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Manon en Enfer 29

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Female Ejaculation

MANON PUNIE 2/2

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L’érection est rapidement satisfaisante, la putain lèche et suce un peu le membre avant de s’accroupir au dessus de lui en pliant les jambes et en tenant la queue dans une main elle la positionne à l’entrée de sa grotte.

Elle se baisse faisant pénétrer le pénis dans sa chatte et se retrouve pratiquement assise sur l’homme.

S’aidant des muscles de ses jambes et de ses cuisses elle fait monter et descendre son corps faisant aller et venir la verge dans son ventre en variant la vitesse.

Comme elle lui fait face elle se penche sur lui et veut l’embrasser.

– pas de ça! avec toutes les bites que tu mets dans ta bouche tu dois être contaminée, je n’ai pas envie que tu me refiles des maladies –

Elle n’insiste pas mais pense que ce qu’il vient de dire est débile car quand elle tapine elle utilise toujours des préservatifs et que si il avait eu un raisonnement logique il n’aurait pas accepté d’introduire sa verge dans le vagin sans protection car il peut être lui aussi pollué donc le risque de contamination est plus important que pour le baiser.

Elle continue à faire bouger ses fesses et donc à faire aller et venir la queue dans sa grotte pendant qu’il s’en prend aux seins qu’il malaxe sans douceur et aux tétons qu’il étire et tord faisant tressaillir le corps de Manon qui serre les dents pour ne pas crier ce que pourtant il attend.

Elle s’active en faisant bouger son corps pendant un moment avant de sentir tressauter la verge dans son ventre puis le sperme couler dans son vagin.

L’homme est calmé, la prostituée se retire et pendant que la semence coule sur la serviette elle caresse les bourses et pétrit ou masturbe le pénis qui a bien rétréci.

Ensuite de nouveau à genoux elle alterne masturbations et fellations jusqu’à ce que la verge grossisse, elle la lèche partout puis elle s’en prend au gland qu’elle lèche, suçote ou aspire faisant sursauter l’homme qui finit par la repousser.

– ça suffit! tu assez joué avec ma bite, qu’est ce que tu attends pour te la mettre dans le cul –

– c’est ce que je comptais faire monsieur mais je voulais vous donner un plaisir différent avant –

– on ne va pas y passer la nuit et on n’est pas dans un lit, ce n’est pas confortable ici alors autant faire les choses le plus rapidement possible –

– bien monsieur –

De nouveau Manon s’accroupit sur Marvin mais en lui tournant le dos, s’aidant d’une main elle place la queue contre son anus puis laisse descendre son corps, le membre qui est bien gonflé et raide pénètre et s’enfonce dans son cul.

Faisant travailler les muscles de ses cuisses elle fait monter et descendre ses fesses veillant à ce que la queue ne sorte pas de son fondement pendant qu’elle y fait des aller retour de plus en plus rapides.

La putain ne ménage pas sa peine pendant qu’elle se sodomise sachant que le coït va durer un moment vu que Marvin a déjà éjaculé deux fois et qu’il ne participe pas se contentant de s’agripper à elle et de martyriser sans douceur ses seins et surtout ses mamelons ce qui la fait souvent sursauter, elle serre les dents pour ne pas crier.

Elle s’active pendant un bon moment et ne prête pas attention aux insultes que lui sort l’homme pendant que sa queue ne cesse pas de coulisser et de pénétrer entièrement dans le mersin escort cul de la prostituée. Cela lui procure des sensations très agréables qu’il a envie de faire durer.

Pour Manon c’est la délivrance quand elle ressent les tressauts de la verge dans son fondement et que du sperme s’y répand. Elle continue encore à faire bouger son corps puis c’est l’homme qui la repousse pendant que son membre rétrécit.

– ça suffit! dégages! tu ne vas pas me pomper jusqu’au sang! tu te prends pour une mante religieuse connasse! –

– je ne pensais qu’à votre plaisir monsieur –

Tous les deux sont maintenant debout, Manon plie et range sa serviette tout en attendant la suite avec appréhension.

– on va passer à ta punition, je me réjouis de te voir beaucoup souffrir –

– vous m’avez déjà bien punie en me faisant tapiner nue, le déshonneur que c’était pour moi était pire que de la souffrance –

– ce n’est pas suffisant, tu ne vas t’n tirer à si bon compte. Maintenant place à la souffrance que je veux longue et importante –

– c’est vous qui décidez monsieur –

Debout elle attend sans bouger et cachant son inquiétude se demandant ce qu’il a inventé.

Bien que la nuit soit tombée la lune éclaire suffisamment les lieux, Marvin allume une lampe de camping afin de pouvoir s’occuper facilement de sa souffre-douleur.

Marvin la bâillonne en lui enfonçant sans douceur son string dans la bouche.

Il passe des sangles autour de ses poignets et une fois qu’elle a écarté les bras les attache autour de troncs d’arbres à une certaine hauteur après en avoir augmenté la longueur en ajoutant des cordes.

Ensuite les chevilles de la putain sont elles aussi sanglées, il rajoute là aussi des cordes qu’il passe au dessus de branches, ensuite il doit faire des efforts pour tendre les liens tout en soulevant le corps de Manon qui les membres écartés se retrouve à environ un mètre au dessus du sol.

Elle a compris qu’elle va passer la nuit dans cette position avec la tête penchée en arrière.

Il fait s’ériger les mamelons en les pinçant et les triturant puis y accroche des épingles à linge. La douleur est vive Manon sursaute et son corps tremble, les cris qu’elle pousse sont bien audibles malgré le bâillon.

Marvin ne s’arrête pas là, avec des doigts il tire sur les grandes lèvres du vagin et les écarte puis y pose des épingles à linge ce qui ajoute de la douleur à celle forte qu’elle ressent déjà.

Il verse du liquide dans la grotte de la putain ce qui lui procure un échauffement rapide et important des parties intimes. Il verse également du liquide sur deux de ses doigts et les introduit dans l’anus, il répète les mêmes gestes plusieurs fois, la prostituée a le cul en feu.

Bien que suspendue avec les quatre membre écartelés son corps temble et bouge beaucoup à cause des douleurs ressenties et des échauffements importants dans ses parties intimes.

Pour terminer il prend une serviette de toilette dans la sac de sa victime et lui bande les yeux, ceci pas seulement pour qu’elle soit dans le noir mais surtout pour ne plus voir les larmes abondantes qui coulent sur ses joues.

– maintenant je vais te laisser, passe une bonne nuit et à demain –

Manon reste seule avec les douleurs permanentes à cause des épingles à linge et muğla escort de ses membres écartelés qui supportent le poids de son corps.

Ne pouvant pas poser sa tête sur quelque chose son poids pèse et tire sur son cou qui est rapidement douloureux lui aussi.

Les yeux fermés elle mord dans le tissu de son string qui sert de bâillon essayant d’oublier un peu les douleurs qui l’irradient.

Elle a la chair de poule, elle frissonne car la nuit est fraîche. Ne dormant que très peu et par intermittences la nuit est très longue.

Aveugle mais pas sourde elle perçoit sans être rassurée les bruits de la forêt: les oiseaux qui se déplacent et battent des ailes dans les branches, le bruissement des feuilles, des branches qui craquent et un peu plus loin les voitures qui passent de temps en temps sur la route nationale.

Elle sait quand enfin le matin approche car le bruit des autos qui circulent lui montre qu’elles sont de plus en plus nombreuses.

Mais elle doit encore attendre un bon moment avant d’entendre un bruit de pas qui se rapprochent et des branches craquer.

On lui retire les épingles à linge qui martyrisent les tétons de ses seins et les grandes lèvres de son sexe puis les liens qui maintiennent ses jambes son détendus et elle touche le sol avant que ses poignets ne soient libérés.

Elle retrouve la vue une fois la serviette qui l’aveuglait est retirée, elle cligne des yeux avant de s’habituer à la lumière du jour, elle voit Marvin qui retire de sa bouche le string qui la bâillonnait.

Elle reste assise pendant un moment à cause de son corps ankylosé et douloureux.

– alors la putain tu as passé une bonne nuit –

– horrible monsieur je n’ai pratiquement pas dormi, j’avais trop mal et j’étais gelée –

– c’était le but, cela doit te servir de leçon. A l’avenir fais ton travail de prostituée correctement. Je passe pour quoi moi qui ai poussé mes supérieurs à faire de toi ce que tu es devenue –

– je m’excuse monsieur Marvin si je vous ai déçu, je me doutais que vous étiez pour quelque chose dans ma déchéance mais je n’avais pas de certitude. je vais faire de mon mieux à l’avenir afin que votre réputation ne soit pas ternie auprès de vos supérieurs –

– j’espère. Fais moi une fellation ensuite tu vas déjeuner et te préparer –

– je vais tapiner tôt ce matin monsieur –

– oui! tu n’as rien d’autre à faire et pour me dédommager de mon déplacement tu vas gagner 200 euros de plus, ils seront pour moi –

– bien monsieur, je vais faire ce que vous me demandez et vous satisfaire –

Manon s’agenouille devant celui qui est son maître dans le moment présent. Elle ouvre la braguette puis avec une main fouille dans le caleçon et en extrait la queue qui est déjà grosse et raide.

Elle caresse le pénis et triture les testicules avant d’embrasser puis de lécher partout et consciencieusement le sexe pendant un moment puis elle lèche, suçote et aspire le gland.

Le membre sent le sperme et l’odeur de chatte, Marvin a eu un rapport sexuel avec sa femme avant de venir retrouver la prostituée.

Enervè l’homme la traite de grosse putain et de bouffeuse de bites ce qui la laisse froide venant d’une personne qu’elle déteste.

Le jugeant à point elle prend la verge dans sa bouche, en même temps qu’elle fait aller nevşehir escort et venir ses lèvres elle fait aussi bouger sa langue.

Elle sait qu’il ne va pas jouir rapidement et si au début les va et vient de sa bouche sur le membre sont lents, ils deviennent à vitesse variable puis rapides. Elle s’active patiemment et ses efforts finissent par payer, l’homme se raidit puis sa queue grossit encore avant de trembler dans l’orifice buccal de la prostituée pendant que le sperme gicle dans sa gorge.

Manon avale le liquide et continue un peu à sucer avant de lécher partout le sexe pour le laisser propre. Elle finit par le remettre dans le caleçon de Marvin puis elle remonte le zip avant de se relever.

– vous êtes satisfait monsieur, ce que je vous ai fait vous a plu –

– oui! tu es douée comme putain mais je ne vais pas te féliciter, c’est ton métier –

D’un sac isotherme il sort des croissants et une thermo de café.

– manges tu as besoin de reprendre des forces et pour le repas de midi il y a un sandwich et une bouteille d’eau –

Manon ne se fait pas prier, elle se restaure puis Marvin lui montre un jerrican.

– il y a assez d’eau pour te laver, ensuite tu te coifferas et te maquilleras car tu as l’air d’un épouvantail avec tes cernes et ton teint de papier mâché –

– oui monsieur, malgré la fatigue je dois être présentable pour attirer les clients –

– je t’ai apporté deux bracelets en éponge fluorescents, tu les mettra pour masquer les marques de liens sur tes poignets –

– oui monsieur, pour mes chevilles avec mes bottines les marques des sangles seront cachées –

Toujours nue Manon se lave pendant que Marvin la regarde faire, l’eau est froide mais elle s’efforce à passer le linge qu’elle a mouillé partout sur son corps même si elle frissonne.

L’homme s’empare du récipient et verse l’eau sur le corps de la putain sans se soucier si elle est frigorifiée.

Essuyée elle remet les vêtements qu’elle portait la veille avant de se coiffer et de se maquiller abondamment avec les produits qu’elle promène toujours dans son sac.

– je vais te laisser car j’ai un travail sérieux qui m’attend, sois professionnelle et efficace pendant que tu vas t’amuser et prendre du plaisir –

– je suis toujours sérieuse dans mon travail monsieur –

– je ne crois pas, si c’était le cas tu ne serais jamais punie –

Il s’en va pendant que Manon va poser ses affaires à l’endroit où à l’abri des regards elle fait les pipes ou se fait pénétrer puis elle va se poster au bord de la route.

Les gens qui passent devant elles dans leurs véhicules sont pour la plupart pressés se rendant à leur travail ou ayant des occupations qui ne laissent pas de place au sexe.

Il se passe un bon moment avant que Manon ne fasse une pipe à un routier. Les heures tournent et il est presque midi la prostituée est déçue par le faible nombre de clients qui ont fait appel à elle pour se vider les bourses.

Cela change à partir de midi puis pendant l’après-midi, si les demandes de fellations sont plus nombreuses que les pénétrations de sa chatte, le nombre d’hommes qui arrêtent leur véhicule devant elle et viennent l’aborder est satisfaisant surtout qu’elle doit gagner 200 euros pour Marvin en plus des 600 exigés par ses proxénètes.

Concernant les préservatifs pas de problème elle en a toujours en réserve dans sa voiture.

Bien que peu en forme car fatiguée par la mauvaise nuit qu’elle vient de passer suite à la punition, elle compte tapiner le temps nécessaire afin de gagner au moins le montant exact qu’elle doit remettre le lendemain matin à Marvin.

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Histoire d’un Inceste Ordinaire

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Alice Green

Bonjour, l’histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l’agression sexuelle, l’inceste forcé et le viol. Elle colle à la réalité, bien qu’elle ne soit que fiction elle pourrait être vrai. Donc si vous n’aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n’aimerez vraiment pas. Pour les autres, j’espère qu’elle vous plaira. Bonne lecture.

Juillet 1950, une heure du matin…

L’homme a trente-huit ans, il ouvre la porte de la chambre de Margot, sa fille, il est nu, le sexe déjà bandé parce qu’il sait ce qu’il va lui faire. Il sait qu’elle ne dort pas, qu’elle le voit entrer, le clair de lune découpant sa silhouette dans l’embrasure de la porte.

Il entre et referme la porte, il ne fait pas sombre, la nuit est claire, il regarde la silhouette de sa gosse de vingt ans, allongée dans son lit. Ce soir, c’est elle qu’il a choisit. Il sait que ce qu’il fait est horrible, condamné par toute la société mais justement, c’est ça qu’il aime. En plus ses pulsions l’empêchent de se priver de ce plaisir.

Sa femme dort assommée par l’alcool, il sait qu’il a tout le temps, qu’il peut profiter encore une nuit de sa fille si attirante pour lui, pendant qu’elle est encore là. Les enfants grandissent si vite et s’envolent si rapidement.

Il allume la lampe du plafond qui diffuse une lumière jaunâtre dans la petite chambre.

Il s’assoit sur le lit, il entend la respiration de la salope, elle ne fait même pas semblant de dormir, elle sait que cela ne sert à rien, elle attend, c’est tout.

– Bonjour ma chérie!

Il lui dit cela tout en posant sa main sur le haut de la couette. Il l’abaisse doucement dévoilant le corps de la belle femelle, juste habillée d’une petite culotte de coton grossier. Il la sent frémir, il passe sa main rugueuse sur le corps de son enfant. Passant des seins, de taille moyenne, bien rond jusqu’à la culotte, passant sur le pubis de la pute puis remontant vers le ventre. Elle est brune à la peau légèrement halé. Comme lui. Il est d’origine sicilienne, c’est un paysan, personne ne moufte dans la maison.

Son sexe énorme, dressé entre ses cuisses, palpite tout seul, pendant qu’il caresse la peau douce de sa propre fille. Sans aucun scrupule, il prend à deux mains les cotés de la culotte, il tire vers le bas. La fille ne l’aide pas, mais il peut sans mal la faire glisser jusqu’au chevilles, dévoilant la belle motte parfaitement lisse comme celles d’une gamine. Depuis trois semaines, il l’obligent à se raser le sexe. Mais juste avant, pendant un mois, elle a dut garder sa chatte bien poilus. Il aime bien varier les plaisirs.

Encore une fois son sexe à un spasme de pré-plaisir à découvrir cette magnifique fente, qu’il connaît par cœur, mais qui lui plaît toujours autant, comme au premier jour. Elle est à lui, il en profite sans vergogne. Quand il l’autorisera à partir de chez lui, cette petite salope se fera mettre par tout les mâles du village, si elle veut! se dit-il, mais pour l’instant elle est a moi. Il peut en profiter par tout les orifices, comme il l’a déjà si souvent fait, jouer à des jeux qu’aucune femme consentante n’aurait accepté, mais que sa fille ne peut, ni ne sait refuser. La première fois, elle a bien essayée, mais il l’a tant battue, se servant de sa ceinture, côté boucle, qu’elle n’a plus jamais recommencé.

Il à passé des heures à la doigter, à lui enfoncer dans le vagin ou l’anus tout ce qu’il y a de plus pervers dans une maison, des crayons, des carottes, le manche de sa corde à sauter qu’elle a si souvent utilisée pour jouer quand elle était enfant, le manche du martinet…

Il a même parfois franchis la limite du sexe pour tomber dans le sadisme et lui faire subir des douleurs sexuelles, qui lui, le font jouir avec encore plus de plaisir. mais malgré la lubrification et les cris de la salope, le gros concombre n’a pas voulu entrer facilement ni dans l’anus ni dans le sexe de son jouet. Pourtant après avoir beaucoup forcé, il y est arrivé. Cette nuit là, elle a comprit le vrai sens du mot souffrance.

Ce soir il est venu pour la baiser, ça l’a pris comme ça. À voir sa fille moulée dans sa petite robe ce soir, il a eu envie, il a fait boire sa femme qui ne se fait pas prier, elle dormira au moins jusqu’à demain midi et d’ici là rien ne pourrait la réveiller. Même les hurlements de Margot, le jour de son dépucelage anal n’ont pu tirer la mère de son sommeil profond.

La maison est isolée au milieu des champs et les chiens qui aboient dés qu’un intrus prend le chemin, font immédiatement fuir le moindre passant. Sa fille peut donc pleurer et crier sans que cela ne le gêne le moins du monde. Les chiens aussi l’on goûté, par chacun de ses orifices. Là, il est obligé de l’attacher. Mais la voir comme ça, se faire prendre par un chien, le font atteindre des orgasmes inégalés quand il la viole juste après.

Pour sa fille comme pour toutes les femmes, se faire enculer est vraiment plus douloureux que de se faire baiser. Tout en sachant que ça lui diyarbakır escort fait déjà très mal de prendre la bite de l’homme dans le sexe. Surtout quand le pénis de l’homme est déjà estimé gros par une pute habituée.

La belle Margot n’a pas transigé à la règle, il a été bien plus difficile de s’enfoncer entre ses fesses la première fois que de défoncer sa belle chatte toute vierge. Comme tout bon amateur il a donc commencé à lui défoncer le cul comme un sauvage, avant de prendre sa fentine vierge quelques temps plus tard.

Dire que cela à été facile dans la chatte, n’est pas vrai, car ce n’est pas le cas, il a lutté sans jamais lubrifié, pour que son gland énorme se fasse un chemin en dilatant le sexe étroit de Margot. Prenant un plaisir fou à faire cela, y mettant toute sa violence.

Elle a pleuré et s’est débattu sans se rendre compte que ses mouvements désordonnés pour échapper à cette douleur, ne font qu’accentuer la pénétration du sexe entre ses fesses, ou ensuite entre ses cuisses.

Il a tellement savouré cet instant qu’il a, pour chaque dépucelage, passé plus de deux heures dans la chatte ou le cul de sa fille, la première fois, tout en jouissant 4 fois. Il n’arrivait pas a débander en sentant les contractions de l’anus ou du vagin autour de son sexe.

Après sa première sodomie, Margot n’a pas put s’asseoir pendant plusieurs jours, sans esquisser une grimace de douleur. À la question peu curieuse de la mère, il a répondu qu’il lui a foutu un coup de pied au cul, parce qu’elle a renversée un pot de lait. La mère, elle aussi habituée à la violence du père, se réfugiant pour cela dans l’alcool, n’aurait peut-être même rien dit si elle avait su la vérité. Au moins pendant ce temps, il ne la fourre pas ou ne viole pas son anus, à elle…

Margot à exactement dix-huit ans ans la première fois, il l’a très violemment dépucelée de derrière, le soir même de l’anniversaire des dix-huit ans de sa fille. Il n’a même pas essayé de l’habituer, la caresser puis d’aller toujours plus loin. Non, lui, il a craqué comme ça, ce soir là. Sa femme s’étant écroulée d’alcool, elle ne peut le satisfaire et lui ayant aussi bu, il s’est décidé. Il n’y a jamais pensé avant. C’est l’incident du matin, quand il est entré dans la salle-de-bain que sa fille a oubliée de fermer. Il l’a vue nue sous la douche, immédiatement, il s’est mit à bander. Cela fait deux semaines qu’il en a marre de baiser ou d’enculer son épouse défoncée à l’alcool, et complètement inerte. Toute la journée, il a pensé au corps jeune et ferme de Margot.

Une fois sa femme couchée, il est directement allé dans la chambre de leurs fille, se déshabillant avant d’entrer. Enroulant juste sa ceinture autour de sa main, juste au cas ou… La jeune fille a été apeurée de voir son père nu, mais surtout ce sexe dressé, qu’elle a parfois vu comme ça, mais tout petit et pendant entre ses cuisses, lorsque il pisse parfois dehors.

Son père a l’air bizarre, presque méchant, ses gestes sont brusques. Margot, qui, à dix-huit ans, ne va plus à l’école depuis longtemps, comprend quand même ce qu’il va se passer. Elle tente de se lever, de fuir. Il essaie de la tenir, elle se débat. Alors, il déroule sa ceinture, la frappe avec le bout en métal, par dessus la chemise de nuit de la jeune fille. Elle à mal, il gagne, elle le supplie, lui dit qu’elle va se laisser faire.

Alors, presque sans un mot, il a déshabillé sa fille, lui ordonnant de se taire d’un ton qui n’ouvre aucune discussion. Il l’a mise sur le ventre, puis a glissé un coussin sous son ventre, faisant ressortir ses fesses, et bien qu’elle soit encore jeune, elle a senti que cette position n’est pas naturelle. Lui est content, comme cela il a accès au deux trous de Margot, sa nouvelle pute, sa nouvelle esclave.

Il l’a encore disputé, la menaçant de la battre à nouveau avec la ceinture, quand elle a voulu tourner la tête pour voir ce qu’il fait, quand elle a senti un doigt se promener entre ses fesses pour descendre jusque à son sexe. Elle n’a plus bougé, inquiète sentant que quelque chose n’est pas normale. Au dernier moment, il change ses plans, décidant d’attendre pour dépuceler sa fille vaginalement, se disant que finalement que cela peut être marrant de commencer par le plus dur.

Margot se demande ce qui va bien pouvoir se passer. Finalement c’est arrivé vite, le début de ses souffrances. Son père est monté derrière elle, à genoux sur le lit, puis Margot le sent se pencher sur elle. En même temps une chose se pose entre ses fesses. Elle ne sait pas ce que c’est loin de penser qu’on peux faire ça. Encore moins par là, par cet endroit sale. Mais une douleur soudaine et atroce lui a vrillé le corps quand cette chose a appuyé sur son petit anus totalement vierge et hermétique.

