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Mia Sans Dessous

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Babe

mia sans dessous.

****************

par mia michael

1 – De Paris à Lyon.

Tout a commencé par un chagrin d’amour.

Je pourrais dire, c’était de sa faute, lui vous dirait, c’est la mienne. Bah, qu’importe…

Il arrive un moment où il n’y a plus moyen de recoller les morceaux.

Sa dernière phrase, “Tire toi, dégage!”, a été la phrase de trop. J’ai mis tout ce que j’avais

dans une petite valise, je me suis tirée et je ne l’ai plus jamais revu.

Je suis partie dans la nuit, avec ma valise dans une main et mon chagrin comme un boulet à un pied.

J’ai été retrouver des copains… J’ai bu, j’ai pleuré… Et puis, j’ai fait des conneries, normal…

A l’époque j’étais très douée pour ça et, là, j’avais une bonne raison de m’étourdir…

Une semaine à boire, à déconner…

À dépenser le peu d’argent que j’avais… puis à faire des dettes. Pour rembourser, j’ai accepté de

l’argent de gens dont il vaut mieux se méfier… Je pressentais que je devrais rendre des services

dangereux, très dangereux.

Tout allait partir en couilles, je le sentais…

Peut-être, était-ce ce que je cherchais??

Paris était devenu trop chaud pour moi et ma vie ne ressemblait plus à rien. La solution, c’était

de me tirer de nouveau, vite, et de changer de vie.

Avec le peu d’argent que j’avais, je me suis rendue à la gare de Lyon. Au guichet, j’ai demandé

un billet…”Pour où??”, m’a demandé le préposé. “Pour… Lyon”, j’ai répondu, comme ça… C’est beau

comme nom, c’est au Sud, il y a un fleuve et une rivière, dans lesquelles j’allais noyer mon chagrin.

J’ai loué une petite chambre dans un hôtel minable. J’ai traîné une journée, envie de rien…

Et puis le lendemain après midi, je suis allée boire un verre dans le Centre. Il faisait beau,

je buvais une eau minérale… Un jeune guitariste est venu chanter “Hôtel California” et puis un peu

timidement, il a fait la manche. Ça ne marchait pas fort… quand il est arrivé à moi je lui ai dit,

“Je suis fauchée, mais je peux te donner un coup de main pour la manche”. Je l’ai vu hésiter, genre,

elle est sérieuse ou elle se fout de moi… Il m’a regardé attentivement et ça l’a convaincu. On a été

à une autre terrasse, il a refait sa chanson et moi avec un grand sourire, j’ai dit de table en table

“Aidez deux jeunes belges qui n’ont même plus de quoi s’acheter des frites”. Les gens, ça les a fait

marrer, un peu. Ils m’ont refilé des pièces. On a été de terrasses en terrasses et au bout d’une heure,

on avait un belle somme. Le gars était ravi. Il m’a proposé : “Il y a une soirée techno ce soir, on va

s’acheter des “Xtas” et faire la fête.”.

C’est vrai que j’avais une folle envie d’aller m’éclater avec ce gars qui me plaisait, mais je savais

que tout allait recommencer. Je lui ai dit que j’avais un rendez-vous le soir et je l’ai quitté en lui

laissant l’argent.

J’avais changé de ville, j’allais changer de vie.

J’ai acheté le courrier de la Saône et j’ai regardé les offres d’emploi. Vendeuse, serveuse, j’avais

déjà donné. Je sais que j’allais me faire draguer et retomber dans les conneries.

Dans la rubrique “gens de maison”, il y avait une annonce plus importante que les autres, entourée

d’un trait gras. Ça disait ceci : “Cherchons une bonne à tout faire jolie et stylée. Bon salaire,

logée et nourrie”. Je ne vais pas vous dire que cela correspond exactement à moi, mais je plais…

quant au style, on verrait…

J’avais peur aussi que les gens de Paris retrouve ma trace.

Il me fallait un boulot qui me prenne la tête et où il y a des règles à respecter. Je me disais que

tous mes malheurs venaient de n’avoir jamais eu des règles. Alors, j’avais le choix, un ordre monastique,

genre Ursuline ou alors, bonne, ça me disciplinerait. J’étais un chat sauvage, j’allais gaziantep escortları me transformer en

chatte stylée. Le Beaujolais était tiré, j’allais le boire! Il me fallait ce boulot! J’ai téléphoné et j’ai

eu un rendez-vous le lendemain à 11 h.

Inconsciemment, j’avais toujours eu une louche fascination pour les situations… spéciales. J’avais

toujours refoulé ces tendances, mais là, à l’idée de devenir une servante, je m’imaginais à quatre pattes

nettoyant le sol… et puis à la merci de patrons pas commodes. J’allais être servie!

2 – Madame et …mathilde.

La “résidence” se trouve en dehors de Lyon sur une colline qui domine le Rhône. J’ai pris un bus et j’ai

terminé à pied après avoir demandé mon chemin à un chauffeur de taxi. Je suis arrivée en sueur devant les

grilles d’une énorme propriété entourée de hauts murs. Deux Dobermans sont venus aboyer derrière la grille.

Je sonne, un parlophone grésille, je dis, “C’est pour la place de bonne”. Quelqu’un rappelle les chiens et

les grilles s’ouvrent. Je me dirige vers un très grand bâtiment, genre château ou manoir du 19ème siècle.

J’aperçois un tennis et une piscine. La porte du manoir s’ouvre et un homme d’une cinquantaine d’années

m’accueille, “Bonjour, ma femme va vous recevoir”. Il me fait entrer dans une grande pièce où se trouve

la maîtresse de maison. C’est une femme d’environ 35 ans, jolie. Elle a l’air très sûre d’elle.

Elle porte une robe très décolletée. “Bonjour Madame”, je lui dis. Elle me répond “Bonjour.” et me détaille

des pieds à la tête. Au dessus d’elle il y a une peinture très réaliste qui la représente, debout et de dos,

tournant la tête vers le spectateur. Ce qui surprend c’est qu’elle est nue. On reste un moment silencieuses.

Elle dit enfin, “Physiquement, vous convenez. Je veux avoir quelque chose, enfin quelqu’un, d’agréable à

regarder en me réveillant le matin.”.

Ces gens ont manifestement beaucoup d’argent, mais c’est le genre nouveau riche. Très riches et très nouveaux.

Vêtements et bijoux de marques, mais trop…et trop voyants aussi. “Oui, physiquement vous me convenez”,

répète-t-elle, “mais je veux une bonne obéissante et stylée. Montrez moi comment vous faites une révérence”.

Alors là, je suis cueuillie! Une révérence???

Je lui demande, “Euh…comme Marilyn quand elle rencontre la reine d’Angleterre, Madame?”. La dame est ra

vie, “Exactement”. Alors je fais une profonde révérence. “Très bien.”, me dit elle, “Vous nous parlerez à la

3èmepersonne”. Oulah! c’est quoi ça?

“A la troisième personne Madame???” Elle fait une petite grimace dégoûtée, genre, quelle gourde : “Oui bon,

on en reparlera. Parlez-moi de vos références… Vous avez des certificats.”

Je me tortille, un peu, puis les yeux baissés, je lui dis, “C’est à dire, je… j’ai perdu ma valise et…”.

Elle s’en fout, en fait… Mon physique lui suffit. Elle me dit ce qu’elle propose comme salaire.

C’est franchement beaucoup plus que ce que j’ésperais. Elle me le confirme : “C’est un beau salaire, mais

je veux que vous soyez absolument… euh…”, elle ne trouve pas le mot qui convient. Je lui propose, “Obéissante?”

“C’est ça! Obéissante. Quel est votre prénom?”

“Mia, Madame.”

La dame fait la grimace : “Mia… ça ne me plait pas… Ici, vous serez… Voyons…Lucie… non… Mathilde,

oui, Mathilde c’est bien”.

Tête de Mia/Mathilde!

“Ah oui ,encore une chose”, dit elle, “Mon mari et moi nous sommes… libres…. Le samedi nous recevons des

amis et vous devrez faire le service peu vêtue”. Evidemment, l’annonce disait “jeune et jolie” en plus sa photo

à poil et le salaire élevé, je me doutais qu’il faudrait mettre la main à la pâte, ou plutôt la bouche.

De ce côté j’ai quand même un peu plus gaziantep eskort d’expérience que dans le ménage, mais je joue les ingénues :

“Toute nue Madame?”.

“Non vous aurez un petit tablier.” dit-elle en riant.

Je voulais des règles…stricts, je pense que je vais les avoir ici. D’autre part je dois me planquer un moment et

en plus je peux mettre de l’argent de côté pour aller me faire bronzer sous d’autres cieux…

Les yeux baissés, je lui dis, “Je ferai comme vous me le direz, Madame”.

“Parfait. A ce sujet, déshabillez vous, que je puisse juger de votre allure.”

Je joue un peu les ingenue (pas facile, pour moi), genre, c’est gênant.

La voix de Madame claque, “Alors qu’est ce que vous attendez??”

J’enlève mon jean et mon tee shirt. Je n’ai plus que mes baskets. Madame fait la moue, “Vous avez une poitrine

de gamine! Tournez vous.”

“Vousètes, mieux de dos! A propose, il faudra vous épiler, c’est dégoutant tous ces poils.”

“Oui, Madame.”

Elle ajoute, “Et vous laver soigneusement tous les matins, vous sentez la trasnpiration!” Si elle avait marché

sous le soleil, autant que moi, elle serait moins fraîche!

La dame appelle son mari. Il est un peu surpris de me voir toute nue, vêtue seulement de mes baskets et de mes

poils pubiens.

Elle lui dit, “Elle est potable… surtout de dos.” A moi, “Tournez vous, Mathilde, et marchez.”

“Oui, mignonne..”., dit le mari. “Je pense qu’elle convient!”

Je sais en tout cas qui porte la culotte dans le ménage.

Elle lui dit, “Montre lui sa chambre”, et à moi, “Prenez une douche et lavez vous bien, ensuite vous mettrez

l’uniforme qui est sur votre lit et vous viendrez vous montrer.”

“Bien Madame.” Je fais une révérence, toute nue, comme une danseuse qui ferait un entrechat.

En montant l’escalier, Monsieur me prévient. “Ma femme aime bien faire marcher son personnel à la baguette,

mais elle n’a pas un mauvais fond…”.

Je lui réponds, “J’ai besoin de travailler, Monsieur, et aussi d’un peu de discipline dans ma vie.”

Il rigole, “Pour ça comptez sur elle.”

C’est la première fois que je monte un escalier toute nue à coté d’un gentleman habillé.

Je sens qu’elle va être spéciale ma nouvelle.

3 – Un sex-toy nommé mia

Ma chambre est petite, mais avec une belle vue. Sur le lit, il y a un uniforme de bonne d’opérette : robe noire

courte, petit tablier et une coiffe en dentelle. Je me déguise et je redescends… Je toque à la porte, attends

qu’on me dise d’entrer. Je m’avance et fais une révérence “Voilà Madame, je me suis changée”. Madame me regarde :

“Relevez votre jupe…” Elle constate que je suis nue sous la jupe. “Pourquoi n’avez-vous pas mis de culotte?”

Je lui dis la vérité : “Je n’en ai pas, je n’en mets jamais, Madame.” Elle a une moue dégoûtée et fait alors

quelque chose de surprenant : elle se lève, remonte sa jupe et enlève une culotte brésilienne échancrée noire.

Elle me la tend “Tenez mettez ça” Euh…voilà qui est spécial…et l’idée de coller ma chatte sur le tissu imprégnée

d’elle me trouble beaucoup. Je la prends et la mets en disant : “Merci Madame “. Engager une bonne doit l’exciter

car la culotte est mouillée contre ma chatte. Je sens que je mouille aussi, on se mélange…mais sa voix autoritaire

me ramène sur terre : “Allez chercher Monsieur dans son bureau”.

Monsieur a imprimé un contrat qui vient du Net. Je remplis les cases vides et le signe sans le lire. Ensuite Madame

me dit ce que j’aurai à faire. En fait il y a une bonne pour le gros nettoyage et un jardinier qui fait aussi

chauffeur à l’occasion. Moi je dois servir les repas, faire la vaisselle et la lessive et repasser…et surtout

accourir dès que Madame a besoin de moi.

Il y a une hiérarchie dans la maison : je gaziantep eskort bayan suis au même niveau que la bonne mais je dois obéir à la cuisinière,

qui gère aussi la maison.

Elle dit à son mari : “Tu sais qu’elle n’a pas une seule culotte? En plus, elle est poilue comme une chèvre, on

finirait par retrouver des poils dans notre assiette”. Rires de Madame et Monsieur. “Tu l’amèneras en ville et tu

le feras épiler…et puis tu lui achèteras des culottes, des grandes, des culottes de domestique, quoi.” Je fais la

grimace. “Faudra vous y faire”, me dit elle, “ce n’est pas dans un bar à putes, ici”. Je suis sûre qu’elle sait de

quoi elle parle.

L’épilation, aïe! Je préfère le rasoir, mais c’est agréable d’avoir un pubis et une chatte toute douce.

Le lendemain, j’attends dans la cuisine avec la gouvernante/cuisinière. C’est une grosse matrone d’une cinquantaine

d’années qui n’a pas l’air commode…non plus.

Je suis épilée et ma nouvelle culotte monte jusqu’au-dessus du nombril. Ce sont des rappels de ma nouvelle condition…

On sonne. “C’est pour vous, dépêchez-vous”, me dit elle. Je monte avec le plateau.

Je frappe à la porte de la chambre, j’entre et j’ouvre les volets. “Bonjour Madame, vous avez passé une bonne nuit?”

Elle ne répond pas. Baille et s’étire. Elle dort nue. Elle est appétissante : très brune, avec des seins poires qui

accuse un peu de fatigue… Elle a des poils noirs sur le pubis, mais son sexe lui-même est épilé. Madame mange dans

son lit, salement, elle met des miettes partout, renverse du café dans les draps. Je reste debout à attendre.

La bouche pleine, elle me donne ses ordres pour la journée :

“Aujourd’hui, vous ferez la lessive et puis Marthe — la gouvernante — vous dira ce qu’il y a à faire.”

Tout en mangeant son croissant, elle écarte les jambes et se caresse le sexe avec une parfaite impudeur. Elle constate :

“Le matin, je suis toujours excitée”. Puis “Vous savez ce que vous êtes en plus de bonne, Mathilde?”. “Euh…non, Madame”.

Elle me montre son sexe. “Mon sex toy”. Elle ajoute “Vous vous êtes bien lavé les dents ce matin?” “Oui Madame” “Eh bien

allez-y et appliquez-vous!”

