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When I Masturbate…

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Anal

The way I masturbate has pretty much stayed the same since my early teens, before I knew what sex was like. I’d try to create scenarios so I could imagine how I thought it would play out… and how I’d hoped it would be!

I don’t need movies… I don’t go for whips or chains… all I need is some good pictures of a woman (online or magazine), my uncut cock, and an active imagination. You’ll realise as you keep reading, that the rest will take care of itself!

I like pleasuring myself to women of all shapes and sizes. I’m not fussy, as long as I can find pictures of her in the poses I like. But I’ll ‘cum’ that soon…

If you’re the woman I’m about to masturbate to, you’ll be a few years older than me- old enough to teach me a thing or two! If I’m lucky, you’ll also have a bush down there. On the surface you’re womanly, pretty, neat and tidy at first impression, but under your clothes is a crazy mound of pubic hair, drawing me in to what’s inside; provoking me to explore further.

After admiring a photo of you fully dressed, imagining seeing you out somewhere, I’ll move on to a photo of you completely nude. You’re gaziantep zenci escort standing there naked, looking straight at me, so I’ll let my eyes go for a wander. Your facial features down to your breasts, totally uncovered, with nipples that point in my direction, and wonderful curves on your body as I reach your nether regions. I see the slit between your legs and my penis will give a little tingle of anticipation; urging me to move the journey faster.

Now I have a photo of you with you facing away from me. Your flat back leads its way down to the best curves of all… your bare bum! We occasionally see naked asses in everyday non-sexual life. But right now I know THIS one is for sexual purposes! YOU are posing to turn me on! I have a semi erect cock now to prove it!

The naked shot of your ass is nice, but I’m feeling dirty. I’m feeling adventurous! I want to see inside! In the next photo, you’ve got both hands on your bum and you’re pulling your cheeks apart. It’s a very personal part of your body. You only have one asshole and I’m staring straight at it! The gaziantep escort contours of your smooth, now-parted butt cheeks meet perfectly in the middle with some stray hairs along the way. I imagine what it would be like to press my face in between those cheeks and rub my nose against the pinkish wrinkled ring of your asshole. I get another view of your pussy from this angle too- provoking me to explore it some more.

And that’s exactly what I’ll do – I’ll get to know your vagina a bit more!

You’re sitting down in front of me now with your legs open, and offering me another view of your heavenly lady bits. My penis is now at full hardness, and I’m faced with a layer of pre-cum on the tip, across the hole, as it points straight up at me. Without fully realising it, I’m already gently rubbing my shaft. But not too much! I don’t want to blow this yet!

There’s some pink showing on your pussy now, but I want to totally immerse myself in your sex hole. With a deep breath, I flick to the next picture. This one is the holy grail. The most intimate part of your body where only the chosen ones can enter. Right now, I’m a chosen one! With both hands widely holding your pussy lips open, you’re letting me see inside your love tunnel designed for pleasure and fun. I imagine the natural smells in this area of your body… from both openings that are now on display to me and driving me wild.

Covered in hair, but totally smooth and pink when I look deep inside, I spend time studying your vagina and clit in detail; the pleasure centre, as I start to think about my own impending pleasure.

My foreskin has slowly pulled itself back as my erection grew. The uncovered purple tip of my manhood is now almost pulsing in anticipation and glistening in the light from the pre-cum you’ve caused me to ooze.

While the look on your face welcomes me, the opening of your wet pink pussy beckons me to come inside, daring me to explode within.

I’m ready.

With my right hand clasped firmly around my raging hard cock, I begin pumping it up and down. All the while imagining that it’s deep inside your spread open vagina.

Pulling hard, pumping myself, focusing my attention on the internal folds of your sex, my pace quickens. It’s feeling good. There is no stopping now.

My cum begins to shoot! Pearly white, throb after throb. Unable to control it, I let out some grunts as the feeling of my orgasm takes over my body and covers your open pussy beautifully with my seed.