Elle a crié, s’est débattue, ne comprenant pas, mais la chose a appuyé si fort entre ses fesses que son petit cul s’est ouvert dans une douleur terrifiante. La chose s’est enfoncée. Jamais Margot n’aurait cru pouvoir avoir aussi mal, jamais, malgré tout edirne escort ses défauts, elle n’aurait cru que son père puisse lui faire aussi mal. Et pourtant…

Elle hurle la bouche à moitié enfoncée dans l’oreiller, tandis que cette chose horrible, grosse, s’enfonce encore plus dans son corps, lui arrachant des spasmes de douleur, dévastant ses entrailles. Margot à l’impression que l’introduction de cette chose énorme, qui la torture d’une si horrible manière, ne s’arrêtera jamais.

D’un coup, au bout d’une éternité, elle sent le ventre de son père contre ses fesses, ce qui doit être ses couilles, contre son vagin. La chose s’immobilise en elle, puis elle commence à ressortir pour se renfoncer encore plus. Plus fort, plus loin, plus violemment. Pour la première fois elle se fait limer l’anus par un sexe, mais elle ne sait pas encore que ça va devenir une habitude.

Pendant plus de deux heures son père est resté enfoncé en elle. Restant un peu plus calme après qu’elle eut senti un liquide chaud se déverser au fond des ses fesses, elle a senti aussi l’objet être un peu moins gros. Puis quand il est redevenu plus gros, son père à recommencé à bouger entre ses fesses, irritant son anus dilaté et éclaté par cette odieuse pénétration. Quatre fois le truc en elle à diminué de volumes Après avoir envoyé un liquide brûlant dans son corps, quatre fois il a regrossi. Quatre fois son père à recommencé à la détruire avec cet objet.

Lorsque enfin il est ressorti de son anus, il l’a fait accroupir sur le seau pour qu’elle se vide de son sperme. Après lui avoir essuyé les fesses, il lui a dit de se recoucher, non sans l’avoir menacé des pires punitions si elle parle. Que l’épisode de la ceinture, ne serait alors qu’un doux souvenir. Pourtant l’homme sait que les deux sœurs de Margot ont sûrement entendus leurs sœur hurlée, mais il s’en moque. Demain, il leurs parlera, il faut que personne ne soit au courant.

Toute la journée du lendemain Margot a aidé à la ferme, mais son anus lui fait très mal, il saigne encore un peu. Son père n’a fait aucune allusion à ce qui s’est passé la veille au soir. La journée a paru normale. Mais dés le soir, sans aucune pitié, il est revenu, il l’a à nouveau sodomisée, plusieurs fois malgré ses supplications et la douleur qu’elle lui a dit subir.

– C’est normal faut que ton cul s’habitue, après, ça ira tout seul. Tu verras, peut être même que tu aimeras ça.

Il lui a dit cela tout en s’enfonçant entre les fesses de sa fille, pour la troisième fois de la nuit.

Le pleurs ont confirmés qu’elle ne peut pas aimer cette douleur entre ses petites fesses. Mais il s’en moque, seul son plaisir compte. Le viol de sa fille n’est qu’un détail pour lui. Puis, plus elle pleure, plus elle gueule dans l’oreiller, plus il aime ça.

Le lendemain, tôt, il arrive dans le poulailler pendant que Margot ramasse des œufs. Il les lui fait mettre dans le panier, puis sans honte, baisse son pantalon, sortant un sexe déjà dressé. Margot le regarde, ne comprenant pas, on est pas la nuit. Il appui sur les épaules du jolie canon. Il la fait se mettre à genoux, approchant aussitôt le gros sexe de la bouche de la jeune majeure. À cette époque, à la campagne, on ne connaît pas grand chose du sexe normal. Alors la sodomie ou la fellation…

Elle n’a d’autres choix que d’ouvrir en grand pour sentir le gros gland dilater sa jolie bouche. Aussitôt, elle a un haut de cœur, elle a envie de vomir.

– Allez suces, ça, ça ne fait pas mal, au moins dépêches toi j’ai pas envie que ta mère nous voient, même si elle cuve sûrement encore pour quelques heures… Par contre tes deux sœurs ne vont pas tarder à se réveiller!

Il prend sa jolie tête dans les mains, il joue avec la bouche de Margot comme d’un orifice.

Même si il n’y a pas de douleur, Margot se sent humiliée, souillée, de sentir cette chose dans sa bouche. L’étroitesse de la bouche fait que le gland repose sur sa langue, ses lèvres délicieusement serrées autour. Bientôt le père grogne, elle sent alors un liquide chaud jaillir sur sa langue, sûrement le même qui jaillit dans son corps, la nuit. Alors elle veut se reculer.

– Oh non putain! dit il aussitôt en tenant sa tête. Tu avales ou je te fous une volée, et n’en met surtout pas sur ta robe.

Il continue à se déverser dans la bouche de la belle Margot, ne la relâchant que quand il est certain qu’elle ai finit d’avaler toute sa semence.

– Tu vois c’est pas si dur et ça ne fait pas mal!

Il lui dit ça, tout en remontant son pantalon, il repart laissant sa fille humiliée, le goût salé et amer du sperme dans la bouche.

Il devient alors le pire pervers qu’il soit. Celui qu’il refoule depuis si longtemps, se faisant sucer par sa fille, dés qu’ils sont seuls, lui doigtant l’anus avec plusieurs doigts, à tout moment. Une fois il reste même plus d’une heure sur la charrue, en train de retourner une parcelle cachée au fond de sa propriété, Margot empalée sur son sexe. De loin n’importe qui peut croire que sa fille, bien que grande edirne escort bayan pour cela, s’amuse à conduire le cheval avec son père, alors qu’elle subit une sodomie douloureuse augmentée par les trépidations de l’engin agricole et du cheval.

Il à attendu le temps qu’il faut, puis profitant que sa femme est partie à la maternité pour accoucher de leurs quatrième enfant, un garçon cette fois, il décide que la belle Margot est assez dressée pour se faire dépuceler la chatte. Il a bien usé et abusé du cul et de la bouche de sa fille. Maintenant il désire passer à sa moule étroite.

Très souvent il a hésité à enfoncer un doigt dans son sexe imberbe, l’ayant obligée à se raser. Mais, à chaque fois, il a préféré la garder vierge. Ce soir ça va être le grand jour. Des voisins lui ont proposé d’héberger Margot, ainsi que Rose et Elizabeth, ses deux autres filles de quinze et dix-sept ans, pendant que sa femme est a l’hôpital. Il accepte avec grand plaisir pour les deux plus jeune, au moins, il sera tranquille avec Margot. Pour sa fille devenue sa maîtresse forcée, il répond qu’il a besoin d’elle à la maison, pour aider à la ferme, ce qui n’étonne personne à cette époque.

Toute la journée il a forcé Margot à rester toute nue dans la maison. Admirant ses gros seins fermes, son cul parfait. Il s’est retenu de l’enculer pour se réserver pour la soirée. Par contre il ne s’est pas privé pour la doigter, puis il lui a enfoncer une grosse courgette entre les fesses, qu’elle a dut garder plusieurs heures, tout en vacant à ses occupations, tel que le repas du soir.

Lorsque le repas du soir est terminé, il lui dit que ce soir elle dort avec lui. Il faut qu’elle remplace sa mère absente, Margot à envie de lui hurler que cela fait trois semaines qu’elle remplace sa mère, mais terrorisée par son père, elle ne dit rien, baissant simplement la tête. Margot maintenant habituée s’est donc résignée à se faire enculer une fois de plus, sans savoir que cette soirée sera vraiment différente.

Quand il fait se mettre Margot sur le bord du lit, les genoux a terre et le buste sur le drap elle attend qu’il se mette derrière elle comme d’habitude. Margot s’attend à être sodomisée violemment, méchamment, comme il le fait toujours. Jusque à ce qu’elle pleure et couine de douleur.

Il commence a promener son sexe sur l’anus de sa fille, se positionnant bien, la coinçant contre le lit, afin qu’elle ne puisse pas échapper à la pénétration. Puis d’un coup il descend son sexe de quelques centimètres, ne laissant pas le temps à Margot de réagir.

Même si Margot est encore vierge de là, la position à genoux, cuisses écartées laisse voir l’hymen un peu après l’entrée vaginale. Le gland se pose juste à l’entrée, tenant fermement sa fille aux hanches, le père donne un coup de reins terrible. Enfonçant une dizaine de cm de sa bite dans le sexe de la belle Margot, dilatant le vagin, lui déchirant la chatte et arrachant le pucelage de sa fille dans un même élan.

Le hurlement de Margot est terrible. Elle se débat, rue même, mais le père ayant posé la main sur le dos de sa fille, la maintient clouée sur le lit. Il savoure le sexe étroit qui lui comprime la bite. Il est aux anges, il est le premier à entrer en elle par cet orifice, comme pour les autres d’ailleurs. Il vient de la faire totalement femme. Ne laissant pas ce privilège au jeune puceau qu’elle épousera. Si il la laisse épouser quelqu’un.

Margot pleure et crie à chaque mouvement du sexe de son père, ses jolies cuisses tremblent, son corps tressaute. Il se moque de tout cela, ce n’est qu’un jouet destiné à son plaisir qu’il viole. Ce que Margot ressent, il s’en moque complètement. Au contraire, plus elle a mal, plus elle crie, plus il est heureux. Il continuait doucement, pour apprécier chaque sensation, à s’enfoncer, sans se soucier de sa douleur.

Hélas pour elle, sa fille n’est pas très profonde, très vite il touche le fond du vagin de la violée lui arrachant un nouveau cri de douleur. C’était un gars de la terre il sait quand il faut être raisonnable, forcer plus loin aurait pu blesser sa fille et lui il veut juste en jouir, pas casser son jouet. Quand les deux autres auront l’âge, qu’elle pourront remplacer Margot dans son lit, alors il se lâchera sur elle. Mais en attendant, si il veut encore en jouir, il doit la garder à peu près intact. Ne lui faire subir que le maximum de ce qu’elle peut endurer.

Il commence donc à limer durement, mais sans trop de violence, Margot, appréciant le conduit, tant son sexe est serré. Contrairement à l’anus où seule l’anneau annal serre le sexe, le vagin de sa fille serre son sexe tout le long et il adore vraiment cette sensation. En plus Margot pleure et cri de douleur, à chaque mouvement de son sexe. Ce qui lui fait encore plus apprécier le viol.

Il sent le plaisir venir, alors il se laisse tomber sur Margot, tout en donnant des coups de reins de plus en plus puissant, de plus en plus rapide. Puis d’un coup, il se fige, jouissant dans le vagin de Margot, pour la première fois. Son sexe ramolli ressort du sexe de l’enfant. Il s’agenouille derrière-elle, comme il l’aurait fait avec une génisse. Alors il examine le vagin avec un doigt, faisant ressortir du sperme mêlé au sang du pucelage. La vue de ce sexe dilaté le fait rebander instantanément. Il retourne la gosse sur le dos et la met sur le lit.

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Maca-Garden: Frivole Sauna Ch. 09

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Abella Danger

Während Kim das Navigationssystem spielte, erklärte sie mir, dass sie ungefähr 20 Minuten Autofahrt vom Maca-Garden entfernt, wohnen würde. Normalerweise käme sie mit ihrem eigenen Wagen, aber heute sei sie auf dem Hinweg bei ihrer Schwester mitgefahren, um ihr noch bei einigen planerischen Angelegenheiten hinsichtlich anstehender Special-Events unter die Arme zu greifen, die sie schon auf der Fahrt anfangen wollten zu besprechen. Für den Rückweg wollte sie sich ursprünglich dann auch von ihr wieder mitnehmen lassen, da sie gar nicht geplant hatte, so lange zu bleiben. Sie grinste mich verstohlen von der Seite an und sagte:

„Aber dann hast du kleines Luder mein Vorhaben durchkreuzt.” Dabei legte sie ganz beiläufig ihre Hand auf mein Knie und wanderte dann langsam immer weiter mein nacktes Bein in Richtung meines Oberschenkels nach oben. Da es eine warme Nacht war, trug ich nur ein luftiges geblümtes Sommerkleid und hatte mir obenrum lediglich eine dünne Strickjacke übergezogen. Unter ihrer sanften Berührung fuhr ich augenblicklich leicht zusammen und bekam eine Gänsehaut.

Jedoch nicht vor Aufregung oder Kälte, sondern vor erneut entfachter, ungebremster Lust. Automatisch krallte ich mich etwas fester mit meinen Händen am Lenkrad fest, als würde es mir dabei helfen, das kribbelnde Gefühl in meinem Unterleib zu kompensieren. Ich atmete leicht stöhnend aus, was Kim direkt aufhorchen ließ und scheinbar dazu führte, dass sie noch einen Schritt weiter gehen wollte. Ihre leicht kühle Hand wanderte noch weiter nach oben, schob sich wie selbstverständlich unter den Rock meines Kleides und kam dann auf meiner schon wieder beachtlich feuchten Muschi zum Liegen.

Sie hatte noch nichts weiter gemacht. Nur ihre Hand dort abgelegt. Und dennoch fiel es mir ziemlich schwer, mich zu beherrschen und vernünftig auf den Verkehr zu konzentrieren, der in Anbetracht der Uhrzeit, zu meiner Erleichterung ausgesprochen spärlich ausfiel. Wir fuhren in einem gemütlichen Tempo einen sehr idyllischen Weg über verschiedenste kleine Ortschaften, die sich verbunden durch verlassene Landstraßen aneinanderreihten und im Lichte der Morgendämmerung wirklich schön aussahen.

Doch seitdem sich Kims Hand zwischen meinen Beinen befand, nahm ich von der Kulisse kaum noch etwas wahr. Ihre Hand einfach nur auf meiner nassen Pussy ruhen zu lassen, genügte ihr allerdings nach kurzer Zeit nicht mehr und so schob sie langsam jeden einzelnen ihrer Finger behutsam unter meinen triefenden weißen G-String, der mit Sicherheit in der Zwischenzeit eher eine durchsichtige Farbe angenommen hatte, ehe sie mit ihrem Mittelfinger in mein heißes Loch eintauchte. Sie musste gar nicht viel machen, denn die Straßen der Dörfchen waren ziemlich in die Jahre gekommen, wodurch wir regelmäßig über kleine Hubbel und Schlaglöcher fuhren, wobei ihr Finger automatisch immer wieder ruckartig tiefer in meine Möse gestoßen wurde und mir Zuckungen der Lust in meinem Unterleib bescherten.

Irgendwann war ich so angereizt von diesem Gefühl, dass ich schon, wenn ich in einigen Metern Entfernung Unebenheiten kommen sah, fast vor Vorfreude kam, weil ich ganz genau wusste, was mich jeden Moment erwarten würde. Ich keuchte inzwischen in regelmäßigen Schüben laut auf, was meine Beifahrerin zum Anlass nahm, ihr Fingerspiel noch zu erweitern, indem sie mir auch noch ihren Zeigefinger in meine Lustgrotte schob und nun nicht mehr darauf wartete, bis Schlaglöcher auftauchten, sondern in einem schnellen Tempo meine schmatzende Pussy hart fickte. Selbst wenn ich versucht hätte, mir nicht anmerken zu lassen, wie sehr mich ihr Treiben aus der Fassung brachte, wäre ich spätestens jetzt nicht mehr dazu in der Lage gewesen.

Ich schaute nur noch geradeaus und behielt die Hände am Lenkrad, weil wir sonst einen Unfall gebaut hätten. Der Rest von mir war vollkommen außer Rand und Band. Mein Becken bebte, doch ich musste genau so verharren, wie ich saß, da ich ja schlecht meine Füße von den Pedalen hätte nehmen können. Kim schaffte es also, mich in eine ganzkörperliche bewegungsunfähige Situation zu bringen, ohne mir auch nur eine einzige Fessel anzulegen, wie vor nicht allzu langer Zeit im BDSM-Raum des Maca-Garden.

Diese Erkenntnis heizte meine Erregung nur noch mehr an, sodass ich bald stöhnend und wimmernd neben ihr saß, während der Sitz unter mir immer nasser wurde. Diese Frau wusste genau, was sie da tat und ich war mir, auch ohne sie genauer anzusehen, sehr sicher, dass sie es unfassbar genoss, derartig mit meiner Lust und Selbstbeherrschung zu spielen. Sie liebte es einfach, das Zepter in der Hand zu halten. Ich war ihr mal wieder vollkommen ausgeliefert. Und ich liebte dieses Gefühl.

Nach gut 15 Minuten dieser himmlischen Fahrt, setzte sie zu einem spektakulären Finale an und ich war heilfroh, dass wir in diesem Moment über enge, geschlängelte Straßen, die an einem Wald entlangführten, fuhren, auf denen man ohnehin aufgrund der Straßenverhältnisse auf ca. 30 km/h herunterbremsen musste. Sie zog plötzlich ihre Finger aus meiner auslaufenden Spalte und spreizte mit ihnen meine glitschigen Schamlippen çorum escort weit auseinander. Dann schob sie mir den Rock meines Kleides noch ein Stück weiter hoch, klemmte diesen mit dem Bauchteil des Anschnallgurtes fest und platzierte ihre vollen Lippen unvermittelt direkt auf meiner Klitoris, wo sie begann, meine Perle zu küssen, mit ihrem Mund einzusaugen und diese auch schließlich wild mit ihrer Zunge zu bearbeiten. Das gab mir endgültig den Rest.

Ich machte eine halbe Gefahrenbremsung, blieb mitten auf der verlassenen Straße stehen und schaffte es gerade noch so, in den Leerlauf zu gehen und die Handbremse fest anzuziehen, bis ich schlussendlich von einem gigantischen Orgasmus überrollt wurde, meine Hände sich wie von selbst in Kims Haare gruben, ihren Kopf noch fester in meinen zuckenden Schoß drückten und ich froh sein konnte, dass die Fenster meines Wagens oben waren, da ich die ganze angestaute Lust dadurch herausließ, dass ich den Innenraum des Jeeps hemmungslos zusammenschrie. Als ich immer noch leicht außer Atem wieder etwas zu mir kam, schaute ich in Kims breit grinsendes Gesicht und sagte:

„Du bist echt mit allen Wassern gewaschen! Es hätte nicht mehr viel gefehlt und du hättest dafür gesorgt, dass wir im nächstbesten Graben landen!” Sie setzte einen engelsgleichen Blick auf, strich mir über die Wange und erwiderte: „Ich habe dich doch nicht davon abgehalten, schon früher den Wagen zu stoppen. Das hast du nun mal nicht getan. Also musste ich eben auf dein Fahrvermögen vertrauen und einen Zahn zulegen. So lang ist die Fahrt schließlich nicht und ich hätte es als Anhalterin ausgesprochen unhöflich gefunden, mich für die Mitfahrgelegenheit nicht erkenntlich zu zeigen!”

Mir fehlten bei dieser Schlagfertigkeit mal wieder die Worte, sodass ich nur lachend den Kopf schütteln konnte und ein liebevolles „Du bist echt unglaublich!” von mir geben konnte, ehe ich wieder die Handbremse löste und anfuhr. Wir bogen schon bald in eine schmale Straße ein, die durch eine endlos lange Baumallee steil bergauf führte. Links und rechts standen in größeren Abständen prunkvolle Häuser, die eher an alte Stadtvillen erinnerten. Jedes davon hatte jedoch seine ganz eigene Bauweise.

Lediglich die großen Grasflächen, die eher an kleine Parkanlagen, als an Vorgärten erinnerten, bildeten eine Gemeinsamkeit der Häuser ab. Es sah unglaublich aus und man fühlte sich fast wie in eine andere Zeit versetzt. Automatisch versuchte ich mir vorzustellen, was hier wohl für Leute lebten, welche Berufe sie ausübten, wie reich sie wahrscheinlich waren und wie sie wohl zu ihrem Reichtum gekommen sind. Da wir unserem Ziel immer näherkamen und die Häuser, je weiter wir den Hügel hinauffuhren, sogar eher noch größer und eindrucksvoller wurden, wurde ich etwas nervös und fragte mich, ob Kim tatsächlich auch in solch einem atemberaubenden Haus leben würde.

Wieder wurde mir bewusst, wie wenig ich über ihr Leben, was sie machte und wo sie herkam, sagen konnte. Als wir am Ende der Allee ankamen, war gleichzeitig auch die Möglichkeit des Weiterfahrens beendet. Die Straße mündete in einer Sackgasse, da der Weg dort von einem großen, eingezäunten Gelände mit einem noch weiter in der Ferne liegenden Haus abgeschnitten wurde. Ich verlangsamte und schaute Kim ungläubig an. Sie zeigte sich entspannt und relativ unbeeindruckt, so als wäre die edle, prachtvolle Umgebung, in der wir uns befanden, das normalste der Welt.

Ich hingegen fühlte mich fast ein wenig eingeschüchtert. Natürlich konnte ich mich mit meinem schön eingerichteten Häuschen mit Garten alles andere als beschweren und hatte immer das Gefühl gehabt, dass ich es wohnlich gesehen deutlich besser hatte als viele andere Menschen. Doch gegen das, was sich mir hier bot, wirkte mein Heim wie eine kleine, triste Studentenbude in einem der schlechteren Teile der Innenstadt. Wir kamen vor dem groß umzäunten Gelände zum Stehen, als Kim eine kleine Fernbedienung aus ihrer Tasche herauskramte, diese betätigte und sich das große, dunkelgrüne, verschnörkelte Eisentor vor uns öffnete, sodass wir das Grundstück befahren konnten.

Was mich dann erwartete, übertraf alles, was ich mir unter einer regulären Behausung hätte vorstellen können und stellte nach meinem Geschmack die wunderschönen Gebäude, an denen wir bisher vorbeigefahren waren, deutlich in den Schatten. Vor uns befand sich eine weitere Allee aus riesengroßen, alten ineinander verworrenen Eichenbäumen, deren Äste und Teile der Baumkronen so übergreifend zur Seite gewachsen waren, dass sich die Bäume in der Mitte des erdigen Weges, über den wir fuhren, die Hand gaben und eine Art Dach aus Grün über uns bildeten. Im Boden waren alle paar Meter zwischen den Bäumen dezente runde Lampen eingelassen, die mit ihrem warmen Licht dieses regelrechte Kunstwerk der Natur perfekt akzentuierten, sodass man selbst im abendlichen oder morgendlichen Dämmerlicht die Atmosphäre bestaunen konnte.