Alors pendant qu’elle termine son croissant, je m’agenouille entre ses jambes et j’embrasse son sexe mouillé. Ses grandes

lèvres sont très saillantes. Si je suis déjà lavée, par contre, elle ne l’est pas et elle a une forte odeur de brune…

pas lavée. Sueur vers l’aine, un peu fade vers le vagin et très marine quand j’entrouvre ses lèvres de ma langue, vers le

méat et le clitoris. Ce sont des odeurs puissantes, un peu dégoûtantes, mais excitantes aussi. Je la lèche, le goût est

moins prononcé que l’odeur… Elle mouille beaucoup. Je dois lécher trop mollement à son goût, parce qu’elle pousse sur ma

nuque “C’est quoi ça?? Vous n’avez jamais léché une chatte? “. Ooops bon, bon, je me mets à la lécher avec …fougue…tandis

qu’elle pousse sur ma nuque et fait un mouvement de va-et-vient comme si elle se branlait avec tout mon visage.

Mon nez disparaît même dans son vagin par moments. Là tout mon visage est un sex toy. Heureusement, ça ne dure pas trop

car elle se raidit et jouit rapidement.

Je reste un moment le visage contre sa chatte mouillée. “Nettoyez maintenant” me, dit elle. Ah? Bon! Je suce et avale ses

sécrétions et ma salive mêlée. Au bout d’un moment elle me repousse. Elle me regarde, touche de la main mes joues, mon nez

et ma bouche toutes mouillées. “Qu’est ce qu’on dit??”. “Merci Madame”. Elle me pince la joue méchamment. “Non, pas deux

mots, faites une phrase.” Une phrase, oui… : “euh… je vous remercie, Madame, de m’avoir permis de lécher votre chatte,

je m’appliquerai à le faire mieux la prochaine fois.” Elle me repince la joue, moins fort et en souriant “Hé bien voilà,

vous êtes peut-être moins stupide que vous en avez l’air, et puis pas besoin de vous changer les piles”. Elle rit,

approche son visage du mien et me renifle “L’odeur de ma chatte va très bien, ne vous lavez pas”.

Elle lâche mon visage. “Bon assez joué, il y a la vaisselle qui vous attend”.

Je redescends, ma grande culotte est…un peu mouillée!

A suivre

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Veg Masturbation

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Cumshots

You feel the urge. You are desperate for a good fuck. But your girl friend has turned you down. You roam about the streets, go to a bar, visit a few places but you are unable to get any.

Shit! Shit!! Shit!!!

The only alternative is to take the matter in your hands. But you are not willing to do that. It’s so boring. Sometimes, you just need the warmth and the slippery, hot, slick feel of a pussy. You don’t have a masturbator. You curse yourself of procrastinating for so long about it. You have thought of buying it so many times, but always put it for later. Surprise, you don’t have enough cash to go and buy one now.

It’s just a bad day for you.

Then you suddenly think of an idea!!! You go to the vegetable stall near your house. Pick up a fleshy vegetable like a white gourd. You also pick up a few raw bananas. By now you already have an erection and the girl at the counter can feel something is amiss. She can feel your excitement. She actually suggests to go out for dinner with a hint of further enjoyment. But now you don’t need anyone. You are on your own trip.

You gaziantep ucuz escort rush home with your vegetables. You dump your bags on the sofa and get out of your clothes. Stark naked, you take the white gourd and reach the kitchen. With a knife you cut the top of the gourd. Not with the knife, you start scooping out the flesh at the center. You proceed to make a hole just wide and long enough to fit your cock. You have to insert your cock toi check the length and the diameter of the hole you have made. The friction builds up the tension in you.

Your cock is now jumping with excitement. The temptation of jacking of immediately is great, but you resist it with all your mental strength. By now the hole is ready. It’s just wide enough to insert your cock with a little force. You can feel the inner walls of the flesh tightly against your cock.

The only thing missing is the slickness of a pussy. Now you get to the next stage. You take a banana and mash it in a bowl. Your scoop up the banana mash with the gaziantep ukraynalı escort spoon and fill up the hole with the mashed banana. Wow! It’s a home made pussy! A masturbator.

Now for the heat. You keep the Vegetable Masturbator in the microwave and set the temperature to maximum and put it on for exactly 15 seconds. You remove the masturbator and check the temperature of the banana mash. You keep it in the microwave again and set it for 30 seconds and go to the living room.

You get a porn DVD from your hidden collection and put it in the player. You begin watching the Porn movie, slowly fingering your ass, avoiding the cock altogether. You get caught up while watching the movie. You suddenly notice that the tip of your penis is ready with droplets of cum.

You get up and go to the kitchen. By now the skin of the gourd has cooled down a bit. You insert a finger in the gooey mix in the hole to test the temperature. It’s just right.

You return with your home-made toy to the sofa. Your cock gaziantep üniversiteli escort is rock hard with anticipation. You settle down on the sofa and turning your toy upside down, quickly push your cock in the hole.

WOW!!! It’s a pussy. It’s as tight as you have made it. It’s gooey, slippery and slick. It’s hot!!!

You start moving the masturbator up and down. It’s heavenly. You close your eyes. While you masturbate, it also makes typical fucking sounds. You start slowly. You imagine a pussy, you imagine that you are fucking an ass. The excitement builds up. You increase the speed. You don’t mind the mashed banana flowing out of the hole on your cock and flowing down to your balls. It sticks to your pubic hair and tickles it. It also travels down to your ass. You take advantage of it and insert a finger in your ass while fucking yourself with your toy.

You also have to option of inserting one of the raw bananas in your ass. Yes you have bought them raw so they will not break easily. You keep pumping on both ends and at the end, ejaculate spurt after spurt into the toy.

If you are kinky, you also have the option of eating your home made cream-pie.

Enjoy!!!!!

Hope you liked this idea. Do try it out. I have. It’s fantastic. Who wants to buy a costly masturbator, when you can make a disposable one so cheap???

Comments are welcome. Do try and ask for guidance. I have tried this with a white gourd. Hope to try more vegetables soon.

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Quixotic Rapprochement

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Amateur

Notes [Initially released September 1, 2016, last revised October 22, 2016]:- All characters are the product of the authors’ imaginations and are over eighteen.
– This is our submission for the Summer Lovin’ contest 2016.
– French within context (often accompanied by translation) is sprinkled throughout this story.- This is a complete but lengthy story with a slow burn, twists along the way and a tilt toward the end.
– Special thanks to Skye4Life for editing and feedback during completion of the story.
“Allô Monsieur – Mister Rocinante? Bonjour, are you with us today?”

I dropped my pencil and snapped upright in my chair, as I suddenly realized that she was waving and gesturing to get my attention.

“Do I need to repeat the question?”

“Sorry, Madame Soliel, could you?”

I surely deserved the question. I’d been day-dreamily drawing in the back of my humanities class. My pad contained a nearly complete sketch of a familiar looking woman with long curls of hair framing her face. I’d captured that same silhouetted form that stood before the class waiting patiently for my response. Hands upon her hips, she was illuminated by effervescent daylight streaming through the bottom portion of the tall windows that ran the length of our lecture hall. The half-lowered blinds added to the effect as the afternoon sun reflected oddly off the highly polished floor. I supposed that having her for both French and humanities gained me a little forbearance, when she rephrased the question. The lightly lilted accent her words carried enchanted me further, but somehow I withdrew from that infatuation and formed a coherent answer, which she accepted and then continued on with the lesson, occasionally calling upon other students.

It was a glorious spring day and a light breeze blew the flowering trees outside. The iridescence of the white dress she wore must have induced my stupor, because I usually paid close attention in humanities, since it was one of my favorite classes. Today, however, my mind had flitted between the spring weather outside and my professor’s feminine contours. The way the sun was beaming in through the partially lowered blinds, accentuated her long flowing white sunlit dress and it captivated my gaze entirely as I refocused intently upon her while my hand continued working the pencil.

The lecture wasn’t boring, it was about the height of the European renaissance and she brought a distinct French flavor that made it very interesting with lots of side references. That era fascinated me deeply; it seemed to be the seed that had germinated into our modern culture. My thoughts today were mixed with wishing I could have experienced that period and how her striking beauty seemed to personify any number of the women we’d seen, captured within paintings or sculptures shown during the lecture, somehow brought to life in front of us.

At some point, she regarded me drawing and observing her as she finished describing the slide and paused before proceeding. The room seemed to disappear and our eyes locked. I knew I was staring, had been staring, was continuing to stare, but I couldn’t help myself. There was some type of mental block that prevented me from looking away. She knew I was agaze and there was the smallest trace of a blush upon her face as she turned her attention back to the next slide in her presentation. The darkened room contributed to the translucency of her dress that had so captured my attention. Her form beneath it was clear in the brilliant sunlight and I couldn’t avert my vision away as I continued to fill in details of my sketch.

The rays of light danced in her long golden curls and shone off her alabaster skin as she turned to the class after each slide. A small pang of loss seemed to encroach upon my thoughts each time my view of her visage was interrupted as she’d turn her back to us to describe in detail, every nuance of the art depicted. Her words were soft and alluring as she gently strode to and from the front of the class. She’d extend the pointer to the projection screen as she softly caressed along the shapes and artists strokes. Slide after slide she continued the lecture; each new slide seemingly more profound than the previous. She was a graceful raconteuse who lithely led the class towards one of her renowned climatic finales.

When the lecture was over, I saw her staring at the finished sketch I’d drawn of her. Embarrassment instantly spread warmth throughout my body and face. When she finally looked up with a perplexed expression, I felt momentarily immobile as if the force of our eyes locking had effected my entire being. Fortune had her attention redirected by another student asking her a question, which allowed my escape as I fumbled closing my notes for several protracted moments and quickly hurried from the hall. Urgency directed me on instinct alone towards my next class. Blinded by tension building inside me, I could only process the path directly in front of me as I replayed the incident over in my head endlessly. I was nearly hack forum halfway across the quad, when someone grasped me gently by the hand. Then suddenly, time froze and I found myself turning in slow motion to discover her there as if delivered from a dream.

“Monsieur Rocinante, you seemed peculiarly distracted today. Is everything okay?”

“Oh, no. I – um – I think it’s this lovely spring weather,” I answered, surprised by the interaction and her soft hand still holding mine.

“Are you certain that is all?” she asked with that ever-present hint of French accent.

“Yes, Mrs. Soliel, I’m enjoying the course. It’s very interesting – too interesting even. I just get so wrapped up in thinking about how it must have been. The renaissance had so much happening, people were into so many different areas of study and everything was new.”

“Well, that was certainly so for the upper class.” After a moment longer, she moved her hand to my shoulder. “Did I perceive that your thoughts were elsewhere today?” she asked demurely and blushing brightly as if she were surprised at her own question.

“Sorry Madame – um – sorry. I didn’t mean any disrespect. I shouldn’t have stared, it’s just – uh – your dress today – it was – it is – beautiful. Mr. Soliel is a lucky man,” I babbled the words out tactlessly. “Sorry, I’m an idiot. I – I hope I haven’t offended you,” I offered, half expecting a slap.

“Your grades tell a different tale, but no offense taken,” she added promptly, but then seemed temporarily speechless. Moments passed and she rattled off some nervous words, “La fièvre printanière arrive. Perhaps this beautiful weather has made fools of us all. I shall see you in French, tomorrow; à bientôt, Paul,” she said, with what I could have sworn was a wink.

Was it a wink? I wondered. Perhaps it had been the sun playing tricks on my eyes or a wishful thought I’d envisioned during my idle daydreaming. I regained my senses moments later, she’d said good-bye, but we remained standing there like two awkward debutants, wondering how to extract ourselves from this self-inflicted enchantment.

“Yes, it must be ‘spring fever’ as you say, until tomorrow Mme.” I agreed, as I finally attempted to break the spell and started turning to leave.

“Could I see it again?” she asked quickly before we parted.

I carried the thick leather wrapped pad everywhere with me; I didn’t think I had much talent, but I’d always drawn. This pad was maybe my tenth or eleventh since I’d started drawing things as a child. I’d even taken a few art electives, before I’d decided to select business as my major. I pulled it from under my arm, flipped to the middle and leafed through several other pictures until I reached hers.

“Here it is,” I said at last.

Her head tilted, she studied it with a smile on her lips and then said, “You have some talent and it’s quite flattering.”

Not sure, what to say to her compliment, I asked, “Would you like to have it?”

“Actually, I would – I’d love it.”

I folded the thick sheet along the small perforations several times and carefully tore it below the spiral binding, leaving behind the stalk.

“Would you sign it for me?” she asked.

“Sure thing,” I said. I placed it on the hard surface inside the front cover to sign it with a flourish that touched lightly against the background of the sketch. “Here you are.”

“I don’t think I have a frame that will do this justice. I’ll have to buy something nice to put it in. Thank you, so much,” she said accepting it.

“My pleasure, you have a great afternoon.”

“I will and you do the same.”

She turned slowly to walk back in the direction she’d come. Languid steps carried her away from me as she continued studying the sketch. I remained frozen and watching; still transfixed to the dress blowing in the light breeze, alit in sunlight. I felt that I should hope she hadn’t seen the desperate arousal she’d caused, but somehow I believed she had and maybe she’d taken some enjoyment from the physical response she’d given rise to.

My business class didn’t go much better as I devoted a fresh page to a new sketch of her from memory. Honestly, this one was better than the first as I regarded the finished piece. The question and answer period got me another startled inquiry as I stared out at the trees blooming in the quad again. I actually heard this one and responded appropriately, but a follow on question had tripped me up. It seemed I wasn’t the only one with my head in the clouds because after a few more repetitions of this with others in the class, the professor gave us an early dismissal.

As I strode back towards my dorm, I was convinced it’d been that dress and her figure I’d seen through it. The image was emblazoned in my mind and I couldn’t keep my thoughts off of her. I’d known she was married; she’d covered Madame versus Mademoiselle the first week of class during my freshman year. She’d taught much of the first week speaking only French and her flashy engagement ring had a matching wedding band. It had been one of the many props she’d used to get everyone conversing. I’d already had a year of French in high school, but those rings had stuck in my memory.

She should have been off limits for any number of reasons, but today I wasn’t thinking clearly. My thoughts kept drifting back to her taking my hand, standing there in the full daylight of the quad. We’d stood right in front of Drumheller Fountain but I couldn’t remember hearing the water. It was all I could do to look her in her eyes and avert my attention from her body while the blood pounded in my ears. Her hand had been so soft and gentle. Her eyes had sparkled with joy and a hint of mischief. I wasn’t very good at picking up social cues, but I couldn’t help thinking her behavior was more than mere concern; it felt exploratory and flirtatious.

She’s probably my mother’s age and married and my professor, she’s – she’s so off limits, completely unattainable, right!? I repeatedly asked or perhaps told myself.

There are so many reasons it could never happen, was my conscience’s consistent reply that evening and many others.

