernier combat. Mais ils sont tous autour du lit et commencent à se dévêtir.

A chaque fois qu’elle veut se lever, ils la repoussent sans méchanceté.

Elle les voit se déshabiller lentement, les chaussures épaisses à gros lacets, les chaussettes de laine les pieds nus et les pantalons qui descendent le long de cuisses épaisses musclées poilues. Les caleçons aux couleurs douteuses sont gonflés. Les torses d’une blancheur livide sont couverts de poils bruns, blonds, roux. Elle sent leurs odeurs de mâles en rut. La sueur. Quand ils se débarrassent de leurs derniers vêtements, les bites lourdes et gonflées se tendent vers elle. Les couilles lourdes se balancent doucement au rythme de leurs mouvements. Ils bandent déjà à moitié, sans même l’avoir touchée.

Elle les implore de la laisser partir. Leur dit qu’elle ne veut pas.

Mais ils se penchent sur le lit lui saisissent les chevilles et lui écartent gentiment les jambes

– Ca va bien se passer ma belle…

Fanny comprend qu’elle va passer le week-end promis par son amant dans cette chambre sordide à la merci de ces cinq mâles avides de son corps. La voix de son amant le confirme.

– Allez-y doucement les mecs faut pas l’abîmer si vous voulez en profiter tout le week-end.

– Casse-toi mec… T’as eu ton fric et tes doses alors casse-toi….

La porte claque. Son amant la laisse seule avec eux.

Le premier est déjà sur elle. Fataliste, elle ne se débat plus.

– C’est bien t’as compris.

Heureusement, ils ont des capotes. Le mec la pistonne en douceur sans violence et les papillons commencent à voler dans le ventre de la fille.

Quarante-huit heures à leur disposition. Ce sont des forces de la nature avec des carrures de déménageur et velus come des ours. C’est une poupée entre leurs tunceli escort mains et leurs bites. Des odeurs musquées de fauves.

Tous les trous, toutes les positions. A plusieurs sur elle. Insatiables du corps de la jeune femme. Leurs spermes pour nourriture, les autres trous dilatés. Même pas une douche en quarante-huit heures? Ils font de la musique, ils mangent et il la baise. Aucun répit. Mais aucune violence. Ils la font même jouir.

Son amant vient la chercher dimanche soir. Il est doux tendre. Elle fond et pardonne. Il la baise pas.

Même séance une ou deux fois par mois. Pendant six mois..

Sans s’en rendre compte c’est devenu leur pute. A Franck, Cédric, Fabien et le groupe de musicos.

Dimanche soir avant que son amant ne revienne le chef du groupe lui donne ses vêtements après la seule douche prise.

– Pourquoi tu restes avec ce con. Viens avec nous tu seras notre princesse.

Cette fois elle reste.

Son amant furieux la menace.

Un soir après le lycée, il arrive à la surprendre et l’oblige à monter avec lui.

Ils vont sur une aire d’autoroute réservée aux routiers. Il l’entraine de force derrière les toilettes. Beaucoup de camionneurs suivent la scène de leurs cabines. Certains routiers étrangers se doutent de ce qui va se passer. Cela arrive aussi chez eux.

Le mec revient sans la fille et jette la robe sur une table de parking au vu de tous.

Un des chauffeurs quitte le camion. L’amant l’apostrophe :

– Vous pouvez y aller, elle demande que ça cette pute. Elle adore être forcée.

Il l’abandonne et repart.

Dans la nuit, sur cette aire dans une minuscule clairière Fanny nue est au centre d’un cercle d’hommes qui la regardent avec envie. Ils n’osent pas la forcer ou lui faire du mal, mais ils veulent en profiter. C’est le chauffeur d’un camion turc qui ose en premier, lui toucher les cheveux, les seins, la bouche. La main est descendue, les autres ont sorti leurs sexes. Ils sont durs. Toutes tailles toutes formes. Fanny à froid. Pas peur non. Juste froid. Elle laisse l’homme la caresser. D’autres s’enhardissent.

– Mon camion est vide …

Un autre lui met une veste sur les épaules et ils la conduisent gentiment par les épaules à l’arrière d’un énorme camion. Ils la lèvent par les fesses pour l’aider à monter. Elle sent une main entre ses fesses.

Des couvertures de déménagement font office de couche.

Fanny se laisse faire. Elle se sent en sécurité. Ces hommes ne lui veulent aucun mal. Et il n’y a aucun mal à les rendre heureux. Le premier se couche sur elle. C’est le turc. Il est puissant, ses coups de reins l’ouvrent profondément. Elle mouille. Le gars grogne de contentement, les autres regardent en se branlant. Fanny enlace le cou puissant du routier qui accélère. Il s’enfonce en elle et jouit en prononçant des mots incompréhensibles.

Un autre le remplace. Ça va vite. Puis un troisième.

Fanny est excitée et au bord de la jouissance. Qui ne vient pas. Cela la maintient dans un état d’acceptation sexuelle. Elle est ouverte et offerte à ces sexes inconnus.

– Putain ça baigne les mecs.

On la met en levrette.

– Merci les mecs aidez la à garder la pose.

L’homme visite le cul de la jeune fille qui gémit.

– C’est ouvert derrière aussi. Quelle pute! Ça entre facile! Comme dans du beurre!

Le mec l’encule direct, puis après quelques secondes il la pistonne de plus en plus vite en appuyant sur ses reins pour la cambrer au maximum. Se bite épaisse perfore l’œillet fripé. Une bite devant la bouche de la jeune fille. Elle commence une fellation.

Les six mecs se relaient sans méchanceté. La fille est consentante et jouit aussi.

Ils se refont une santé en buvant et en se racontant des anecdotes de camionneurs. Elle attend recroquevillée, une main entre ses jambes.

Un mec se couche sur le dos, sa bite dressée dans la pénombre. Un autre saisit Fanny et la positionne sur le sexe. Elle est assise sur la pine fichée dans ventre. L’homme l’attire vers lui. Elle se couche sur le torse poilu en sueur. Un autre derrière, un autre sexe contre son anus. Puis dans ses entrailles. Les deux hommes la pilonnent. Elle gémit entre les deux corps puissants.

– Putain! Je sens ta bite mec

– Moi aussi!

– Il reste sa bouche les mecs.

– Elle est pour moi.

Quand les trois ont fini, c’est la deuxième équipe qui prend le relais. Et ça recommence.

Quand tout le monde est repu.

– Merci petite. Tu veux que je te dépose chez toi.

– Fais-nous un gros bisou. Merci

C’est dans un trente tonnes qu’elle regagne son domicile. Ses intimités baignent dans les sécrétions des mâles. Elle a la bouche pâteuse et l’estomac repu de sperme et a du mal à marcher.