Links und rechts hinter den Eichen erstreckten sich ausladende, gepflegte Grasflächen, die auch eher an eine Parkanlage, als an einen herkömmlichen denizli escort Garten erinnerten und ebenfalls mit verschiedensten Bäumen übersät waren, die ich aus der Ferne als Obstbäume vermutete. Es musste für Jedermann ein unglaublicher Anblick sein, doch vor Allem die Biologin in mir war vollkommen aus dem Häuschen und hätte am liebsten angehalten, um jeden einzelnen Winkel der Pflanzenwelt genauestens zu erkunden. Ich schaute noch einmal fassungslos zu Kim herüber, die mich freundlich anlächelte, scheinbar erneut meine Gedanken lesen konnte und sagte:

„Es freut mich, dass es dir gefällt. Keine Sorge, sobald wir uns etwas gestärkt und ein wenig Schlaf getankt haben, führe ich dich rum und du kannst dir alle Zeit der Welt nehmen, um dich in Ruhe im Haus und auf dem Gelände umzusehen. Ich lebe hier zwar, sodass man meinen könnte, es wäre für mich selbstverständlich so zu hausen, doch ich bin jeden Tag dankbar für das Alles hier und komme mir manchmal vor, als würde ich eine Filmkulisse betreten.” Ich war nicht im Stande etwas zu sagen und so schwieg ich erstmal, streichelte Kim sanft mit einer Hand über ihr Haar und konnte nur staunend um mich blicken und den Kopf schütteln.

Als wir dann am Ende der Allee ankamen, war es endgültig um mich geschehen. Vor uns lag ein großes in weiß gehaltenes, zweistöckiges Herrenhaus, wie man es klassisch aus amerikanischen Südstaatenfilmen kannte. Sowohl die Einfahrt durch die Eichenallee als auch das edle, mit weißen Steinsäulen umrahmte Gebäude, erinnerten sehr stark an die berühmte Oak-Alley-Plantage in der Nähe von New Orleans im Herzen Louisianas. Wir parkten mein Auto seitlich neben dem Gebäude und stiegen aus.

Vor der Haustür gab es auf einer typischen Veranda Sitzmöglichkeiten in Form von einer eher modern aussehenden Lounge Ecke, aber in der anderen Ecke auch klassischen Schaukelstühlen, die mit gemütlichen, weißen Kissen ausgelegt waren. Trotz der nach wie vor warmen Temperaturen, lagen sogar Decken bereit. Kim schlug vor, dass ich mich doch, wo auch immer ich wollte, niederlassen sollte und sie uns noch einen kleinen Snack und etwas zum Trinken organisieren würde, ehe wir gemeinsam den Weg in das Innere des Hauses einschlagen und uns in Richtung Schlafzimmer begeben könnten. Ich erklärte mich dankbar einverstanden, legte meine Handtasche auf dem Boden ab und ließ mich in einen der Schaukelstühle fallen, von wo aus ich erneut einen perfekten Blick auf die lange Eichenallee und Parkanlage hatte.

Meine Liebhaberin verschwand derweil durch die Eingangstüre. Ich war glücklich darüber, hier noch ein wenig verweilen und diese atemberaubende Kulisse auf mich wirken lassen zu können, ehe ich mich von dem, was mich wahrscheinlich im Inneren des Herrenhauses erwarten würde, erneut überwältigen lassen konnte. Nach etwa zehn Minuten kehrte Kim zurück, brachte in einer Glaskaraffe frischen Eistee und auf einem Tablett Früchte und Sandwiches mit. Sie stellte die Leckereien auf einem zu den Holzstühlen passenden Eichentisch ab und ließ sich neben mir in den zweiten Schaukelstuhl sinken.

Wir genossen die Speisen und Getränke, bis ich endlich meine Sprache wiederfand und meine angestaute Begeisterung nur so aus mir heraussprudelte: „Kim, das ist einfach unglaublich. So etwas Schönes habe ich noch nie live und in Farbe gesehen. Wie kommt es, dass du all das hier dein zu Hause nennen kannst? Ich bin echt überwältigt. Es sieht aus, als würdest du tatsächlich an einem originalgetreu hergerichteten US-Film-Drehort leben, der das Leben eines reichen Plantagenbesitzers im frühen 18en Jahrhundert abbildet!

Da ich mich allein aufgrund meines Berufes natürlich extrem für die Natur und ihre Geschichte interessiere, ist das hier ein absoluter Traum für mich und ich möchte, wenn es dir recht ist, unbedingt mehr darüber erfahren!” Kim war sichtlich gerührt von meiner fast schon kindlichen Freude und begann, trotz der Uhrzeit und Erschöpfung, die uns beiden etwas zu schaffen machte, das Wichtigste über unseren wundervollen Aufenthaltsort und ein wenig über ihre spannende Vergangenheit zu erzählen, während ich mich in die flauschige Decke einwickelte und gebannt zuhörte: „Erst einmal freut es mich wirklich sehr, dass es dir hier bisher so gut gefällt. Ich lebe privat eher ein bisschen zurückgezogener und habe abgesehen von engen Freunden und meiner verbliebenen Familie nur selten Gäste hier.

Doch, obwohl wir uns erst heute bzw. gestern kennengelernt haben, fühle ich mich dir irgendwie verbunden und genieße es, dich an meinem Leben teilhaben lassen zu können. Wo fange ich am besten an, damit es nicht zu ausufernd wird? Also, meine Familie stammt ursprünglich aus Amerika, um genauer zu sein, wie du an dem Stil der Anlage und des Hauses wahrscheinlich erkennen kannst, aus den Südstaaten. Kurz vorweg:

Meine Eltern sind leider beide aufgrund von Krankheit schon relativ früh verstorben, sodass meine Schwester und ich noch während unserer Studienzeit plötzlich ziemlich auf uns allein gestellt waren und es dazu kam, dass wir all das hier geerbt haben. Aber düzce escort erst einmal zurück zum Hintergrund meiner Eltern. Mein Vater stammte aus Louisiana und hatte von meinem Großvater eine der dortigen typischen schönen Plantagen geerbt, die er pflegte, hegte und viele verschiedene Pflanzen, Obst, aber auch ganz klassisch Zuckerrohr dort anbaute und seine Produkte sehr erfolgreich im großen Stil vertrieb. Meine Mutter kam aus dem Bundesstaat Mississippi und war eigentlich Schriftstellerin, konnte aber mit ihren ersten Büchern leider keinen Erfolg landen.

Sie stammte aus einer für die Gegend typischen sehr religiösen Familie, die nicht viel von moderner Literatur hielten und ohnehin nicht begeistert davon waren, dass meine Mutter selbst Karriere machen wollte, anstatt einen frommen Mann mit einem in ihren Augen „anständigen” Beruf zu heiraten und sich auf das Ehefrau- und Mutter Sein zu konzentrieren. Ein ganz klassisches Rollenbild also. Deshalb konnte sie sich nach ihren Misserfolgen und den schwindenden Ersparnissen, die sie sich durch Geben von Nachhilfeunterricht zunächst an Seite gelegt hatte, auch nicht mit der Hilfe ihrer Familie rechnen. So kam es, dass sie einen Job als Werbetexterin annahm und für verschiedenste Unternehmen die Werbetexte und Drehbücher für Werbespots schrieb.

Eines Tages sollte sie für die neu herausgebrachte Orangenlimonade einer Firma, die ihre Früchte von der Plantage meines Vaters bezog und der ebenso von dem Werbedeal profitieren sollte, schriftliche Ideen für die passende Werbung entwickeln, wofür sie ein Wochenende auf der Plantage verbringen sollte, um einen Eindruck von der Atmosphäre, der dortigen Arbeit und natürlich den nachhaltig angebauten Produkten bekommen sollte, um bestmöglich ihre Kreativität ausleben zu können und das nötige Hintergrundwissen zu erlangen. Mein Vater gewährte ihr also freien Zugang über die gesamte Anlage, inklusive dem Haus, gab ihr persönlich Führungen und stellte ihr eines der Gästezimmer zur Verfügung. Kurzerhand verliebten sie sich ineinander und meine Mutter blieb einfach dort, widmete sich wieder mehr der klassischen Schriftstellerei und unterstützte meinen Vater beim Managen der Plantage, wo sie konnte.

Bilderbuchmäßig folgten kurze Zeit später die Hochzeit und die Geburt meiner etwas älteren Schwester Madison (kurz: Maddie) und mir. Als ich etwa 4 war, boomte das Geschäft meiner Eltern so sehr, dass mein Vater sogar immer mehr internationale Geschäftskontakte pflegte und irgendwann regelmäßig nach Deutschland reiste und teilweise wochenlang von zu Hause fernbleiben musste, worunter wir alle sehr litten. Leider wurde mein Vater fast zeitgleich auch ziemlich krank, sodass er die ständigen Reisen, aber auch die Arbeit auf der Plantage nicht mehr händeln konnte. So kam es, dass er von einem seiner langjährigen und größten Geschäftspartner in Deutschland das Angebot bekam, einen stressfreieren Job im höheren Management ausüben zu können, ohne Reisen und körperliche Arbeit tätigen zu müssen.

Seine Erfahrungswerte sollten dem Unternehmen dabei helfen, eigene Produkte und Marken ebenso erfolgreich an den internationalen Markt zu bringen. Dafür sollte die Plantage zusätzlich an das Unternehmen verkauft werden und mein Vater wurde neben seinem neuen Aufgabengebiet noch am Gewinn der Plantage beteiligt. Wir gaben also unser dortiges Leben, trotz der noch besseren und stabileren finanziellen Aussichten, nur schweren Herzens auf und zogen nach Deutschland. Für meine Mutter war das ein ebenso schwierig wegzusteckender Schritt.

Um es ihr leichter zu machen, hat mein Vater keine Kosten und Mühen gescheut, um uns ein möglichst realitätsgetreues Südstaaten-zu Hause zu schaffen, damit wir ein großes Stück Heimat mit nach Deutschland bringen konnten. Es funktionierte ausgesprochen gut. Meine Mutter veröffentlichte auch hier erfolgreich Bücher, Maddie und ich lebten uns gut ein und zunächst schien es meinem Vater gesundheitlich auch tatsächlich wieder besser zu gehen. Doch wie das Schicksal manchmal so spielt, erkrankte nach ein paar Jahren meine Mutter schwer und verstarb nach relativ kurzer Zeit.

Das schien auch meinem Vater wieder einen erheblichen gesundheitlichen Rückschlag gegeben zu haben, sodass er 2 Jahre später ebenfalls seiner Krankheit erlag und meine Schwester und ich von da an auf uns allein gestellt waren. Wir mussten uns keine finanziellen Sorgen machen und stützten uns Gegenseitig sehr, doch es hat natürlich trotzdem ein großes Loch in unsere Herzen gerissen und wir sind durch einige Höhen und Tiefen zusammen gegangen. Irgendwann lernte meine Schwester ihren jetzigen Mann kennen, zog aus und baute ihr eigenes schönes Häuschen mit ihm. So blieb ich also übrig und deine Frage, wie ich zu solch einem Heim komme, dürfte im Großen und Ganzen beantwortet sein.

Neben meinem Job setze ich also sehr viel daran, das Haus und das Gelände im Sinne meiner Eltern so gut es geht in Stand zu halten und ihnen somit irgendwo auch die letzte Ehre zu erweisen. Aber natürlich hänge ich persönlich ebenfalls einfach sehr daran und ich bin dankbar für jede Minute, die ich hier verbringen darf. Es ist mein absoluter Rückzugsort, wo ich einfach sein kann wie ich bin und mich fallen lassen kann. Meine Dankbarkeit für das, was mein Vater uns hier errichtet hat, habe ich übrigens auch im wahrsten Sinne des Wortes zu meiner Berufung gemacht.

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Wahrheit oder Pflicht 06: Albtraum

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Anal

Die Geschichte ist reine Fiction. Alle darin enthaltenen Personen, Orte oder Handlungen sind frei erfunden. Sie beschreibt eine lesbische Beziehung zweier Frauen, die in den Bereichen Fetisch und BDSM angesiedelt ist.

Wahrheit oder Pflicht

Teil 6: Albtraum

Die Heimfahrt verlief stillschweigend. Beide Frauen waren in ihren Gedanken vertieft.

Saki saß verschwitzt auf dem Beifahrersitz und sah durch das geöffnete Fenster die Lichter der Stadt an ihr vorbei rasen. Sie genoss den kühlenden Fahrtwind, der sie aber auch daran erinnerte, wie feucht sie immer noch zwischen ihren Schenkeln war.

Sie versuchte das Geschehene zu verarbeiten. Zuerst dieser Kuss, der so anders war, als alle, die sie jemals zuvor ausgetauscht hatten.

Dann die euphorische Freude, über die tollen Sachen, die ihr Cat schenken würde. Und danach diese unbeschreiblichen Situationen, in die ihre Freundin sie gebracht hatte. Situationen, in die sich Saki niemals selbst gebracht hätte.

Diese bizarren Kleidungsstücke. Die Demütigung sich vor dieser rothaarigen Schönheit so zu entblößen und von ihr anfassen zu lassen. Und zuletzt diese unbeschreiblich peinliche Darbietung, die Saki vor den drei Frauen abgeliefert hatte, als sie durch Cats Handlungen zum Höhepunkt gekommen war. Und es war ein Höhepunkt, wie ihn Saki noch nie in ihrem Leben erfahren hatte.

Obwohl Saki zwischen Abscheu über sich selbst und dem erfüllenden Gefühl der Befriedigung hin und hergerissen war, musste sie sich eingestehen, dass sie Cat einfach nur dankbar war. Dankbar, für das, was sie erleben durfte.

Etwas, das sie ohne Cats Hilfe oder Manipulation, je nachdem wie man es sah, nie erlebt hätte. Und bei all diesen Überlegungen, schlich sich eine seltsame Frage in ihren Verstand.

Was wäre gewesen, wenn ihre Mutter sie so gesehen hätte?

Diese elegante, strenge Frau. Konservativ und diszipliniert, wie man es nur sein konnte. Was hätte diese züchtige und selbst für ihre Tochter fast unnahbare Frau von ihrer kleinen Saki gedacht, wenn sie sie so erlebt hätte?

Saki konnte nicht verstehen, wie sie auf diese Fragen gekommen war.

Aber sie konnte sie nicht verdrängen, so sehr sie sich auch bemühte. Und sie blieben zum Glück auch für immer unbeantwortet.

Cat steuerte genauso gedankenverloren den Wagen. Sie war sehr stolz darüber, wie sie es geschafft hatte, ihre sonst so schüchterne Saki über ihre Grenzen zu bringen, um die uneingeschränkte Befriedigung einer submissiven Frau zu erleben. Das Saki zu dieser Art Frauen gehört, hatte Cat schon lange vermutet. Und seit ihrer Zeit in der Schwesternschaft hatte sie so unendlich viel mehr darüber gelernt.

Aber die schüchterne Saki dazu zu bringen, es sich selbst einzugestehen und sogar außerhalb der Geborgenheit der eigenen vier Wände auszuleben, hätte selbst sie sich nicht träumen lassen.

Die erniedrigende, aber vollständige Befriedigung ihrer Freundin hatte sie selbst dermaßen erregt, dass sie kurz davor stand die Beherrschung zu verlieren. Sie musste alle Disziplin aufbringen, zu der sie in der Lage war, um nicht sofort hier und jetzt den Wagen mitten auf der Straße zum Stehen zu bitlis escort bringen und sich Sakis Kopf unter den Rock zu drücken. Sich jetzt gleich von dieser unschuldigen Zunge zum Orgasmus lecken zu lassen, den sie sich so sehr herbeisehnte.

Aber in Gedanken rezitierte sie immer wieder ein Mantra, das sie in der Verbindung gelernt hatte.

„Führen bedeutet Zurückhaltung.”

Gebetsmühlenartig wiederholte sie diese Worte in ihrem Kopf.

Aber sie konnte sich nicht davon abhalten, wenigstens ihre rechte Hand auf die Innenseite der Schenkel ihrer Freundin zu legen und ihre Finger dort kreisen zu lassen. Obwohl das Streicheln dieser feuchten Schenkel ihre Disziplin auf eine harte Probe stellte.

Saki war sich dieser Berührungen bewusst und genoss sie. Und obwohl sie sexuell total ausgelaugt war, wusste sie, dass es ihrer Freundin gefiel, sie dort zu streicheln und ließ sie gewähren. Vielleicht sollte sich ja Saki heute noch die Gelegenheit bieten, bei ihrer Freundin zu revanchieren.

Als die beiden in Cats Wohnung angekommen waren, war Saki bereit alles für ihre Freundin zu tun, um sich für das Erlebte zu bedanken.

Aber zu ihrer Enttäuschung drückte die ihr nur einen zarten Kuss auf die Stirn und sagte:

„Gute Nacht meine Blume, ich bin müde und muss ins Bett.”

Sie wand sich zu gehen um und Saki war kurz fassungslos, so unerwartet war Cats Verhalten. Trotzdem ergriff sie noch kurz eine Hand der Blondine und hinderte sie am Gehen.

Cat schaute sie fragend an.

„Cat,… ich liebe dich.”

Sie sah ihr dabei tief in die Augen, so unschuldig und süß.

Cat verlor beinahe die Beherrschung, hätte fast all ihre Erfahrung über den Haufen geworfen, so unwiderstehlich war dieser Blick.

Aber sie schaffte es ein letztes Mal an diesem Tag ihre Beherrschung zu behalten und sagte ihr nur liebenswürdig:

„Ich weiß, mein Schatz. Ich weiß.”

Damit entzog sie sich Sakis Griff und verschwand in Richtung ihres Schlafzimmers.

Saki blieb verwirrt und enttäuscht im Flur zurück.

In dieser Nacht hatte Saki einen Albtraum, den sie nie wieder vergessen sollte.

Sie träumte von der Boutique.

Nur war diese im Traum grenzenlos und schien nie zu enden. Diese endlose Fläche wurde von einem unbestimmbaren Licht grell erleuchtet. Sie selbst nahm alles aus der Position einer körperlosen Beobachterin wahr und schien selbst nicht Teil des Ganzen zu sein.

Die Boutique war bevölkert von hunderten bizarren Wesen, die allesamt weiblich waren.

Ihr Geist wanderte durch die skurrile Menge und konnte jede einzelne von diesen Wesen betrachten. Keines glich einem anderen, aber alle waren auf bizarre Art schön und schrecklich.

Es gab eine Frau in Latex, die drei gewaltige Brüste hatte.

Es gab eine Frau, die keine Arme und Beine hatte. Der nackte Torso mit kahlrasiertem Kopf lag auf einer Lederliege, in ihrer Scheide und After steckten enorme Dildos, die wie belebt in sie hineinbohrten. Der Ringmuskel ihres Afters und ihr Scheideneingang hatten sich durch die andauernde Penetration nach außen gewölbt. Hemmungslos schrie sie ihre Lust heraus. bolu escort

Ein bizarres Wesen, das aus drei Frauen bestand, kroch durch die Menschenmenge. Das Gesicht jeder dieser Frauen schien zwischen den Pobacken der Frau vor ihr angewachsen zu sein und zusammen bildeten sie einen Kreis. Die Kiefer der Köpfe arbeiteten, während sie unermüdlich die After der Frau vor ihnen leckten. Diese Körpermasse hinterließ eine glitschige Schleimspur auf dem spiegelglatten Boden.

Es gab eine bildhübsche Frau, aus deren Mund sich eine absonderlich lange Zunge schlängelte. Dieser feucht glänzende Muskel war so lang, dass er bis zwischen ihre wohlgeformten Beine reichte und sie sich tief die eigene Scheide ausleckte. An der sich bewegenden Auswölbung in ihrem Unterbauch konnte Saki erahnen, wie tief ihre Zunge in sie eingedrungen war. Speichel und Sekret hatten eine große Pfütze unter ihr gebildet.

Einer Frau schienen die Arme und Beine verkehrt herum angewachsen zu sein. Sie befand sich auf allen vieren, wobei ihre Vorderseite dabei aber gen Himmel zeigte. Sie erinnerte Saki an eine vierbeinige Spinne in Menschengestalt. Ihre gewaltigen Brüste hatten enorme Nippel, aus denen, wie bei einem Springbrunnen, Milch in Schüben in die Luft pumpte. Zwischen ihren gespreizten, aber verdrehten Beinen besaß sie eine abnormal große Vagina, aus der ein penisartiger, gigantischer Kitzler herausgetreten war. Zwei kleine Hände einer zweiten Frau hielten den verschleimten Schaft dieses Organs umklammert und der Mund eines wunderhübschen Gesichtes lutschte wie besessen an seiner Spitze. Die verdrehte Frau grunzte ihre Lust heraus, während diese andere sie bearbeitete. Das lutschende Wesen hatte den Kopf einer bildhübschen, erwachsenen Frau, aber den Körper eins kleinen Mädchens. Ihre Wangen wölbten sich, wenn sie den gigantischen Kitzler einsaugte.

Eine weitere Frau konnte ihren Rücken so weit nach hinten biegen, dass er beinahe einen Kreis bildete, So weit zurückgelehnt, war sie in der Lage ihr eigenes Poloch zu lecken, was sie auch sinnlich tat.

Und viele weitere Wesen bewohnten diese gewaltige Boutique, keines wie das andere. Alle gleichzeitig schön und erregend, aber auch abstoßend und absonderlich. Und alle waren in sexuelle Handlungen verstrickt, teils mit sich selbst, teils mit anderen.

In dieser gewaltigen Menge sich windender und wimmernder Körper hatte sich ein Kreis gebildet, in der sich nur eine Frau befand. Saki trieb durch obszöne Masse, um zu sehen, welche Wesen so separiert war.

Als sie nah genug war, sah Saki sich selbst auf allen Vieren in der Mitte dieses Kreises.

Aber ihr Körper schien verändert. Sie hatte ein sehr weibliches, muskulöses Gesäß, wie das von Cat. Ihre großen, prallen Brüste hingen nach unten und es sah aus, als ob unsichtbare Hände sie abwechselnd wie bei einer Kuh melken würden, so wie die Busen sich bewegten.

Ihr Körper wand sich unter unvorstellbarer Lust, während zwei unsichtbare, phallusförmige Körper ihren Po und Scheide penetrierten.

Saki konnte sich selbst ins weit geöffnete Innere schauen, in Darm und Gebärmutter. Fasziniert beobachtete sie, wie sich die Wandungen burdur escort dieser Öffnungen verformten, während die unsichtbaren Körper in sie eindrangen.

Die Albtraum-Saki wurde im Rhythmus der Stöße durchgeschüttelt und ihre falschen Brüste schwangen dabei sinnlich hin und her. Diese Stöße trieben sie schließlich in einen unrealistischen Orgasmus.

Ihr Körper verkrampfte mitten in der Bewegung und sie schrie wie von Sinnen ihre Lust heraus. Sie übertönte damit das Gestöhne und Geschrei aller anderen Kreaturen in diesem grenzenlosen Raum.

Aus Darm und Scheide schossen plötzlich faustdicke Strahlen aus Sekret in gerade Linien nach hinten weg. Aus ihren Brustwarzen schossen feine Strahlen Milch und spritzten unter ihr auf den Boden. Die zurückspritzenden Tropfen benässten ihre Busen, die schnell nass glänzten.