After several days of these feelings, I began to think it was a good thing that the semester was nearly over. This was to be the last of my foreign language and humanities requirements. Visions of her filled my mind when I slept in my small dorm room and I found myself continuing to be visually distracted by her in class. Luckily, there were no repeated episodes with Mrs. Soliel, at least none that she noticed as I attempted to be more discrete. My thoughts dwelt on her for the remaining weeks of class.

I longed to be dispatched from this deepening enchantment; it was a hopelessly infeasible desire that could never be pursued. When the finals were done and the semester had come to an end, I found myself experiencing a dichotomous mixture of sorrow and relief. I thought that perhaps the spell would be broken, especially if I found some way to avoid this obsession that I was certain could only lead to perpetual sadness.

Propelled by worry over the depths of my fixation, I decided that I would take a break this summer. I hadn’t participated in early registration for classes because I had already been considering some type of trip. My senior year was going to be fairly light because I had attended summer semester during my freshman and sophomore years to get as many requirements out of the way as possible. When I finished out this semester with A’s in all of my subjects again, it settled the matter. Feelings of achievement made me believe I’d earned a break in addition to needing one.

I hoped that removing myself from the environment of the University of Washington might reset my perspective on things. I’d considered going to see my brothers in California but, surprisingly, what I really longed for was to go back home, despite having just been there over the winter break. I hadn’t trusted my truck enough to attempt driving to see my brothers in San Francisco, only thirteen hours away, much less heading across country on a multiple day trip to Vermont. Our family wasn’t rich and I’d gotten tuition, room and board covered between Pell grant and a scholarship from my grades. So, when I had gone home before, it’d been by the cheapest available transportation and that’d been a bus.

The dorm’s hall phone offered little privacy, so I made my way from my dorm room with a roll of quarters to the corner payphone. I dialed the number, deposited several of the coins and heard the operator tell me to insert two more for my long distance call to be completed. Once Mama was on the line, there were a few minutes of me dancing around the subject, I think she could sense the desperation in my voice and she told me to come home. Then she added the enticement that Pops would give me some money to cover the expense of the trip and some living money for helping out on the farm.

When I got off the phone, I realized that if I was being honest with myself, I was feeling more than a little homesick and lonely. I’d opted to stay on campus for most all of the summers so far and many of the shorter holiday breaks and had only returned to the farm for a couple of winter breaks. My last trip home had been nice, but it’d been winter and what I missed was the late spring and summer time of our family farm. The wonderful weather over the last few weeks was deepening my desire to see it abloom again. I hadn’t come home my second year at all, because the very first Christmas home from college had coincided with the one year anniversary of the soul crushing end of my first and only real relationship. It’d been a lonely two-week reminder of the breakup with my girlfriend since middle school.

Jenny had gone off to attend the University of Vermont in Burlington when she graduated a year ahead of me. We were both born and raised in Vermont, just outside Montpelier, as were my older brothers and sister. My sister, Emma, had graduated from the same university when I was about five and I’d been considering going there too, until Jenny told me that she’d met someone else. She done that during her first Christmas home from UVM, before I graduated high school. I finished my senior year without a girlfriend, which had somehow felt lonelier even though she hadn’t been around at all during the fall. This led to several awkward instances of being laughed at for taking my sister to prom and it initiated my generally avoiding relationships altogether. The breakup had shaped my decision to go out of state for college and I’d gone just about as far away from her and the farm as I could.

There hadn’t been any girlfriends after her and I went off to college changed. It was fairly naïve to try, but I simply cut off that part of my life and became more focused on my schoolwork, my drawing and my future. I’d thought about asking out some women in my freshmen classes, but the University of Washington women seemed more adept socially than myself and it’d felt intimidating. I chalked it up to being from a small town, living on a farm and having so little experience dating due to my long term involvement. Abstaining after the first year seemed to just perpetuate the behavior and I hadn’t been especially attracted to anyone until that day in humanities.

Mama’s encouragement to come back to the farm, made me genuinely believe it would do me some good. Emma might not appreciate her baby brother being there, cramping her space, but I figured she’d get over it when I helped around the farm. She and her burly boyfriend, Bo, were practically running the farm these days anyhow. They’d been planning on getting married for a couple years, but hadn’t tied the knot just yet for some reason. I packed my bags as soon as I’d gotten back to my dorm room and caught the very next bus home. The tiring three-day trip was another reason I hadn’t gone home much, especially for shorter breaks.

Several days and bus changes later, I finally arrived in Burlington. In the bus station parking lot, I was surprised to see Emma pull up to fetch me. I’d expected to see my mother since I’d phoned her the day before arriving, but it was nice to see her familiar face. She had driven the family farm truck with our golden retriever Samson eagerly awaiting me in the back. Tiredly, I walked from the shaded waiting area, tossed my stuff in the bed of the truck, gave Samson a good patting and joined her in the cab.

“You seem happier to see him than me,” she said, leaning over for a quick kiss.

“Not at all, you’re a sight for sore eyes.”

“So? How’s college going, Squirt?” she asked with a little concern and looking me over pensively.

She’d called me that forever, well as long as I could remember anyway. I’d never resisted the nickname and even now, it felt endearing. Despite her often gruff stance toward me, I could tell that she loved and cared about me. She had made a regular habit of sending me care packages throughout my time in college. My heart always leapt when they arrived; the anticipation of something from her always brightened my day. Her little gift boxes were neatly packed and contained items she thought I might need or want: homemade snacks, clothing or books she thought I might read.

“It’s going okay but I’m glad to be home. Thanks for all the care packages you’ve sent. I can’t tell you how much easier it makes being away.”

“I remember how it was when I was in college,” she said and laughed. “And I lived close enough to drive home when I needed to. Thanks for writing back.”

“How are you and the folks?”

“The late spring this year has them realizing that they are tired of the long cold winters.”

“Our spring was kind of early.”

“Yeah, the weather you have in Seattle seems rainy though. Anyway, they’re thinking of selling to me, so they can move south.”

“Huh, you have enough money to swing that?” I asked surprised.

“I’ve got some of it, but I was hoping I could pick your business brain to come up with a plan.”

“I’d be happy to help you and I’m going to be working around the farm this summer.”

“Oh, to be sure, I’m going to have you up at the crack of dawn each day,” she joked. Then after a couple moments she added, “Of course, you’ll also be telling me about school and your love life.”

“So, you’re not just here to pick me up?” I teased her back.

She mussed my hair and said, “We’re not going to start that again.”

It was a private joke she and I had shared since a particular High School dance. I’d called her to pick me up early because Jenny and I’d had an argument. Emma gave me the fifth degree about it all the way home. I’d complained something to the effect So you didn’t just come to pick me up?. The term had stuck and became code for, so you want to know about my private life. I never resisted telling her anything, she was open, helpful and genuinely concerned about me. The complaints about cramping her space only came as I got old enough to have the normal intrusions that siblings have, but she mostly launched those at me teasingly because she knew it got under my skin a little.

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Une Bourgeoise Libérée (04)

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23 ans, étudiant, je donne des cours particuliers à un lycéen dont la mère, Hélène, une bourgeoise élégante et frustrée par un mari qui ne s’en occupe plus, est séduite par une aventure. Elle se révèle très vite comme une femme pleine d’envies que j’ai du plaisir à combler et à entrainer hors limite.

Lors de notre retour du club, Hélène reste silencieuse. Elle sait qu’elle ne va pas résister à faire la demande mais a encore du mal à l’accepter. Cette future soirée va mettre définitivement son ancienne vie derrière elle.

– Je sais à quoi tu penses, et tu as encore du mal à accepter l’envie qui est au fond de toi. Prend ton temps, je serai là pour t’accompagner si tu décides de nous faire entrer dans le club.

– Merci mon Chéri, me répond Hélène. Je vois que tu me connais bien car c’est exactement ça. Je m’interroge sur les révélations que je vais faire pour que Leila organise la soirée.

– Si tu as envie de t’exhiber devant plusieurs de tes amies les plus intimes c’est aussi une bonne occasion pour leur révéler qui tu es devenue. Ton amie qui nous prête l’appartement pourrait t’aider

– Tu ne la connais pas encore, me dit elle, mais j’ai déjà prévu que nous l’invitions au restaurant avec son amant.

Quelques semaines plus tard, après en avoir discuté dans les jours qui ont suivi la soirée au club, puis plus rien, pas une allusion, pas un mot, Hélène m’indique qu’elle a déposé une lettre au salon de Leila, pour indiquer qu’elle souhaitait être acceptée au sein du club avec son amant. Elle ne m’en dit pas plus, même si je connais la plus part de ses fantasmes. Mais peut être a t elle indiqué d’autres envies.

Après être passé voir Leila pour lui proposer mon aide, elle me propose de diner ensemble, sans en parler à Hélène.

– Si tu n’étais pas venu me voir, je l’aurais fait. Tu es l’amant d’Hélène et organiser cette soirée sans toi me paraît impossible. Je te demande de ne rien lui dire, même pas que nous nous sommes revus. Tu pourras lui en parler, mais seulement après la soirée.

Leila me fait lire la lettre. J’y trouve exactement ce que je m’attendais d’y trouver.

Elle s’engage à accepter tout ce qui lui sera demandé, y compris de souffrir pour avoir plus de plaisir, d’être traitée en salope ou en chienne si cela lui est demandé, d’être utilisée et abusée par une ou plusieurs femmes, d’être totalement exhibée à tous les participants, y compris si plusieurs de ses connaissances sont présentes et peuvent être choquées par son attitude. Ses seules demandes concernent l’absence de son mari et la présence de son amant à cette soirée, et surtout de ne pas être pénétré par un homme même si elle avoue être très excitée à l’idée d’être offerte à l’athlète noir, mais qu’elle n’est pas encore prête.

Elle gaziantep rus escort confie dans cette lettre avoir eu plaisir à être exhibée, choquer les bourgeoises dont elle faisait partie il y a peu et surtout être fessée par son amant.

Leila n’est pas non plus surprise par le contenu de cette lettre, sauf par son envie d’être traitée comme une femme soumise à des Maîtresses.

– C’est parfait, me dit Leila, elle va réjouir Véra, la propriétaire du Club. Les femmes demandent toujours d’être prises par un ou deux mâles très bien montés. Elle va être au centre d’un spectacle différent. Véra, aime les femmes soumises, moi aussi et nous ne sommes pas les seules. Elle ne refuse pas d’être pénétrée par un postiche de sexe masculin. Attachée et fessée, cela va plaire et exciter un maximum de nos amies et amis.

Le jour de la soirée, Hélène est très calme et se prépare longuement. Je la laisse faire tranquillement à l’appartement. Avant de partir, elle m’avoue être excitée et ne pas avoir peur grâce à ma présence et à celle de Leila.

– Ne me dis rien, mais tu sais ce qui va se passer? me demande Hélène

– Non, je ne sais rien, Leila m’a fait lire ta lettre et je lui ai confirmé que je n’étais pas surpris. Je vais découvrir avec toi. Profite bien de chaque instant et prend le maximum de plaisir. Plus tu auras de plaisir, plus j’en aurai. Je dois t’avouer que je suis amoureux et que notre rencontre est plus qu’une aventure. Je ne suis pas jaloux et j’ai une totale confiance en toi.

Avant de partir, alors qu’Hélène a beaucoup hésité dans son choix de robe, je lui demande de se mettre nue et de cacher sa nudité sous une cape identique à celle portée par la femme sur l’estrade lors de notre 1ère soirée. Je lui demande de garder à la main le bandeau noir que Leila m’a également confié.

Hélène ne semble pas surprise. Je l’embrasse sur les lèvres en lui disant que le prochain baiser ne sera qu’en fin de soirée.

– Je n’ai plus le droit de te toucher avant ta descente du podium.

En arrivant, Hélène met le bandeau sur ses yeux. Je la confie à Véra après avoir franchi la porte de la demeure. Je ne la reverrai que sur le podium, sans savoir ce que Véra et Leila ont organisé. J’apprendrai bien plus tard, qu’en attendant son entrée, Hélène est restée en compagnie de Leila, les yeux bandés et qu’elle a bu 2 petits verres d’alcool fort, sensés la décontracter. Elle n’avait aucune information avant que Véra ne vienne la prendre en charge.

Je me fonds parmi les membres du club pour rejoindre la salle. L’estrade est en pleine lumière, la salle dans la pénombre.

Hélène apparaît nue sous sa cape, tenue en laisse par Véra. Une autre femme les gaziantep swinger escort accompagne. J’apprendrai plus tard que Véra et cette femme sont connues au Club pour leurs talents de Dominatrice de femmes, « de chiennes » comme elles les appellent. Elles sont toutes deux en cuissardes noires, micro short et porte seins en cuir laissant découverts leurs tétons. Une fois la cape tombée au sol, Hélène est nue, un collier de cuir auquel est attachée la laisse. La Dominatrice porte à la main une cravache dont elle va se servir pour marquer les fesses d’Hélène qui avait déclaré dans sa lettre aimer être fessée, mais aussi s’en servir pour la diriger. Aucune parole n’est prononcée. Nous n’entendrons que les gémissements de douleur et de plaisir d’Hélène, ses cris quand elles la feront jouir.

A genoux, Véra se positionne devant Hélène, ouvre son short à l’entre jambe par une fermeture éclair dissimulée qui donne accès de sa fente jusqu’à son sillon fessier. Hélène va pouvoir déguster le jus qu’elle va faire couler du sexe de sa Dominatrice et lécher son œillet pour gouter à cette saveur amère si particulière. Pendant ce temps, la 2ème Dominatrice l’excite en malmenant ses tétons. A chaque cri, elle reçoit un coup de cravache de plus en plus appuyé. Ses fesses commencent à être zébrées. L’apothéose de cette séance est la pose de deux pinces sur ses tétons tendus et devenus très sensibles. Hélène pousse deux longs cris. Impossible de savoir si c’est de douleur ou de plaisir. Je suppose un mélange des deux.

Comme punition d’avoir crié, elle est placée sur un carcan pour être fessée et à nouveau zébrée. Aucun doute que ses gémissements et ses cris sont la preuve du plaisir ressenti. Elle finit par éclater de jouissance sous la fessée.

Pendant qu’elle se remet de ses émotions, les deux femmes se sont harnachées de pénis factices, dont le plus large représente celui d’un homme très fortement membré. Incitée à sucer le plus gros, la dominatrice enduit le sien de la crème qui coule entre les cuisses d’Hélène avant de se positionner au centre de son œillet et d’appuyer, jusqu’à ce le que les plis anaux s’écartent et que le sexe pénètre au fond. Le sexe accepté, elle entreprend des allers retours jusqu’à avoir un trou suffisamment écarté pour entrer et sortir librement. Certainement pour préparer l’introduction du plus épais. Pour exciter à nouveau Hélène, Véra lui claque les seins pour faire balancer les pinces sur ses tétons. Douleur et plaisir.