Sous la douche, elle a mal au ventre et aux fesses.

Elle pleure sur son amant. Sur son sort. Sur son avenir.

Il ne la lâche pas. Tous les samedis soir, il vient la chercher et l’emmène dans des soirées. Il la présente à des mecs, des fois des groupes. Quand les soirées touchent à uşak escort leur fin, il discute avec certains. L’emmène dans une chambre. Presque toujours une chambre à coucher.

– Enlève ta culotte.

Alors elle sait ce qui va se passer. Franck la laisse seule. Pas longtemps. D’autres entrent. Bon gré ou mal gré ils sont là pour se soulager avec elle. Au début elle se débattait. Mais c’était encore pire. Maintenant elle obéit et soulage toute la nuit ses bites inconnues.

Franck la reprend au petit matin et la ramène chez elle meurtrie et souillée. Il ne la touche plus.

Et le samedi suivant cela recommence. Elle se fait un lavement profond au cas où.

Un samedi, il y a une autre fille dans la voiture. Elle ressemble à Fanny. Même physique, même douceur, même blondeur. Silencieuse. Fanny est assise à l’arrière. Elle voit la fille sortir le sexe de Franck et le sucer. Elle a mal. Envie de vomir. La fille suce mécaniquement. Franck appuie sur la tête.

– Suce mieux salope.

Franck regarde Fanny dans le rétro, un sourire méprisant sur les lèvres.

– Montre ta chatte pour m’exciter.

Fanny obéit talons sur la banquette jambes ouvertes jupe relevée. Elle se caresse devant lui qui conduit en fumant pendant que l’autre fille le suce.

En sortant de la voiture Franck met un collier et une laisse à la fille. Devant la porte du pavillon, la fille se fout à poil. Elle a un nombre tatoué sur le bas ventre et la nuque. Trois chiffres et une lettre. Franck se tourne vers Fanny.

– C’est son numéro de pute.

Cette nuit-là Fanny va être baisée par six mecs. La fille par une dizaine.

Elle comprend que Franck veut faire d’elle la même chose que cette fille.

Elle quitte la région et va dans le sud poursuivre ses études. Les réussir.

Elle n’a plus quitté le sud. Peu d’aventure en trois ans. Et maintenant ces deux jeunes.

ooooOOooo

Fanny est heureuse, elle prépare le dîner pour ses deux amoureux qui ne vont pas tarder. On est le dernier samedi de Juillet. Elle a envie de leur corps, de leur joie de vivre. Elle a envie de les sentir contre elle. Elle a passé la journée à la plage. Est passée chez l’esthéticienne et rapidement chez le coiffeur. Epilation des bras, des jambes, du maillot et entretient de la petite toison blonde. Avant sa douche, elle a pris soin de se faire un lavement profond. Elle n’aime pas trop cela mais elle sait que ses deux tourtereaux ne vont pas hésiter à lui visiter le derrière. Et elle est bien obligée de reconnaître qu’elle commence à aimer cela. Elle porte juste une minirobe blanche. Rien d’autre. Elle a conscience que si elle se penche on peut voir sans trop de difficulté son intimité. Elle sait qu’ils aiment. Elle est heureuse depuis qu’elle les a rencontrés.

Les coups de klaxon la font sourire.

Cavalcade dans le couloir de l’immeuble. Coups de sonnette impatients.

Elle ouvre. Ils portent deux gros baluchons sur les épaules, ils les déposent dans l’entrée et Ils se jettent sur elle. Ils sentent le savon et l’eau de Cologne bon marché. Leurs odeurs excitent la jeune femme. Ils lui dévorent la bouche à tour de rôle. Quatre mains la caressent. Ils se plaquent contre et elle sent les virilités tendues. Elle a envie.

Saïd tombe sa chemise au sol et appui sur les épaules de la fille qui comprend. Elle est attendrie qu’il a pensé à ses genoux. Les bites sortent. Droites, dures. Les garçons sont impatients. Mehdi saisi la nuque de Fanny et attire la tête vers le sexe. Fanny ouvre la bouche.

– Prends ton temps ma belle on a toute la nuit.

Ils sont encore dans l’entrée, les jeunes hommes adossés au mur et elle à leurs genoux. Ils la laissent faire, profitant de leur pouvoir sur la française comme il la surnomme entre eux. Saïd offre une cigarette à son pote. Ils fument lentement en regardant la fille lécher les hampes ou les bourses, avaler leurs bites au maximum, saliver abondement sur le gland. Manifestement elle ça.

Saïd n’en revient pas d’une telle pute à leur pied. Une gentille petite bourgeoise à leur disposition.

– Fanny regarde nous ma belle. Regarde nous en suçant….

Elle obéit. Regard langoureux et bouche bien pleine.

– On va bien te niquer ma belle. Tu vas grimper aux rideaux cette nuit. On tient une super forme.

– Oui on n’a pas arrêté de penser à toi ma belle…. Suce bien à fond et bouffe nos couilles… Elles sont pleines de jus pour toi.

Fanny s’applique. Elle commence à avoir mal aux genoux mais elle aime trop leur bitte. Mehdi se tourne face au mur. Elle a les fesses musclées devant ses yeux.

– Ecarte les fesses de Mehdi. Lèche-lui le cul.

Moment d’hésitation. Saïd insiste

– Vas-y ma belle. Lèche le boule de mon pote.

Elle embrasse les fesses puis la raie. Mehdi écarte ses fesses et Saïd appui sur la tête de Fanny. Elle a une vue parfaite sur la raie brune à peine poilue et sur la corolle de l’anus. Elle avance la tête. Les odeurs épicées l’enivrent. Elle avance la langue et lèche. Saïd m’encourage.

– C’est bien ma belle. C’est bien. Nous aussi on aime te lécher le fion. N’oublie pas ma bite chérie.

Fanny alterne, obéissante. Elle branle, lèche, suce, salive. Sa langue pointue force sur l’anus. Mehdi parle en arabe. Il vient de dire à son ami que cette française était une vraie pute et qu’ils allaient bien en profiter.

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Deuxième Place 04

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Penis

Deuxième place — Sixième Partie

Traduit de Second place de Terri Madison

Lundi matin

Danielle s’assit derrière son bureau. Comme une mécanique bien huilée, elle sentit sa culotte se faire tirer vers le bas, suivie par la langue de sa secrétaire amorçant sa tâche quotidienne.

« Alors… comment était…mmmmm… comment c’est passé ton week-end? » se renseigna Danielle auprès de la femme sous le bureau. La langue de la secrétaire avait déjà trouvé les points sensibles.