Und ihr Geschrei und der Strom der herausschießenden Flüssigkeiten hielten lange an.

Bis die Albtraum-Saki zu erschöpft schien, um weiter zu schreien und sich in qualvoller Ektase wand, während die Sekrete weiter unter vollem Druck aus ihr herausschossen.

Ihr Gesichtsausdruck war mitleiderregend.

Saki sah ihr an, dass sie darum flehte, dass dieser Orgasmus endlich enden würde. Die Geist-Saki rief verzweifelt, wie sie ihrem Albtraum-Ich helfen könnte. Doch niemand schien ihre Worte zu können.

Als plötzlich, wie aus dem Nichts, ihre Mutter vor der abnormal ejakulierenden Saki erschien. Sie sah so streng und elegant aus wie immer und wirkte zwischen diesen Kreaturen fehl am Platze.

Und in dem Blick, den sie ihrer auf dem Boden hockenden Tochter zuwarf, lag nichts außer Ekel und Abscheu.

Albtraum-Saki schienen diese vernichtenden Blicke körperliche Schmerzen zu bereiten und sie wand sich wimmernd unter ihnen, während die Flüssigkeiten weiter ungehemmt aus ihrem gepeinigten Körper schossen.

Endlos lange dauerte die Szene an, und ihre Mutter hatte kein Mitleid mit ihrer winselnden Tochter. Gnadenlos bohrte sich ihr leidverursachender Blick weiter in dieses, sich in Pein windende Stück Fleisch zu ihren Füßen.

Gerade als die echte Saki glaubte, diesen Anblick nicht länger ertragen zu können, wandte sich die grausame Mutter kopfschüttelnd ab. Wortlos ging sie davon in die Kreaturenmenge.

Und Albtraum-Saki schrie ihr verzweifelt hinterher:

„Du warst nie für mich da!”

Mit diesen Worten wachte Saki aus dem Albtraum auf.

Ängstlich schreckte sie in ihrem Bett hoch und blickte sich verunsichert und schwer atmend um. Es dauerte einige Zeit, bis sie realisierte, dass das eben Gesehene nur ein Traum gewesen war. An den sie sich in allen Details erinnern konnte, zu ihrem Leidwesen.

Erst als sie sich wieder beruhigt hatte, registrierte sie, wie nass ihr Bett war. Sie stand auf, schaltete das Licht an und schlug die dünne Bettdecke zur Seite. Erschrocken sah sie auf einen großen, dunklen Fleck, der sich auf der Matratze ausgebreitet hatte.

Angeekelt, aber auch neugierig, drückte sie einen Finger in diesen Fleck. Eine warme, klare Flüssigkeit drang aus dem Polster hervor. Unsicher, ob es Pipi oder die andere mögliche Flüssigkeit ist, roch sie vorsichtig an ihrem Finger.

Sie war sich unsicher, roch es doch nach etwas von beidem. Also überwand sie sich und leckte vorsichtig ihre Fingerkuppe ab.

Und musste peinlich berührt einsehen, dass es kein Urin war.

Fortsetzung folgt

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Miriams Hochzeit Teil 03

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Babes

Trauung

Sie trafen die anderen Gäste im Flug vor dem Standesamt. Horst begutachtete Miriam und lächelte. Er nahm sie in den Arm und sagte: „Du siehst wunderbar aus!”

„Du aber auch”, sagte sie und betrachtete ihn in dem schwarzen Anzug mit Weste. „So gut hast du noch nie ausgesehen.”

Horst reichte ihr einen kleinen Blumenstrauß.

„Hast du auch etwas für mich?”, fragte er.

Miriam wusste, was er meinte und reichte ihm die kleine Fernbedienung. Sie lächelte.

„Probier sie aus”, sagte sie herausfordernd zu ihm.

Das machte er dann auch gleich. Das Summen der Pumpe war kaum zu hören, doch Miriam verzog gleich das Gesicht und atmete tief ein. Mehr von ihrem Geschlecht wurde in die kleine Plastik-Halbkugel gesaugt.

Horst lächelte.

„Sehr gut”, sagte er und steckte das kleine Gerät ein.

Jetzt konnte Miriam ihre Trauzeugen begrüßen. „Hallo Elena, schön dass du da bist”, sagte sie zu einer fünfunddreißigjährigen Frau mit langem, rechts gescheitelten rotblonden Haar und blauen Augen.

„Gut siehst du aus”, sagte Elena und küsste Miriam kurz auf beide Wangen.

Elena trug über einer knallengen schwarzen Leder-Leggins eine sehr weite, leicht transparente beige Bluse mit weiten Ärmeln, die bereits an der Taille begannen und durchzogen in Volants endeten. Um den kleinen Ausschnitt herum hatte sie eine Schluppe zur Schleife gebunden. Die Bluse hing über das goldene Taillen-Gürtelchen herüber. Unter der Hose trug Elena schwarze Nylonstrümpfe und sehr hochhackige schwarze Heels. Sie hatte ihre Augenlider blau geschminkt.

Nach ihr begrüßte Elena ihren Mann Jannis. Sie schüttelten sich die Hände. Jannis hatte kurz geschorenes schwarzes Haar und einen Schnauzbart. Er schaute Miriam zuerst auf die recht großen Brüste, bevor er ihr in die braunen Augen sah und lächelte.

„Horst hat großes Glück, dass er dich bekommt”, sagte er und verneigte sich.

„Danke”, antwortete die braunhaarige Miriam.

Nach ihm grüßte sie auch noch Dieter, Birgits Mann. Er hatte langes graublondes Haar, das er sich in einen Zopf gebunden hatte. Er trug zwar auch einen dunklen Anzug und ein Hemd mit Krawatte. Bei ihm konnte man aber deutlich sehen, dass er nicht gewöhnt war, gut gekleidet zu sein.

Die Tür zum Trauzimmer ging auf und der Standesbeamte erschien. Miriam winkte den anderen Gästen zu und sagte: „Schön, dass ihr alle gekommen seid.”

Sie applaudierten. Horst nahm seine Braut in den Arm und folgte dem Beamten ins Trauzimmer. Hinter ihnen gingen Birgit und Jannis, die als Trauzeugen dienen würden. Miriam setzte sich auf den Stuhl ganz vorn, den Horst und so hinschob, dass sie mit leicht glatt gezogenen Kleid Platz nehmen konnte. Sie setzte sich unauffällig mit etwas vorgebeugter Hüfte hin, damit die kleine Saugglocke nicht bursa escort beim Sitzen störte.

Horst nahm an ihrer rechten Seite Platz. Ganz rechts setzte sich Birgit hin, Jannis links neben Miriam. Der Standesbeamte blieb hinter dem Tisch stehen und wartete darauf, dass die anderen Gäste auch ihre Plätze eingenommen hatten. Unauffällig griff Horst in die Hosentasche und betätigte die Saugglocke für einen Moment. Er lächelte seine Braut an, die zurücklächelte, was aber etwas gequält wirkte.

Birgit hatte bemerkt, was Horst getan hatte. Sie war die einzige, die Miriams Geheimnis auch noch kannte. Einerseits fand sie es gemein, was Horst mit ihrer besten Freundin machte, andererseits stellte sie sich vor, wie es wäre, wenn sie die Saugglocke über dem Geschlecht tragen würde. Sie spürte, dass sie dieser Gedanke leicht erregte.

Der Standesbeamte nahm seine Zettel und begann zu reden: „Liebes Brautpaar. Sie haben sich heute hier eingefunden, um den Bund fürs Leben einzugehen…”

Miriam bekam kaum mit, was er sagte, denn Horst spielte immer wieder mit der Fernbedienung, die ihre Schamlippen in die kleine Saugglocke sog. Manchmal löste er den Druck leicht, meistens verstärkte er den Druck aber. Das machte Miriam geil, auch wenn das Gefühl erst einmal unangenehm war. Sie bekam Lust, sich zu streicheln. Das konnte sie natürlich hier nicht tun. Sie begann leicht zu schwitzen, obwohl sie ein tief ausgeschnittenes Brautkleid trug.

Der Beamte kam endlich zum Wesentlichen: „…darf ich Sie bitten, sich zur Trauung zu erheben.”

Der Raum war vom Stühlerücken erfüllt. Horst half Miriam aufstehen und hielt sie an der linken Hand.

„So frage ich Sie nun, Miriam, ist es ihr freier Wille, mit dem hier anwesenden Horst die Ehe einzugehen, ihm zu dienen und glücklich zu machen, so antworten Sie mit Ja.”

„Ja, ich will”, sagte Miriam wie aus der Pistole geschossen. Sie schaute zu dem kräftigen Mann an ihrer rechten Seite hoch und lächelte. Horst lächelte zurück.

„Dann frage ich auch Sie, Horst, ist es ihr freier Wille, mit der hier anwesenden Miriam die Ehe einzugehen und immer für ihre Dienste empfänglich sein, so beantworten Sie die Frage mit Ja.”

Horst schaute erst Miriam an, dann antwortete er laut und deutlich mit Ja.

„Nachdem Sie die Fragen beide mit Ja beantwortet haben, erkläre ich Sie zu gesetzlich verbundenen Eheleuten.”

Sie steckten sich die Ringe an und umarmten sich. Sie küssten sich innig und so lange, dass die anderen Gäste zu applaudieren begannen.

Danach umarmten Birgit und Jannis die beiden, wie auch Elena und Dieter. An sie schlossen sich die anderen Gäste an.

Kaum, dass sie dem ersten Gast die Hand schüttelte, spürte Birgit, wie die Saugglocke zu arbeiten begann. Horst çanakkale escort hatte sie auf ein Muster geschaltet, so dass sie saugte und wieder nachließ. Sie tat Miriam ein wenig weh, stimulierte ihre Klitoris aber so intensiv, dass sie sich kaum auf die Gäste konzentrieren konnte. Sie schwitzte stärker, und ihr Gesicht war leicht gerötet.

„Geht’s dir nicht gut, Miriam”, fragte eine Arbeitskollegin, als sich ihr die Hand schüttelte und ihre Wangen berührte.

„Doch”, beeilte sich Miriam zu sagen. „Mit könnte es kaum besser gehen.”

Sie lächelte etwas gepresst. Sie war so geil, dass sie es kaum aushielt. Aber sie konnte sich keine Erleichterung verschaffen.

Horst stand neben ihr und genoss Miriams sexuelle Qualen. Er beruhigte auch gerade einen Gast, der ihn fragte: „Geht’s deiner Frau wirklich gut?”

„Glaub mir, ihr geht’s richtig gut”, erwiderte er gut gelaunt und wandte sich dem nächsten Gratulanten zu.

Nachdem endlich alle Gratulanten sie beglückwünscht hatten, sagte Miriam zu ihrem frischgebackenen Ehemann: „Ich bin so geil, ich muss es mir unbedingt besorgen.”

Horst lächelte. „Aber dazu ist jetzt keine Zeit. Die Gäste warten auf uns und den Sektempfang.”

„Bitte, Horst, du hast mich so geil gemacht, jetzt lass mich kommen. Bitte!”

Miriam schaute ihren Mann flehend an.

Die dunkelblonde Birgit stand nicht weit von Miriam entfernt. Sie verstand ihre beste Freundin sehr gut. Insgeheim stellte sie sich vor, wie es war, so eine Saugglocke zu tragen. Sie überlegte kurz, dann sagte sie zu Miriam: „Kann ich dir helfen?” Zu Horst sagte sie: „Gib uns zwei Minuten, dann ist Miriam wieder frisch.”

„Na gut, aber beeilt euch!”, sagte er. „Ich geh dann mal unsere Gäste vertrösten.”

Birgit nahm Miriam in den Arm. Die beiden verließen den Trauungs-Raum und strebten zur nächst gelegenen Toilette. Miriams bodenlanges Kleid raschelte laut, und die Absätze ihrer Schuhe klapperten über den Bodenfliesen.

„Danke”, sagte Miriam zu Birgit, als sie in der geräumigen Toilette waren. „Ich halt es nicht mehr aus und muss mich unbedingt streicheln.”

Sie waren glücklicherweise allein im Vorraum, an den sich vier Kabinen anschlossen. Miriam raffte sich sofort ihr langes Kleid hoch und hielt den Saum mit der linken Hand fest, während sie mit der anderen den kleinen Batteriekasten aus der Strumpfhose holte. Sie schaltete die Saugglocke aus und nahm sie weg. Sie atmete tief ein, als sich das Plastikteil mit einem „Plopp” von ihrer Haut löste.

Die herausgesaugte Haut stand wie wund ab.

„Tut das nicht weh?”, fragte Birgit.

„Ein bisschen, aber ich bin so geil, ich muss mich streicheln.”

„Ähm”, sagte Birgit, „vielleicht kommst du schneller, wenn ich dich lecken.”

Die dunkelblonde çankırı escort Frau im schwarzen Kleid wurde nach diesem Satz tiefrot im Gesicht. Sie war offenbar auch von ihren Gefühlen überwältigt.

„Los, mach!”, sagte Miriam und raffte ihren langen Rock noch etwas weiter hoch.

Birgit hockte sich vor sie hin und leckte vorsichtig an ihrer aufgequollenen Klitoris.

„Ist das so gut?”, fragte sie unsicher.

„Ja, leck stärker und frag nicht!”, erwiderte Miriam.

Das ließ sich Birgit nicht zweimal sagen. Sie begann Miriams aufgequollene Schamlippen und Klitoris intensiv zu lecken. Miriam stöhnte. Birgit schmeckte sofort ihren Saft, der bereits floss. Sie umfasste die Klitoris mit den Lippen, saugte daran und leckte sie, als wenn es ein Penis wäre.

Und es dauerte tatsächlich nicht lange, bis Miriam stöhnend zum Höhepunkt kam. Birgit leckte ihre Säfte, die sie verströmte auf und saugte noch einmal kurz an der Klitoris, bevor sie sich erhob.

Miriam atmete ein paarmal tief ein, dann legte sie sich die Saugglocke wieder an und betätigte kurz den Auslöser, damit sie sich wieder festsaugte. Danach steckte sie den Batteriekasten wieder unter ihre Strumpfhose und ließ ihren Rock fallen. Birgit zupfte daran und sorgte so dafür, dass Miriam wieder perfekt aussah. Sie tupfte ihr auch die verschwitzte Stirn ab, hatte aber natürlich keine Zeit, das Makeup zu verbessern.

Die beiden Frauen umarmten sich kurz.

„Danke, du bist wirklich eine wunderbare Freundin”, sagte Miriam.

„Mach ich doch gern für dich”, erwiderte Birgit. „Lass uns gehen, damit die anderen nicht solange warten müssen.”

Die beiden verließen die Toilette und trafen Horst im Flur des Standesamts. Er ging auf und ab und wartete ungeduldig. Ein Blick auf die Uhr zeigte ihm aber, dass Miriam ihr Bedürfnis wirklich in kürzester Zeit erledigt hatte.

Birgit verließ vor ihnen den Flur nach draußen. Das frisch vermählte Ehepaar schritt die Freitreppe hinter ihr nach draußen hinunter und wurde mit Reis beworfen. Draußen versammelten sich alle hinter ihnen und gingen ein paar Schritte zu Fuß zu der Bar, in der sie einen Sektempfang geplant hatten.

Schon auf dem Weg hatte Horst die Saugglocke wieder eingeschaltet und auf wiederholenden Betrieb gestellt. Er stimulierte seine Frau schon wieder intensiv. Die Erlösung durch die Climax vorhin war nur kurz gewesen. Horst schien es darauf anzulegen, sie im Zustand höchster Erregung zu halten.

Der Empfang sollte nicht lange dauern, bevor sich die Eheleute mit den Trauzeugen und deren Partnern zum Feiern nach Hause aufmachen wollten. Aber für Miriam erschien er wie eine Ewigkeit. Sie konnte nur noch an Sex denken und schwitzte stark. Sie brauchte Horst. Einen Schwanz.

Endlich kam der Anruf des Taxis. Sie konnten los. Es dauerte trotzdem noch ein Weilchen, sich von allen Gästen zu verabschieden, die solange weiterfeiern konnten, wie sie wollten. Miriam und Horst, Elena und Jannis, Birgit und Dieter verschwanden und fuhren in die Wohnung von Miriam und Horst, um den Tag gebührend ausklingen zu lassen.

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In Service of the Queen Ch. 19

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Amateur

In Service of the Queen

by Davina Lee

An alternative future of women and their adventures

*

Author’s Note

When we last checked in with Friend Adelaide, she had experienced a disturbingly inappropriate and sexually charged interview with her supervisor while the queen herself looked on behind one-way mirrored glass. As strange as the experience was for her, Adelaide persevered and even seemed a little joyful when she found out she landed such a high-profile job.

This chapter picks up later that evening.

As a refresher, Rebecca Brandt is the Empyrea City librarian who helped Adelaide find books about sign language (to communicate with Friend Beatrice) and the rules of football (to help her understand one of Tiara and Cosette’s favorite pastimes.) These days, Rebecca is also a key lieutenant in Empyrea’s growing resistance movement.

* * *

Chapter 19: The Upper Decks

Beatrice’s Secret Girls’ Cave

Adelaide sat cross-legged and barefoot on the floor in front of the sofa, with her suit coat laid across her lap and her head lolling forward. Adelaide’s hair was hanging over her face and fluttered as she blew out a contented sigh. Beatrice sat behind her, perched forward on the cushion, with her fingertips digging into the muscles of Adelaide’s shoulders.

“Friend Beatrice,” said Adelaide, “You have magic fingers.”

Beatrice said nothing, but continued massaging.

Adelaide chewed her lip for a moment and then reached up with her right hand to brush her hair out of her face. She tilted her head back and locked onto Beatrice’s eyes. “You have magic fingers,” repeated Adelaide.

Beatrice smiled. “Thank you,” she said, as she continued kneading and rubbing.

Adelaide took a deep breath and let it out as she let her head roll forward again.

“Pas de sommeil!” chastised Cosette, as she rounded the corner with a second woman in tow.

“What?” said Adelaide, jerking her head up. “Wait. Friend Cosette. Why can’t I, um… sommeil?”

“It means no sleeping,” said the woman behind Cosette.

“Oh,” said Adelaide, shifting her gaze. “Yeah. Figures you’d know that. Being a librarian and all. I bet you know all sorts of stuff.”

The woman behind Cosette flashed a tight smile.

“So, Friend Rebecca,” said Adelaide. “Are you here about that overdue book? Because I promise I’ll return it just as soon as–“

“No,” said Rebecca, her smile straightening out again.

“Oh,” said Adelaide, hanging her head again. “A little to the right, please,” she whispered, while shifting her body under Beatrice’s rubbing.

“We need to talk,” said Rebecca.

“Can we talk after I’m done with my massage?” said Adelaide. “Friend Beatrice is on a roll here. She’s gotten all the tension of of my neck and now she’s working my shoulders halfway back to normal.”

“Friend Adelaide,” said Cosette. “This is about La Résistance.”

“I figured as much when I saw you two together,” mumbled Adelaide. “I hardly ever see you anymore, Cosette, and when I do… I’m sorry. I shouldn’t complain.”

“You had a stressful interview,” said Rebecca.

“You could say that,” said Adelaide. “My tits are still sore.”

Behind Adelaide, Beatrice made a tisk-tisk sound while staring at the top of Adelaide’s shoulders and shaking her head. She moved her fingers back to a spot she had already visited and began digging in again.

“See?” said Adelaide. “You’re interfering with Friend Beatrice’s good–“

“Tell us what you saw,” interrupted Rebecca.

Adelaide let out a huff. “While I was humiliating myself for that messed up interview? Or in general?”

“Let’s start from the beginning. Your time working onboard Elysium.”

“Right now?” whined Adelaide.

“Right now,” replied Rebecca.

“Well,” said Adelaide. “Everyday we go to the airfield and line up. Me and the other girls in the office pool. There’s a tender dirigible that takes us up to Elysium. Just the girls who get picked for that day.

“My sister’s one of the tender pilots. So that’s kind of cool. I didn’t know that at first, but then there was this problem with the ballast system and who should pop up from the gondola asking us to move sides, but good old Cordelia. A bunch of the office girls have the hots for her. It’s kind of… Sorry, you probably don’t care about that.”

“Friend Adelaide,” offered Cosette, “please tell us everything about your work so far. Even if you think it is inconsequential. There are often important details hidden in that which seems mundane.”

“So your sister is part of the Self Defense Force?” asked Rebecca.

“Mm-hmm,” said Adelaide, as she shifted her position to encourage Beatrice to spend more time rubbing in a particular spot. “She wanted to be an angel pilot, but she kept crashing during training. So I guess this is her backup plan.”

“Would you say she’s happy in her position as a dirigible pilot?”

“Last time we had dinner…” Adelaide chewed at her lip for a afyon escort moment. “It’s been a while, but… well, she wasn’t overjoyed, but she seemed like she accepted it. Like it was a good opportunity. Why?”

“Would you say the experience of not being selected as an angel pilot has left her disgruntled at all?”

Adelaide looked up. “What? Why?”

It was Cosette who spoke next. “Friend Adelaide, have you shared any of your experiences with Cordelia?”

Adelaide shook her head. “I haven’t really seen her for more than a few minutes since all this military mobilization business got wound up. She’s pretty busy. I guess I’m just happy she’s not on the front lines.”

Adelaide shuddered, causing Beatrice to pause her kneading a moment and switch to gentle caresses of Adelaide’s shoulders.

“I’m sorry, friend,” said Cosette.

“So you don’t know your sister’s feelings about her involvement in the military these days?” continued Rebecca.

“No,” said Adelaide, hanging her head and staring at her lap. “I suppose I could ask her next time–“

Rebecca Brandt shook her head. “Better to just watch and listen.”

Adelaide jerked her head up and shot a glare. “Wait. You want me to spy on my sister? Is that what you’re getting at?” Adelaide moved her gaze to Cosette and bored into her eyes. “You want me to spy on my own family? For La Résistance?”

Cosette frowned. Behind Adelaide, Beatrice mumbled another tisk-tisk and returned to work on a spot she had already massaged a minute earlier.

“If you hear anything that could help,” offered Cosette.

“Spying on my sister?” Adelaide shook her head. “I suppose it figures. Not any less messed up than anything else going on around here, anyway.”

“Friend Adelaide,” said Rebecca. “This is not some schoolyard gossip. We’re asking you to–“

“And I’m not some schoolgirl who needs coddling,” Adelaide shot back. “I know what’s going on. With Empyrea. With the queen. I get it. It’s messed up. It needs to stop. I’m willing to help, but I refuse to believe Cordelia would be… She was a girl scout for friend’s sake.”

“She’s in a position where she might have information,” said Rebecca. “That’s all I’m saying. You’re in a position where she might share that information. Knowingly of not, she might reveal something that could help the cause.”