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Le Club du Bikini Dore Ch. 02

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Anal

James se tenait là, totalement nu, sa bite en érection pointant droit devant lui. Il voulait se rapprocher du lit mais était complètement figé. Il n’était qu’à deux mètres de sa belle femme, qui était allongée sur le lit, les jambes écartées. Un homme noir musclé était entre celles-ci, pénétrant la chatte mouillée avec une bite qui devait bien faire, selon James, 30 centimètres de long. Il regarda sa propre queue. Elle était toujours dure mais semblait plus petite. Chaque coup de rein du mystérieux noir lui drainait sa masculinité. À chaque gémissement de sa femme, son pénis devenait de plus ne plus petit jusqu’au point où il ne resta plus qu’un minuscule bout entre ses jambes. Il perdit l’attention qu’il portait à sa bite quand il entendit Rebecca, sa femme, murmurer son nom. Il la regarda mais elle était toujours dans un autre monde, se délectant du plaisir qu’elle recevait de l’étalon noir.

James tressaillit quand il senti une main toucher son épaule et le remuer gentiment. Soudain, l’homme noir disparut, la pièce disparut et enfin, sa femme disparut et il se réveilla de son rêve.

« Réveille-toi, marmotte! » dit Rebecca avec un sourire. « On n’a pas dépensé tout cet argent sur nos vacances pour dormir toute la journée. »

James était enfin revenue à la réalité. Rebecca était occupée à s’agiter dans toute la chambre pour préparer leur sac. Elle portait un bikini doré et soudain le souvenir de la veille lui revint tel une vague. Le couple qu’ils avaient rencontré, Graham et Jenny, les avait attirés au bar de l’hôtel hier soir pour qu’ils se voient proposée l’admission au Club du Bikini Doré par un membre du staff.

James et Rebecca ne savaient pas ce que faire partie du club signifiait vraiment. Tous ce qu’ils savaient, c’est que les femmes membres était libre de faire l’amour avec n’importe quel membre du staff — tout ce qu’elles avaient à faire était de porter le bikini doré pour montrer leur disponibilité.

Se remémorant ce qu’il s’était passé après qu’ils soient revenus à leur chambre, James se souvint que Rebecca était allée droit dans la salle de bain pour essayer le bikini et avait fermé la porte derrière elle. Quand elle ressortit en bikini, James était à la fois triste et un peu soulagé. Ils s’étaient couchés peu après.

« Je vois que tu as mis le bikini, » dit James.

« Bien sûr! » répondit Rebecca. « Pourquoi pas? Après tout, je me suis dit que ce serait drôle d’exciter ces gens un moment! »

James était content que Rebecca voulait seulement exciter le staff de l’hôtel, mais une part de lui souhaitait toujours qu’elle aille plus loin et qu’elle se fasse séduire par l’un d’eux.

Comme la veille, James et Rebecca allèrent prendre le soleil au bord de la piscine. Lors du trajet, presque tous les yeux étaient rivés sur Rebecca. Les autres femmes portant bayan escort gaziantep les bikinis dorés la regardaient avec un sourire entendu. James sentit que certains regards lui étaient destinés, il interprétait les sourires comme des moqueries humiliantes. Elles devaient penser qu’il avait laissé sa femme se faire séduire par des membres du staff bien dotés.

En respectant leur règle des vacances (interdiction de mettre sa crème solaire soi-même), ils se recouvrirent l’un l’autre de la tête aux pieds. James pris son temps avec Rebecca pour apprécier son beau corps aussi longtemps que possible.

Quand elle s’allongea et ferma les yeux pour se relaxer, James prit quelques secondes pour détailler sa beauté. Elle avait une taille de guêpe, une poitrine 85F et un cul à en mourir — qui tressaillait quand elle marchait sans pour autant paraître tombant. Sa magnifique silhouette était complétée par des yeux bleus et des cheveux roux qui volaient au vent comme une vague de feu.

Après un bout de temps, Rebecca dit à James qu’elle allait chercher des boissons.