« Bien. » Marmonna Terri entre deux léchouilles. Se remémorant le week-end infernal qu’elle avait vécu, la jeune femme se dit que ç’avait été tout sauf ça.

Vendredi, avant de quitter son travail, Terri s’était fait défoncer le cul par trois hommes différents — ils l’avaient tous sodomisée avec des verges aussi grosses que le gode de Danielle, ou même encore plus grosses. Elle était ensuite sortie, marchant douloureusement jusqu’à sa voiture, chaque pas lui faisait mal.

À la maison, Terri s’était appliquée à préparer un bon dîner pour son mari, puis à le rendre saoul. Danielle avait déclaré que les vendredis seraient des « nuits à baise ». Ce qui signifiait que chacune de ces nuits, à minuit, elle enverrait une femme différente au domicile de sa secrétaire, et que cette femme baiserait le mari de Terri pendant que la malheureuse regarderait. Terri avait la tâche de rendre Steven suffisamment ivre pour qu’il ne réalise pas qu’une autre femme qu’elle le suçait ou le baisait.

Carrie, la « candidate chanceuse » de la semaine arriva à minuit pile. Elle était plus jeune que Terri et devait être dans ses dernières années d’adolescences ou proche des vingt ans. Son gabarit était similaire, mais ses cheveux étaient d’un rouge vif et ses nichons un peu plus petits. Toutefois Terri doutait que Steven, complètement parti dans le cirage, fasse la différence.

N’ayant jamais vu Carrie dans l’entreprise, Terri supposa que ça devait être une des amies de Danielle. Présumant que c’était CE genre « d’amie », Terri tenta de détourner la fille de son mari :

« Pourquoi est-ce que… toi et moi… sur le canapé… on ne… » commença-t-elle à dire.

Carrie la gifla en pleine face. « Pétasse. Je ne suis pas gouine. Ah, mais je sais ce que tu penses… Je suis une amie de Danielle, alors forcément je suis une gouine? compte sur moi pour le lui dire.

— Non s’il vous plaît… je ne voulais pas…

— Alors, je vais te dire de que j’ai en tête. J’ai entendu que t’aimes de fourrer des trucs dans le cul… » Carrie attrapa une bouteille de vin vide, une de celles que Terri avait fait boire à son époux. « Pendant que je suis dans ton lit à baiser ton mari, tu peux te branler le cul avec ça en nous regardant. »

Terri l’avait fait. Grimaçant de douleur, elle commença à glisser lentement la bouteille dans son trou du cul déchiré, jusqu’à ce que l’autre femme propose de le faire à sa place si elle n’accélérait pas. Terri regarda piteusement Carrie sucer, puis monter son mari. D’une main elle tenait la bouteille de vin, de l’autre elle jouait avec son berlingot. Elle se répétait, encore et encore, qu’elle ne faisait ça que pour atténuer la douleur ; que ce n’était pas de l’excitation qu’elle ressentait à se faire si totalement dominer et humilier. Finalement, Carrie pressa ses seins autour de la queue de Scott et le branla avec ses nichons. Terri aurait dû avoir le cœur brisé que son mari se vide les couilles sur les mamelles d’une inconnue… mais cela n’entraient qu’en lointaine deuxième place comparée à la douleur que son trou du cul si sensible lui faisait ressentir.

Puis Carrie ayant fini, elle descendit avec Terri au rez-de-chaussée. Faisant signe d’approcher à l’épouse, elle lui ordonna, « Nettoie mes seins avec ta langue, » elle ajouta : « Oui, je suis un peu curieuse. Mais tu n’en dis RIEN à Danielle! »

« Mmmm mmmm, » confirma Terri tout en léchant le foutre de son mari des loches d’une étrangère. La femme trompée était surtout reconnaissante de pouvoir se sortir la bouteille du cul. Carrie, pendant ce temps, semblait devenir bien plus excitée qu’elle ne voulait bien l’admettre. Quand elle partit, Terri remarqua la façon dont les tétons durs de la jeune fille saillissaient de son t-shirt, et elle eut le pressentiment qu’elle reviendrait pour de nouvelles expériences.

Samedi matin, Terri fit la grasse matinée. Elle fut réveillée à midi par un appel de Danielle, elle lui indiqua un hôtel où elle devait se rendre dans une heure. Là-bas, elle trouva quatre hommes que Danielle semblait avoir sélectionnés pour leur passion pour la sodomie. Terri, dont le trou du cul était encore très endolori par son « dépucelage » de la veille, essaya désespérément de proposer aux hommes ses autres talents sexuels, mais sans réussite. Ils n’étaient tous intéressés que par une chose, qui était, hélas, la chose qui causait à la jeune femme le plus de souffrance. Cela devint si intense que pendant qu’un des hommes lui baisait l’oignon, les trois autres devaient la maîtriser rize escort de force.

Pendant six heures, le cul de Terri endura le martyre. Quand elle fut finalement autorisée à quitter l’hôtel, il lui fallut se rendre chez Scott et Angela. Là, elle dut supporter encore trois heures à se faire pincer et fouetter par Angela, tout en se faisant baiser par Scott. Heureusement, Scott ne s’intéressa pas à son cul.

Dimanche, Danielle laissa sa secrétaire se reposer. Terri pensait qu’elle aurait eu le temps de récupérer ; mais ce lundi matin, son trou du cul semblait encore plus tendre et douloureux que la veille. Elle eut beau essayer, elle fut incapable d’enfoncer le gros godemiché dans son cul pendant sa routine de “sous-le-bureau”.

Terri se concentrait sur la chatte de Danielle, espérant qu’en la léchant super bien celle-ci ne remarque pas l’absence de gode dans son derrière. Ses espoirs s’évanouirent rapidement. Après avoir fini sa “tâche”, sa patronne lui demanda où se trouvait le gode, et pourquoi il se trouvait ailleurs que dans son cul.

Terri essaya d’expliquer à quel point elle s’était fait limer lors des activités du week-end. L’autre femme ne voulut rien entendre :

« Je t’ai donnée tout un dimanche pour te reposer. Et c’est comme ça que tu me remercies? Attends-toi à une punition pour ça. »

Le reste de la matinée, Danielle ignora à dessein Terri. Elle laissa la secrétaire repenser à ses erreurs, et, plus important encore, la laissa en imaginer les conséquences. Terri essaya de rester occupée, mais quel que soit le travail qu’elle trouvait à faire, Danielle faisait toujours venir quelqu’un d’autre pour s’en occuper, ne laissant à Terri rien d’autre à faire qu’à songer aux horreurs qui l’attendaient.