Les deux femmes échangent leurs places et le plus gros gode enduit de gel, Véra se positionne derrière elle, en lui disant de pousser pour faciliter l’introduction. Hélène bouche ouverte, cherche de l’air. Le sexe positionné ouvre gaziantep travesti escort l’œillet et s’enfonce petit à petit avant que Vera commence ses allers retours. Hélène se met à jouir comme je ne l’ai jamais entendue et pisse sous elle sans pouvoir se retenir.

Les lumières s’éteignent. Les applaudissements indiquent qu’elle est acceptée dans le club.

Quand Hélène me rejoint nue en hauts talons, accompagnée de Véra, de la 2ème Dominatrice et de Leila, elle est radieuse et m’embrasse longuement pour montrer son plaisir.

Véra nous indique qu’Hélène est la 1ère femme à demander d’être accueillie par une séance de dressage. La Dominatrice et Véra nous disent qu’elles espèrent que nous viendrons régulièrement aux soirées pour faire des adeptes à ces pratiques.

Leila entraine Hélène à travers la salle pour lui parler intimement.

Je laisse les deux femmes ensembles pour jouer au voyeur devant les ébats des autres couples et trios. Quand je les retrouve, Hélène est assise à cheval sur les cuisses de Leila. Elles s’embrassent à pleine bouche et Leila roule les tétons d’Hélène restés sensibles par le port des pinces. Malgré ses gémissements étouffés par sa bouche, Leila continue sans s’occuper des plaintes d’Hélène. J’entends juste Leila lui demande plusieurs fois de lui promettre, ce à quoi Hélène hoche la tête pour lui indiquer son accord. Je n’en saurai pas plus.

Une fois rentrés, Hélène passe du temps sous la douche pour se détendre avant de venir s’asseoir nue à cheval sur mes cuisses.

– Dis moi que tu as très envie de savoir ce que Leila m’a dit quand j’étais dans la même position au Club. Tu n’oses pas, mais demande le moi, me dit Hélène

– Est ce que je dois moi aussi, te faire gémir en roulant tes tétons?

Sans attendre sa réponse, je prends ses tétons entre pouces et index et je tire et roule ses noisettes rougies jusqu’à la faire gémir, à mon tour.

– Hélène, dis moi ce qu’elle t’a demandé et que tu as visiblement accepté, dis le moi

– Leila m’a avoué que ma prestation l’avait impressionnée et qu’elle pensait avant de commencer que je n’arriverais pas à jouir. Elle m’a dit aussi qu’au fur et à mesure, elle était jalouse de mes Dominatrices et qu’elle n’avait qu’une envie, c’était de monter sur l’estrade pour se joindre à elles pour me fouetter. C’était la 1ère fois que cela lui arrivait, je lui ai révélé son envie de dominer. Elle m’a indiqué qu’elle connaissait une de ses clientes qui aime dominer et fesser et qu’elle n’attendait qu’un signe de ma part pour nous faire nous rencontrer.

– Si cela arrive, j’aimerais bien assister sans intervenir dans la conversation. Pourquoi ne pas les inviter toutes les deux au restaurant?

Le lendemain matin, c’est Hélène qui me demande de lui faire l’amour. Elle m’avoue au petit déjeuner qu’elle toujours autant de plaisir quand je la lèche et que je force son œillet.

– Pour tout t’avouer, j’avais peur de ne plus ressentir le même plaisir après avoir été ouverte par les deux monstres factices hier soir. Mais je te rassure, la langue et le sexe de mon homme, c’est toujours ce que je préfère.

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The Houseboat Incident Ch. 03

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My sister and I were the first to approach the boat, we could see Tommy slumped back in a foldout chair his head back as if he had passed out, however as we got closer we could see the brown blanket is his lap moving up and down which was barely visible over the side of the boat. My sister turned to Mark and Cody making a low shushing sound and pointing back at the boat. They stopped laughing and closed the gap of distance between us, being careful not to make a sound. The four of us slowly made our way closer to the edge of the boat.

The four of us looked over the side of the boat to see Tommy breathing heavy at first our suspicions were that he was squeezing one out, but the legs coming out the bottom of the blanket were clearly Kali’s. Mark turned to face the group and pantomimed sucking a cock, my sister let out a low giggle quickly covering her mouth and looking over a Tommy nervously to see if he heard. Tommy’s eyes opened and he glanced over at us, a wide grin formed crossed his face. He placed his finger over his lips to indicate to us to be quiet. We stood there in silence as the Kali’s head bobbed up and down underneath the blanket. Moans could be heard beneath the blanket as time passed the bobbing evolved into a much faster pace.

Tommy was obviously struggling to maintain the calm look he had on his face as the sensation became more intense. He placed his hand on the top of the blanket helping keep the motion in rhythm with gentle force. His eye began to roll into the back of his head as he fought to keep his head up right his chest began to heave rapidly. He held up his other hand his finger spread out. It looked over at us the feature of his face mimicked that of ecstasy. He began to use his fingers to count down from five slowly his gaze never leaving the four of us. I could feel the moisture return to my pussy the arousal from the guilty pleasure of watching my sister being treated the like cum dumpster had only recently subsided.

The countdown continued as each finger dropped the more intense the force on Kali’s head got. As the final finger dropped his finger, he let out a loud moan his hand firmly pressed down on Kali’s head. His eyes were clamped shut. Kali’s legs began to move wildly as she tried to lift up. After his third grunt and hip thrust his hand slid off of Kali’s head.

“Why the fuck didn’t you warn me?!” Kali yelled popping up from under the blanket and slapping Tommy’s chest.

“How the fuck you could you not know?” Tommy replied putting his arms up in defense.

She began to couch still trying to catch her breath, there were thin streaks of cum coming from both corners of her mouth which she quickly smeared across her face gaziantep suriyeli escort trying to wipe it off. We all started laughing, Kali’s head whipped around instantly with a look of dread on her face. Here fear automatically turned to anger. It took her a moment to fully realize what was happening, before she frantically covered her tits which we out for the world to see, they were a nice full C cup, with dark brown nipples, the combination of her arousal and the cold air had made her nipples hard and erect they looked like to brown pencil erasers. In the background Tommy wet flaccid cock lay slumped between his thighs shining brightly from the overhead lights of the deck.

“What the fuck?” she yelled once again slapping at Tommy.

“Oh yeah and we have an audience,” Tommy replied defending the oncoming slaps.

“Fuck you guys,” Kali said wrapping the blanket around her.

The laughter continued as she disappeared into the cabin making only one pause to flip Tommy off. Tommy pulled up his shorts taking care to be delicate when pulling the waistband up over his junk. He stood up with one last tug of his shorts. We all took turns climbing back on to the boat. Mark and Cody gave Tommy a high five as they passed the laughter still escaping all three of the lips.

“Good night bro,” Mark said heading off to his room.

“Night man,” Tommy replied back as he sat back down and lit a cigarette.

Cody and my sister exchanged looks, his was hopeful hers was dirty. He shrugged told everyone good night and headed into the cabin. I waved to Tommy and gave my sister a big hug.

“Again sorry about earlier,” She said softly into my ear during our embrace.

“Its okay, quit apologizing. It was bound to happen at some point, not like you haven’t told me worse. Point is we are having fun.” I replied back giving her an extra squeeze.

“True that, I’m glad you’re having fun. Love you sis,” She said squeezing back.

“Love you too” I said breaking the hug.

“Good night everyone,” I said with a wave and headed to my room.

I shut my partition and laid down on my bed and tried to fall asleep. I tossed and turned but couldn’t seem to find sleep. My mind was racing thinking about the events of the evening. I went over them again in my head, hearing the moans from Tommy and Kali fucking, my sister being fucked by Cody, Vance’s hard black cock fucking my mouth and covering me in his hot cum, seeing my sister on her hands and knees being plugged with cock from both ends while they treated her like the slut she was, and watching Kali suck Tommy off. It wasn’t long before I could feel the gaziantep türbanlı escort hot rush of desire fill every inch of my body. I could feel the hot moisture between my legs start to soak my bikini bottoms. I wanted so desperately in that moment to tag teamed by two hard cocks, to hear them force me to pleasure them in every way they saw fit. Treat me like my only purpose for living was to be there sex toy.

I hadn’t even noticed that my hand had made it’s was down to my wetness and was massaging my clit through my bottoms. I had been so horny and focused on my thoughts my body had begun to act on my desires without my knowledge. I reached up with my other hand and began to massage my tits I could feel my nipples hardening as I slid my fingers over them. I raised my other and up and wiggled my fingers underneath my bottoms my pussy lips were slipper to the touch. I slid my fingers down forth penetrating myself with two fingers allowing the juices to rolling over them, before pulling them back and rubbing them against my exposed clit. The movements were highly constricted because of my bikini after only a few minutes my hand began to hurt from the struggle.

I was so horny that before I progressed I considered heading to Vance’s room, I wanted cock so bad that I really didn’t care whose it was. I knew he was asleep and didn’t want to disturb him. As much as I didn’t think he would be upset by a horny cock craving chick knocking down his door in the middle of the night and demanding more of his hard black cock. The debate went back and forth in my head, but I ultimately decided not to bother him. It only took a few seconds to weigh both sides of the argument in my head but the battle was that of epic proportions. I for moment considered seeing if Tommy or Mark were still awake but thought better of it. Instead I removed my bikini bottoms and tossed them to the floor then spread my legs further giving myself room to continue unhindered.

I slid my fingers back inside rewetting them before moving them back to my clit. I made small circles around my clit with my finger tips. I could feel the intense heat coming off of my pussy and I continued to massage my clit. I stayed focused on the sensations that carried over my body in short continuous waves, but my mind began to conjure up images of being covered in thick layers of hot cum and being berated by hard cocks shooting unending loads at me.

My skin began to burn and my breathing had gotten almost out of control. I started to feel light headed and couldn’t feel my feet. My pussy lips were so engorged they felt near bursting. More images kept flooding gaziantep ücreti elden alan escort my mind, old boyfriends begging for more, feeling hard cocks sliding between my tits, the hot feeling of hard cock filling my pussy. These images were followed images of my best friend Trina on her knees licking my clit while moaning as she plunged her dildo deep into her pussy.

I rolled onto my knees and buried my face into the pillow raising my ass high into the air. My legs were spread far apart allowing for me to continue rolling my clit with my finger tips. My tits mashed into the mattress as I moaned into the pillow. The thick sticky feeling of sweat now covered my entire body. I began to quivers as I lost all sensation from my extremities. I was soon overwhelmed by a hard explosion that shot from my knees through my thighs and up my body, It felt like a wave ran through me and splashed against the inside of my head. I could hear moaning echoing inside my skull but it still seemed distant as if I was underwater. As the noises from the outside world slowly crept back in I began aware of my surroundings again. My thighs felt weak and shaky, I turned my head to the side to catch my breath small whimper moans escaped my lips as I did.

My fingers rubbed at my pussy lips the hyper sensitivity of my clit was now more then I could bare. Two of my fingers found their way inside of me, the sensations starting to flood my body once again I pushed them deep side before curving them back the tips ran across my G spot. My legs gave out forcing me to slump onto the mattress my knees spread wider than before. I began to moan and shake uncontrollably as I battered at my G spot I could feel pressure building as if someone was poking at my bladder, just when it felt uncomfortable it was followed by a sharp jut of immense pleasure the pleasure so much more intense following the discomfort this cycle continued driving me wild. My hips began to hurt from the position and the shaking but I couldn’t stop. I could feel the pressure building the feeling now more overwhelming then before it felt like I was on the edge but couldn’t quite make it over but kept getting closer and closer, my thighs began to shake and my legs muscles tightened my breathing now shallow and quick. With one hard roll of my finger across my g-spot everything stopped and then exploded all at once my fingers wiggle wildly against my g-spot as I bit my pillow and let out a hard moan that hurt my throat as it passed my through my neck my cheeks hot and flush as I shoved myself harder into the bed. As the explosions around my body dwindled I pull my fingers from my still dripping wet pussy and rolled onto my side, my breathing was still shallow and my throat felt coarse as if I had spent the last hour yelling at the top of my lungs. My bed soaked in juices and sweat. My arms were weak but I managed to peel off the rest of my clothes and pull open the tiny window in my room allowing the cold air to filter in. The air across my body felt incredible. As the heat from my body lowered and my breath fell under control I drifted off.

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La déchéance de Nathalie

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Chapitre 1

Nathalie Coté était perdu dans ses pensées, son mari Richard était partit en voyage depuis 3 semaines pour affaires et son absence lui pesait lourd. Comment pourrait-elle vivre sans lui pendant 6 mois. Des problèmes financiers l’avait obligé à accepter un poste à l’étranger qui selon les dires de son patron lui permettrait à son retour d’obtenir une promotion importante. Seul avec 4 ados les journées étaient parfois éreintantes et pour se détendre Nathalie tout au fond de sa cour bien callé dans sa chaise longue sirotait sa boisson favorite avant qu’ils reviennent de l’école mais en fin de semaine seul sa plus vieille serais à la maison les 3 autres allant chez leur grands-parents.

Elle appréciait être chez elle les vendredis, car depuis deux ans elle ne travaillait que 4 jours par semaine. Étant en charge d’une école pour jeunes en difficultés son travail lui apportait sa part de stresse et dernièrement Suzy Wilson (une jeune noire) lui avait causé passablement d’ennuie et elle avait du faire preuve de rigueur aussi toute cette période avait drainé ses énergies et elle s’était ramassé en dépression et du prendre des vacances forcées.

Natalie savait se faire écouter au travail mais à la maison, elle aurait bien aimé que son mari se montre un peu plus autoritaire et prenne la famille en charge mais au contraire Richard avait un tempérament mou et elle avait l’impression de travailler 24 heurs sur 24. Physiquement bien conservé grasse à ses exercices quotidiens cette blonde avec ses 130lbs nourrissait les phantasmes de plusieurs males des environs, elle avait bon caractère, était toujours très enjouée seul tache à son dossier elle était très raciste et sa dernière expérience n’avait pas aidé à renverser les choses aussi l’entendre parler contre les noirs contrariait sa fille Lisa.

Nath était fière de sa réussite, recevant un bon salaire elle s’était payé une belle maison dans un quartier chic de Montréal, mais à l’aube de ses 40 ans un besoin de changement se faisait sentir. Ses 4 enfants qu’elle avait eu en un peu moins de 4 ans avaient été le centre d’attraction depuis qu’elle s’était mariée, Lisa était sa plus vieille, elle avait à 20 ans était du genre très autoritaire un peu comme sa mère d’ailleurs, leur relation était souvent tendu surtout depuis sa prise bec avec sa meilleur amie Suzy, Lisa n’avait toujours pas de copain et collait souvent à la maison, mais ces dernières semaines elle semblait changer et sortait tard le soir, s’habillait de plus en plus sexy au grand désarroi de ses parents. Dernièrement elle laissait sur son passage des effluves de male reconnaissable pour toute mère avisée.