“We’re just asking you to listen for hints,” added Cosette.

Behind Adelaide, Beatrice frowned and returned to a spot she had massaged twice already.

“Don’t you want to know what I do up on Elysium? With the other office pool girls? If there’s good information to be had, don’t you think it’s up there?”

Rebecca Brandt took a deep breath and let it out. “Yes, please tell us about what you do onboard Elysium, friend.”

“Nothing,” said Adelaide. “Absolutely nothing.”

Rebecca turned to Cosette and frowned. Cosette shook her head in return.

“We type up reports. Transcription. Except the reports aren’t handwritten, they’re already typed up. We just type them again. It’s pointless.”

Rebecca and Cosette exchanged another glance.

“They come out as gibberish and then we file them away. Total busywork and a waste of time.”

Rebecca raised an eyebrow just as she and Cosette turned to lock eyes on Adelaide.

“I’m pretty sure all the queen is interested in is having a pool of hot office girls she can pick from to stand up in front of a one-way mirror while her supervisors tell them to do…”

Rebecca held her lower lip in her teeth as she waited.

“What?” said Adelaide.

“Friend Adelaide,” said Cosette. “Do you remember what any of the reports say? Before they are encrypted? Do you recall–?”

“Encrypted?” mused Adelaide.

“You say they are given to you already typed up and you can read them.” said Cosette.

Adelaide nodded.

“And when you retype them, the letters are all jumbled?” asked Cosette.

“Encrypted communication,” added Rebecca.

“You said that before,” said Adelaide. “What does that mean?”

“It’s a code,” said Rebecca. “Designed to hide important information so it can’t be read if its intercepted.”

“Why would anybody–?”

“What does the typewriter look like?” asked Rebecca. “Is it like a normal office machine?”

Adelaide nodded, looked upward for a moment, and then shook her head. “There’s extra wheels and gears. We were told very clearly not to touch them, so I sort of forgot. They’re not always in the same position from one day to the next. Set by the supervisors, I guess.”

“Would you be able to get one of those typewriters to us?” asked Rebecca. “You or one of the other office girls?”

Cosette shot Rebecca a glare.

“Are you kidding?” replied Adelaide. Look at what I’m wearing. Most of the girls wear a lot less. Just where did you think–?”

“How is your memory?” asked Rebecca. “Would you say you have good recall?”

Adelaide shrugged. Behind her, Beatrice blew out a sigh and let her hands drop. She flopped backward to settle into aydın escort the couch cushion.

“You mean for what’s on the original reports? Before they’re… encrypted?”

Rebecca nodded.

“Invoices and stuff like that. Purchases and deliveries to and from outside Empyrea that’s for sure, because they all involve an amount of currency. Pounds, Marks, Lira. I remember that from accounting school.”

“Is there anything you’ve noticed?” asked Cosette. “Any trends that stand out?”

“Well…” Adelaide chewed her lip for a moment. “Mostly the numbers. Since I studied accounting, I tend to notice the numbers. The queen’s trading away a lot of Empyrean grain for lithium ore. I remember that number was a big one.”

Rebecca turned to Cosette. “Lithium for batteries?” she asked.

“Peut-être,” said Cosette. “Perhaps.”

“Our contact in energy research?” responded Rebecca, her gaze focused solely on Cosette.

Cosette nodded. Behind Adelaide, Beatrice pulled her legs up under herself and rolled to the side. Getting her feet under her again, Beatrice stood up and walked to the countertop that served as her kitchenette.

“Lithium batteries?” mused Adelaide. “Who’s in energy research, anyway? Anyone I know?”

“It’s best you don’t know,” said Rebecca. “Safer for everyone to remain anonymous. Please forget I mentioned anything. It was careless of me.”

“Um, okay.” said Adelaide.

“What else can you tell us about your job on Elysium?”

“Well,” said Adelaide. “I won’t be typing up any more reports. I can tell you that. I got a promotion. You know, after that weird-ass interview. I’ll be working directly for the queen as far as I know. Hopefully less typing and more accounting, since that’s what I went to school for.”

As Rebecca turned her eyes to Cosette, Beatrice returned from the kitchenette with a plate and Adelaide moved her eyes to the carrot sticks stacked on top of it.

“I can tell you this though,” said Adelaide, reaching toward the plate. “It’s probably going to be pervy. From what I can tell, the queen has a thing for the office pool girls. She likes them young and scantily clad. And, if my interview is any indication, she prefers us in compromising positions. I’ll probably be recording ledgers in my underwear.”

“Friend Adelaide,” said Cosette. “If you think this will be too much for you to–“

“You all treat me like a little kid sometimes. I can do this.” Adelaide picked up a carrot stick from the plate Beatrice offered and waved it as she spoke. “La Résistance,” said Adelaide, “I’m in. All the way. Just tell me what you need me to do.”

She chomped down on the end of the carrot.

* * *

On board Elysium, the next day

As soon as Adelaide put her foot down on the last step to Elysium’s deck, the supervisor hustled over to take her by the elbow.

“This isn’t a follow-up interview, is it?” cracked Adelaide, “Because I don’t know if my nipples can take any more–“

“This way,” said the supervisor, pulling Adelaide aside. She stepped smartly to a descending stairwell with Adelaide in tow.

“Well, at least there are windows,” said Adelaide as they walked down. “The regular office is so dreary in comparison. I think it’s the natural light here by the gondola that makes–“

“Your running commentary is not required,” replied the supervisor.

Adelaide opened her mouth briefly, then closed it again without uttering a word.

“Wait here,” said the supervisor, and then disappeared back up the stairway.

Adelaide stood in front of a closed door. She shifted her weight from one leg to the other and then back. Finally, shrugging her shoulders, she mumbled, “Wait for what?”

No sooner had the words left Adelaide’s mouth than the door was opened by a young woman. She was a few centimeters shorter than Adelaide and wearing significantly less in the way of clothing. In fact, her outfit seemed to consist only of a pair of satin panties in bright white, and a cream colored sketchpad she held clutched to her bare chest.

“Well, don’t just stand there,” said the woman. “Come on.”

“Where are we going?” asked Adelaide.

“You’ll see,” said the young woman, retreating back through the doorway. Turning her head for a quick glance, she continued, “Nice suit, by the way.”

“Um…” replied Adelaide, as she followed along.

“Doubt you’ll be keeping it on for long, but you never know.”

“Keeping…?” Adelaide stopped short when she and the young woman came into the next room to stand in front of a woman dressed in jodhpurs, a tailored jacket over a form-fitting white blouse, and an amused smile on her lips. Adelaide’s gaze never made it past the woman’s shiny, knee-high leather boots.

“Your majesty,” said Adelaide, dipping her head.

“This is the one, Claire?” said the queen to the young woman clutching the sketchpad. “The accountant?”

“Yes, ma’am,” said Claire, while the queen paced out a tight circle around Adelaide.

“Friend Adelaide,” said the queen, ağrı escort reaching out to grasp the lapel of Adelaide’s suit coat between her thumb and fingers.

“Your majesty?”

“You know who I am, then?”

“Yes, ma’am. You’re the… the…”

“Come on, you can do it.”

“You’re the queen.”

“Yes,” said the queen, running her hand down the length of Adelaide’s jacket until she reached waist level. “I’m the queen. And you’re overdressed.”

Adelaide shivered but said nothing.

The queen did little to hide her smirk as she reached inside the gap just under where Adelaide’s suit coat was buttoned. “Help me with this.”

Adelaide let her gaze float upward for a moment. “Ma’am?”

“The button.”

Adelaide lowered her eyes again and stood frozen.

“Oh for friend’s sake, girl. Unbutton your jacket.”

“My, um…”

“Rather dim, this one,” muttered the queen, as she shifted her gaze to Claire, who had moved to a writing desk where she picked up a short piece of charcoal pencil.

“It’s alright, dear Adelaide,” said the queen, dropping Adelaide’s suit coat from her grasp. “Take your time. Let it all sink in.”

Without raising her gaze, Adelaide watched the queen making her way toward the center of the room, her boots clacking on the deck, until she stopped beside an ornate chaise.

“Stay there,” said the queen.

“Ma’am?”

“Don’t move, Adelaide. Stand still. I want Claire to record this moment. Your first day working for me. Hopefully not your last as well, but that remains to be seen.”

Adelaide furrowed her brow for a moment and finally looked up. She briefly took in the queen, where she now lay lounging, one boot on the chaise and the other resting on the floor. Adelaide quickly moved her gaze to Claire who was perched on the corner of the writing desk, with pencil in hand and her sketchpad now held at arms length.

Claire’s breasts were on full display as she studied her sketch, and Adelaide blushed slightly as she let her eyes linger on Claire’s nipples, standing proud and crinkled.

“She’s beautiful, isn’t she?” said the queen.

“Uh…” was all Adelaide could manage.

“I like to surround myself with beautiful things,” said the queen. “This chaise, for example. Louis the Sixteenth. From Versailles. A rare find from what I’m told.”

Adelaide shivered slightly.

“Can you imagine it, friend?” mused the queen. “A man as the head of a nation? A man with wealth? A man existing in our world?” The queen snickered. “I’m rather glad I missed out on those days, aren’t you? But the furniture is not at fault in all that. So I keep it.”

Adelaide let her gaze wander to Claire, who was moving her charcoal pencil over her sketchpad in tiny, rapid strokes near the center.

“Not much for words?” said the queen.

Adelaide said nothing.

Claire continued sketching.

“The desk where Claire has decided to rest her lovely bottom was made in Copenhagen. Family heirloom,” said the queen. “Nowhere near as old as the chaise. It was my mother’s. Not really my style, but I’m beginning to appreciate it.”

Adelaide glanced at the writing desk where Claire was still perched with her satin panties gracing one corner of the polished wood top. Adelaide dropped her gaze to Claire’s bare toes.

“The rug is from Isfahan, of course,” mused the queen. “Is there any other place one would find such a treasure?”

“Very ornate,” continued the queen, while Adelaide stood with the corner of her lip stuck between her teeth.

After a few minutes, Adelaide looked up from Claire’s feet to the sketchpad that was cradled in her arm. Claire offered a tight smile and a slight chuckle that made her breasts jiggle as Adelaide looked on.

“I suppose one could draw parallels between the simplicity of the desk and the ornateness of the rug that I’ve chosen to decorate with, and the pretty young things I’ve invited to occupy this space today.

“I’m speaking of you and Claire, of course. Claire, with her lovely curves. Full hips and voluptuous breasts offset by that slim waist of hers. Very ornate, wouldn’t you say?

“And then there’s you, Friend Adelaide. Much like the design of this desk of my mother’s. Clean lines, nothing ostentatious. Simple, but no less beautiful.”

Adelaide moved her eyes once again to Claire’s sketchpad as the queen related this. Her gaze remained unfocused, but unmoving.

“But alas, dear Adelaide,” the queen slid her leg that was laid across the chaise until her boot heel clacked on the deck below. “You’re still covered up.”

Adelaide moved her gaze back to the queen’s boots as the queen scooted to the edge of the chaise and stood up.

“I’d very much like to see you shrugging off that jacket, friend.”

The queen’s boots clacked on the deck as she made her way to where Adelaide stood and took up position behind her.

“Won’t you give us another peek?”

With the queen closing the distance to mere millimeters, Adelaide swallowed hard.

“Honestly, girl,” said the queen. “Do you have any idea what you look like right now?”

Adelaide said nothing.

“A frightened kitten,” said the queen. “That’s what you look like.” And then turning to Claire, the queen said, “Are you fully capturing the distress in Friend Adelaide’s face in your sketch?”

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Freundinnen Teil 02

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Anal

Claudia lag etwas enttäuscht im Bett. Alexis Eltern waren pünktlich um fünf nach Hause gekommen. Die beiden Mädchen begrüßten sie freudig auch wenn sie in Wahrheit gerne noch etwas auf die beiden verzichten hätten können. Ihre Mutter fragte Claudia ob sie noch zum Abendessen bleiben wolle. Diese erwiderte das sie auch gern noch darüber hinaus bleiben würde, wogegen Anne, so der Name der Mutter, nichts einzuwenden hatte.

Anne und die beiden Mädchen bereiteten zusammen das Essen zu während Walter, der Vater, sich wie üblich vor den Fernseher verzog. Dabei und während des Essens schwatzte die Damenwelt ausgiebig darüber wie sie den Tag verbracht hatten. Anne berichtete wortreich über ihren Tag mit Walter in der Therme. Die Mädchen waren, verständlicher Weise, bei ihren Ausführungen etwas zurückhaltender und auch den gemeinsamen Besuch mit Lena im Kaffee dehnten sie um einiges länger aus als dieser tatsächlich gedauert hatte.

Den restlichen Abend verbrachten die vier vor dem Fernseher. Dschungelcamp stand auf dem Programm. Vater und Mutter, wie immer wenn Claudia auch zugegen war, in ihren Sofasesseln und die Mädchen eng aneinander gekuschelt mit einer Decke auf der Couch. Walter beschwerte sich, ebenfalls wie immer, warum sie sich denn ausgerechnet diesen „Mist” ansehen mussten. Eine kindliche Freude konnte er dann aber seltsamerweise doch nie ganz verbergen, wenn wieder mal eine der ekligen Dschungelprüfungen anstand.

Diesmal sollte Claudelle eine Pasta aus lebenden Würmern essen und Walter war die Vorfreude deutlich an seinem Grinsen anzusehen. Anne der das nicht entging meinte, wenn es nach ihr ginge könnte man sich diese ganzen dämlichen Prüfungen sowieso ganz sparen. Das ganze drum herum mit den Streitereien der Kandidaten wäre doch um einiges interessanter. Wegschauen tat sie trotzdem nie.

Claudia flüsterte Alexis ins Ohr: „Weißt du was mal eine geile Prüfung wär, ich würd gern mal dieser Georgina in den Mund pissen und sie müsste alles trinken!”

„Die gefällt dir?” fragte Alexis erstaunt.

„Ha, im Gegenteil, ich find sie ist eine absolut doofe Zicke. Und genau deswegen würd ich´s geil finden, weil der würde das bestimmt gar nicht gefallen.” Antwortete Claudia kichernd.

„Tja, die weiß auch nicht was gut ist!” gab Alexis zurück und musste auch kichern.

„Was habt denn ihr beiden Hühner schon wieder zu kichern und zu gackern?” fragte Walter mit gespielt böser Stimme.

„Mädchengespräche!” schoss es aus beiden gleichzeitig heraus und sie fingen an zu lachen.

Nach der Sendung meinte Anne dass sie jetzt schön langsam ins Bett gehen wolle und die Mädchen sollten auch nicht mehr so lange machen, weil Morgen schließlich wieder Schule war. Die beiden gaben Augenzwinkernd zurück das sie ohnehin den selben Plan hatten. „Kinder!” mischte sich Walter mürrisch ein bevor er den Fernseher ausmachte und sich auf den Weg ins Bad machte.

Claudia und Alexis verschwanden ebenfalls ins Bad – denn Alexis hatte ihr eigenes – und machten sich fertig fürs Bett. Danach war der Abend dann aber nicht mehr ganz so gelaufen wie Claudia dies gehofft hatte. Sie war schon wieder scharf auf Alexis und hatte eigentlich vor dort weiter zu machen wo sie am Nachmittag aufgehört hatten. Ihre Freundin machte ihr da aber einen Strich durch die Rechnung, weil sie schon nach kurzem miteinander kuscheln einschlief.

Claudia lag wach im Bett und war Spitz. Sie lag seitlich, den Kopf auf dem Ellenbogen aufgestützt, neben Alexis und betrachtete diese beim Schlafen. Die andere Hand hatte sie dabei zwischen den leicht gespreizten Beinen und streichelte ihre Schamlippen. Sie dachte dabei an Lena und ob sie wirklich einen Plan für das nächste Wochenende haben würde. Die kleine versaute Lena, die Claudias und Alexis Sexleben so unheimlich bereichert hatte.

Claudia unterbrach die Streicheleinheiten einen kurzen Moment um das Licht abzudrehen. Dann schloss sie die Augen und ließ ihre Hand wieder nach unten wandern. Sie versank im Gedanken an die Erste Nacht zu dritt mit Lena, während ihre Finger tief in ihrer Muschi versanken…

…Hand in Hand gingen die beiden Mädchen über die Stufen nach oben in das Gästezimmer in dem sie Lena untergebracht hatten. Bekleidet waren sie dabei nur mit ihren Pyjamahosen und ihre Brüste wippten beim Gang über die Treppe leicht hin und her. Vorsichtig öffneten sie die Tür zu Lenas Zimmer. Das Zimmer war nur schwach von einer Nachtischlampe beleuchtet und Lena lag nackt, ohne Decke, auf dem Rücken in der Mitte des Bettes . Die Hand die sie beim Einschlafen noch in ihrem Mund hatte lag jetzt am Ansatz ihrer Brüste. Die Finger glänzten im Schein der Lampe immer noch leicht feucht von ihrem Speichel. Die andere steckte immer noch zwischen ihren Beinen, die nun aber nicht mehr ganz so weit gespreizt waren.

„Siehst du, ich sagte doch wir haben sie geil gemacht.” Flüsterte Claudia und fing leise an zu kichern.

„Pst, wir wollen doch nicht das sie uns zu früh aufwacht.” Flüsterte Alexis zurück. „Sieh nur wie schön sie ist balıkesir escort und wie hart ihre Nippel selbst jetzt im Schlaf schon sind.”

„Ja, es wird wunderbar sie zu streicheln und zu küssen.” Antwortete Claudia, nun auch deutlich mehr auf ihre Lautstärke bedacht. „Sollen wir anfangen oder möchtest du den Anblick noch ein bisschen genießen?”

Alexis gab keine Antwort sondern streifte ihre Pyjamahose über ihren Pfirsichförmigen Po hinunter. Als sie sich aufrichtete glitt ihre Hand einmal zärtlich über ihre glattrasierte Pussy. Dann ging sie leise um das Bett herum.

Auch Claudia schob ihre Hose nach unten und gab Alexis, die inzwischen das Bett umrundet hatte, den Blick auf eine ebenfalls frisch rasierte Muschi frei, die auch schon feucht glänzte.

„Claudia kann es also auch kaum noch erwarten.” Dachte Alexis und ein leichtes Lächeln spielte um ihren Mund. Sie nickte ihrer Freundin unmerklich zu und die beiden legten sich vorsichtig jede an eine Seite von Lena ins Bett. Alexis zu ihrer linken, Claudia zu ihrer rechten. Sehr vorsichtig und darauf bedacht die schlafende Schönheit nicht zu wecken.

Wie ein eingespieltes Team begannen sie gleichzeitig und sehr sanft Lenas Brüste zu streicheln, was dieser ein wohliges Gurren entlockte. Dann näherten sie sich mit ihren Mündern dem Hals des Mädchens. Claudia begann ihn sanft zu küssen während Alexis ihre Zunge vom Nacken bis zum Kinn gleiten ließ und dabei eine feuchte Spur mit ihrem Speichel hinterließ. Dieses Spiel setzten sie ein wenig fort, wobei sie sich beim lecken und küssen abwechselten bis Lenas Hals und auch die Münder ihrer Freundinnen feucht glänzten. Dann wachte Lena plötzlich auf.

„Was… ich möchte noch nicht aufstehen, ich hab grad so schön…” murmelte sie noch schlaftrunken und brach den Satz ab als sie die Augen aufschlug und in Alexis und Claudias Gesichter blickte.

„Was macht ihr denn hier? Träum ich etwa doch noch?” Sie wollte sich aufrichten, aber die beiden drückten sie sanft wieder aufs Bett.

„Nein, du träumst nicht. Wir geben dir nur was du dir schon lange wünschte.” Sagte Claudia.

„Und was wir uns auch schon lange wünschen.” Fuhr Alexis fort. „Also bleib schön liegen und genieße es.”

Lena hob ihre Arme und legte sie in die Nacken der beiden: „Ihr seid unglaublich. Ich liebe euch beide so sehr.” Dann zog sie erst Alexis zu sich heran und verschmolz mit ihr in einen leidenschaftlichen Zungenkuss. Dann ließ sie von ihr ab und tat mit Claudia das gleiche.

Claudia und Lena gaben sich weiter feuchte Küsse, während Alexis wieder ihre Zunge am Hals von Lena ansetzte und sich ihren Weg hinunter zu ihren Brüsten suchte . Mit ihrer Hand streichelte sie dabei den Bauch des blonden Mädchens. Als Alexis Zunge zum ersten Mal die mittlerweile noch härteren Brustwarzen berührte stöhnte Lena erregt in Claudias Mund und öffnete erwartungsvoll ihre Schenkel. Alexis Zunge bearbeitete beide Brüste. Sie küsste sie auch mit den Lippen und biss sanft hinein. Dann ließ sie etwas Speichel aus ihrem Mund auf die beiden Lustkugeln tropfen und verteilte diesen großzügig mit ihren Lippen. Sie wiederholte dieses Spiel bis Lenas Titten nicht nur feucht sondern nass waren und der Speichel, der Schwerkraft folgend, begann an ihren Seiten hinunter zu laufen .

Lenas stöhnen war immer heftiger geworden als Alexis ihren Weg zum Zentrum des Mädchens fortsetzte. Wieder suchte sie sich diesen mit der Zunge, spielte kurz am Bauchnabel, schleckte weiter um dann am Höhepunkt des Schamhügels zu stoppen. Lenas Unterleib begann zu zittern und sie spreizte ihre Beine noch etwas weiter. Der kurze Schauer war so heftig das selbst Claudia ihn spürte und den Zungenkuss unterbrach. Sie sah kurz nach unten Richtung Alexis und beschloss Lena in diesem Moment nicht mit einem Kuss abzulenken. Sie setzte sich neben die Freundin und legte ihre Hände auf deren Brüste. Diese wartete gebannt was als nächstes geschehen würde.

Alexis blickte auf die dicht vor ihrem Gesicht liegende Muschi von Lena. Die Schamlippen klafften weit auseinander und gaben den Blick auf das zart rosa Fleisch frei. Auch ihr Loch war bereits weit und in freudiger Erwartung geöffnet. Sie glänzte feucht und ein kleines Rinnsal ihres Saftes hatte sich bereits den Weg hinunter zur Rosette gebahnt die ebenfalls schon feucht glänzte.

Alexis ließ wie schon bei den Brüsten einen Teil ihrer Spucke auf die Klit von Lena tropfen. Sie blies sanft auf ihre Muschi und sah zu wie ihr Speichel zwischen den Lippen hindurch in Lenas Loch verschwand. Dann legte sie ihre Lippen darüber und schob ihre Zunge tief in die Lusthöhle ihrer Freundin. Lena entfuhr ein lustvolles keuchen als sie die Zunge der brünetten tief in sich eindringen fühlte und ihr Blick verschwamm und sie sah Sterne. Wie sehr hatte sie diesen Moment herbeigesehnt und nun war es endlich, endlich, endlich soweit.