À midi, Danielle finit par s’adresser à elle. « Il est temps d’aller déjeuner! » Terri réalisa que sa patronne allait lui faire vivre un autre de ces déjeuners humiliant. Danielle ne la déçut pas. En chemin vers le petit restaurant, elle l’informa de ce qu’elle attendait d’elle et Terri en fut horrifiée.

Quand le serveur vint prendre la commande, Terri récita ses lignes presque parfaitement :

— Vous avez des saucisses?

— Elles sont épaisses? Plus grosses que deux de mes doigts mis ensemble?

— Vous avez des concombres entiers?

— Quelle longueur? Ils sont gros?

— Et vos hot-dogs? Je les aime quand ils font trente bons centimètres! Vous pouvez mettre de la

mayonnaise sur le bout?

— J’aimerais une banane fraîche. Je les préfère pas trop mûres. Elles sont plus raides quand elles sont comme ça! » confia-t-elle au serveur avec un clin d’œil.

En s’éloignant, le serveur tenta vainement de placer le menu devant lui pour dissimuler qu’il bandait comme un âne. Terri passa tout le déjeuner sous la table. Quand sa nourriture fut servie, Danielle lui tendit chaque aliment pour qu’elle puisse s’en servir sur elle-même. Le concombre géant fut atroce, mais la jeune femme fut contente de n’avoir à l’introduire que dans sa chatte et pas à un autre endroit qui lui aurait fait bien plus mal.

Tout en s’occupant ainsi, Terri broutait la chatte de sa patronne.

Le dessert fut servi… un pudding au tapioca pour Danielle, et un esquimau pour Terri : « Tiens, voilà quelque chose pour refroidir ta chatte de salope en chaleur, » lui fit remarquer Danielle en déballant l’esquimau. Terri fit bon accueil au dessert glacé, qui élimina une grande partie de la douleur qu’elle éprouvait après s’être éclatée la chatte avec le concombre.

Danielle frotta une grosse cuillérée de pudding blanc sur son con. « Lèche ça, ordonna-t-elle à sa servante. Imagine simplement que tu lèches le sperme de ton mari du trou d’une autre femme… Oh OUIII… c’est d’ailleurs ce que tu referas bientôt… UMMMM ouais…! »

Tout en bouffant sa patronne, Terri tringlait sa chatte avec l’esquimau jusqu’à ce qu’il soit complètement fondu. Elle substitua alors le bâton de l’esquimau par ses propres doigts.

Étonnamment, elles sortirent du restaurant sans que Danielle prostitue Terri à un des membres du personnel. Et le reste de la journée se passa sans autre incident. Alors qu’elle conduisait jusqu’à son domicile, Terri espérait que Danielle avait oublié l’épisode du godemiché absent, ou que l’humiliation au déjeuner était considérée comme une punition suffisante.

Elle se trompait. Plus tard au cours de la nuit, Danielle se présenta chez elle avec Carrie. Les deux femmes offrirent au mari endormi de Terri une double pipe, avec un retournement obscène : Danielle fit retirer à Terri son alliance pour qu’elle le donne à Carrie. Celle-ci la porta pendant qu’elle suçait le mari de la femme mise au supplice. En même temps, Danielle léchait les bourses du mari, plusieurs fois leurs deux langues se touchèrent brièvement. Puis Carrie donna l’alliance à Danielle, qui la glissa à son auriculaire avant de descendre sa chatte bouillante sur le mât dressé de Steven. Bien sûr, on avait dit à Terri sakarya escort de rester au seuil de la chambre et de regarder. Elle pleura quand celle qui était autrefois sa rivale, maintenant sa patronne et pour toute sorte de raison sa propriétaire, porta, SA bague de mariage pendant qu’elle baisait SON mari. Quand Steven jouit, Danielle retrouva son habitude de mener la jeune femme en bas et de se faire lécher le foutre hors sa chatte.

Comme Terri accomplissait sa tâche avec application, Carrie regardait. La jeune fille était clairement curieuse.

« Tu veux te joindre à nous? l’incita Danielle. Je suis qu’on te trouvera une place.

— Non, je crois pas, » répliqua Carrie, bien qu’elle ne quitta pas des yeux le spectacle de la belle

secrétaire la langue fourrée dans la fente de sa patronne.

« Eh bien, si jamais tu changes d’avis, Terri sera ravie de te faire tout ce que tu pourrais imaginer. Pas vrai Terri?

— Oui Madame… marmonna la secrétaire.

— Brave fille. » Danielle se leva et s’habilla. « Maintenant, doigte-toi jusqu’à ce que l’on soit parties. » Les deux femmes se préparaient à rentrer. Terri complètement humiliée et vaincue pleurait tout en glissant ses doigts dans sa chatte pour la millionième fois. Danielle ajouta en souriant : « Et n’essaye pas de nous suivre. » Les deux femmes allaient quitter le foyer conjugal qu’elles contribuaient à détruire, quand Danielle expliqua à son amie, « J’avais toujours voulu dire ça… » Tout le monde trouva ça drôle, sauf Terri.

Ce ne fut que lorsque la voiture disparut dans la nuit que Terri arrêta de se farcir de ses doigts. Et, alors que Danielle était à l’autre bout de la ville, ramenant Carrie chez elle, Terri réalisa que sa patronne avait conservé son alliance.

La jeune femme bafouée se roula en boule dans son lit et pleura jusqu’à s’endormir.

——————————

Le jour suivant, Terri savait qu’elle allait devoir demander qu’on lui rende son alliance. Elle espérait qu’elle n’aurait pas à satisfaire des exigences excessivement douloureuses ou humiliantes pour la récupérer… bien que, si cela s’avérait nécessaire, elle le ferait sans hésiter.

Toute la journée, elle essaya d’avoir un moment seul avec Danielle pour lui parler de son alliance. Mais elle n’eut littéralement aucune occasion de lui en toucher en mot. Dès l’instant où Danielle entra dans le bureau, Terri fut constamment accaparée. D’abord, il y avait évidemment le lapement quotidien de chatte à s’occuper (le gode fermement enfoncé dans son cul cette fois — la jeune femme avait appris sa leçon.) Puis Terri fut envoyée à travers toute la ville pour effectuer diverses commissions.

Quand elle revint, Danielle était partie pour un long déjeuner ; Jeannie et Angela par contre malmenèrent la secrétaire à tour de rôle. L’envoyant faire la navette entre le bureau du 33e étage et le service courrier du sous-sol, l’obligeant à accomplir des obscénités avec des fournitures de bureau, et d’autres petites choses de ce calibre. Heureusement, Danielle fut de retour avant que les deux femmes ne l’obligent à s’agrafer ses petites lèvres ensemble.