Provocante, quand elle se promenait en bikini l’énorme cameltoe qu’elle exhibait sans pudeur, laissait penser que sa chatte était prête à accueillir. Nathalie eu beau essayé de discuter avec elle, Lisa refusait de partager son jardin secret. Les jumeaux Carol et Caroline avaient fêté leur dix-neuf ans au printemps, le garçon était très efféminé, était débrouillard et avait malgré son apparence une copine depuis déjà 2 ans quand à Caroline elle était bien avec ses parents et menait une adolescence paisible et Nathalie était contente de voir qu’elle restait près d’eux car de plus en plus la nuit des sons émanant de sa chambre attestaient des désirs qui naissaient en elle.

Nath en faisant la lessive s’était aperçu en voyant la lingerie intime de Caroline que des désirs se manifestaient. Quand à Élisabeth 17 ans, elle avait un coté garçon manqué, sportive elle avait développé un corps presque parfait. Quoique toute menue, elle avait de l’énergie à revendre mais elle progressait très bien à l’école et était la fierté de ses parents.

Nathalie ressassait sur son jeune temps et quand elle y pensait, elle se disait que s’être marié à dix huit ans avait été de la folie mais elle n’avait pas vraiment eu le choix, ayant été élevé par des parents extrêmement sévères et sans éducations sexuelles, elles avait vécue les changements de son corps de façon solitaire sans en connaître tout les rouages mais elle avait bien sentit qu’il y avait bien des choses à découvrir, son corps l’avait poussé de plus en plus sur des chemins charnels, aussi lors de son premier party chez des amis elle ne pu résister à l’appelle de ses sens quand elle vu un garçon la regardant. Elle devint toute échauffée, il était beau semblait si gentil et surtout dansait comme un dieu, Nath demanda à une de ses amies si elle pouvait le lui présenter et ce malgré qu’il semblait beaucoup pluvieux qu’elle.

Les présentations faites Richard invita Nath à sa table quelques verres plus tard Nathalie se retrouva pompette car elle n’avait jamais connu les effets de la boisson. Après avoir été discuté avec l’orchestre Richard l’invita à danser. Comme convenu les musiciens jouèrent des morceaux très langoureux et comme Nath n’avait jamais eu de contact avec un garçon avant, son corps réagit très vite à la promiscuité.

Elle ne comprit ateşli gaziantep escort pas pourquoi ses tétons durcissaient comme ça quand tout à coup elle se souvint qu’elle avait décidé de ne pas mettre de soutien gorge voulant donner un peu de liberté à ses seins, la minceur de sa blouse lui transmettait à présent la chaleur de Richard. Une chose était sûr c’est qu’elle trouvait ça plaisant et Richard de son coté réalisait qu’elle devenait de plus en plus excitée.

Quand avec son genou il effectua une pression sur la chatte de Nath, cette dernière se troubla, elle retrouvait les sensations qu’elle avait déjà éprouvé au niveau de ses seins et de sa chatte lors de rêves particuliers mais qu’elle n’avait jamais approfondit croyant alors que tout cela ferait d’elle une mauvaise fille.

Plus la pression s’intensifiait plus elle sentait une humidité se créer dans sa culotte, au même moment elle se demanda si c’était cette chose dans toutes les filles parlaient, ce truc qu’elle commençait à sentir de plus en plus sur son ventre et qui d’après eux pouvait apporter beaucoup de plaisirs. Elle décida d’en avoir le cœur net et commença à se coller de plus en plus.

Richard de son coté se disait : continu ma salope une fois bien excité on ira faire une ballade. Pour être excitée Nath l’était, pourquoi lui avait on caché ce plaisir qui se répandait dans sa chatte. Finalement ses copines avaient peut-être raisons quand elles disaient que lorsque l’on y goute on ne peut plus sans passer, elle n’y avait pas gouté mais la sentir comme ça si prêt de sa moule écartait d’elle toute prudence.

Quand Richard passa ses mains sur ses seins un frisson traversa ses deux tétons pour aller se perdre au plus profond de sa chatte. Sa bouche s’ouvrit toute grande pour accueillir sa langue. Le sort de Nathalie venait d’être réglé, avec habilité Richard l’amena faire une randonné dans la cour arrière, l’étendre sur le gazon ne fut qu’une formalité et au rythme ou ses hanches bougeaient Richard savait qu’elle était gagné, dans quelques minutes elle les soulèverait afin qu’il puisse lui retirer sa culotte.

Quand il toucha sa culotte trempée de son jus elle écarta les jambes pour lui permettre accès à son trésor, elle de son coté rechercha le machin dans elle avait tellement entendu parler. Avec maladresse elle baissa la fermeture éclaire de Richard, réussit à mettre la main sur sa queue, en apprécia la chaleur et la douceur. Mon dieu comme cela lui semblait long, au même moment sa chatte manifesta son accord.

Quand Richard s’installa entre ses jambes sa moule se montra très accueillante si bien que Richard lui fit offrande de sa queue sans attendre et l’a dépucela sans façon. Une douleur la transperça mais cela ne mit pas un frein aux élans de Richard, quand la douleur diminua et que le plaisir pointa son nez, Nathalie remua les hanches pour aller à la rencontre de son partenaire mais elle lui fit perdre toute retenue et il déchargea un flot de sperme dans son vagin.

Elle ne connu que la perspective d’un plaisir possible mais pour ce très court moment déjà un spermatozoïde avait envahit l’ovule. Dix huit ans enceinte et encore aux études il n’y avait qu’une solution à cette époque, le mariage et Richard ne posa aucune opposition sachant très bien qu’il avait une bonne part de responsabilité dans tout ça. Un bruit fit sursauter Nathalie et la fit sortir de sa rêverie, dans la cour arrière de la sienne des cris se fient entendre.

Elles ne connaissaient pas encore ses voisins car ils avaient aménagés que dernièrement. Quand elle reconnu l’accent elle se crispa car elle crut en reconnaître les origines. Afin d’en être certaine elle tenta de voir mais cela lui était difficile à cause du feuillage aussi dans sa détermination elle réussit à tasser quelques branches et les voix devinrent de plus en plus clairs.

La voix de l’homme se fit entendre : c’est la dernière fois que tu me désobéis chienne, je sais ce que les filles blanches comme toi ont besoin et crois moi tu vas l’avoir, tu seras dressé comme les autres. S’il vous plait Maître Akan je vous promets que cela n’arrivera plus. Nathalie n’en croyait ses oreilles et décida de voir se qui se passait de l’autre coté et força un trou dans la haie séparant les deux terrains, elle se retrouva en première loge.

Rien n’avait échappé au regard d’Akan et décida d’en mettre plein la vue à cette effrontée qui se permettait de venir mettre son nez dans ses affaires. Akan : Crois moi quand j’en aurai fini avec toi tu seras la plus obéissante de mes soumises. Reconnais tu m’avoir désobéis chienne? Sophie : Oui, Maître Akan : Oui quoi salope! Sophie : Oui Maître votre chienne reconnaît avoir désobéit et vous demande pardon. Maître Akan : Bon voilà un bon point pour toi, admettre tes torts prouvent que tu es sur la bonne voie et que tu mérites que je m’occupe de toi.

Maintenant il est temps de passer à la deuxième bakımlı gaziantep escort étape, Akan : Que dois-je faire avec une chienne comme toi? Sophie : Maître vous devez me punir. Akan : Très bonne idée alors approche salope. Quand elle fut en position Maître Akan s’empara de chacun de ses tétons et les pinça avec vigueur la jeune fille se tordit de douleur et la força tranquillement à fléchir les genoux devant son énorme mandrin. Nathalie n’en croyait pas ses yeux, la jeune fille ne devait pas être plus vieille que la sienne et elle se demandait comment on pouvait tomber aussi bas pour se soumettre à un négro, elle bomba le torse sachant qu’elle n’était pas de cette race de femme.

Akan : Bon passons aux choses sérieuses, Akan : regarde moi dans les yeux petite chienne, et dis moi combien tu as mérité de coup pour ton indiscipline. 10 coups Maître, dit-elle craintivement. Maître Akan : Nous sommes en désaccords encore une fois soumise, Akan : je crois que 20 serait plus juste mais comme tu as manqué de jugement une punition de 10 de plus est mérité et pour être sur que tu retiendras la leçon nous doublerons le tout pour un total de 60 coups.

Maître Akan : Approche ici salope et retire très lentement ma ceinture salope, les larmes aux yeux et la peur au ventre, Sophie nerveusement déboucla la ceinture et la retira délicatement sachant très bien que dans quelques instants elle se fera chauffer le cul. Akan : Prend la bouteille d’huile sur la table de pique-nique ainsi que le chiffon, maintenant je veux te voir frotter la ceinture avec l’huile afin qu’elle devienne le plus souple possible. Sophie obtempéra et malheureusement pour elle l’huile fut efficace et le cuir devint souple en 15 minutes.

Sophie vit bien que son Maître était distrait mais en ignorait la cause. Sophie : Maître j’ai terminé! Maître Akan : Bien alors plie là en deux et place là entre tes dents. Vite apporte la moi cria-t-il, Akan non pas comme ça je te veux à 4 pattes comme une chienne. Déjà elle regrettait sa désobéissance mais il était trop tard elle savait qu’elle n’y échapperait pas et que cela ferait mal. Maître Akan: Penches toi sur ce divan, grouilles toi et relèves ta jupe sur ton dos, sort le cul au maximum et dis toi bien que si tu oses retirer tes mains du banc tu recevras 5 coups de plus.

Maître Akan prit bien soin d’abaisser la culotte de sa chienne libérant ainsi son petit derrière. Ainsi placé Sophie donnait une belle vue sur son cul et sa chatte mouillée à Nathalie. Maître Akan étirait le suspense aussi bien pour Sophie que pour sa voisine. Sophie attendait nerveusement le premier coup pendant que Nathalie elle, était figée devant ce qui se déroulait sous ses yeux.

Lorsque le premier slashhhhhh résonna Sophie se tordit sous le coup mais docilement présenta de nouveau ses fesses pour recevoir sa punition lorsque Nath vit la ceinture s’abattre de nouveau sur le cul de Sophie une étrange chaleur s’empara de son bas ventre et réalisa qu’elle mouillait sa culotte soudain un troisième coup retentit slashhhhhh puis un quatrième ses yeux étaient fixés sur le cul de la jeune fille, le voir rougir comme ça à vue d’œil accentua l’excitation de Nathalie.

Elle n’avait jamais été troublée à ce point, la punition se continua et la pauvre fille commença à supplier. Machinalement la main de Nathalie se glissa dans sa culotte, son geste n’échappa pas à un œil aguerrie et Maître Akan fit une pause après les 20 premiers coups pour aller quérir une caméra et sous prétexte de filmer sa chienne pendant sa phase éducative, il fit la mise au point sur sa voisine. Akan savait qu’avec une bonne vidéo, la soumission de sa voisine serait inévitable et elle la lui offrait sur un plateau d’argent. Maître Akan : Alors salope profites-tu de ta leçon? Sophie : Oui Maître je vous promets d’être docile dorénavant, Akan : oui petite quand ta punition sera finie tu n’auras plus aucune envie de désobéir.

Avant de recommencer, Maître Akan lui retira tous ses vêtements et lui inséra un plug anal en prenant soin que le tout soit bien visible pour la curieuse, il constata l’humidité de la culotte de sa chienne et trouva le moment bien choisi pour l’humilier d’avantage en exhibant l’énorme tache au fond de sa culotte, l’obligeant à sortir la langue il y déposa la culotte roulé en boule avec le coté sale directement sur le langue et tout en dégustant le nectar de sa culotte Sophie reçu les 40 coups qu’elle s’était mérité.

Pour les 20 derniers coups Maître Akan se mit à l’aise et veilla à priver Nathalie du spectacle de sa bite noire. Mais Nath voulait absolument voir et en s’avançant devint de plus en plus visible pour l’œil de la caméra mais l’excitation de sa chatte effaçait toute prudence. Quand Akan l’a vit retirer sa culotte et se tripoter la chatte avec vigueur, il su que c’était le moment propice pour lui permettre de voir ses attributs, Nathalie ouvrit les jambes toutes bayan escort grandes comme si sa chatte quémandait déjà son énorme gourdin. Quand Akan retira le plug anal, Sophie émit un son de frustration. Akan : Mais non chienne, j’ai mieux pour ton petit cul et se plaçant dans le champ de vision de Nathalie il appuya sur l’anneau plissé, au même instant un frisson se vit sur les fesses de Sophie et d’une poussée le champignon disparu à l’intérieur. Sophie recracha sa culotte Hooooooo! Houuuuuuu! Nonnnnnnnnnnnnn! Sophie : Lentement S.V.P. Maître mais impitoyablement l’intrusion avait lieu et après 4 poussées et quelques lamentations le cul était conquit et le rythme augmenta, la douleur se transforma et Sophie commença à émettre des cris de jouissances hoooooooo! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii jeeeeeeeeeeeeee vieeeeeeens ho mon dieu ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii plus fort Maître défonce ta salope ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je viens encore ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Hummmmmmmmmmmmmmm oui oui oui au fond défoncé moi Maître. Ayeeeeeeeee ohhhhhhhhhh Oufffff

Nath n’avait jamais vu un coq de cette taille, elle en avait entendu parler mais tout comme le monstre du Loch Ness n’en avait jamais vu ni en photo ni dans les films qu’elle louait quand son mari était loin de la maison. Elle se demandait comment on pouvait recevoir un tel engin dans le cul et la possibilité que son petit derrière en soit victime lui procura un orgasme comme elle n’en avait jamais connu, avec vigueur elle frotta son clito et sa chatte et obtenu un deuxième orgasme son jus coulait le long de ses cuisses, elle en avait plein les doigts, elle les porta à sa bouche et les lécha jusqu’à la dernière goutte.

Au même instant Sophie implorait Maître Akan de la laisser jouir encore. Comme son cul avalait la bite de 13 pouces au complet, ce ne fût qu’une question de temps avant qu’elle réclame encore, ho oui! Maître défonce la chienne que je suis ooooooooooooooooooooooooooh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Sophie éclata et inonda les couilles de son Maître. Nathalie n’en croyait pas ses yeux, elle n’avait jamais vu une éjaculation féminine comme Sophie venait de vivre. Un trouble s’empara d’elle et lorsqu’Akan sortit sa queue du cul de sa chienne pour la porter à sa bouche, Sophie sortit la langue immédiatement pour nettoyer son Maître. Maître Akan : C’est ça salope continu tu vas recevoir ta récompense et si jamais tu as le malheur de perdre un goute de ma précieuse semence tu le regretteras amèrement. GRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR ho oui ça s’envient ma petite pute.