Nun begann auch Claudia wieder mit dem Spiel an den Brüsten der blonden Schönheit. Sie streichelte und knetete sie. Kniete sich bartın escort neben sie und begann nun auch wieder ihren Hals zu lecken. Sie ließ mit einer Hand von ihrer Brust ab und ersetzte diese durch ihre Zunge. Sie streichelte ihren Bauch und spielte nun auf beiden Brüsten dasselbe Spiel, das ihr Alexis vorher schon so eindrucksvoll vorgemacht hatte.

Diese streichelte mit ihren Händen die Innenseiten von Lenas Oberschenkeln und drückte dabei ihre Beine noch weiter auseinander. Auch ihr Zungenspiel hatte sie Mittlerweile auf die ganze Pussy von Lena ausgeweitet. Schleckte einmal ihre Schamlippen, einmal ihren Kitzler, lies die Zunge wieder tief im Loch verschwinden und begann das Spiel von vorne.

Lena war im siebten Himmel. Sie hatte die Augen geschlossen, ihr Atem ging schwer und immer häufiger entglitt ein stöhnen ihrem Mund in immer kürzeren Abständen. Sie nahm nichts mehr um sich herum wahr, konzentrierte sich nur noch auf Zungen und Hände die ihren Körper küssten, drückten, streichelten, kneteten und leckten. Sie hatte keine Ahnung wie lange sie sich von ihren beiden geliebten hatte verwöhnen lassen, bevor sie den bisher besten Orgasmus ihres Lebens mit lautem: „Ja,ja,ja ist das geil, ich komme! AHHHHH!” hinausschrie.

Alexis erhob sich und kniete sich neben Claudia und umarmte sie. „Hehe, die haben wir ganz schön fertig gemacht.” flüsterte sie ihrer Freundin lächelnd zu.

„Ja, sie ist immer noch wie weggetreten. Dafür bin ich jetzt noch geiler als vorher schon. Ich würde jetzt zu gerne auch noch herausfinden wie unsere kleine Lena schmeckt.” Flüsterte Claudia ebenfalls lächelnd zurück.

„Ich glaube wir sollten ihr jetzt eine kleine Pause gönnen. Aber es gibt ja auch noch andere Möglichkeiten von ihr zu kosten.”

Alexis schenkte Claudia ein kurzes zwinkern bevor sie sie mit ihrem von Lenas Muschischleim verschmiertem Mund leidenschaftlich küsste. Die schwarzhaarige erwiderte den Kuss ebenso leidenschaftlich und schleckte der brünetten zwischendurch immer wieder etwas von Lenas Saft vom Gesicht.

„Mmmm, sie schmeckt herrlich, aber jetzt hätte ich auch noch gern den direkten Vergleich mit dir und wenn du noch nicht genug hast wäre es schön wenn du mich dabei auch ein bisschen verwöhnen würdest.” Bei diesen Worten drückte sie Alexis mit sanfter Gewalt aufs Bett.

„Davon dich zu lecken werd ich nie genug bekommen und außerdem kann ich mir sehr gut vorstellen wie sehr du es jetzt auch brauchst.” Erwiderte Alexis lachend.

Claudia legte sich in 69er Position über ihre geliebte fasste mit ihren Händen an die Schenkel und spreizte ihr weit die Beine. Ihre Freundin fasste sie an den Hüften und zog sie näher zu sich herunter.

Beide fingen sofort und ohne langes Vorspiel an mit Inbrunst die Fotze der jeweils anderen tief auszuschlecken. Kurze Zeit war im Raum nur das schlabbern von Zungen und das schmatzen der Muschis die von ihnen bearbeitet wurden zu hören. Schnell wurden diese aber durch wohlige Laute der beiden Mädchen unterbrochen was sie aber nicht im geringsten bei ihrem Zungenspiel störte.

Lena hatte sich mittlerweile wieder einigermaßen von ihrem Megaorgasmus erholt und beobachtete fasziniert das treiben ihrer beiden schönen. Wer jetzt aber dachte das sich das eigentlich zierliche blonde Mädchen nur noch aufs zuschauen verlegen würde hatte sich ordentlich geschnitten.

Die schmatzenden Geräusche und das genussvolle stöhnen machten sie jetzt schon wieder mehr als scharf. Sie war herrlich verwöhnt worden. Aber jetzt wollte sie auch einen aktiveren Part übernehmen.

Sie kniete sich neben die noch immer wild züngelnd ineinander verschlungenen Leiber, beugte sich über Claudias rücken und begann ihre Brüste zu kneten und ihren Nacken zu küssen.

„Lena!?” entfuhr es dieser überrascht.

„Ja, hast du gedacht ich habe jetzt schon genug?” Sie fuhr fort die großen Brüste der schwarzhaarigen zu massieren. „Na meine kleine süße Schlampe, macht es dich geil wenn ich deine großen Titten knete?” flüsterte ihr Lena ins Ohr.

Claudia erschrak im ersten Moment über die ungewohnt obszönen Worte ihrer Freundin. Aber auf der anderen Seite spürte sie auch sofort einen ungewohnten kick durch die derbe Wortwahl der blonden, der sie augenblicklich noch geiler werden ließ.

Alles was sie herausbrachte, war ein langgezogenes, gehauchtes: „Jaaaaaa.”

„Das wusste ich und es wird gleich noch viel geiler für dich”

Lenas Hände verließen Claudias Brüste und streichelten sich an den Seiten des Bauches hinunter, während sie sich über den Rücken des Mädchens zum Ansatz ihres Po´s hinunterküsste.

Sie kniete sich hinter die sich immer noch leckenden Mädchen und streichelte die Backen der schwarzhaarigen.

„Jaaaa, streichel meinen Hintern. Das ist herrlich”

Lena streichelte weiter und zog die ohnehin schon weit gespreizten Backen immer wieder auseinander. Die dunkelbraune Rosette von Claudia lugte verführerisch dazwischen hervor. Immer wieder fuhr sie auch mit batman escort ihren Fingern, anfangs wie zufällig, dann immer deutlicher in die Furche und streifte auch immer wieder ihr hinteres Loch.

„Was machst du da, da hinten war noch niemand dran!” kam es von vorne.

Claudia versuchte empört zu klingen, aber das Zittern das bei jeder Berührung ihrer intimsten Stelle durch ihren Unterleib lief sprach eine ganz andere Sprache. Lena wusste das sie gewonnen hatte.

„Soll ich denn aufhören?” fragte sie und erhielt sofort ein „Nein, es fühlt sich herrlich an… es ist nur so ungewohnt.”

Die Blonde strich nun direkt mit allen Fingern sanft durch die Furche. Von oben nach unten und wieder zurück. Immer wenn sie dabei den Hintereingang der Freundin streifte lief ein Schauer durch ihren ganzen Körper und ein stöhnen entrang sich ihrer Kehle.

Die beiden Mädchen hatten mittlerweile aufgehört sich zu lecken. Claudia weil sie sich voll und ganz auf diese neuen herrlichen Gefühle konzentrieren wollte und Alexis weil sie voller Faszination und mit großen Augen das treiben direkt über ihrem Gesicht verfolgte.

„Ich weiß noch etwas was noch viel heißer ist.” Sagte Lena plötzlich.

Sie spreizte Claudias Pobacken soweit es ging, beugte sich vor und fuhr mit breiter Zunge, bei Claudias Schamlippen anfangend nach oben durch ihre Poritze. Ganz sanft nur Glitt ihre Zunge über das Fleisch. Nur als sie beim Arschloch der schwarzhaarigen angelangt war erhöhte sie den Druck ihrer Zunge.

„Jaaaa, ist das geil. Das ist unglaublich.” Schrie Claudia nun fast.

Oben angekommen ließ Lena eine große Menge Speichel auf den Ansatz der Furche tropfen und begann während sich diese ihren Weg nach unten bahnte wieder von den Schamlippen aus nach oben zu lecken. Bei ihrer Rosette trafen Lenas Zunge und ihre Spucke wieder aufeinander und sie begann leidenschaftlich das Arschloch ihrer Freundin auszuschlecken. Immer wieder streichelte sie sanft mit breiter Zunge darum herum, verteilte ihren Speichel und machte es ordentlich glitschig. Sie spürte wie sich der Muskel langsam entspannte und geschmeidig wurde und drang auch immer wieder mit ihrer Zunge so tief sie konnte in Claudia ein, was dieser immer ein besonders lautes Stöhnen entlockte.

„Oh Gott ist das geil. Das will ich unbedingt auch.” Kam es wie in Trance von der immer noch unter den beiden liegenden Alexis. Immer wieder tropfte auch etwas von Lenas Spucke von Claudias Arsch auf Alexis Gesicht . Sie merkte es nicht einmal so gefangen hielt sie der Anblick wie ihre beste Freundin ihrer Geliebten das Arschloch ausschleckte.

Lena unterbrach kurz ihr Zungenspiel. „Komm Alexis leck wieder ihre Muschi. Du bist später noch dran. Jetzt verschaffen wir Claudia erst einen himmlischen Orgasmus” flüsterte sie zu dem Gesicht unter ihr, und an Claudia gewannt fuhr sie in normaler Lautstärke fort: „Na, will meine süße kleine Schlampe immer noch das ich sie da hinten nicht berühre?”

„NEIN!” kam es sofort erschrocken zurück.

„Dann sag es.” Forderte die blonde Schönheit entschlossen.

„Bitte mach weiter!” bettelte Claudia.

„Nein, du sollst nicht betteln. Sag es obszöner. Du wirst sehen das es dich nur noch geiler macht.”

Claudia schaltete schnell: „Los du kleines blonde Luder. Schleck mir mein Arschloch aus und steck mir deine Zunge schön tief rein.” Herrschte sie Lena an und tatsächlich jagten ihre eigenen Worte einen geilen Schauer in ihren Unterleib.

„Ja so gefällt mir das!” waren Lenas letzte Worte bevor sie voller Leidenschaft der Aufforderung ihrer Freundin nachkam.

„Und du Alexis leck meine heiße Fotze ich brauche jetzt zwei Zungen tief in meinen Löchern!” redete sich Claudia jetzt fast in einen Rausch mit dem sie sich selber und die beiden anderen gleichermaßen anfeuerte.

„Ja, steckt eure Zungen tief in mich rein. Fickt mich in meine geilen Löcher. Los ihr geilen Schlampen macht mich fertig!”

Im selben Maße wie sie sich hineinsteigerte steigerte sich auch ihre Lust. Kurz vor dem Höhepunkt schnappte sie sich wieder Alexis Schenkel, bog diese weit auseinander und soweit es ging nach hinten. Nun hatte sie beide Löcher ihrer geliebten vor sich und begann sofort hemmungslos sie auszuschlecken.

Wie eine Furie versuchte sie dabei, das was ihre Freundinnen hinter ihr zu zweit machten, alleine zu schaffen. Ein Höhepunkt nie gekannter Intensität überrollte sie, und ließ sie ihre Bemühungen an den Öffnungen von Alexis sogar noch verstärken. Ihr Unterleib zuckte dabei unkontrolliert und ihr Atem ging schwer, was sie aber in keiner Weise an ihrem treiben hinderte.

Lena und Alexis ließen von ihr ab. Die brünette lag mit leuchtenden Augen und verklärtem Gesichtsausdruck unter ihrer geliebten und gab sich ganz deren Behandlung hin. Sie schaute dabei in Lenas Gesicht, das ihr mit einem Verschmitzten Lächeln zu sagen schien: „Siehst du, ich sagte ja du kommst auch noch dran!”

Als Lena sah, das Alexis nun auch kurz davor war rief sie mit herrischer Stimme an Claudia gewandt: „Los Steck ihr einen Finger in den Arsch und leck ihren Kitzler. Sie kommt gleich.”

Alexis kam nicht einmal mehr dazu ein erschrockenes Gesicht zu machen als sie auch schon Claudias Finger tief in ihren Darm vordringen spürte und eine raue Zunge hart über ihre Klitoris fuhr.

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Schwester Klothilde 02.Teil

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Schwester Klothilde entwickelte sich in den weiteren Jahren zu einer erfahrene Spionin. Ihre Erkenntnisse über die Gewohnheiten ihrer Mitschwestern sammelte sie in einem heimlichen Tagebuch. Die langweiligen Schwestern, die anscheinend gar keine Gelüste hatten, sonderte sie schnell aus. Zum Glück gab es eine ganze Reihe Genossinnen, die so wie sie eine gepflegte Triebhaftigkeit entwickelten.

Wie unterschiedlich weit die in ihren Praktiken waren, hing recht direkt mit der Aufenthaltszeit im Kloster zusammen.

Da war die junge Schwester Annegret, die noch nicht mal eine dünne Kerze zu Hilfe nahm, sondern nur zögernd Hand an sich legte und leicht ihre Spalte rieb, bestenfalls einmal ihren Finger in sich hineinschob. Wie süß doch dieses beinahe unschuldige Geschöpf doch war! Sie erinnerte sie an ihre eigene Zeit im ersten Klosterjahr.

Die meisten anderen Schwestern waren da schon ‚weiter’ und benutzten Halbzoll-Kerzen, mit denen sie sanft oder auch wild ihre Mösen penetrierten.

Schwester Klothilde wusste recht bald, welche von den Schwestern nach dem ersten Mal genug hatten und dann sich ruhig schlafen legten, und welche es nicht nur bei einem Mal beließen. Diese beobachtete sie besonders gerne. War sie selbst doch recht ausdauernd.

Eine Kategorie für sich war wieder einmal Schwester Rosemarie.

Wie die meisten lag die Schwester ganz nackt auf ihrem Bett und stimulierte sich selbst an ihren schönen runden Brüsten und ihrer klaffenden Votze zwischen den schamlos weit gespreizten Schenkeln.

Erstaunt war Klothilde, dass Rosemarie ihre Schambehaarung komplett entfernt hatte und die Pflaume glatt wie von einem jungen Mädchen war.

Ansonsten sah sie ja nicht so jugendlich aus, mit ihren ausladenden Kurven, sie hatte einen wahrlich sündhafter Leib.

Bei diesem geilen Anblick sollte man sich gleich dreimal bekreuzigen.

Stattdessen wandte die strenge Klothilde an ihrem Computerbildschirm lieber die Methode des Abreagierens an und rubbelte wie besessen ihre Feige.

Dann griff die sündige Rosemarie zu ihrem Nachtkästchen und holte da ihr Spielzeug hervor.

Da fielen Klothilde erst die Augen heraus: Diese geile Schlampe benutzte nicht nur wie Klothilde schon eine Ein-Zoll-Kerze, die sie sich tief in ihre Votze schob. Nein, eine Halbzoll-Kerze steckte sie sich dabei noch in ihren After und befriedigte sich beidhändig mit fliegenden Bewegungen und lustverzerrter Miene. Sie gab sich auch nicht mit einem Orgasmus zufrieden, sondern trieb es ein ums andere Mal. Ihre Arschbacken bebten nur so von der wilden Befriedigung.

Klothilde konnte es das erste Mal gar nicht glauben, dass man zu solcher Perversität fähig war. Als sie selbst es einmal probierte, sich im Hintereingang zu befriedigen, wurde sie von der Verschmutzung der Kerze und dem Geruch abgestoßen. Doch sie lernte schnell, dass man sich für solche Praktiken zuvor erst mal klistieren musste. Dann war es auch für sie eine willkommene Abwechslung, auch wenn sie es nicht mit solchem Eifer praktizierte wie Schwester Rosemarie.

Dann machte sie bei ihren Auskundschaftungen wieder eine andere Entdeckung:

Die neue junge Schwester Tamara war eine ganze Nacht nicht in ihrer Zelle.

Dass die sonst so unauffällige Mitschwester solche Extravaganzen machte, hätte sich Klothilde nicht gedacht. Mit ihrer piepsigen Stimme und unschuldigen Blick schien sie zu keiner schlimmen Tat fähig.

In ihrer Empörung wollte sie die Sünderin erst streng bestrafen.

Aber dann besann sie sich einer anderen Strategie. Anstatt die kleine Mitschwester mit ihrer Verfehlung zu konfrontieren, legte sie sich auf die Lauer, um zu erfahren, wo das bayburt escort junge Ding hinschlich. In der ersten Nacht entwischte ihr die schlaue Füchsin, weil Klothilde meinte, sie würde zur Klosterpforte schleichen. Hingegen Tamara verschwand in Richtung der anderen Zellen.

In der nächsten Nacht aber bekam sie heraus, dass dieses gerissene junge Ding in die Zelle von Schwester Monika verschwand und auch nicht mehr herauskam.

Zuerst wollte sie in die Zelle zu stürmen und die beiden auf frischer Tat ertappen, aber sie hielt sich zurück. War es doch viel schlauer, Schwester Monikas Zelle zu überwachen, da würde sie viel mehr erfahren, was da vor sich ging.

Schwester Monika war gar nicht mehr auf ihrer Liste, die hatte sich immer schnell schlafen gelegt und keinerlei Anstalten zur Unzucht gezeigt. Hatte sich da vielleicht etwas geändert?

Schon die nächste Nacht brachte ihr neue Erkenntnisse. Und Schwester Klothilde wurde nicht enttäuscht.

Ihre Kamera hatte sie günstig positioniert und sie konnte vom ersten Augenblick an beobachten, wie Monika sich erst zierte, aber die geschickten Verführungskünste Tamaras sie auch dieses Mal wieder rumkriegte.

Monika war schon in ihrem schmucklosen Nachthemd, Tamara streifte sich rasch ihre Tracht ab und bewegte sich frei und ungezwungen nackt in der Zelle auf die Mitschwester zu, die immer noch Skrupel zeigte.

Wie dünn und zierlich Tamara doch war im Vergleich zu der drallen Monika, deren dicke Brüste Tamara erst nur durchs Nachthemd streicheln durfte. Tamara selbst hatte eher nur zwei steife Stifte auf brettebener Brust, die aber rosig frech abstanden. Klothilde malte sich lüstern aus, wie gerne sie die geile Tamara in diese steifen Spitzen kneifen würde, bis sie vor Lust oder Schmerz kreischte.

Mittlerweile hatte diese Monika soweit herum, dass sich die ältere Schwester auf ihren Mund küssen ließ. Und dann begann ein eifriges Lecken und Züngeln, dass Klothilde schon ganz warm wurde beim Beobachten.

Mehr und mehr ließ der Widerstand von Monika nach und sie ließ sich rücklings auf ihr Bett sinken, Tamara streifte ihr das Nachthemd nach oben, sodass auch Monikas Leib nackt zu sehen war. Die Mittzwanzigerin hatte eine feiste, nett anzusehende Rubensfigur, die sanft unter den Zärtlichkeiten der geilen Mitschwester erbebte. Tamara massierte beim Küssen gekonnt Monikas dicke Glocken, dass Klothilde neidisch zusah. Wie gerne hätte sie sich jetzt von der kleinen Schlampe massieren lassen. So musste sie sich selber ihre Brüste drücken und ihre harrten Brustwarzen petzen.

Letztendlich gab Monika vollends nach und ihre runden Schenkel öffneten sich, Tamara rutschte flink dazwischen und versenkte ihr Gesicht im feuchten Scham der Gespielin. Wie eifrig sich das blondgelockte Köpfchen da zwischen den gespreizten Beinen auf und ab bewegte. Sie schleckte ihrer Freundin ihre Möse so lustvoll aus, dass Monika mit völlig entgeistertem Blick und weit geöffnetem Mund genau in Richtung der gierig spannenden Schwester Klothilde stöhnte.

Diese bedauerte wieder einmal, dass es keine Tonübertragung gab. Monika schien einen Dauergesang von sich zu geben, vielleicht würde man sogar das Schmatzen von Tamara hören.

Die von ihren Beobachtungen bereits abgebrühte Schwester Klothilde hielt den Atem an bei einer solchen lesbischen Darbietung der beiden Gespielinnen. Ihre Hand flog an ihrer Möse wie besessen und sie konnte gar nicht schnell genug ihren ersten Orgasmus herbeiwichsen. Und einer folgte dem anderen.

Nachdem Monika zu ihrem Höhepunkt gekommen war, lagen die beiden Lesben nebeneinander und küssten sich sanft. Offensichtlich wollte Tamara ihre Freundin bilecik escort dazu bewegen, sie auch zu schlecken, aber Monika ließ sich darauf nicht ein. Immerhin ließ sie sich dazu hinreißen, Tamaras Vötzchen mit ihren Fingern zu verwöhnen.

Diese hatte einen dünnen Schlitz, der von den äußeren Schamlippen völlig verschlossen wurde, in dem nun die dicken Finger Monikas verschwanden und ihr Glücksmomente bereiteten.

Monikas Möse hingegen war wie ein praller Pfirsich, der jetzt aufgeplatzt und anscheinend nass schimmernd zu sehen war. Genau konnte Klothilde es nicht sehen, sie wünschte sich wie schon öfters, dass die Kamera doch auch zu Zoomen wäre.

Tamara kam mittlerweile so sehr in Fahrt, dass sie das Handgelenk der wichsenden Freundin fest packte und heftig ihr den Rhythmus vorgab. Schwester Klothilde stellte sich vor, wie sich wohl das Schmatzen anhörte.

Anscheinend stöhnte sie ihren Orgasmus in Monikas küssenden Mund. Denn bald danach kamen die beiden zur Ruhe und küssten sich nur noch zärtlich und langsam.

Monika war zur vertrauten Spielgefährtin der geilen Lesbe Tamara geworden. Ob sie sich vielleicht einmal dazu verleiten ließ, auch der Geliebten die Votze auszuschlecken, rätselte Klothilde. Das würde sie nur zu gerne sehen.

Es war ein wunderbarer Anblick, die beiden verdorbenen Schwestern sich so zärtlich verwöhnen zu sehen. Die dralle dunkelhaarige Monika mit breitem Arsch, dicken Schenkeln und großen Brüsten, daneben die dünne aber geile Tamara mit ihren langen Beinen und kleinem, runden Popo.

Wie auch bei allen anderen Schwestern ließ sich Schwester Klothilde im täglichen Leben gegenüber Schwester Monika und Schwester Tamara nichts anmerken, wie gut sie deren Körper kannte und über ihre Lasterhaftigkeiten Bescheid wusste. Aber dennoch lief in ihrem Kopf immer ein geiles Kino ab, wenn sie auf die Mitschwestern traf, das sie innerlich erregte.

So sahen die Schwestern Klothilde meist mit roten Wangen, was sie auf ihre gesunde Lebensweise zurückführten…

All die Jahre hatte Schwester Klothilde immer wieder Abwechslung, wenn wieder eine neue Schwester ins Kloster eintrat. Immer waren sie zuerst züchtig und beinahe keusch. Aber mit der Zeit gewannen sie doch Gefallen an den Spielen, die ihnen ein wenig Freude in ihr tristes Intimleben brachten.