Soulagée, Terri suivit Danielle dans son bureau

« Assis-toi, lui dit Danielle excitée. J’ai quelque chose à te montrer! »

Ça ne sentait pas bon. Danielle sortit des photos 8×10 de mannequins. Il y avait deux images pour chaque modèle, dans des poses identiques. Sauf que, sur les photos

, chaque modèle avait une plus grosse poitrine.

« Qu’est-ce que tu en penses? Danielle semblait toujours excitée.

— Leurs nichons sont plus gros dans les photos

… » Proposa Terri

Sa patronne se mit à rire d’elle. « Crétine! Tu es VRAIMENT blonde! C’est parce qu’elles ont des implants sur ces photos! Je déjeunais avec le chirurgien qui a fait ces opérations. C’est du bon travail, tu ne trouves pas?

— Sans doute… mais…

— Alors….Tu en penses quoi? redemanda Danielle. »

Terri n’était pas bien sûre de ce que sa patronne voulait entendre, mais elle se sentait testée. « J’aime… um… je veux dire… vous avez l’air… bien… comme vous êtes…

— Tu es vraiment conne à ce point, Terri, ou tu me fais marcher? s’amusa Danielle. Ce n’est pour moi, idiote… C’est pour TOI.

— Mais… je n’ai pas besoin de…

— Si, tu en as besoin. J’ai fait un sondage improvisé dans le bureau, et 100 % des hommes à qui j’ai posé la question m’ont dit qu’ils aimeraient te voir avec de plus gros nibards. Alors… dit, au revoir au bonnet D…. et bonjour au bonnet F!

— Danielle… s’il vous plaît… j’aurais l’air d’une salope…

— Ma chérie, tout le monde au bureau est d’accord pour dire que tu es la plus grosse salope qu’ils connaissent. Et donc, jubila-t-elle, tu seras une salope encore PLUS GROSSE! Grâce aux merveilles du silicone!!!!

— Pitiée… Non… mon mari…

—… les adoreras, finit Danielle à sa place. Il adorait tes gros nichons quand tu me samsun escort l’as volé, non? Parce qu’il ne t’a sûrement pas choisi pour ta personnalité.

— Je ne peux pas… c’est cher… il y a une opération… et puis de nouveaux habits… bafouilla Terri à court d’excuses.

— De nouveaux vêtements? Je préfère que tu gardes ceux que tu as. Ce sera si amusant de te voir SEINTURÉ par eux! rit-elle. Quant à l’argent… j’ai fait une petite transaction aujourd’hui qui devrait payer une partie des coûts l’opération. Pour le reste, tu devras le gagner toi-même, en faisant des passes… trois fois par semaine.

— Trois fois…? hoqueta Terri horrifiée

— T’as raison. Quatre ce sera mieux. Quatre fois par semaine.

— Tu vas me transformer en pute! s’exclama Terri stupéfaite.

— Mon cœur, t’es déjà une pute. Tous ces hommes que tu as baisés dans ces hôtels? Ils m’ont tous payée.

— Eh bien, je le ferais plus! Plus jamais! Danielle… Madame… Je dois fixer des limites! » Elle n’arrivait pas à croire qu’elle s’était fait tringler pour de l’argent.

Danielle se leva. « Tu veux fixer des limites? Je vois… Alors, avant que tu ne fixes cette limite, laisse-moi te donner une autre raison pour te faire refaire les seins. » Prenant son sac à main, elle en sortit un petit papier jaune. « C’est comme ça que j’ai eu l’argent pour ton opération. » Terri éclata en sanglots en voyant ce qui était écrit sur ce papier.

« C’est étonnant comme de nos jours les prêteurs sur gage cherchent à nous arnaquer. Combien coûtait cet anneau quand Steven te l’a achetée? Ça devait être autour des trois mille dollars. Ils m’en ont donné à peine la moitié! »

« Donc, continua Danielle alors que Terri s’affaissait, tu iras dans des hôtels quatre nuits par semaine, et tu baiseras tous ceux que je t’enverrai. Ils me paieront à l’avance, mais qui sait? Si tu es un VRAI bon coup, peut-être qu’ils te donneront un pourboire. Et si tu économises suffisamment de pourboires, tu seras peut-être même capable de récupérer ton alliance avant que le prêteur ne le revende. Peut-être – assena-t-elle en réfléchissant à ce qu’elle venait de dire — qu’elle finira au doigt d’une femme qui sait rester fidèle à son mari, et pas à une paillasse à foutre comme toi! » La patronne fit une pause, savourant son contrôle sur sa chialeuse de secrétaire. « Alors c’est acceptable? Où tu veux encore fixer une limite?

— Non… murmura Terri. Non… je vais… je vais le faire.

— Super. L’opération est prévue demain. » Comme Terri se mit à sangloter à cause de l’argent qui lui manquait, Danielle ajouta, « Tu m’emprunteras ce que tu ne pourras pas payer. Je suis sûre que tu me rembourseras… avec des intérêts. Alors, que penses-tu d’utiliser ta jolie petite langue pour me remercier… » Terri, vaincue, se mit à genoux, mais Danielle ajouta encore une humiliation supplémentaire. « Tu auras droit à quelques jours pour reprendre des forces après l’opération. Puis, on organisera une crémaillère en l’honneur de tes nouveaux nichons. Tu t’occuperas des invitations et tu distribueras les flyers dans tout le bureau. Je te laisserais même libre de choisir l’hôtel où on fera la fête! »

Deuxième place – 7ème partie : Interludes

Steven—-

Le mari de Terri, Steven faisait des rêves bizarres. Non pas qu’ils soient le moins du monde déplaisants. Dans ses rêves, des femmes étaient avec lui au lit, soit en train de le sucer, soit en train de le baiser. Dans l’ombre, son épouse regardait de la porte de la chambre, en se masturbant. C’était assez flou, mais il savait à la façon dont elle soufflait qu’elle prenait son pied à regarder. Au cours de leur mariage, il l’avait déjà entendu haleter comme ça, quand il mettait sa langue au bon endroit et s’attaquait sans relâche à son berlingot. Parfois Terri donnait des instructions à l’autre femme ou aux autres femmes sur ce qu’elles devaient faire. Et quelques fois, dans ses rêves, après qu’il ait joui que ce soit dans la bouche ou dans la chatte de la femme partageant son lit, Terri descendait avec la femme et baisait avec.

Steven pensait que son imagination lui jouait des tours. Mais il ne se sentait pas coupable pour autant… Sa femme semblait avoir perdu toute trace d’appétit sexuel. L’autre nuit, il y avait une grande fête chez Scott. La femme de Scott, Angela, était allée au vidéoclub pour choisir ce qui lui semblait “approprié” pour une teuf de mec, puis elle les avait laissés seuls pour qu’ils en profitent. L’actrice porno dans le film avait une ressemblance troublante avec Terri, et après la première scène où la jeune actrice blonde se tapait trois types du courrier, Steven se trouva une excuse et rentra vite chez lui. Il était surexcité, il grimpa dans le lit de sa femme, bandant comme un dingue. Mais elle se contenta de le repousser. C’était devenu la norme.