Akan déchargea tout son flot dans la gorge de Sophie, 5 interminables dans les deux dernières recouvrirent le visage de sa chienne soumise. C’est bien beau le plaisir dit-il mais il est l’heure que tu partes salope je vais avoir à m’occuper d’une nouvelle chienne et je dois préparer sa nuit, peut-être que je ferai appelle à toi pour m’aider à la dresser. Akan: Maintenant disparaît chienne et surtout garde le maquillage que je t’ai offert pour montrer à tout le monde que tu es une pute.

Akan : Maintenant que tu es accroc à ma queue noire, si tu veux avoir la possibilité d’en profiter encore tu devras m’offrir un présent et passé voir Tony le tatoueur, tu lui diras que tu es ma propriété et que je veux que tu sois marqué. Akan : Surtout ne revient pas sans ces deux conditions car ton cul en portera les marques pendant longtemps. Sophie maugréa mais savait bien qu’il ne servait à rien de discuter et disparu.

Nathalie était perplexe sur ce qu’elle venait de voir mais était toute excitée et se promettait d’être la pour voir la prochaine soumise à l’œuvre, Akan lui en profita pour se rapprocher des buissons et permettre à sa voisine de bien apprécié son morceau de viande. Nathalie frissonna à la vue des grosses veines parcourant son membre d’ébène. Involontairement elle écarta les jambes, exposant une chatte entrouverte, couverte de mouille et un clitoris tout irrigué de sang quand soudain elle sentit un jet de pisse chaude lui caresser le clitoris et la chatte, cet ignoble individu la regardait et lui dit : tu verras comment une envie en amène une autre, salope. Passe une bonne nuit chienne blanche.

Nathalie était rouge comme une tomate, il l’avait vu dans les buissons pendant qu’elle prenait plaisirs à le regarder soumettre cette jeune fille. Furieuse de s’être fait prendre, elle se précipita dans sa maison croyant se mettre à l’abrie de cet être immonde et faire disparaître le trouble qui croissait en elle. Elle fut cependant incapable de se retenir de jeter un dernier regard dans la cour de son voisin se croyant à l’abrie derrière le rideau.

Une odeur d’urine et de sexe remonta dans ses narines et comme une automate elle porta sa main à sa chatte, s’enduisit les doigts et les porta à sa bouche. Au même instant il caressa sa queue et elle ne pu retenir ses cuisses qui compressa son clitoris lui prodiguant un autre orgasme. Elle vit que le rideau était entrouvert, il avait donc pu voir tous ses gestes. Son cœur s’arrêta de battre quand elle vit le géant noir lui envoyer la main et lui sourire. Morte de honte elle monta à sa chambre pour pleurer.

Akan de son coté la vit quitter la fenêtre et su que les choses allaient bon train, cette mère de famille serait bientôt une adepte du club des BBC.

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Valérie Prend Les Rênes Ch. 08-09

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Valérie prend les rênes

Chapitre 8 : Alicia s’enfonce

-Ah, voilà Claude. Salut Claude, tu as ton matériel?

-Oui, j’ai tout. Vous voulez quoi exactement?

-Facile. Elle a des petits anneaux aux tétons, tu les remplace par des gros et bien lourds. Tu en mets deux sur ses grandes lèvres et tu écris « je prends tout » au-dessus de sa chatte.

-Elle le fait?

-Elle a commencé. Tu vas la trouver avec un saucisson dans son sexe mais on va lui faire découvrir bien d’autres choses. Et c’est ainsi qu’elle s’éclate, quand sa chatte est bourrée, elle pleure pour cela. Et elle accepte n’importe quoi pourvu qu’on lui donne du sexe.

-Bon, vous devez pas vous emmerder. Faut que je la voie pour être sûr de ce qu’on peut faire.

-Elle est accrochée au noyer dans la cour derrière, viens voir.

Alicia était toujours là, la tête penchée sur sa poitrine, les traces de larmes bien visibles sur ses joues ainsi que les marques de cravache sur ses seins.

-Coucou Peta, on est de retour, les affaires reprennent.

-Peta? On m’avait dit qu’elle s’appelait Alicia.

-On trouvait cela trop chic, alors maintenant c’est Peta. Comme un pet au féminin, comme pétasse, comme …

-Ok, ok ce sera Peta…alors tu es d’accord pour qu’on te décore Peta?

-Oui Monsieur et puis vous allez me baiser?

-Bon sang elle ne pense qu’à cela, tu as raison John. On verra ma chérie, mais d’abord je vais te mettre de gros et lourds anneaux à tes seins, et puis sur les lèvres de ton minou, enfin tu auras un beau tatoo « je prends tout » au-dessus de ton sexe. Comme tu as des grandes lèvres qui pendent, ce sera facile.

Le travail a été rapidement exécuté. Alicia à maintenant de gros anneaux qui étirent ses tétons et ses grandes lèvres ainsi qu’un beau tatoo qui est une véritable invitation pour la pénétrer ou la faire pénétrer par n’importe qui ou n’importe quoi. Après avoir donné quelques conseils quant à l’hygiène à respecter dans les prochains jours, et s’être branlé sur le visage d’Alicia, Claude a quitté le groupe, laissant Alicia frustrée de ne pas avoir été baisée.

-T’inquiète Peta, tu vas bientôt être satisfaite. On va aller voir les bûcherons, on a une commande à leur passer. Va passer un T-shirt , ton jeans et des chaussures. Ni slip ni soutien.

Après une demi-heure de marche dans la forêt John, Louis et Alicia sont arrivés près d’un chalet d’où sortait une belle fumée par la cheminée. A leur approche 2 chiens se sont mis à aboyer et un homme a ouvert la porte. Les bûcherons vivent là pendant 3 ou 4 mois, pour éviter des longs trajets pour rentrer chez eux. Tous les quinze jours leurs épouses viennent leur apporter les provisions nécessaires.

-Salut Marc ! On est venu passer une commande bois pour l’hiver prochain. Le tout sera à livrer à la scierie pour qu’on fasse des lots.

-Bienvenue Louis, John. Et elle c’est qui?

-Peta ! Un petit cadeau de bienvenue. Tu n’as pas un peu de ménage à lui faire faire pendant qu’on discute de notre commande. On en a bien pour une heure, on a regroupé les demandes d’une dizaine de ménage.

-Super. Qu’elle fasse le dortoir et la salle de douche avant que les trois autres ne reviennent. Ils seront là pour le dîner. Elle trouvera le matériel dans la remise derrière la cuisine.

-Tu as entendu Peta? Au boulot. Et maintenant à poil, faut pas salir les seuls vêtements que tu as.

Peta s’exécute et Marc apprécie le spectacle de ce corps nu.

-Wouaahh !! Mais elle est super bandante ! Les anneaux sur ses tétons, c’est classe et vachement sexy. Je vais avoir du mal de retenir les gars.

-Faut pas les retenir Monsieur Marc, je voudrais bien qu’on me baise.

-Ah ça alors, elle en demande …cela va être la fête ce soir…..

Sur ce Peta rentre dans le chalet. C’est sale, ça pue et il y a des déchets partout. Elle trouve le matériel de nettoyage et monte pour nettoyer le dortoir et la salle de douche. Le premier est aussi crade qu’au rez-de-chaussée. Des papiers d’emballage jonchent le sol avec des magazines porno, des cendriers pleins à ras-bord, des draps dégueulasses et des restes de nourriture un peu partout. Dans une armoire Peta trouve du linge propre et décide de changer la literie, elle fera une lessive ensuite, s’il y a une machine à laver. Ensuite elle se met à quatre pattes et commence à ramasser tout ce qui traîne. Elle entend les anneaux de ses grandes lèvres qui se touchent et vois les pointes de ses seins étirées. Cela l’excite, elle ne peut s’empêcher de mettre un doigt dans son sexe et se rend compte qu’elle commence à mouiller. Elle a une envie folle de se faire prendre par un des hommes, elle pense à se caresser mais elle sait qu’elle ne peut pas perdre de temps si elle veut que tout soit propre dans le délais. Elle a à peine une heure. Après avoir rempli deux sacs-poubelles de déchets et nettoyé le sol, elle s’attaque à la salle de douche qui comporte aussi deux lavabos et deux toilettes. La même crasse que dans le dortoir, mais encore plus répugnant puisqu’ici la pisse et la merde s’en mêlent. Si récurer les douches gaziantep yabancı escort et les lavabos ne posent guère de problèmes, pour les toilettes c’est une autre affaire. Peta est obligée de mettre pratiquement sa tête dans la cuvette pour bien frotter. Et cette nouvelle humiliation, encore plus forte à la vue de la merde à enlever, l’excite de nouveau. Elle sent une nouvelle vague de plaisir monter en elle. Elle en a honte. Comment est-ce possible d’avoir une telle envie alors qu’elle a pratiquement la tête dans la merde? Comment est-ce possible d’accepter d’être traitée ainsi et même d’en vouloir plus? Ce qu’elle voudrait c’est se faire enculer par tous ces types pendant qu’elle a la tête dans les chiottes et puis se faire cravacher sur la chatte et les seins avant d’avoir de nouveau des queues en elle, dans sa bouche, son cul, son sexe. Elle ne peut retenir des larmes devant cette déchéance qu’elle demande, dont elle a besoin. Et là elle ne peut plus se retenir, elle se touche et immédiatement un fantastique orgasme la dévore. Encore tremblante et pantelante, elle termine son nettoyage quand elle entend que l’on monte l’escalier. John et Marc viennent voir où elle en est.

-Super travail Peta, il y a longtemps que cela n’a plus été aussi propre. Et à voir ta transpiration, cela n’a pas été facile.

-Merci Monsieur.

-Je me demande si cela ne t’a pas excitée de faire ce boulot de merde.

Silence. Alors John met deux doigts dans sa chatte.

-Mais putain, tu es toute mouillée ! Marc à raison. Tu as joui Peta?

-Oui Monsieur, je n’ai pas pu m’empêcher.

-Et c’est quoi qui t’as excitée ainsi, salope?

-Quand j’avais la tête dans la cuvette et j’imaginais que vous alliez venir m’enculer en m’enfonçant la tête encore plus fort.

-Tu n’es qu’une salope. Une salope obsédée par le sexe, tu ne penses qu’à faire mouiller ta chatte de salope. Même la merde cela te fait jouir. Tu vas être punie pour cela.

-Oui Monsieur, je ne suis qu’une salope qui ne pense qu’à se faire baiser. Punissez-moi, punissez votre chienne pour que j’apprenne à me tenir convenablement.

-On s’en occupera plus tard. Descend nettoyer la salle en bas et puis tu vas faire le dîner. Tu sais cuisiner?

-Oui Monsieur.

-Il y un rôti dans le frigo et des légumes à la cave. Carottes et pommes de terre, en quantité. Tout doit être prêt pour 19 heures, on n’aime bien manger tôt.

-Ce sera prêt Monsieur.

-Et si tu touches encore ton minou, on te place une ceinture de chasteté pendant deux mois. Tu deviendras folle. Dégage maintenant.

Peta avait terminé de nettoyer la grande salle et s’occupait du repas quand le bruit d’un véhicule annonça le retour du reste de l’équipe.

-Salut les gars, pas de problèmes avec le débardage des arbres?

-Non Marc, tout s’est bien passé. On va avoir un beau paquet de stères à préparer. Salut John, salut Louis ! Vous êtes venu passer votre commande?

-Oui Pierre , et on vous a apporté un petit cadeau !

-Maurice, Alex, on a un cadeau qui nous attend !

-Génial, c’est quoi?

-Vous allez voir. Peta ! Apporte des bières et des snacks, on est 6.

Quelques instants plus tard Peta, toujours nue, sort du chalet avec un plateau.

-Voilà, on vous présente Peta. Elle est ici pour vous servir. Elle vient de terminer le ménage, votre local n’a jamais été aussi propre. Et elle est occupée à préparer le dîner.

-Wouahhh ! c’est un super cadeau ça. Et à part nettoyer et cuisiner, elle offre quoi comme service?

-Tout ce que vous voulez, elle est à vous.

-Et bien moi j’apprécierais une petite pipe en prenant ma bière.

-Tu as entendu Peta? Occupe -toi d’Alex.

Sans hésiter Peta s’agenouille et ouvre le pantalon d’Alex. Elle en sort un gros membre déjà à moitié en érection et l’avale goulûment. Tout en suçant, elle caresse les couilles bien pleines du bûcheron. A plusieurs reprises elle s’enfonce le sexe jusque dans la gorge. Privé de femme depuis plus d’une semaine, Alex sent qu’il va déjà bientôt jouir. Il prend Peta par les oreilles et accélère le mouvement, ses couilles viennent maintenant taper le visage de Peta qui ne peut s’empêcher de baver à force d’avoir la bouche ouverte. Juste au moment de jouir il se retire de sa bouche et balane de longs jets de sperme sur le visage de Peta et enfin il essuie sa bite sur ses mamelles.

-Ah que cela fait du bien ! Et c’est une super bonne suceuse.

-T’en veut aussi Maurice?

-Ben oui mais je vais d’abord pisser.

-Bouge pas. Toi tu ouvres la bouche et avale tout.

Toujours à genoux sur la terrasse, Peta s’est tournée vers Maurice et la bouche grande ouverte attend le jet de pisse.

-J’pourrais peut-être aussi lui rincer le visage? Et sur ce un premier jet vient enlever une partie du sperme encore collé sur les joues de Peta. Et puis cela part dans sa bouche, elle avale pratiquement tout, seul un peu d’excédent coule sur ses seins. Quand la source s’arrête, elle garde le sexe de Maurice en bouche et commence gaziantep genç escort à le sucer. Lui aussi en manque ne peut se retenir bien longtemps et balance son jus dans la bouche qui lui est offerte. Ce qui lui coule au coin des lèvres Peta le récupère sur ses doigts et les nettoie dans sa bouche.

-Ah, on va pas s’emmerder ! il reste ici longtemps ton cadeau?

-On va voir, c’est pas encore décidé. Bon si on mangeait un bout? C’est prêt Peta?

-Oui Monsieur, la table est mise et je peux vous servir.

Chapitre 9 : Pierre au service.