Manchmal war es Klothilde zu viel, wenn sie dauernd nur Schwester Rosemarie beobachtete, immer diese Perversitäten mit ihrer Anal-Fixiertheit. Diese hatte sich mittlerweile auch in ihr hinteres Loch schon zur Ein-Zoll-Kerze gesteigert. Wer weiß, wie weit sie es da noch treiben wird!

Dann war es eine willkommene Abwechslung, wieder einmal Schwester Annegret zu belauschen, die schon ganz rot im Gesicht wurde, nur weil sie sich zwei Finger gleichzeitig in ihre kleine juckende Muschi schob.

Ja, die Abwechslung machte es aus, dass es Klothilde all die Jahre nie langweilig wurde bei der ‚sittlichen’ Überwachung ihrer Mitschwestern.

Und das tollste Husarenstück gelang ihr mit Mutter Clara. Die war zwar schnell ausgesondert von den Beobachtungen, da sie abends nur lange betete und dann sich brav schlafen legte.

Schwester Klothilde wurde von einer Beobachtung inspiriert, als sie zufällig bei einer Haussegnung im Nachbarort Mutter Clara dabei ertappte, als diese in einem unbeobachteten Augenblick den jungen französischen Aushilfs-Pater Jacques von der Seite anhimmelnd musterte. Der Moment war nur wenige Sekunden lang und niemand anderer hatte diesen Blick wahrgenommen, aber Klothilde reichte es schon, um sie in eine gemeine Richtung denken zu lassen: Wie geil wäre es, diese beiden beim Liebesspiel zu beobachten!

Ihr bingöl escort Plan reifte heran, und die Umsetzung war nicht schwer für eine Intrigantin wie Schwester Klothilde. Beim Kirchweihfest in der Pfarrkirche des Dorfes gab es die Gelegenheit, zum einen Mutter Clara zu mehr Weinkonsum zu animieren, als ihr guttat, und Pater Jacques ganz unverfänglich von der stillen Verliebtheit zu erzählen, die Mutter Clara für ihn empfand. Pater Jacques war Franzose durch und durch. Sofort sprang er auf diese einzigartige Gelegenheit an.

Es war für Klothilde ein Leichtes, ihm abends heimlich Zutritt zu Mutter Claras Zelle zu verschaffen. Brauchte sie doch nur für ein paar Minuten die alte Pförtnerin wegzuschicken und sie zu vertreten, schon schlüpfte der junge und gutaussehende Pater ins Nonnenkloster und versteckte sich, bis ihm Klothilde die richtige Zelle zeigte.

Darauf eilte sie geschwind in ihre eigene Zelle, denn sie wollte doch nichts verpassen von dem, was ihr mit der vorbereiteten Kamera geboten würde. Sie wurde nicht enttäuscht.

Mutter Clara machte noch einige Zeit Anstände und versuchte, dem Gefühlsstrudel zu entkommen. Doch Pater Jacques war zu geschickt und sie musste sich ihm doch ergeben, so schwindelig, wie sie von zu viel Wein war.

Küssen, die Kutten abstreifen und einander die nackten Körper bewundernd streicheln, war eine Angelegenheit von wenigen Minuten. Sein jugendlicher athletischer Körper wand sich um den süßen schlanken Leib der bis zu diesem Tage jungfräulichen Mutter Clara. Ihre zarten Brüste, die von harten spitzen Nippeln gekrönt waren, ihre schlanke Taille und ihr süßer, runder Po waren ein reiner Augenschmaus.

Dann spielte Pater Jacques groß auf. Zärtliche Hände und Lippen, und Mutter Clara war Wachs in seinen Händen.

Sie hatte keine Chance gegen die Verführungskünste ihres Liebhabers. Und nicht lange, bis der zielstrebige Franzose zwischen ihren schlanken runden Schenkel zu liegen kam.

Gebannt beobachtete die Spannerin, wie ihre Äbtissin unter dem Hengst lag, ihre Beine links und rechts steil nach oben gestreckt, die Zehen weit gespreizt, der Körper unter den fordernden Stößen bebend, mit denen sich die männlichen Hüften geschmeidig gegen ihren Unterleib krümmten und tief und kräftig in sie hineinstieß. Mutter Clara sah so vergeistigt aus mit selig geschlossenen Augen und weit geöffnetem Mund. Ihre gespreizten Zehen öffneten und schlossen sich im Lustkrampf.

Wie Adam und Eva erschien ihr das kopulierende Pärchen. Und sie malte sich aus, wie die beiden im Paradies ja immer nackt waren und es sicher Tag für Tag getrieben haben, bis sie ermattet voneinander lassen mussten.

Dieses Bild brannte sich in das Gedächtnis der Schwester tief ein. Ja, sie verzichtete für Wochen auf die Pornohefte beim Liebesspiel mit den Kerzen, um das zauberhafte Bild nicht zu verderben.

Nach ihrem Liebesspiel lag die Äbtissin sanft schlafend in den Armen ihres Entjungferers. Da ging auch Klothilde schlafen.

Wochen später, Pater Jacques war schon längst wieder in seine Heimat abgereist, wurde Mutter Clara gewahr, dass die selige Nacht der körperlichen Vereinigung nicht ohne Folgen blieb. Und sie gestand der einzigen Vertrauensperson im Kloster, Schwester Klothilde, unter Tränen ihren Fehltritt. Diese zeigte sich als wahre Freundin.

‚Eine tatkräftige Stütze in der Not’ nannte sie Mutter Clara, und folgte ihren Ratschlägen und entschwand aus dem Kloster.

So kam unser Knabe Stefan zur Welt.

Mutter Clara war zerrissen, sie wankte, welchen Weg sie einschlagen sollte, Mutter oder Klosterfrau. Aber Schwester Klothilde überzeugte sie, im Kloster zu bleiben, da lägen ihre großen Fähigkeiten. Und für den Jungen würde gut gesorgt werden.

Aber eigentlich dachte sie sich, so eine leicht führbare Äbtissin würde sie nicht so schnell wieder bekommen.

Und die Äbtissin folgte ihr auch dieses Mal.

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Mentor Ch. 09 – Tribute

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Chapter 9 – Tribute

After Heather invited me to Cyndy’s party, I decided to splurge on a new dress. This was before I’d savaged my monthly budget at the adult store, but since I’d bought online it wasn’t as expensive as it could have been.

In fact, I’d been looking at a version of the dress since it first popped up as an ad. In the way of Internet ads, once I’d clicked on it, it kept popping up in random locations, and every time I saw it I’d be tempted by it. But when I visited the site after the invitation, I discovered the vendor now had a version in fall colors; a leaf pattern in dull gold and dark orange, that looked even better than the one I’d been considering. The reviews were very positive, and the pricing good, so even though I’m never entirely comfortable buying clothes online, I decided to order it.

I’d also decided to have my hair styled by a hairdresser who’d been recommended to me. I expected to have to take time off work, but when I called she’d just had a cancellation on the Saturday of the party, which was perfect for me.

Then I’d acquired my “necessities” from the toy store, with the result that my monthly savings contribution was going to take a hit. I considered whether I could skip the hair styling, but no, I really wanted to do it. I’d try to make up the savings shortfall next month.

Elaine, the stylist, was impressive. She was middle-aged, motherly, and friendly, but she had a seriously thorough understanding of fashion concepts for younger women. She had the usual commercial books of suggested styles, but she’d also taken many photos of her clients with her own work, and they were excellent, including ruler-straight geometrically perfect hair with rainbow dyes, bright red, magenta, yellow and cyan jobs, spiky hair, wavy hair, braids of separate colors, along with more conservative styles, wedding styles, and the like.

I wanted a style that was half and half, like the wide braid I’d done for myself, but with better braids and more interesting styling of the unbraided remainder. When I described what I’d done and how it had turned out, Elaine was convinced that I hadn’t taken enough hair into my braid, and that it might have been from the wrong places. Since I had such thick hair, she’d recommend… and she deftly pinched out several places to be braided, holding them out of the way, letting the remainder fall naturally. Even with that quick demonstration, my hair lay better over my back than it had.

For the longer term, she wanted to persuade me to let her curl my hair, and to cut it shorter, just below the base of my neck. But for today she’d add some waviness by blow drying, then braid my hair using the design I’d selected. I promised to think about the options for perming.

So after a long session, I had soft waves of dark hair falling well below my shoulder blades, the body formed by teasing out enough hair to create two braids on each side. Each pair of braids joined in an arc on either side of my head, merging in a single braid, woven through with an olive ribbon, a bow at the top, tied off just above the base of the braid. I’d shown her a photo of the dress for her color selection, and she’d chosen the olive to work with its colors.

When she was finished, I was thrilled with the look, and Elaine was well enough satisfied with her work that she asked if she could take a photo for her book. I consented gladly.

~~~~~

I had tried on the dress briefly when it was delivered. Arriving home from the salon, I put it on again and studied the overall effect in the mirror.

The dress was maxi length, backless, and the colors and shapes of the leaf pattern were perfect, working well with my hair. But there was a problem.

The bodice consisted of a pair of narrow triangular cups, each tapering to a point close to the upper edge of my breast, supported by thin straps which crossed behind my shoulders. The aim was to anchor my boobs in the center of the cups, the triangles meeting at the base of my rib cage, giving a deep center slash with an audacious view of cleavage and almost as bold a view from the side. I’d never worn anything so daring in public before.

However, although this had worked well for the online model, her cup size was around a B. It did a poor job of holding my Ds in place. Possibly the cups were just not shaped well, or possibly the model used some additional support, but I could feel my breasts sliding around. Standing still, the dress looked amazing, but when I moved, my boobs swayed and jounced unattractively, and I wasn’t certain they wouldn’t slip out completely.

Any bra I owned would be visible within the deep wedge, as well as spoiling the effect, and my only backless bra would be particularly noticeable in the front. So I drove to a nearby boutique to pick up boob tape. After some experimenting, I found that a strip of tape on both sides of each triangle of fabric gave both stability and lift.

The final result, when I studied my reflection, redeemed my opinion of the aksaray escort dress. Except that next year, I decided, I really needed to work on my tan lines.

When I was ready, I was already running slightly late, though I thought I’d left plenty of time. I packed the rest of the boob tape in my purse, and headed to the coffee shop.

Parking wasn’t hard, but only because most of the stores were closed. After what was still a long walk in heels through an uneven lot, I found the coffee shop full. The tables and chairs had been moved to the side, but even with everyone standing the rooms were crowded.

I seemed to be attracting more attention than I was used to, and I wondered if maybe the dress was too over the top.

The first group of people who weren’t complete strangers included Anita and Heather. Anita held up her hand, then mimed looking for something on the floor. “Hold on,” she said. “I think my heart leaped out of my chest. It has to be around here somewhere.”

I rolled my eyes. “Nice to see you too, Anita,” I said.

She moved in to hug me. “Seriously. You look amazing,” she said.

I kissed her lightly on the lips. “Thanks, Anita,” I said. “That means a lot to me.”

Then I released her and hugged Heather. She stiffened, then returned my embrace briefly before I disengaged.

Heather’s cheeks had colored, but she smiled. Taking my arm, she led me around, leaving Anita with the group they’d been talking to. She introduced me to friends and strangers alike. Margot was nearby, of course, and Tiff and Emma. I hugged them all closely. Dylan seemed surprised by the hug, but not unreceptive. She introduced me to her boyfriend beside her, Austin. I didn’t think Dylan would be okay with me hugging him, too, so I took his hand.

Austin opened his mouth to say something, but Dylan interrupted. “No, you are not going to ask her to model for you.”

I laughed, though I wasn’t sure how serious she was. Dylan spoke up, saying, “I was going to ask what she did for a living. But now that you suggest it…”

Dylan slapped his arm, though her expression was amused, and Austin mock-winced. Heather asked if she could leave me with them, since she had other duties, so I stayed with Dylan and Austin for a while. Dylan realized I didn’t have a drink, so she vanished for a moment, locating some champagne somewhere.

Cyndy showed up as we were talking. She got an extra special hug, since the celebration was about her. Cyndy was shorter than… well, than everyone I could see, though her fiery red hair and her confidence made her seem larger than she was. Her boyfriend, Josh, was behind her, and after I’d released her from my embrace, she took his hand and drew him forward. After talking to him for a while, I found that I liked him, especially his sense of humor. He was shorter than me in my heels, but still well above his partner’s height.

A woman standing with a group by the far wall glanced my way, catching my eye. I recognized the glasses before I realized who it was. “Is that Michelle?” I asked, to no one in particular.

It was Austin who replied. “Oh, yeah. I guess you’d know her. I invited her. She’s a friend of mine.”

That was interesting. I’d assumed her invitation had come from one of my friends, though as our bartender, she’d never seemed to be part of any particular friend group.

I asked Cyndy how it came about that she was buying the shop. She started to reply, but more of her friends showed up, and she had to excuse herself. In her absence, Josh took over, telling me about her plans and the previous owner’s – Pam’s – desire to avoid selling to a chain. Cyndy was studying business at the community college, and was well-versed in what the shop needed to survive.

He was winding down when a hand curled around my right arm, and I heard a voice from too close to my right ear. “You look so hot today that I wanted to see if I burned up.”

Turning my head, I found myself looking into pale blue eyes behind lenses in a large rose-gold frame. “Hey, Michelle,” I said.

She turned to Austin, her hand still on my arm. “I’m taking this young lady away from you before you get her in trouble.”

I heard Dylan say, “Good plan,” and I gave Josh an apologetic shrug. I’d catch up with him later.

Michelle led me a few yards away to a relatively quiet spot, then released me. “Are you doing anything after the party?”

“Not that I know of,” I said. “Why?”

“Wanna have some fun with me?” she asked.

“Could you be a little more obscure?” I asked. “The clarity is killing me.”

“My band is playing the Duck,” Michelle replied. “I can get you in, waive the cover, free drinks. Don’t drive, take an Uber from your home. I need to leave, right now. What’s your number?”

I told her, and she sent me another number by text. “That’s our manager, Joe. If you can make it, text him when you get there. And damn, I really do love that outfit.” Putting her finger to her lips, she whispered, “Don’t tell anyone. I try not amasya escort to mix band duties with real life.”

She bolted. I guess she really did need to leave. I took out my phone and replied to her text. “I’ll try to make it. What time would be good? That’s Moby Duck, right?”

My phone was silent for ten minutes. When it pinged, I was talking to Fi, who had just shown up.

Michelle: “Yes. If you arrive before 10:30pm, we can catch up on the last break. Playing to 11:30 so later is okay, too.”

I had another champagne with Fi, but that would be my last. I was driving from here, whether or not I took an Uber to the Duck. After I moved on from talking to Fi, I saw Anita in an animated conversation with an attractive redhead. This must be the date Margot had mentioned.

I tried not to glare at the girl, turning away to look for Josh.

The crowd started to thin at nine, and though by nine-thirty it wasn’t exactly quiet, it seemed a good time to say my goodbyes. I’d spent a half hour with Austin and Dylan, learning about their comic project. The first issue had been released, to a good reception. There was a surprising degree of tension between the two when they talked about creating the series finale, which was almost upon them.

A text arrived. I thought it would be Michelle, with instructions or updates, but I was wrong.

Fi: “Looks like ur getting ready to leave. Wanna do something?”
Me: “Can’t. Have plans 😢. Another time?”
Fi: “Damn. Not the early bird, I guess. We’ll talk at Gabby’s.”
Me: “Did you just call me a worm? 🤔”
Fi: “Possibly.”

~~~~~

I was overdressed for Moby Duck, but I didn’t want to take the time to change. The boob tape seemed to be holding up well, so I left it alone. Firing up the Uber app as soon as I arrived home, I booked myself a trip to the Duck.

Arriving a little after ten, I texted Joe and waited outside for him. He showed up, then led me inside, past the bouncers, depositing me at his table just before ten fifteen. He leaned toward me as I sat, and shouted over the noise of the band. “Whaddya want? Shell says they have a hard cider with poblano and habanero that you’d probably like, but she said to get you anything.”