Terri passait aussi de plus en plus de temps hors de la maison. Quand il lui posait des questions à ce sujet, elle se mettait en colère contre lui, l’accusant de ne pas lui faire assez confiance. Il remarqua aussi — mais choisit de ne pas l’interroger dessus — sa nouvelle garde-robe. Des mini-jupes, des camisoles sexy, des robes au dos nues, des soutiens-gorges et des culottes en dentelle, des corsets, des portes-jarretelles, des collants en résille.

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Un week-end idyllique Fin

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Ass

Ils arrivèrent tous les quatre à la brocante et furent cordialement accueillies par Martin qui était avec Karim près d’un camion débâché datant du passage de l’armée US.

– Montez donc dans mon vieux monstre, on va à deux kilomètres à peine, mais vu qu’il fait beau!

Lorsque tous eurent grimpés à l’arrière de l’engin, Martin qui était resté avec ses hôtes à l’arrière, frappa sur la tôle et Karim démarra l’engin qui pétarada.

Le trajet jusqu’à la ferme d’Alphonse prit une dizaine de minutes sur une mauvaise piste aux ornières creusées par de nombreux passages de tracteur.

La ferme apparut au détour d’un bosquet, une bâtisse assez sale avec une écurie attenante et un hangar en face. Karim gara le camion et tous descendirent tandis qu’Alphonse sortait de la ferme pour les accueillir.

– Les autres saucissonnent, vous voulez manger et boire un coup, dit-il jovial?

– Non, non, firent d’une même voix résignée Serge et Vincent.

– Laisse les bouffer, reprit Martin, mais montre-nous plutôt ton écurie.

– Venez donc, venez donc dit Alphonse. Et tandis que Martin prenait les deux femmes par la taille, ils entrèrent dans l’écurie. Dans une stalle immédiatement à droite il y avait un assez joli poney à la robe tachetée.

– C’est Roby, dit fièrement Alphonse, il est doux comme un agneau et monté comme un éléphant, regardez donc. Alphonse entra dans la stalle et fit sortir Robbie qu’il attacha solidement avec son licol à un poteau.

– Penchez–vous pour mieux voir, penchez vous

Martin poussa les deux femmes doucement devant lui et Alphonse prenant la main de Céline qui essaya mais en vain, de la retirer, il la guida vers le pénis de la bête.

– Allez, caresse le, caresse le, encouragea Alphonse, il aime ça le petit fumier et il a l’habitude!

Dans la main de Céline le pénis gonflait, gonflait. Le poney répondait au quart de tour et bientôt, l’énorme pénis de l’animal se balança doucement sous lui

– Je le connais pourtant, mais à chaque fois cela me la coupe, fit Martin! Il est vraiment bien gaulé, je tiens pas l’affiche dit-il en rigolant. Ça fait quoi, 35, 40 cm?

– Et des brouettes répondit Alphonse fièrement. Et puis il est épais le bougre, de quoi remplir vos bouches mes petites tourterelles, ajouta-t-il sous le regard horrifié de Céline qui avait fini par échapper à la pogne d’Alphonse et se cachait derrière Marie Hélène. Celle-ci regardait avec fascination l’engin du quadrupède. Cela n’échappa pas à Martin qui passa sa main sur sa croupe en se léchant les lèvres ;

– Toi, lui dit-il à l’oreille, t’as pas peur des gros calibres, t’aime ça je dirais même…

Marie Hélène s’empara du pénis du poney et se mit à le masser en ne le quittant pas des yeux. La stimulation semblait faire de l’effet à l’animal. Son énorme engin oscillait comme un métronome.

Elle prit Céline par la main et l’attira près de l’animal en lui disant

– N’aie pas peur, il a l’air gentil comme tout. Regarde moi

Marie Hélène ouvrit grand la bouche puis, commença à lécher le sexe de l’animal sous le regard fasciné de Céline. Ce faisant, elle lâcha la main de Céline et déboutonna rapidement les boutons du bas de sa robe. Puis elle reprit sa main et la guida vers sa chatte.

– Regarde, lui dit-elle, je suis trempée

Céline eut un petit cri de surprise mais s’approcha de Marie Hélène et tout en gardant les yeux rivés sur la verge démesurée face aux lèvres pulpeuses de sa copine, lui massa doucement le clitoris.

Derrière elles, Martin, Karim et Alphonse contemplaient le spectacle avec fascination. Un peu en retrait, Serge et Vincent avaient laissé passer devant eux le reste de la bande qui étaient entrés silencieusement dans l’écurie.

Indifférente à leur présence, Marie Hélène branlait et suçait doucement l’animal tout en écartant les cuisses pour faciliter les caresses de Céline.

– Tu as pas envie d’essayer demanda Marie Hélène, c’est doux tu sais.

Céline s’accroupit et sa jupe de cuir remonta, laissant apparaître une culotte Rosy à fleurs qui mettait en valeur sa superbe croupe.

Approchant timidement sa bouche, elle se mit à lécher le vit du poney et sa langue vint se superposer un instant à celle de Marie Hélène. Les jeunes femmes échangèrent un sourire complice.

– Je vais me mettre à l’aise dit Marie Hélène, pas toi?

Joignant le geste à la parole, elle déboutonna sa robe qui tomba sur la paille. Il ne lui restait plus qu’un string rouge vif et un soutien gorge assorti mais transparent.

Céline après un instant d’hésitation envoya kütahya escort valser sa jupe de cuir et son cashmere il ne lui restait plus que ses bottes et son petit ensemble Rosy :le spectacle laissait les hommes bouches ouvertes, mais les uns après les autres avaient ouverts leurs braguettes et commençaient à s’astiquer.

– T’as pas envie d’essayer? demanda doucement Marie Hélène à Céline tout en lui palpant les seins

– T’ es folle, c’est trop gros, répondit-celle-ci le regard brillant.

– Essaye, te dis-je, je tiendrais Roby,

– Bon, mais juste un peu, mais comment faire, il va me faire mal!

Martin avait approché une sorte de table brancard assez basse sur laquelle était posée un manteau de très gros cuir muni d’un capuchon.

-Faut mettre ça et y aura pas de problème. Tu laisses juste ton cul à l’air.

Céline retira sa jolie culotte, enfila le vêtement et se coucha sur le brancard que Martin fit doucement rouler juste devant le poney. Le cul de Céline était devant la tête du poney que Marie Hélène continuait de branler gentiment.