Je suis à genoux, face au mur, les mains sur la tête. Valérie et Claire discutent en prenant le café. Mike est parti rejoindre des amis pour regarder un match de foot à la TV. Je suis inquiet pour Alicia, je n’ai rien entendu à son sujet. J’ai été très surpris par le côté maso qu’elle a révélé, je ne m’y attendais pas du tout. Mais j’ai aussi compris que je dois me concentrer sur mon propre sort. Si je ne satisfais pas aux exigences de Valérie et Mike, je suis certain qu’ils n’hésiteront à me jeter dehors et cela je ne le veux pas, je ne le supporterais pas. Je pourrais très facilement survivre, j’ai des ressources. Mais j’ai besoin d’être à leur service. Je veux servir mes Maîtres et de mon mieux. Je veux obéir à toutes leurs exigences et je souhaite qu’elles soient nombreuses, cruelles et humiliantes afin de pouvoir leur montrer combien ma servitude peut être grande. Rien que d’y penser je commence à bander, seul face à mon mur. La plus-part des tâches que Mike m’a assignées ne me font pas peur, je peux les exécuter à la perfection. J’ai compris également que je devrai satisfaire de nouvelles demandes personnelles comme Valérie me l’a fait comprendre ce matin en me faisant lécher le cul de Claire. Peut-être que servir de toilette humaine deviendra plus fréquent. Pendant le repas Valérie a mentionné que je pourrais devenir une poubelle, un cendrier, un repose-pieds, bref un esclave-objet. Et pourquoi pas tant que cela fait plaisir à mes Maîtres et que cela me permette de rester près d’eux. C’est de toutes façons la vie que je veux vivre. Je suis par nature un mâle béta, un soumis, un looser. Je l’ai compris, je l’assume et je sais que je peux être heureux dans cette position car c’est vraiment moi. Même si cela signifie plus de souffrances et d’humiliations que tout ce que j’ai connu jusqu’ à présent. En étant mis deux jours par semaine à la disposition de Patrick et d’Arnaud dans leur bar SM, et sans doute aussi au service de leurs épouses, je vais faire un pas de plus dans l’insécurité car je devrai obéir à des inconnus. Que vont-ils me demander, quelles seront leurs exigences? Je sais que je ferai tout pour les satisfaire et faire en sorte que Mike et Valérie soient fiers de moi. Oui cela doit être cela mon bonheur, que mes Maîtres soient fiers de moi. Quel qu’en soit le prix à payer, j’y arriverai. Je m’en fiche si cela m’oblige à me salir corps et âme, à ne plus être traité qu’avec mépris par tous ceux qui ne cherchent pas à comprendre.

-Pierre ! Tu rêves ou quoi? Cela fait deux fois que je t’appelle.

-Je suis désolé Mademoiselle.

-Arrête de regarder ce mur et viens ici. Mais tu bandes? Ne me dis pas que même un mur cela t’excite.

-Non, Mademoiselle.

-Alors c’est quoi? Et sois clair.

-Je pensais à ce que j’allais devoir faire pour vous et les autres Maîtres, vos nouvelles exigences, des humiliations, des punitions. Et que je ferai tout pour vous satisfaire.

-Et cela t’excite? cela devrait plutôt te faire peur.

-Oui cela me fait peur mais penser à ce que vous avez dit à propos de vous servir de toilette, de devenir un esclave objet, de devoir travailler et obéir dans un bar SM, d’être au service d’autres personnes, cela a provoqué cette érection. Je suis désolé Mesdemoiselles, je vous demande pardon.

-Va chercher le « humbler » qu’Alicia avait acheté. Il est temps qu’on te calme.

Je suis revenu avec le « humbler » (à ce propos j’ai cherché une traduction correcte de ce mot, toujours pas trouvée..) et Valérie me l’a fixé. Pendant ce temps Claire est allée chercher une cuillère en bois dans la cuisine. A genoux, les couilles étirées vers l’arrière, j’attendais ma punition.

-Que tu bandes ne me dérange pas si c’est en notre honneur. Tu nous vois passer à poil, tu nous regarde faire l’amour, tu lèches nos pieds, tu fais le service, même quand tu nous sers de toilette, que tu bandes dans ces moments-là, c’est normal et je l’accepte car c’est en notre honneur. Mais que tu imagines des situations qui pourraient être excitantes et que cela te fasse bander, c’est inacceptable parce que c’est égoïste, tu ne penses qu’à toi alors que tu ne dois penser qu’à nous. Et la prochaine fois, tu vas te mettre à te branler devant nous? Et puis quoi encore !!

-Je suis désolé Mademoiselle, vraiment. Cela ne m’arrivera plus.

-Pas de sitôt en tous cas.

Et sur un signal de Valérie, Claire abat la cuillère en bois sur mes couilles, prisonnières du « humbler ». Et puis un deuxième gaziantep gerçek resimli escort coup plus fort, et un troisième encore plus fort.. Sur ce dernier je ne peux retenir un hurlement et je tombe sur mon côté.

-Reprend ta position, on n’a pas fini.

-Pitié…

-Pas de pitié pour les petits bandeurs.

Et deux nouvelles frappes me font de nouveau tomber. Je suis maintenant en larmes et prêt à vomir, la douleur est intense et me remonte dans l’estomac.

Excitée par cette punition et par mes larmes, Claire se tourne vers Valérie et l’embrasse en pleine bouche. Puis elle glisse ses mains sous son t-shirt et commence à lui caresser les seins, à pincer ses tétons. Valérie lui répond en tirant sur son slip de bain et en posant sa main sur sa chatte. Bien vite elles se retrouvent nues et s’allongent sur un des matelas au bord de la piscine. Elle se placent en tête-bêche et chacune titille le clito de l’autre avec sa langue. Et puis elles s’enfoncent 2 doigts dans le derrière avec un mouvement de va-et-vient qui les font jouir toutes les deux et pratiquement en même temps. Les corps en transpiration, les cheveux collés sur la nuque, la respiration haletante, un grand sourire aux lèvres, elles sont heureuses.

-Tu vois Pierre, si tu nous avais regardées et commencé à bander cela aurait été OK car il était évident que cela aurait été en notre honneur.

-Oui mademoiselle Valérie. Je vous demande encore pardon.

-Tu restes avec le « humbler » jusqu’en fin de journée, il y a assez de choses que tu peux faire à quatre pattes, commence par nettoyer les chaussures. Et puis tu porteras ta cage de chasteté toute la semaine. Dégage.

Virginie et Claire se sont douchées et puis allongées nues au bord de la piscine.

-Tu feras quoi avec Pierre quand tu auras terminé ta spécialisation?

-Je ne sais pas encore. Cela dépendra aussi d’Alicia. Peut-être auront-ils envie de reprendre leur vie de couple comme avant? Ou bien ma mère va choisir un autre style de vie? Franchement je n’en sais rien, et comme je suis encore là pour 5 mois, la situation peut encore évoluer. Il est évident que pour Pierre, si maman choisit une autre voie, cela va être très difficile. Il a un besoin profond d’être soumis et de servir. Sans cela il va être tellement malheureux qu’il risque une dépression, ou pire encore. Sauf bien sûr si d’ici là il trouve un nouveau Maître, une nouvelle Maîtresse ou les deux ..

-Tu ne le reprendrais pas avec toi?

-Compliqué, j’aime autant pas. Je vis dans un appartement et je ne suis pas prête d’avoir un homme, même soumis, dans mes pattes toute la journée.

-Et si tu venais t’installer ici?

-C’est une possibilité dans le futur, il y des projets industriels en relation avec l’école. Mais il faudra encore que je trouve quelqu’un qui veuille bien vivre avec moi et un esclave. Seule avec lui ce n’est pas possible.

-Fille ou garçon?

-Je te vois venir toi ! Arrête un peu de me projeter dans le futur. Alicia revient dans une semaine, on verra bien où elle en est. Et pour l’instant ma priorité ce sont mes cours de spécialisation.

Mike est revenu à la villa un peu plus tard. En me voyant à genoux et portant un « humbler » alors que je cirais des chaussures, il m’a demandé le pourquoi de cette situation.

-Mademoiselle Valérie me l’a fait mettre pour que mes couilles soient plus accessibles et me punir.

-Te punir pourquoi?

-Parce que, alors que j’étais face au mur, j’ai eu une érection et que cela était dû au fait de penser à certaines humiliations que j’ai eues et que j’aurai sans doute. Mais comme ce n’était pas en l’honneur de mademoiselle Valérie et ou de mademoiselle Claire, elles ont trouvé que c’était égoïste de ma part et que je devais être puni. Alors mademoiselle Valérie m’a fait porter le humbler et mademoiselle Claire est allée chercher une cuillère en bois dans la cuisine et a frappé durement cinq fois mes parties.

-Ouchh ! Cela a dû être douloureux.

-Oui Maître, très.

-Continue de cirer les chaussures, je vais voir les filles.

-Elles sont au bord de la piscine Maître.

Valérie et Claire continuaient leurs discussions en profitant du soleil.

-Salut les filles ! Pierre vient de me raconter sa punition, cela a dû bien vous amuser.

-Et même excitées si tu veux tout savoir. On n’a pas pu s’empêcher de se faire plaisir une fois la séance terminée.

-Vous auriez pu m’attendre.

-Oh mais on est encore bien chaudes tu sais. Et Claire a bien envie d’une partie à trois.

Sur ce Claire s’est approchée de Mike et a baissé son bermuda et son slip. En voyant le sexe de Mike, elle n’a pu retenir un petit cri d’admiration et aussitôt l’a pris dans sa bouche. Mike a s’est penché pour prendre les seins de Claire dans ses mains. Pas très gros mais avec des tétons bien durs que Mike a commencé à pincer gentiment, provoquant des petits gémissements chez sa partenaire.

-Tu aimes cela, tu es sensible des seins?

-Oui Mike, je peux jouir rien qu’en ma caressant les seins.

-Cela va être pour toi Valérie.

Mike s’est alors couché sur le dos et Claire s’est empalée sur lui. Valérie s’est approchée et s’est mise à sucer et mordiller les tétons de Claire. Celle-ci a commencé à gémir de plus en plus fort. Les coups de boutoir de Mike et l’action de Valérie sus ses seins ont vite provoqué un orgasme qui a envahi tout le corps de Claire. Mike s’est dégagé et est venu se placer derrière Claire.

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Anal

As she was lying there in the lavender scented bubble bath, the hot steaming water glistening on her smooth, creamy skin, slowly slipping her long fingers over her gleaming body, reaching down for a soft white face cloth, and the bottle of body gel. Clicking open the bottle with her long, spade shaped finger nails, she wraps her slender fingers around the bottle and squeezes lightly to get the thick liquid onto the face cloth. Putting the bottle down, and lathering up the face cloth, starting at her neck, slowly circulating it around, moving down over her shoulders.

She comes to the mound of her full rounded breasts, first the right side, then the left, slowly massaging with her hands the foamy cloth, making her nipples into tiny rose coloured peaks. She continues this display, all the while, forgettting she left her curtains open, her neighbour was watching everything that she was doing, from lathering up the face cloth, to the massaging of her own breasts that she was displaying right now.

He turned out the light in his house, grabbed a chair, and sat in the shadows, watching this finely shaped beauty trail her hands all over her luxurious body. Her fingers massaging seks hikayeleri her breasts, down over her flat tummy, in between her legs, and over her thighs, leaving a trail of soft bubbles from the soap. She follows the trail of bubbles she left behind back up to her breasts, her eyes half closed, enjoying the sensation her own touch is giving her at this moment.

Suddenly, her eyes open, she has a strange feeling she is being watched from somewhere. She looks to her right to see her bay windows in the bathroom, naked, no curtains or shades covering them at all. A wry smile comes across her face. Her neighbour next door thought he was spotted, and backed away a little, afraid she may scream. He is about to turn away, when he spots the smile growing on her face. Sitting back down, he begins to watch her again, feeling a growing need in his pants.

Closing her eyes again, only this time, feeling she has an audience, wants to put on a real show, and please herself at the same time. Why not kill two birds with one stone, she thinks.

Taking the face cloth away from her body, Morgana grabs a small pitcher beside gaziantep şişman escort the pearl coloured tub. She dips the pitcher into the water, and slowly pours it out, over her slender shoulders, the firm roundness of her breasts, down her belly, over her shaven mound, and trailing the stream of water down each long, creamy leg, to rinse off any residue of soap left on her firm body.

The silent neighbour begins licking his lips at this display of the exotic woman that lives next to him, trying hard not to make a sound for fear she may hear him, but she seems to know he is there, and continues to do what she is doing to herself with great pleasure.

She then takes her leg, closest to the outside of the tub, and drapes it over the edge, fully opening herself up to her voyeur across the way. Her eyes still closed, a teasing smile upon her face, she draws her hands up to her face, tracing the tender jawline, moving down over to her breasts, her fingers, tweaking her perky nipples, tracing circles around them, the down to her waiting hot core. Morgana slowly places one finger against her now beginning gaziantep sınırsız escort to throb clit, moving her finger in small slow circles. A tingling sensation runs through her body at her own invasion of herself. She gasps a little, surprised at the intensity of her enjoyment. It seemed to have doubled more than usual considering she knew she had an audience. Where, she did not know, making it even more pleasurable.

Taking the finger off her clit, she begins probing herself, one finger at first, enough to dip into her now forming juices within her body. Probing herself in and out, moving faster, she places her thumb against her clit, rubbing in circles as she dips her finger deeper within herself. She begins feeling a pending explosion build deep in her body, her internal muscles clinching onto her finger, she begins bucking her hips, thrashing about in the water and crying out as her orgasm comes to a head. Her hot wet core dripping into the tub and around her finger.

Collapsing against the back of the tub, with a satisfied smile across her face. Pulling the plug for the tub, stands up, and steps out of the tub. She stands in front of the bay windows, smiling at her own reflection, and also knowing that her mystery voyeur is watching her. She reaches for a towel, slowly, seductively dries herself off, then wraps it around her, blows a kiss out the window and heads out the room.

And as she heads out the room, her neighbour collapses against his chair, completely spent, and reaching for a towel of his own….

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Ass

“Mettre le fusil en bas!”

“Pas un hasard, Pete. Quand je mets ce fusil en bas, ma femme et je serai perpétuellement épousé.”

“Je ne suis pas votre femme.”

J’ai été étourdi pour entendre le défi de Fyona, malgré sa situation difficile mais sachant qu’elle était robuste assez verbalement de se défendre m’a fait plus fort.

“Fermer la baise en haut, la chienne!” Ronnie équivoque elle, riant comme elle a reculé dans la douleur, le sang dégouttant d’un coin de sa bouche.

“Faire ne vous la touchez pas, vous le connard!”

“Vous fermez en haut, aussi!” Ronnie a crié à la voix de la pièce derrière eux. “Vous êtes une excuse sans valeur pour un fils!”

Un petit morceau de soulagement m’a traversé quand j’ai entendu la voix de Mykal. J’ai su qu’il allait très bien maintenant. Tout hinged sur Ronnie et le prenant en bas. Comme s’il pourrait entendre mes pensées, Ronnie m’a tourné, ses yeux glacés. Il a été sauté en haut. Peut-être que travaillerait à notre avantage, peut-être n’il ferait pas. Sa main a erré par-dessus ses seins et a glissé entre ses jambes, les doigts poussant en haut dans elle. Fyona a gémi dans la douleur mais ses yeux antep escort restés a verrouillé pour extraire.