« Tu es sûre que c’est pas risqué d’y aller habillée comme ça? » demanda James.

« Oh, ne sois pas stupide! » rétorqua Rebecca. « Le staff est composé d’hommes sexy et excités, pas de violeurs! »

« Alors maintenant tu les trouve sexy? » demanda James avec un sourire.

Rebecca lui fit simplement un clin d’œil et s’éloigna.

Sur le chemin, Rebecca vit Jenny et Graham disparaître dans une chambre avec deux membres du staff. En fait, elle vit plutôt Jenny main dans la main avec deux noirs bien musclés, et son mari qui suivait comme un toutou obéissant. Elle décida de les suivre.

Lorsqu’elle entra, Rebecca vit Graham assis sur une chaise dans un coin de la pièce, totalement nu, Jenny se penchant au-dessus de lui dans son bikini doré alors que les hommes noirs se tenaient debout en short au pied du lit.

« Rappelle-toi du marché, chéri, » dit Jenny à Graham. « Tu dois t’asseoir sur les mains et ne pas te toucher. Tu ne bouges pas d’ici à moins que Leon, Wes ou moi ne te le dise. »

Graham approuva de la tête puis aperçut Rebecca.

« Rebecca! » s’exclama Jenny quand elle la remarqua. « Je suis si heureuse que tu aies décidé de rejoindre le club! »

« Je ne l’ai pas rejoint! » répondit Rebecca. « Enfin, pas encore… Je peux euh… regarder? »

« Bien sûr, ma belle! » dit l’un des noirs. Rebecca ne savait pas si c’était Leon ou Wes. « Mais tu ne pourras pas résister à l’envie de nous rejoindre très longtemps… »

Rebecca s’assit sur une chaise et regarda alors qu’ils s’affairaient. Comme dans une danse chorégraphiée, les hommes se levèrent et Jenny tomba à genoux et sortit leurs bites à moitié dures.

Rebecca n’en crut pas cim cif gaziantep escort ses yeux. Elle ne connaissait cette femme que depuis deux jours, et elle était en train de la regarder se soumettre à deux hommes aux bites extrêmement grosses. En plus, aucun de ces deux hommes n’était son mari!

Elle sentit comme un titillement entre ses jambes mais elle ne pouvait pas se toucher alors qu’elle observait sa nouvelle amie donner du plaisir aux deux hommes avec expertise. Leurs bites noires brillaient avec la salive de Jenny tandis qu’elle les rendait dures et humides. Elle était déjà une experte en la matière. Ses mains ne quittaient jamais leurs queues, et quand elle suçait le gland de l’une, elle branlait l’autre.

Jenny éloigna sa bouche des deux bites un instant pour voir Rebecca assise, les jambes collées l’une à l’autre, et se léchant les lèvres.

« Tu veux venir m’aider? » demanda Jenny avant de continuer à sucer une des deux verges.

« Je ne peux pas, » répondit Rebecca d’une voix timide. « Je portais juste ce bikini pour les exciter… »

Avant qu’elle ait pu finir sa phrase, Jenny intervint, « Allez! Ils ne mordent pas! Tu vas adorer, je te le promets. »

Rebecca se sentit comme possédée. Son esprit lui disait de fuir, mais cependant son corps se leva et marcha lentement vers Jenny. Les yeux fixés sur la bite la plus proche, elle tomba à genoux et s’arrêta alors que la pine était à quelques centimètres de ses lèvres.

Jenny attrapa la main de Rebecca et la guida lentement jusqu’à la base de la bite de Leon. Rebecca ressentit comme de l’électricité parcourant son corps alors qu’elle resserra sa main autour de la verge de Léon. Elle utilisa son autre main pour toucher les couilles de Leon, comme pour les peser. Doucement, presque inconsciemment, elle fit glisser sa main le long du gland.