– T’inquiète pas, chuchota-telle je l’enlève si je vois que ca va pas.

Après avoir hésité quelques minutes, Roby tout d’un coup se mit à hennir. Martin et Alphonse l’aidèrent à mettre ses sabots avant sur la table. L’énorme biroute était proche du con de Céline. Marie Hélène s’en saisit et l’amena à l’entrée. Le poney, très excité bavait sur le manteau de cuir.

Céline poussa un grand cri lorsqu’elle sentit le poids de l’animal par dessus le cuir. Quelques secondes plus tard, le sexe entra d’une bonne dizaine de centimètres d’un coup dans son vagin.

– Ah, non, non, non, c’est trop gros, il me déchire, au secours, au secours!

L’animal pistonnait Céline de façon désordonnée et Marie Hélène avait du mal à conserver la bite devant son objectif. Elle regardait avec fascination le vagin distendu par le sexe de Roby qui avait pris son rythme

Céline qui avait moins peur commença de gémir. Elle psalmodiait sans relâche

– Ah, c’est trop bon , c’est trop bon, j’ai jamais ressenti ça, encore, encore, encore, encore!

Dans son coin Vincent regardait le spectacle hallucinant de sa femme sous son manteau de cuir montée par un poney. Le regard fou, il se branlait furieusement.

Au bout d’une minute de ce régime, Céline poussa un cri strident de jouissance si puissant que Marie Hélène eut peur et retira le sexe du poney au moment ou ce dernier déchargeait son sperme comme une lance à incendie sur un brasier. Les trainées de foutre chevalin vinrent éclabousser le cul de Céline et les mains de Marie Hélène. Rapidement, Martin et Alphonse dégagèrent l’animal et Marie Hélène releva Céline un peu groggy. Les deux femmes s’embrassèrent à pleine bouche et se collèrent mamelles contre mamelles. On voyait leurs mains s’activer furieusement dans les chattes l’une de l’autre. Les hommes autour d’elles se branlaient frénétiquement et bientôt des giclées de sperme vinrent se répandre sur leur corps.

Martin, qui n’avait pas encore joui, se massait furieusement le gland puis, presque timidement, il proposa :

– Bon, un petit coup de jet d’eau dans la cour et on va casser une graine et boire un coup ; ces émotions ça creusent.

Les deux filles enlacées suivies de leur cortège de mecs en rut se dirigèrent vers la cour, Marie Hélène se saisit du jet d’eau et arrosa en riant Céline qui poussa de petits cris. À son tour Céline, tout en approchant le tuyau d’une manière obscène du cul de sa copine, entreprit de la laver.

Au milieu de la cour, les deux femmes étaient nimbées de soleil comme les déesses d’un culte dionysiaque. Obscènes et joyeuses, comme jamais Serge et Vincent ne les avaient vues.

Martin avait apporté des serviettes et avec l’aide d’Alphonse les sécha rapidement. Céline ne remit que ses bottes et Marie Hélène ses escarpins

– A vous l’honneur les filles, leur dit Martin avec un geste large vers deux grands fauteuils de part et d’autre d’une grand table sur laquelle étaient posés deux assiettes de charcutailles, du fromage et des pichets de vin rouge. Les hommes s’installèrent bruyamment sur les bancs. Serge et Vincent voulurent s’asseoir à leur tour, mais Martin les interrompit :

– Po, po, po, pas si vite. Zallez me mettre une tenue dit-il en indiquant, suspendus à une patère des tabliers de soubrette droit issus d’un sex shop. Et zallez faire le service. Tandis que les deux hommes penauds se changeaient, Youssef sortit sa tête de la cuisine

– Patron, dit-il à Martin, j’ai des manisa escort merguez et des chipos pour ceux qui veulent.

Marie Hélène avait très faim. Elle se servit et ses gros seins oscillaient au rythme de ses bouchées tout comme ceux de Céline qui, encore excitée par ce qui venait de se passer, avait posé ses bottes sur la table et cuisses écartées, buvait un verre de vin en la regardant avec concupiscence.

De temps en temps l’un des convives se levait et empoignant les mamelles de l’une ou de l’autre et frottait lascivement son sexe contre leur cou ou leur dos avant d’aller se rasseoir

Serge et Vincent à poil sous leurs tabliers de soubrette, servaient les uns et les autres, se prenant parfois de formidables claques sur le cul. À chaque fois que le pauvre Serge partait en cuisine, Youssef en profitait pour lui tirer la queue ou lui pincer les seins d’un air coquin et lui promettait :

– T’y va avoir mon très gros bâton dans le cul, dès que le repas il est fini, je te promets

Au bout d’une demi heure, Martin se leva et l’assistance se mit à scander :

Un discours, un discours!

– Je serais bref, jura Martin, sous les rires, mes amis, un grand bravo pour nos deux invitées, parce que je pense qu’on peut dire qu’elles ont de l’appétit. Je m’y connais en salopes, et celles-là, sont sur le podium. Et leurs petits maris dans la cuisine, ils sont bien gentils! Mais je vous rappelle bande de ruffians qu’on est dans un pays qui a une tradition d’accueil, faudrait pas oublier que tout près d’ici y a des basanés – pardon Karim je dis pas ça pour toi — enfin bref, on sait pas trop si c’est des roms ou des lybiens, qui ont pas souvent l’occasion de flairer de la femme blanche. Alors, je vous le demande, est-ce qu’on devrait pas faire quelque chose?

– Oui, oui, tonitrua l’assistance

Interloquées Marie Hélène et Céline se regardèrent

– Alors les gars, reposez-vous un peu, je vais avec Karim les accompagner à leur campement et après je vous les ramène. Les filles, un dernier effort, c’est pour la France!

Karim et lui les entrainèrent vers un break blanc dans lequel Martin leur indiqua deux impers.

– Mettez ça les filles, faut être décentes en bagnole tout de même, on sait jamais qui on peut rencontrer.

20 minutes plus tard, par un chemin de gravillons bordés de ronces, la voiture s’arrêtait à l’entrée d’un terrain vague comprenant quelques caravanes pourries et un hangar.

Marie Hélène et Céline se regardèrent inquiètes

– Mais qu’est ce que c’est?

– Calmos, fit Martin, tout le monde descend. Je les connais, j’ai fait du business avec eux. Les deux hommes tenant par la taille les deux femmes s’avancèrent jusqu’à l’entrée du hangar ou un petit groupe les regardaient venir avec méfiance

Il y avait là une dizaine de mecs plutôt noirauds courts sur patte et assez gros

L’un d’entre eux apostropha Martin,

– Salut mon ami, j’ai récolté deux trois trucs pour toi, t’y veux voir?