“Vous voulez ceci, n’est-ce pas?” Il a souri, sachant qu’il poussait mes boutons. “Je vous ai vu au restaurant. Je sais que vous voulez la baiser.” Il a retiré sa main et j’ai vu que le sien touche a été couvert avec une substance poiree. “Bien, que deviner-il? Vous obtenez des secondes peu soignées!”

Ma mâchoire a commencé à blesser de comment dur je meulais mes dents ensemble. Il l’avait baisé déjà. Maintenant j’ai compris l’honte dans ses yeux. Je me suis fait silencieusement une promesse pour effacer que pour elle. “Cela n’est pas un problème, Ronnie. Quand vous l’aimez, vous ferez n’importe quoi pour eux.” Je l’ai entendue Le sanglot et Brad douces ont encombré contre moi, me donnant son soutien sans l’exprime.

“Oh, donc vous mangeriez son minet avec mon avec dans lui?” Ronnie a lancé sa tête de retour et ri. “Vous devrez sucer son âne, aussi, parce que je suis entré cela, aussi.” J’ai gardé mes neutrons de faceL. Tommy transférait au côté, de ligne de Ronnie de vue. “J’ai fait sa gorgée un araban escort chargement, aussi. Dois-je faire sa vomissure pour vous?”

J’ai essayé n’imagine pas son angoisse à sa remarque désinvolte. “Non, cela n’est pas nécessaire.”

Il a dévisagé à moi pour un moment long, essayant pour obtenir un lire sur moi. “Vous en fait amour cette chienne?” Il la demi-guêtre le mot amour comme si c’était une maladie.

“Je pourrais.”

“Pourrait?”

“Je n’ai pas eu l’hasard pour découvrir pourtant.”

“Bien, je serai content pour résoudre ce problème pour vous. Les chiennes aiment que ceci est incapable d’amour.” Il a grogné, poussant le museau du fusil sous son menton. “Elle a dit qu’elle m’a aimé mais elle ne sucerait pas mon dick quand je l’ai voulue à.”

“Cela n’est pas l’amour.” Fyona a dit d’une voix grinçante, déchire streaking ses joues encore.

“Voit que je signifie?” Ronnie pistolet-fouetté elle dans l’inconscience. “Ils sont supposés pour faire quoi que la baise que nous voulons, Pete, donc pourquoi elle pourrait ne suce pas juste mon dick?”

“Peut-être elle a été fatiguée. Peut-être arap escort elle était malade.”

“Elle n’a pas été fatiguée ou malade!” Ronnie a commencé à grandir nerveux. Il a jeté un coup d’oeil à la forme molle de Fyona, soudain fâché qu’il a été privé de son cible. “Elle a dépensé le trop de temps avec que le gosse fichu. Toujours jouer avec lui ou occuper de lui. Et me? Je baisant l’ai épousée. Elle a été supposée pour s’occuper de moi!”

“Mykal votre fils, Ronnie. Auriez-vous elle est une mauvaise mère afin d’occuper de vos besoins?”

“Baiser oui!” Ronnie a tenu le fusil à son temple. “Si j’aurais su que le gosse allait être un tel problème, j’aurais dit que m’elle débarasse de lui.”

“Vous le morceau de merde!”

L’explosion de Mykal était notre billet. Quand Ronnie a tourné vers la pièce où son fils a été localisé, Tommy a sauté sur lui. Le fusil est allé voler et il y avait quelques-uns minutes tendues quand le deux combattaient et il a semblé que Ronnie allait gagner. Alors Brad l’a coupé sur le côté de sa tête et de Ronnie est descendu.

“S’occuper d’elle.”

Je n’ai pas eu besoin de Brad pour dire me ce que de faire. Je l’ai transmis mon arme et délié elle, Tenant son corps nu contre le mien. Ses yeux ont palpité ouvrent brièvement et elle a grogné dans la douleur. “Pete?”

“C’est par-dessus, le miel. C’est par-dessus.”

Ses yeux ont enroulé dans sa tête et de nouveau, je tenais l’objet de mon désir dans mes bras.

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Kary 09

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Ass

Samedi 9 avril

J’ai ouvert les yeux, essayant d’acclimater ceux-ci à la lumière ambiante. J’ai pris conscience à ce moment que j’avais dû dormir quelques heures finalement.
Je me suis étiré le cou pour voir qui arrivait. Bien sûr, c’était Madame. Elle portant toujours son masque de plastique qui ne permettait pas de distinguer parfaitement son visage.

— Alors, elle a bien dormi ma petite chienne ?
— Un peu Madame.

Elle s’est approchée de la cage et a enlevé le cadenas. Puis elle m’a installé un collier autour du cou avant de me faire sortir. Ensuite, j’ ai dû la suivre à quatre pattes jusqu’au tapis près de la porte par laquelle elle était entrée.

— Place tes mains dans ton dos et prends ton petit-déjeuner, je vais revenir dans quelques minutes.
— Bien Madame.

Juste avant de disparaître, Madame avait lié mes poignets avec une paire de menottes derrière mon dos. Sur le tapis, il y avait un bol de céréales et un autre avec des fruits coupés. Je devais manger ma pitance comme une vraie chienne, par terre et sans les mains. Pour les fruits, cela était assez facile, mais les céréales, c’était autre chose.
Rapidement, j’ai eu la figure humectée de lait. Mais avec de la patience, j’ai réussi à tout avaler de mon petit-déjeuner. Je suis restée encore quelques minutes à genoux, les fesses déposées sur mes talons, devant mes bols vides attendant nerveusement le retour de Maîtresse.

Finalement, Madame est apparue et m’a autorisée à me relever. Elle m’a libérée de mes entraves et m’a accompagnée dans la salle de bain attenante au garage pour que je puisse me brosser les dents et prendre une douche. Mais avant cela, j’avais une terrible envie, j’ai demandé à Madame si je pouvais me soulager et elle a acquiescé. Mais lorsque je me suis approchée de la porte pour avoir mon intimité, j’ai dû renoncer.

— Ne touche pas à la porte, pour toi, il n’y a plus de porte. Lorsque tu es avec moi, tu n’as plus d’intimité… Allez, vas-y, soulage-toi maintenant.

Après avoir vaincu le gène qui m’empêchait d’évacuer cette crampe au ventre qui me tenaillait, c’est rouge de honte que j’ai pris ma douche sous le regard sadique de Madame, du moins de ce que j’en percevais derrière son masque. Ensuite, elle m’a reconduite au garage, et c’est avec des bracelets de cuite qu’elle a fixé mes poignets aux barres de métal qui soutenait les rails des portes du garage. Alors, j’étais là, au milieu de la pièce, les bras tendus vers le haut, c’était limité, pour ne pas être sur la pointe des pieds. gaziantep grup escort Soudain… Splaf !, splaf !, splaf !…

— Ouchhhhhh !
— Tu sais, petite salope, que tu dois toujours m’obéir sans discuter, n’est-ce pas ?
— Oui Madame.
— Alors, tu as droit à une correction pour avoir hésité lorsque je t’ai donné un ordre.

Splaf !, splaf !, splaf !…

— Ouchhh, ouchhhh, ouuuii Maaadaaaamee.

Madame m’avait fessée avec force, mais j’aimais cette sensation de chaleur sur mes fesses, ce doux picotement. Cela me rappelait mes séances d’auto-punition que je m’infligeais en solitaire chez moi. J’y mettais presque autant de force, mais quel plaisir de recevoir cette douleur, donné par une autre personne en mode autorité sans savoir quand cela va s’arrêter, et qui plus est, dans une situation de vulnérabilité.

Madame s’est ensuite dirigée vers la cage au milieu du garage et elle y a pris une palette de bois. Puis elle est venue se positionner derrière moi. Là, j’étais nerveuse, ses claques sur mes fesses avaient été fermes et appliquées avec force, mais là, elle tenait une palette de bois dans ses mains.

— Maintenant, petite pouffiasse, je veux que tu te souviennes que tu dois toujours m’obéir.
— Euh !… Oui Madame…
— Quand je te dis d’écrire ton journal avant d’aller au lit, tu ne dois pas l’écrire et me l’envoyer à 3 heures de l’après-midi salope.

Effectivement, mercredi, jeudi et vendredi de cette semaine-là, j’avais envoyé mon journal intime à Madame en fin ‘après-midi pour pouvoir me coucher immédiatement en revenant du travail à minuit. J’étais consciente que cela était une faute grave et que j’allais le regretter.

Alors, Madame a commencé à frapper mon arrière-train avec détermination. Sa palette de bois percutant ma fesse gauche et ma fesse droite avec un rythme soutenu et une force qui me rappelait ma faute à chaque instant. Au début, ma vulve est devenue toute trempée par l’excitation que me procurait cette situation, cette douleur, ce plaisir d’être dominée par cette femme sadique qui me contrôlait. Puis la douleur est devenue tellement intense…

Claaac ! Claaac ! Claaac ! Claaac !

— Ouchhh !… Maaadaame… Pitié…

Je ne comptais plus les coups, je ne savais plus comment faire pour les esquiver. Des larmes coulaient sur mes joues. Madame continuait à me frapper, je crois qu’elle y prenait un certain plaisir de me voir me tortiller devant elle comme cela.

Claaac güneyşehir escort ! Claaac ! Claaac ! Claaac !

— Ouchhh ! Ouchhh ! Ouchhh !… Maaaadaaaame… Pitié… Je vais vous obéééééir à l’avenir…

Je pleurnichais comme une madeleine, mon ventre vibrait au rythme de ma respiration saccadée. Puis les coups se sont arrêtés. Madame s’est déplacée devant moi et a serré, entre ses doigts, mes deux mamelons. Ensuite, elle a tiré fort vers le haut de telle sorte que je me suis retrouvée sur la pointe des pieds. Elle tirait et tordait ma poitrine en me regardant droit dans les yeux.

— Ouchhh !… Maaadaame… Ouchhhh !
— Tu promets que tu vas m’obéir à l’avenir, petite pouffiasse ?

Mon cul et mes seins me faisaient tellement mal. Mes larmes coulaient sur mes joues pour aller s’écraser sur mes seins un peu plus bas. Je pleurais, j’étais à bout de souffle.

— Je prooomets de toujours vooous obéir Maaaadame… Merci de faireee mon éduuucation.
— Très bien… Je vois que tu es une salope qui sait apprendre de ses erreurs… Bravo.

Splaf ! Splaf !…

— Aaaaaaah ! Aaaaah !

Madame avait lâché mes seins et leur avait donné à chacun une claque bien sentie. Elle m’a détachée et amenée près de la cage au milieu du garage, je me suis mise à genoux sur un coussin qu’elle avait placé à cet endroit. Elle s’est assise sur la cage devant moi.

A genoux, les mains dans le dos, je la regardais dans les yeux comme elle me l’avait demandé. Mes fesses et mes seins me faisaient tellement souffrir. Jamais je n’avais reçu une telle correction. J’avais mal, mais j’étais heureuse qu’enfin Madame me fasse profiter de son côté sadique pour mon plaisir masochisme, dans la douleur, j’étais heureuse.

Madame avait une surprise pour moi. Et c’est à ce moment qu’elle a enlevé son masque. Elle me semblait si jeune, si belle, mais sa posture laissait voir une femme mature, déterminée et autoritaire.
C’est à ce moment-là que Madame m’a raconté son histoire. Ses parents étaient des Européens, ils s’étaient mariés début vingtaine et ils avaient démarré leur propre entreprise. Travail oblige, la famille avait été mise au second plan. Plus tard, ayant beaucoup voyagé par affaire, ils étaient tombés amoureux du Canada. Ils s’y sont donc installés en permanence, les affaires pouvant être gérées à distance. Mais, ils leur manquaient quelque chose pour être comblés. C’est pour cette raison que Madame a vu le jour au Canada en février islahiye escort 1993. Tout au long de son enfance et de son adolescence, ses parents l’ont initiée aux règles des affaires. C’est peut-être pour cette raison que Madame a développé un certain goût pour le pouvoir par le contrôle. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, mais malheureusement, en mars 2011, ses parents sont décédés dans un tragique accident, Madame avait à peine 18 ans à cette époque.

Alors, après avoir surmonté sa douleur, elle a épuré l’entreprise familiale pour en conserver seulement ce qui lui convenait et, tout en vaquant à ses affaires, elle avait commencé à s’intéresser au BDSM, quoiqu’elle savait que cela se trouvait au-dedans d’elle depuis toujours. Très rapidement, elle a su qu’elle voulait posséder une soumise et a commencé ses recherches. Et quelque temps plus tard, elle est tombée sur ce qu’elle cherchait, moi…

Même si mes seins me faisaient mal et que mes fesses chauffaient, j’avais très bien saisi l’histoire de Madame. J’étais stupéfaite de constater que Madame n’avait que 23 ans alors que moi, j’en avais presque 27. Je me faisais dominer par une jeune fille de presque 4 ans ma cadette. Mais pour son jeune âge, Madame était très mûre. Sans son apparence physique, j’aurais sûrement cru avoir affaire à une femme dans la quarantaine…

— bon, voici ton téléphone…
— Merci Madame…
— Je suis très occupée pour l’instant, alors tu retournes chez toi, et n’oublie pas ta leçon d’aujourd’hui.
— Oui Madame.
— Journal et texto aussi…
— Oui Madame.

Madame m’a embrassé sur le front en me serrant un sein violemment, et la porte centrale du garage s’est ouverte. Je me suis levée et j’ai commencé à marcher vers l’extérieur, les fesses et les seins endoloris. J’ai pris le chemin vers la sortie. Tout en marchant nue comme un vers dans l’allée, j’ai remarqué deux étangs artificiels devant moi, ils étaient reliés par un petit ruisseau, l’allée le traversait grâce à un petit ponceau.

Lorsque j’étais arrivée la nuit précédente, la noirceur avait occulté ce détail à mes yeux. Je suis repassé devant les trois bâtiments qui se trouvaient à ma gauche à présent, puis près de la sortie, j’y aperçus ma voiture. Je m’y suis engouffrée et j’ai enfilé mes vêtements.

La pression de mon corps sur mes fesses posées sur le siège les rendait très sensibles, cela me rappelait constamment la correction que Madame m’avait donnée un peu plus tôt. J’ai démarré la voiture et fait demi-tour, à mon approche, la grille du domaine s’est ouverte.

Regardant celle-ci se refermer, je suis restée quelques minutes à contempler les murets de chaque côté de l’entrée où il y était inscrit en grosses lettres dorées ARDEN. J’ai envoyé un message à Madame pour lui dire que je prenais la route de campagne pour me rendre chez moi en espérant avoir de ses nouvelles bientôt…

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