« Tu vois? » dit Jenny. « Ça fait du bien, non? C’est ça, une vraie bite. Je n’ai même pas besoin de voir celle de ton mari pour savoir qu’elle n’est pas aussi grosse que celle de Leon. Leon, elle est grosse comment, précisément? »

« Ne me dis pas que tu as oublié! » répondit Leon. « Tu l’as mesurée hier! »

C’était vrai, Jenny avait mesuré la bite de Leon. En tant qu’initiation au club, chaque femme devait choisir un homme favori et le mesurer pour comparer avec leur mari. Jenny avait adoré mettre Graham debout à côté de Leon, mesurer 22.5 centimètres pour le noir, et comparer avec les 12 centimètres de Graham.

« Oh, bien sûr! » répondit Jenny en pouffant. « 22.5 centimètres! 22.5 centimètres de plaisir sexuel chocolaté! »

« Continue, Rebecca. Goûte le chocolat, » dit Leon.

Rebecca se tourna vers Jenny et la vit frotter sa langue le long du gland de Wes. Le tableau était superbe. cinsel bilgiler Se penchant en avant, elle tendit sa langue et sentit le bout de la bite de cet inconnu toucher sa langue.

À ce moment, Rebecca réalisa ce qu’elle faisait et lâcha le membre de Leon.

« Je suis désolée! » dit-elle en se relevant. « Je dois y aller. »

Rebecca courut quasiment de la chambre à James.

« Tout va bien? » demanda James, l’air inquiet.

« On peut retourner à la chambre? » demanda Rebecca.

Sans hésiter, ils coururent jusqu’à l’appartement. Dès qu’ils furent à l’intérieur, Rebecca ne perdit pas de temps et raconta à James tout ce qu’elle venait de vivre.

« Tu as sucé la bite d’un autre mec?! » s’exclama James.

« Non, j’ai juste touché le bout avec ma langue avant de réaliser ce que je faisais! » répondit Rebecca.

« Est-ce qu’elle était plus grande que la mienne? » demanda James.

« Je ne m’en souviens plus, » répondit Rebecca. « Tout s’est passé très vite! »

« Essaie de te souvenir! » dit James en prenant la main de Rebecca et en la collant contre son pénis.

C’est à ce moment que Rebecca réalisa que la bite de James était dure comme fer. Plus dure que jamais. Elle supposa que James n’avait pas remarqué qu’il était en érection non plus de par son air choqué.

Rebecca sortit doucement la verge de James et murmura, « Elle était plus grosse. »

« De beaucoup plus? » demanda James.

« Vraiment beaucoup plus. Il faisait 22.5 centimètres de long. Et très large. Elle était noire et bestiale. Je n’ai pas pu m’empêcher d’y goûter… » admit Rebecca. Le ton de sa voix était moins honteux et plus enthousiasmé et excité. Elle poursuivit sa description de la bite de Leon.

« James, pourquoi tu bandes? » demanda Rebecca. « Tu aimes le fait que j’ai touché la queue d’un autre homme? »

James ne se donna pas la peine de mentir. « Oui. » répondit-il. « J’y pensait tout le temps quand on était à l’université. Mon fantasme, c’était que d’autres hommes te faisaient plaisir. »

« Oh… » fut tout ce que Rebecca trouva à dire.

James, sans qu’elle ne lui demande, continua, « Pas n’importe quels hommes. Des mâles alpha. Des hommes forts avec des grosses bites qui pouvaient te remplir plus que je ne le pourrais jamais. »

« Tu veux que j’aille plus loin la prochaine fois? » demanda Rebecca. « Je pourrais même y retourner maintenant et finir ce que j’ai commencé. »

« Ouiiii… » gémit James.

« Je veux que tu en sois sûr. Embrasse-moi. » exigea Rebecca.

Sans hésiter, James embrassa Rebecca à pleine bouche. Leurs langues se rencontrèrent et à ce moment, James réalisa pourquoi elle voulait qu’il l’embrasse. Sa langue avait touché la bite d’un autre homme peu avant. Quand James ne se rétracta pas, Rebecca sut ce qu’il voulait vraiment.