– Un peu que je veux voir, allez montre

– Tu viens avec moi et tes zamis aussi, dit l’homme en allant dans le hangar.

Dans un coin, sur un vieux matelas défoncé, l’homme souleva une couverture de l’armée qui dissimulait deux statues de pierre assez jolies et quelques bibelots en argent.

– Pas mal dit Martin après les avoir examinés, mais j’espère que t’as pas volé ça dans le coin!

– T’y sais bien que j’y fais gaffe et mes hommes aussi. Jamais dans le département

– Bon, fit Martin, t’en veux combien?

– Ben, fit l’homme en matant ouvertement les deux femmes qui tenaient leurs imperméables bien fermés, je veux bien autre chose que tes euros..

– Tu veux dire, dit Martin en faisant un signe à Karim de faire la même chose, que tu préfèrerais ça?

Et d’un geste brusque, il ouvrit l’imperméable de Céline découvrant ses deux beaux globes

Karim lui, avait carrément arraché l’imper à Marie Hélène qui surprise, n’eut même pas le temps de se rendre compte de ce qui se passait.

La bouche entrouverte et yeux mi-clos l’homme les regarda de haut en bas puis il fit un hochement de tête. Tout en gardant ses yeux rivés sur les nibards de Céline, il enleva son pantalon et baissa son slip. Une grosse bite circoncise et déjà tendue en jaillit. Sous le regard apeuré des deux femmes, les autres hommes enlevèrent à leur tour leurs futals et leurs slips laissant à leur tour surgir leurs virilités. Pendant un instant, il ne se passa rien puis les hommes s’avancèrent, écartant Karim et Martin sans mot dire et leurs mains crochetèrent mardin escort les femmes qui furent trainées comme de la bidoche vers deux matelas pouilleux.

Céline fut immédiatement mise en position de levrette et tandis que le chef introduisait sa pine dans le cul en lui tenant méchamment les hanches, un autre qui s’était placé devant elle bourrait le fond de sa gorge en lui tirant les cheveux.

À quelques mètres, deux hommes avaient empoignés Marie Hélène par les seins comme s’ils voulaient en en faire jaillir du lait et un troisième lui attachait les mains à une corde pendant d’une poulie accrochée au plafond. Deux autres s’approchèrent en se marrant et passant prestement des cordelettes autour de ses chevilles, écartèrent ses cuisses au maximum. Lorsqu’elle fut ainsi apprêtée et ligotée l’un d’entre eux, un petit gros édenté, se mit à lui tirer les tétons.

Elle poussa un glapissement. Le petit gros se mit à rire et adressa quelques mots rapides et incompréhensibles à ses compagnons. Il donna quelques baffes supplémentaires mais pas trop méchantes aux mamelles de Marie Hélène les faisant osciller comme deux beaux ballons de foire.

Il s’éloigna ensuite d’un pas pour observer sa proie et baissant d’un geste son pantalon de survêtement délavé sortit un mandrin de bonne taille qu’il commença de masser doucement. Pendant ce temps, deux de ses acolytes, s’était placés l’un devant l’autre derrière. Le premier s’empara de la bouche de Marie Hélène et lui serrant la mâchoire de la main gauche, entreprit d’enfoncer sa langue dans sa gorge. De la main droite, il s’employait à sortir une bite brune et encore mollassonne qu’il frotta contre son ventre. Le deuxième s’activait derrière Marie Hélène. Il avait écarté ses fesses au maximum et poussait sa verge tendue sur l’anus de Marie Hélène qui essayait mais sans succès d’échapper à son tortionnaire. Un instant plus tard, elle se mit à couiner lorsqu’il fut parvenu à introduire une dizaine de centimètres dans son anus. À ce moment là, le premier ,dont la verge avait pris de la consistance, s’introduisit dans sa chatte. La conjonction des deux bites qui la pilonnaient était tellement extraordinaire qu’elle se mit à jouir immédiatement.

Pendant ce temps, le chef avait lâché son jus dans la chatte de Céline en poussant un grognement de satisfaction. À peine se fut-il retiré qu’un gros mastard, chauve et obèse s’approcha de Céline pour l’arracher aux autres. En se marrant doucement il enleva son pantalon et son sweet laissant apparaître sous son énorme bedaine une trompe d’éléphant se terminant par un gros gland d’un rouge presque cramoisi. Il se mit à quatre pattes et fit un signe impératif à Céline en lui montrant son dos. Céline interloquée ne bougea pas mais le chef qui observait le spectacle en essuyant sa bite gluante, attrapa une badine et lui envoya quelques coups appuyés. La pauvre se mit à glapir et s’empressa de s’installer maladroitement sur le dos du monstre lequel en sentant le vagin frotter son dos se mit à hennir comme un cheval et à bouger de haut en bas tandis que Céline manquait de tomber de sa monture ; après avoir parcouru la moitié de la salle en mimant un galop, le monstre s’ébroua et fit tomber sa cavalière. Puis, sans perdre un instant il l’écrasa de son poids en lui remontant les cuisses en équerre et la pénétra avec un grand soupir qui coïncida avec le cri déchirant que poussa Céline lorsque l’énorme chose la pénétra. À chaque fois qu’il retombait sur elle et l’écrasait de son gros ventre, elle avait le souffle coupé. Au bout de quelques minutes, le gros accéléra le mouvement et Céline était au bord de l’étouffement. Tout-à-coup, il poussa un grand beuglement et lâcha une première giclée de foutre qu’elle sentit inonder sa chatte, puis il se leva prestement et triomphalement envoya une deuxième giclée puis une troisième qui inonda le visage les épaules et les seins de Céline qui se mit à jouir comme jamais. Quelques instants plus tard elle était étendue en croix sur la table et se faisait pilonner le cul ; tandis que quelqu’un essayait de lui mettre une pine puante dans la bouche,

Pendant ce temps, Marie Hélène se faisait fesser la croupe et bientôt elle se remit à jouir à son tour.

Allez, dit Martin satisfait de voir que ses clients avaient l’air contents, on s’en va les filles, mais on reviendra quand vous voudrez!

Dans le camion, les deux femmes se pelotonnèrent silencieusement l’une contre l’autre.

Pouah les filles vous puez la bite, va falloir vous laver en rentrant à l’hôtel et bien vous savonner parce que franchement, ça fait mauvais genre. Lorsque le camion se gara dans la cour les deux maris les attendaient penauds et inquiets.

– Allez faites pas cette tête là, elles ont bien jouies vos salopes. Et vous encore plus je crois.

J’espère que vous avez passé un bon week end, et que vous reviendrez!

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