“I’ll try the cider,” I said, then settled back to watch the show.

~~~~~

Michelle’s band was good. Metal has never been my favorite musical style, but I could recognize quality and imagination. Michelle played bass and sang – or often yelled, but yelled musically, with good intonation – lead vocals. She’d traded her delicate rose gold glasses for tortoiseshell-framed smoked glass, dark at the top, fading to clear at the lower rim.

The guitarist was a short girl in large black plastic glasses who didn’t look like she had the strength to shred her instrument the way she was doing. She wore a tee shirt, shorts and boots, and her face was outlined in dark makeup. The drummer was a girl with dark hair as long as mine, which flew in all directions as she played. The final member was a bearded guy who played keyboards and guitar.

Michelle was wearing a shirt and jeans, except that she wasn’t really wearing the shirt. It was fully unfastened, hanging from her shoulders, revealing a bright red cage bra with too many straps, over inked skin. At the end of the song she handed her bass to a stage hand, shucked the shirt off completely, earning a few whistles and revealing the tattoos on her arms I’d seen when she tended bar, then traded it back for her instrument. Glancing to Joe’s table, she saw me and gave me a thumbs up.

Just after ten-thirty, Michelle held up her hand. “Last set break, guys,” she said. There were good-natured groans. She held her hand up again. “Listen, my friend arrived, and if you think I’d rather be around your sweaty bodies than her, you haven’t seen her yet.”

Oh, great, now every guy in the place is going to be staring at me in this highly unsuitable outfit. Thanks, Michelle.

I raised my glass to her as she approached. “Thanks for the cider recommendation.” Another glass appeared before me, Joe having brought a beer for Michelle.

She kicked her chair so that it slid across the floor to mine, then dropped into it, leaning against me as she sank a good third of her beer in one draw. Then she lowered her head to my shoulder, an arm around my back. “God, this is hard work.”

“Looks like it,” I said. “You’re all very good.”

“Thanks,” Michelle replied. “We used to be mostly just a cover band. Lately, we’ve been able to play more of our own material. We will have a few covers in the last set if you don’t like ours.”

I shrugged, “Metal isn’t really my thing, but the atmosphere’s great, and I haven’t been bored yet.”

“I’d say we were more hard rock than metal,” Michelle objected.

“Guess I’m not up on the difference,” I said. “The band name seemed metal.”

Michelle chuckled. “I see. Well, when we were mostly a Halestorm tribute bad, we used to be called ‘Daughters of Darkness,’ antalya escort which is the title of one of their songs.”

“I know it,” I said. “I know several of their songs, and I think the first time I saw you, you were wearing a Halestorm tee shirt.”

“Probably,” she agreed. “Then we fired our keyboard player, and the name didn’t fit so well when Jon joined. As I say, we’re playing our own material now, so changing the band name to ‘Of Darkness’ seemed to fit the style and still touch on our roots. The point stands, though. If you can take another forty-five minutes, maybe we can get to something you will enjoy.” She turned her head to look directly up at me from my shoulder, and raised her eyebrows suggestively.

My first cider was almost finished. I lifted the glass and swallowed the rest. “Michelle…” I began. She raised her eyebrows again, expectantly, this time. “This is a weird thing to say, and I’m feeling a bit weird saying it, but you seem very flirty for a straight woman.”

At that she leaned back, her laughter deep and genuine. Her grip on my side didn’t waver, though. “So wait…” she said, getting her laughter under control. “You thought I was straight? Whatever gave you that idea?”

My face heated, though I guessed it wouldn’t be noticeable in the bar’s low lighting. “I had it on the authority of someone… who has misrepresented the truth to me and about me more than once, now. Fuck.”

“Besides,” she said. “I heard that you like seducing straight women.”

That gave me pause, and after a moment, I laughed, too. “I think your source and my source just might happen to be the same woman.”

“Huh,” she said, turning a shade more serious, though her eyes still sparkled with amusement. “That adds up. So, let me be clear. I want to take you to my place and suck you senseless. Does that fit your plans?”

“I…” I had to clear my throat. “I could go for that. It does remove the ambiguity I’ve been feeling.”

She leaned in close. Her lips brushed my earlobe, making me shiver, as she whispered, “I’m always extra horny after a good gig.”

“I’m in trouble, aren’t I?” I asked. Michelle chuckled, her lips still touching my ear, then leaned back.

Taking a long sip from my second glass of cider, I turned to find Michelle’s eyes fixed on the deep plunge between my boobs. I cleared my throat. She looked up, grinning unapologetically, then drained another third of her beer.

Knowing her intentions didn’t ease my apprehensions much. Her playing proved that she had a metric ton of energy, and her gig-induced horniness was going to be focused on me. I shivered, causing Michelle to raise her eyebrows.

“So, umm,” I said, reaching for a neutral topic. “You know Dylan’s boyfriend, rather than the coffee shop employees?”

“I know them through him, yes,” she said. “I work with him most weeks at O’Neill’s. He had me posing for drawings for his comic.”

“Nude modeling?” I asked, recalling Dylan’s objection to him recruiting me.

“No,” she stated. “I think he turned me into an orc, or maybe an ogre, but also into a human CEO of a criminal organization.”

“I wonder what he’d do with me,” I mused, thinking of the near-offer that Dylan had shut down.

“I know what I’d do with you,” she said.

“You made that clear,” I replied.

“I’ll make it clearer yet,” she confided. “Gotta get back to work,” she added, then drank the rest of her beer. “Don’t go anywhere.”

Back on the low stage, the other musicians were preparing. Michelle slipped the shirt off her shoulders and tossed it toward the back. She turned to blow me a kiss, then made a couple of hip thrust motions that left no one in doubt what her plans were for me. I sighed as she strapped herself into her bass and checked her tuning, before the band broke into Halestorm’s “Familiar taste of poison,” which showed that Michelle didn’t need to scream. She had a great voice.

The last of my cider vanished during that song, but I discovered that Joe had already set up the next. I raised my glass to him.

After my third cider had bitten the dust, I avoided the fourth that was sitting in front of me, joining the crowd dancing by the stage, quite buzzed. Though I was out of place among the jeans, tank tops and leather, no one at all seemed to care, guys and girls alike including me in their gyrations.

When the band started unstrapping their instruments at eleven-twenty I was surprised, but the clamor from the audience made it clear this was expected, because they were all yelling for one more song by name. Of course the band all picked up their instruments for the encore, the bearded keyboardist taking a guitar.

After a count, they broke into Halestorm’s “Amen,” and while the initial focus was entirely on Michelle, with only subdued chords from the male guitarist, bass and voice with light strokes from the drummer, it was the small girl playing guitar who stole the show, with her crashing chords as she bounced around the stage, circling and arching her back toward Michelle, before breaking into a long and amazingly good guitar solo, with Michelle and the other guitarist keeping the rhythm while she strutted around the stage tearing amazing sounds from her instrument. When the solo blended back into Michelle’s vocals, the cheers vied with the band’s volume level.

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Die Sportstudentinnen Teil 04

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Ass

Den Rest des Nachmittags und Abends hatte ich vor lauter Vorfreude, geiler Lust und Nervosität die ganze Zeit ein Kribbeln im Bauch und zwischen meinen Schenkeln.
Ich konnte es kaum erwarten und so ging ich, nach dem ich mit Katja und Daniela gemeinsam zu Abend gegessen hatte, schon recht früh zu Bett.
Im Bett liegend sah ich alle paar Minuten auf die Uhr in der Hoffnung es wäre bald halb zwölf.
Zwischen meinen ungeduldigen Blicken auf die Uhr, versuchte ich mir vorzustellen, wie es wohl werden würde. Auch die Erinnerung an heute Nachmittag als Katja meine geile Muschi geleckt hatte und mir damit den heftigsten Orgasmus bescherte, den ich bis dahin erlebt hatte, kam wieder zurück und ich begann bereits wieder sehr feucht zu werden.
Ich vermied es jedoch mich selbst zu berühren, da ich meine Geilheit für Katja aufheben wollte.
Nach einiger Zeit, die mir wie eine Ewigkeit erschien, hörte ich schließlich, wie sich Katja und Daniela auf dem Flur eine gute Nacht wünschten und auch zu Bett gingen. Es war bereits kurz nach 23 Uhr, so dass meine Nervosität ebenso wie meine Erregung ins schier Unermessliche stieg.

Schließlich war es endlich halb zwölf und im ganzen Haus war kein Geräusch mehr zu hören. Nur mit meinem Bademantel bekleidet schlich ich mich leise aus meinem Zimmer über den dunklen Flur zu Katja’s Zimmertür. Leise öffnete ich die Tür und schlüpfte in ihr Zimmer. Es lag im gleichen Halbdunkel wie in der Nacht, als ich Daniela und Katja durch das Schlüsselloch beobachtet hatte, denn es brannte nur die kleine Lampe auf Katja’s Schreibtisch.
Als ich zu ihrem Bett hinüber sah, lag sie darin mit der Bettdecke bis zu ihren Schultern hochgezogen und grinste über das ganze Gesicht.
Als ich die Tür hinter mir leise geschlossen hatte und schließlich vor ihrem Bett stand, zog sie mit einer einzigen schnellen Bewegung die Bettdecke weg und ich sah, wie sie splitter-nackt mit weit gespreizten Beinen vor mir lag.
Obwohl ich sie bereits nackt gesehen hatte, verschlug es mir dennoch die Sprache! Was für ein geiler Anblick!
“Na, bereit für Deine Kostprobe?” fragte sie neckisch.
“Ja, bitte, bitte!” antwortete ich, ihr kleines Spielchen mitspielend.
“Na, dann komm her!” sagte sie und klopfte mit ihrer linken Hand neben sich aufs Bett.
Ich öffnete meinen Bademantel und lies ihn über meine Schultern nach unten gleiten, so dass ich schließlich nackt wie Gott mich schuf vor ihrem Bett stand und fragte: “Ich hoffe, Du hast nichts dagegen, dass ich mich etwas leichter gekleidet habe?”
Sie lachte kurz und meinte: “Ganz und gar nicht!” und klopfte erneut mit ihrer Hand neben sich aufs Bett.
Ich legte mich neben sie und sie zog mich zu ihr herüber, fasste mit beiden Händen meinen Kopf und küsste mich auf den Mund. Während wir uns küssten, rückte ich noch etwas näher an sie heran, so dass sich unsere Körper nun eng aneinander schmiegten. Dabei lag mein halber Oberkörper auf ihrem wodurch sich zum ersten Mal unsere nackten Brüste gegenseitig berührten, was meine Nippel sofort hart werden lies.
Während wir uns weiter leidenschaftlich küssten, wanderte ihre linke Hand über meinen Nacken, meine Schulter hinab und begann schließlich meinen Rücken und meinen Po zu streicheln.
Dadurch ermutigt, lies auch ich nun meine linke Hand über ihren Körper wandern bis ich schließlich an ihrer rechten Brust angekommen war, die ich nun zärtlich zu streicheln begann. Mit meinem Mittelfinger zog ich kleine Kreise um ihren Nippel, von dem ich spürte, wie er zunehmend härter wurde und sich weiter aufrichtete.
Als ich ihre Nippel schließlich zwischen meinem Daumen und Zeigefinger hin und her zwirbelte, stöhnte Katja leise in meinen Mund, wo unsere Zungen einen wilden leidenschaftlichen Tanz vollführten.
Ich begann schließlich ihre Brust heftiger zu kneten und zog immer wieder etwas an ihrem inzwischen steinharten Nippel, so wie ich es auch immer sehr gemocht hatte und was auch Katja zu gefallen schien, denn immer öfter stöhnte sie leise in meinen Mund.
Schließlich löste sich unser Kuss und ich begann mit kleinen Küssen von ihrem Kinn, ihren Hals hinab, in Richtung ihrer rechten Brust zu wandern. Dort angekommen leckte ich mit meiner Zungenspitze in kleinen Kreisen um ihren Nippel herum.
Schließlich umschloss ich mit meinem Mund ihren ganzen Vorhof und saugte ihren Nippel kräftig in meinen Mund, wobei ich mit meiner Zunge gleichzeitig ihren Nippel hin und her bewegte.
Ohne aufzuhören ihre rechte Titte mit meiner Hand zu kneten, wechselte ich nach einer Weile mit meinem Mund zu ihrer linken Brust und lies auch ihr die gleiche Behandlung zu kommen, wie gerade noch der anderen.

Schweren Herzens löste ich mich von Katja’s Titten und kroch weiter nach unten und kniete mich nun zwischen Katja’s weit gespreizten Beinen, von wo ich einen herrlichen Blick auf Katja’s blank rasiertes Fötzchen hatte, das bereits vor Erregung deutlich sicht bar angeschwollen war. Ich beugte mich nach vorne und Küste Katja zunächst auf ihren Bauchnabel. ardahan escort Dann streckte ich meine Zungenspitze heraus und leckte eine dünne Spur meines Speichels hinterlassend von ihrem Bauchnabel hinab zu ihrem Venushügel mit dem neckischen V, das sie bei ihrer Rasur hatte stehen lassen. Auch dort platzierte ich einen dicken feuchten Kuss.
Inzwischen strömte mir der intensive moschusartige Duft ihrer Geilheit entgegen und ich verharrte einen Moment um ihn genüsslich einzusaugen.
Als ich mit meiner Zunge weiter nach unten leckte und schließlich bei Katja’s Klit angekommen war, streckte sich mir diese bereits rot und geschwollen aus ihrem süßen Versteck entgegen. Mit der Spitze meiner Zunge umspielte ich ihre Klit, wodurch Katja zu stöhnen begann und ihren Unterleib mir entgegen schob. Ich stülpte meine Lippen über ihre Klit und saugte sie kräftig in meinen Mund, so wie ich es kurz zuvor mit ihren Nippeln getan hatte, was Katja noch lauter stöhnen lies.
Ich warf einen kurzen Blick zu ihr nach oben und konnte sehen, wie sie ihren Kopf in den Nacken geworfen hatte und mit beiden Händen ihre Titten knetete, wobei sie mit ihren Daumen und Zeigefingern in ihre steifen Nippel kniff.

Und dann tat ich das, wovon ich schon seit Tagen geträumt hatte: Ich streckte meine Zunge soweit raus wie ich konnte und schleckte die ganze Länge ihrer feuchten Spalte zu erst von unten nach oben und dann wieder von oben nach unten.
Ich nahm meine Finger und schob damit ihre äußeren Schamlippen noch weiter auseinander, wodurch sich mir ihre nasse Fotze in ihrer vollen Pracht darbot! Immer wieder und wieder leckte ich mit schnellen langen Zügen ihre geile Fotze auf und ab. Ich dachte ich wäre im Himmel so geil war das! Und sie schmeckte noch viel besser als ich erwartet hatte, ja sogar noch viel besser als mein eigener Mösensaft, was ich fast nicht für möglich gehalten hätte.
Katja schien das auch sehr zu genießen, denn sie schob nun im gleichen Rhythmus, wie meine Zunge ihre Spalte leckte, mir ihr Becken entgegen und stöhnte dabei jedes Mal so laut, dass ich schon befürchtete Daniela könnte uns hören, obwohl ihr Zimmer am anderen Ende des Flures lag.

Mit keuchendem Atem sagte Katja plötzlich, während sie sich etwas aufgerichtet hatte:
“Dreh Dich um, ich will gleichzeitig Deine geile Fotze lecken!” und deutete mit einer Hand eine Kreisbewegung an.
Ich begriff sofort was sie meinte, stand auf stellte mich über sie und ging rechts und links von ihrem Kopf wieder in die Knie, so dass meine inzwischen ebenfalls klatsch nasse Möse direkt über Katja’s Gesicht schwebte. Nun beugte ich mich immer weiter nach vorne, wobei ich mich mit meinen Ellenbogen abstützte, bis schließlich mein Bauch leicht auf dem ihrigen lag und wir uns nun in einer klassischen 69er Position befanden. Ich hatte noch kaum meine Beine gespreizt um meine Muschi tiefer zu Katja’s Gesicht zu bringen, da spürte ich auch schon ihre Zunge in meine Fotze eintauchen. Dieses mal war es an mir laut zu stöhnen und eine Hitzewelle durchströmte meinen ganzen Unterleib, während Katja mich mit ihrer Zunge fickte, wie sie es bereits heute Mittag getan hatte und dabei mit beiden Händen meine Po-Backen knetete.
Doch ich lies mich nur kurz ablenken und widmete mich wieder der Möse, die nass glänzend vor mir lag.
Ich begann damit erneut ihre geschwollene Klit einzusaugen und zwischendurch mit meiner Zunge immer wieder kräftig darüber zu lecken.
Meine Arme hatte ich unter ihren Oberschenkeln durchgeschoben, so dass ich nun auch mit meinen Händen ihre Pussy erreichte.
Ich strich in schnellen Hin- und Herbewegungen mit den Fingern einer Hand über ihre Schamlippen, die dabei laut schmatzende Geräusche von sich gaben, während ich weiter genüsslich an ihrer Klit leckte.
Schließlich schob ich mit beiden Händen wieder ihre Schamlippen weit auseinander und leckte ganz langsam von ihrer Klit hinab zu ihrem geilen Fotzenloch, das durch ihre Erregung weit offen stand. Zunächst umkreiste ich mit meiner Zungenspitze ihr heißes Loch und presste schließlich meinen ganzen Mund darüber während ich meine Zunge so tief in sie hinein schob wie ich nur konnte.
Katja hörte für einen Moment auf mich mit ihrer Zunge zu ficken und stöhnte ein lang gezogenes “Aaahhh! Ist das geiiil!” hinaus.
Während ich sie nun leidenschaftlich mit meiner Zunge fickte, hatte sie begonnen meine Klit mit kräftigen, kurzen Zügen zu lecken, während sie den Mittelfinger einer Hand mit schnellen Stößen in meine Fotze rammte.
Auch ich nahm nun meine Finger zu Hilfe und schob gleich drei auf einmal tief in sie hinein, während ich abwechselnd ihre Klit und ihre Spalte auf und ab leckte.
Den Mittelfinger der Hand, die ich in immer schneller werdenden Stößen in sie stieß, krümmte ich leicht nach oben, in der Hoffnung so vielleicht ihren G-Punkt zu erreichen.
Ich weiß nicht, ob ich tatsächlich ihren G-Punkt gefunden hatte, aber fast augenblicklich begann Katja so heftig ihren Unterleib artvin escort rhythmisch meiner Hand entgegen zu stoßen, dass ich Mühe hatte, meine Zunge an ihrer Klit zu lassen und ich beinahe das Gefühl hatte, eine wilde Stute zu reiten.
Nicht lange und da verkrampfte ihr ganzer Körper und ich spürte wie sich die Wände ihrer Fotze in schnellem Rhythmus um meine Finger zusammenzogen, während sie gleichzeitig durch eine wahre Flut von Mösensaft umspült wurden. Schnell zog ich meine Finger aus ihrer pulsierenden Fotze heraus und legte meinen Mund über ihr Loch und saugte so viel von diesem süßen Nektar, den ich so sehr liebte, ein, wie ich nur konnte.
Ich spürte wie sich ihr Körper langsam wieder entspannte, doch ich saugte noch weiter an ihrer Fotze, bis schließlich kein einziger Tropfen ihres Nektars mehr übrig war.
Katja hatte während ihres Orgasmus aufgehört mich zu lecken und gerade wollte ich von ihr herabsteigen, als sie mich mit beiden Händen auf meinem Po weiter nach unten in ihr Gesicht drückte und wieder ihre Zunge in schnellen Kreisbewegungen über meine Klit rieb.
Ich richtete meinen Oberkörper ein Stück auf und stützte mich mit meinem rechten ausgestreckten Armen ab, während ich mit meiner linken Hand meine Titten knetete und hin und wieder meine steifen Nippel zwischen den Fingern drehte.
Katja leckte nun meine nasse Spalte auf und ab, wobei ich sie unterstützte, indem ich meine geile Möse in kleinen Vor- und Zurück-Bewegungen meines Beckens über ihren Mund schob. Ich spürte dabei ihren heißen Atem, der von ihrem Orgasmus immer noch schnell und heftig ging, über meinen Damm und mein feuchtes Arschloch streichen. Immer wieder rieb ihre Nase dabei sogar direkt an meinem Damm.
Das machte mich nur noch geiler und ich stöhnte laut: “Jaa, Katja leck mich! Ohh, ja ist das geil!”
Ich verstärkte die Bewegungen meiner Hüfte und spürte, wie immer wieder sogar Katja’s Nase durch meine nasse Spalte glitt. Ich befürchtet, dass sie eventuell nicht genug Luft bekommen könnte, doch Katja schob ihr Gesicht sogar immer noch tiefer in meine geile Möse.
Ich richtete meinen Oberkörper ganz auf, um so einen noch größeren Bewegungsspielraum für meine Fotze zu bekommen und zudem konnte ich so auch meine beiden Titten gleichzeitig kneten, da ich mich nicht mehr abstützen musste.
Ich lies meine nasse Muschi nun über Katja’s ganzes Gesicht kreisen, so dass es inzwischen komplett mit meinem Mösensaft beschmiert sein musste.
Ein paar mal leckte Katja dabei auch über mein Arschloch, was mich nur noch wilder werden ließ.
Als sie schließlich sogar mal ihre Nase tief in meine Fotze schob, merkte ich, dass ich jeden Moment kommen würde und stöhnte: “Ohh mein Gott! Ich komme gleich! Ohhhh, jaaa ich komme!”
Katja presste sofort ihren weit geöffneten Mund auf meine Lustgrotte und steckte ihre Zunge tief in mich hinein, während ich aufgehört hatte meine Hüfte über ihrem Gesicht kreisen zu lassen.
Es dauerte keine Sekunde und meine Scheidenwände zogen sich zuckend um Katja’s Zunge zusammen und mich überrollte ein unglaublicher Orgasmus.
Ich konnte kaum mein Gleichgewicht halten, während Katja begierig meinen Mösen-Saft schluckte, den ich ihr in den Mund spritzte.
Es dauerte eine ganze Weile, bis meine Zuckungen abebbten und ich wieder tief einatmen konnte, während Katja noch immer an meiner Muschi saugte.
Zitternd und außer Atem stieg ich schließlich von Katja’s Gesicht herab und legte mich neben sie.
Katja drehte sich auf ihre Seite und presste ihren heißen und von Schweiß und Mösensäften glänzenden Körper an mich.
Sie gab mir lächelnd einen Kuss, wobei ich mich wieder selbst schmecken und riechen konnte und sagte schließlich: “Wow, das war einfach unglaublich! Du bist ein echtes Naturtalent!”
“Heißt das, ich bekomme bei Gelegenheit noch eine Kostprobe?” fragte ich frech.
Sie lachte und sagte: “Du bist jeder Zeit herzlich willkommen!”

“Und was ist mit Daniela? Wird sie denn dann nicht eifersüchtig?” fragte ich nach einer Weile mit ernster Mine.
“Das las mal ruhig meine Sorge sein! Ich hab da schon so eine Idee.” antwortete sie geheimnisvoll.

Wir hielten uns eine ganze Weile fest im Arm, während wir uns leidenschaftlich küssten und mit unseren Händen zärtlich unseren ganzen Körper streichelten.
Je länger wir uns küssten und streichelten, umso mehr spürte ich, wie in mir die Lust bereits wieder zurückkehrte. Offenbar ging das nicht nur mir so, denn Katja schob nun langsam ihren Körper auf mich, so dass sich unsere Titten gegeneinander pressten und ihre Beine zwischen meinen gespreizten Schenkeln lagen.
Sie küsste nun mein ganzes Gesicht und meinen Hals, während ich mit meinen Händen ihren Rücken und ihren knackigen Hintern streichelte.
Ich spürte wie Katja begonnen hatte mit kleinen Vor- und Zurück-Bewegungen Ihre Klit an meinem Venushügel zu reiben. Woraufhin ich meine Beine noch weiter spreizte und ihr die Unterseite meines Beckens entgegen schob, so dass sich schließlich bodrum escort unsere beiden Liebesknospen trafen und fest aneinander rieben.
Ich flüsterte ihr dabei mit zitternder Stimme ins Ohr: “Ohh ja, reib Dich an mir! Das macht mich so geil!”
Und mit ebenso zitternder Stimme flüsterte sie in mein Ohr: “Und was glaubst Du wie mich das erst geil macht!” und bei diesen Worten drückte sie noch etwas stärker ihr Becken gegen meines und vollführte damit nun kleine Kreisbewegungen.
Ich knetete während dessen immer stärker ihren Knack-Arsch und lies immer mal wieder einen meiner Finger über ihre Rosette und hinab zu ihren Damm gleiten.
Und schließlich schaffte ich es sogar über ihren Damm hinaus und schob meinen Mittelfinger von hinten in ihre heiße Fotze. Worauf sie mir ins Ohr stöhnte: “Jaa! Fick meine geile Fotze!”
Was ich natürlich auch tat, obwohl es gar nicht so einfach war, da sich unsere beiden Becken in immer heftigeren Bewegungen aneinander rieben.
Während ich so versuchte Katja’s Fotze von hinten mit meinem Finger zu ficken, hatte Katja wieder begonnen mir auf den Mund zu küssen und schob dabei im gleichen Takt meines Fingers ihre Zunge in meinen Mund.
Sie hatte sich dabei nun auf ihre Ellbogen gestützt, wodurch sich unser Bauch kaum mehr berührte, während nun auch unsere Titten aneinander auf und abrieben, was ein herrliches Gefühl war.
Schließlich löst sich unser Kuss und wir schauten beide zu unseren schweißnassen Titten hinab, deren steinharte Nippel nun aneinander rieben. Katja lies dabei ihren Oberkörper leicht kreisen, so dass ihre Nippel im Kreis um meine herum strichen.

Schließlich stütze sich Katja ganz auf ihre ausgestreckten Arme, bog ihr Kreuz leicht durch und brachte so ihr Becken in eine noch steilere Position und ich spürte, dass so nun auch ein großer Teil unsere Schamlippen aneinander rieben. So rieb und stieß sie nun unsere feuchten Muschis aneinander, fast so als würde sie mich in der Missionars-Stellung mit einem Schwanz ficken. Sie hatte dabei ihren Kopf nach vorne gebeugt, so dass ihr langes schwarzes Haar auf meinen Bauch fiel, während sie dabei zusehen konnte, wie sich unsere Muschis aneinander rieben.
Da ich in dieser Position leider nicht mehr mit meinem Finger an ihre Fotze heranreichte, begann ich mit beiden Händen meine Titten zu kneten.

Nach einiger Zeit meinte Katja: “Ich weiß, wie ich meine Muschi noch besser an Deiner reiben kann!” und löste den Kontakt unserer Fotzen und setzte sich zurück, mir gegenüber aufs Bett. Dabei schob sie ihr rechtes Bein unter meinem linken hindurch, während ihr rechtes Bein über meinem linken lag, so dass wir uns nun mit ineinander verschränkten Beinen gegenüber saßen. Schließlich schob sie ihren Schoß langsam immer weiter nach vorne, wobei sie mit Zeige- und Mittelfinger ihre äußeren Schamlippen auseinander geschoben hielt, bis sich schließlich unsere beiden Muschis wieder “küssten”.
Tatsächlich lag ihre ganze Fotze nun direkt auf meiner und wir begannen nun wieder in kleinen Kreisbewegung sie aneinander zu reiben. Das Gefühl dabei war einfach unglaublich und wir stöhnten beide gleichzeitig vor Lust.
Wir variierten dabei die Bewegungen unserer Becken. Mal kreisten unsere Muschis aufeinander, mal rieben wir auf und ab und mal hin und her, bis Katja schließlich auch noch damit begann unsere Fotzen mit kurzen Bewegungen aneinander zu stoßen, was jedes Mal echt geile Geräusche machte, wenn unsere klatsch nassen Fotzen aneinander patschten.
Da wir in dieser Position beide fast aufrecht saßen, brauchten wir nur eine Hand um uns abzustützen, also hatte Katja damit begonnen meine Brüste zu streicheln, während ich meine Hand auf ihren Venushügel gelegt hatte und mit meinem Daumen ihre Klit hin und her rieb. Das macht Katja ganz wild und sie warf den Kopf zurück und stöhnte laut auf, während sie immer schneller ihre Möse an meiner rieb.
Wie wild begann Katja sich an mir zu reiben und ich merkte, dass sie ihrem Höhepunkt schon recht nahe war und rief “Ohh Katja, komm für mich! Ich will dass Du kommst! Spritz Deinen Saft auf meine Fotze!”
Kurz darauf sah ich wie sie mit offnem Mund, geschlossenen Augen und lustverzerrtem Gesicht den Atem anhielt und ihre Möse fest gegen meine presste. Schließlich krampfte sie so zusammen, dass ich auf ihrem schlanken, durchtrainierten Bauch sogar einen 6-Pack erkennen konnte, um den sie die meisten Männer beneidet hätten und ich spürte wie ihr zähflüssiger Pussy-Saft über meine Klit, meine Spalte hinunter, über meinen Damm bis fast zu meiner Rosette lief und von dort auf das Bett tropfte.
Katja hatte sich mit einem lang gestreckten “Aaaahhh!” nach hinten auf das Bett fallen lassen und lag dort nun schweißnass und schwer atmend.
Ich war ein Stück zurück gerutscht, so dass sich unseren Muschis nicht mehr berührten und hatte begonnen mit den Fingern meiner Hand ihre Pussy-Säfte über meine ganze Möse und meinen Venushügel zu verreiben, während ich direkt vor mir ihre unglaublich rot geschwollene und noch immer pulsierende Muschi betrachtete.
Den Rest ihres Liebes-Nektars, den ich noch an meiner Hand hatte, verrieb ich über meine steifen Nippel und leckte schließlich meine Finger genüsslich ab.
Katja hatte sich inzwischen auf ihre Ellbogen gestützt und mir dabei lächelnd zugesehen.

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