« Tu ferais mieux de m’enfiler maintenant! » dit Rebecca avec un grand sourire. « C’est peut-être la dernière fois des vacances que tu me baises! »

À suivre…

*****

Traduit par Achabcooper

A partir de : “The Gold Bikini Club Ch.02” par BlackNWhite601

N’hésitez pas à laisser un commentaire pour me dire ce que vous en pensez!

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Student Life Part Eight

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Ass

I soon got into a pattern with Olivia and her Mum, Rose. I was sleeping with Olivia, post getting on the pill, most weekends, leaving school days clear. Her Mum was a less regular visitor, usually when Olivia was on sleepovers or school jaunts. The arrangements worked well and still left opportunities for me to expand my sexual circle from the university “talent pool”.One day, Rose came to see me to tell me about her sister. I was surprised as I didn’t even know she had one. Her elder sister was called Helen and had a daughter of her own called Jazmine (yes, with a “Z”). Jazmine was about to get married in Evesham to a chap called Joe.It was nice family history, but I wondered where it was all going. I was clearly being naive as she stopped the story abruptly and looked at me.”I’d like you to come with me!”I was dumbfounded. I responded with a very eloquent, “Errrrrrr.”I couldn’t think of any suitable reply, except I remember saying I hadn’t got a suit as she moved towards me. She got on her knees, unzipped me, and took my cock into her mouth. She proceeded to give me quite an awesome blow job, alternating between licking me along the veins of my cock, deep sucking, and taking my balls fully into her mouth. With such a talented cock-sucker I quickly reached a crescendo as I released an enormous load of my cum into the back of her mouth.She looked me in the eye, opened her mouth to show me my cum on her tongue, then slowly raised her head and swallowed.”I’m karataş escort sure they’ll be plenty more of that in Evesham,” she said with a wickedly lecherous smile.So that was it. I was caught. Hook, line, and sinker.The dreaded day dawned. We were to drive to Evesham in Rose’s Range Rover, with Olivia and Helen the day before the wedding. We were to meet up with her daughter Jazmine, who was making her own way there. Olivia and I were in the back seat, and we flirted and occupied the journey with some light fondling.The hotel was lovely. Cotswold stone, oak-paneled staircase, gorgeous garden, maze, library, billiards room, koi pond, and sumptuous rooms.We made our way to the reception, and Rose started to check in. Helen was staying in a twin room with her daughter, who had already checked in. She asked me to help her with her luggage. I gallantly made my way with her to the car to get her bags. I hadn’t really taken much notice of her but now realised she was very similar to Rose in appearance. However, despite being older she took a lot more care of her appearance. She was slimmer, her complexion was better, and her clothes far more modern than those of her sister. Her hair was fair, well cut, and gave her a young girlish look.My idle thoughts were cut short as we reached room twenty-seven. A knock on the door elicited no response, but the door was unlocked and we entered an empty karkamış escort room. I lay the case on the floor and started to make my exit. But before I could go, Helen called for me to stay.”Look, it’s my dress for tomorrow,” she said. “I’m going to try it on. You can tell me how it looks.”I sat down on the bed, expecting her to decamp to the ensuite to change. But instead, she removed her top, and skirt, exposing her matching white lacy pants and bra. I took in the sight and admired her sexy body.At that moment, her daughter entered the room.”What the fuck is going on here?” she said, closely followed by “Who the fuck are you?”Helen quickly explained, which seemed to calm Jazmine down. Helen told her daughter to show her the wedding dress, which precipitated both women stripping down to their underwear. In Jazmine’s case, this turned out to be black panties only, as she wore no bra. Her tits were exquisite, shapely, perky, and a pair I would love to suck.I offered to vacate the room, but they both said “no” almost simultaneously. I lay back and enjoyed the show, fully aware of the “tent” in my shorts. To my eyes, both dresses looked spectacular, and after ten minutes of mutual adoration, both women got undressed again, carefully hanging their dresses for the big day tomorrow.Helen, back in the bra and panties outfit turned her attention to me.”This poor lad seems to have a hard-on,” she kilis escort said. “Perhaps I should help?”Her daughter laughed as Helen rubbed my cock through my shorts. I reached up and cupped her breast, enjoying the feel of her tits. My cock was freed from captivity and the hand job was quickly followed by a blow job. With her head down in my crotch, I was able to reach over and unclip her bra and fondle both breasts unhampered. Her daughter looked at the sight of her mother with my cock deep in her mouth. She was still walking around topless and I was transfixed with the sight before me.Without warning, Jazmine now joined her mother on the bed and muscled in with the blow job. They took turns sucking me and I lay back in deep, unadulterated bliss.Helen was the first to stop as she stood and removed her panties. Her pussy was completely clean-shaven. She climbed upon the bed and straddled my face. She lowered her pussy to my face and I wasted little time before I started to lick her. She ground her pussy on my face and in return I pushed in deep with my tongue into her pussy.Jazmine continued to do a fine job with my cock in her mouth, but I couldn’t see her as my face was covered by Helen’s nether region. Helen said something, but I couldn’t hear. Disappointingly, Jazmine stopped sucking me. I couldn’t see, but she must have removed her panties and then impaled herself on my cock. The feel of her hot, tight, wet pussy around my cock was almost as good as her mouth. Helen had moved slightly and allowed me access to her clit, which I licked and sucked. Suddenly my face was drenched as she squirted a massive shower over my face. Jaz was building up a steady rhythm, riding my cock energetically. The noises of pleasure from both girls were getting louder and louder.

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Prise Dans Un Cercle Viceux 01

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Amateur

Jacques le mari de Nicole a invité son collègue de travail Karim à venir passer le week-end à la maison. Ils sont très complice au boulot et au sport depuis quelques années.

A l’approche du week-end, Jacques est tout excité à l’idée de voir son collègue chez lui. Au programme, farniente au bord de la piscine et pétanque et le tout sans enfants (ils sont chez mamie).

Karim arrive le samedi matin vers dix heures. Nicole a encore quelques courses à faire alors elle laisse les hommes entre eux.

A son retour, elle les trouve en train de siroter une bière dans la piscine. Elle range les courses et enfile un maillot de bain pour les rejoindre. C’est vrai qu’il fait très chaud. Même si elle est une femmes qui a des formes, pas question de mettre un maillot une pièce. Le haut de son maillot noir qu’elle noue dans le cou met en valeur sa poitrine.

L’eau est à vingt six degré alors elle entre doucement dans l’eau mais c’est sans compter sur Jacques qui l’éclabousse. Le contraste entre la chaleur extérieure et la fraîcheur de l’eau fait pointer ses tétons. Jacques dans toute sa délicatesse lui fait remarquer à haute voix. Instinctivement Karim y jette un coup d’œil.

Nicole nage quelques longueurs pendant que les hommes terminent leurs bières puis Jacques propose de se faire quelques passes avec un ballon. A chaque fois qu’elle bondit hors de l’eau pour renvoyer la balle, ses seins sont secoués et ses tétons ne cessent de pointer.

Karim aime particulièrement cette vision et il en profite aussi discrètement.

ils sortent de l’eau vers midi, Nicole remarque une très grosse bosse au maillot de Karim et pendant qu’il s’allonge sur un transat les hôtes rentrent préparer l’apéro.

Ils rejoignent Karim qui ne se doute pas une seconde que Nicole ne quitte pas des yeux la bosse de son maillot. Assise, elle écoute les Hommes qui parlent voiture.

Elle boit une, puis deux, puis trois vodka orange en grignotant quelques gâteaux apéro mais l’alcool lui monte un peu à la tête et cette chaleur n’arrange rien. Elle ce surprend à contempler Karim.

Elle le trouve bel homme sans pour autant faire une fixation sur lui mais de le voir en maillot de bain avec cette bosse, et de repenser à ses regards sur ses seins un peu plus tôt dans la piscine.

Elle s’absente quelques instants pour préparer le repas et elle décide de se changer. Elle ôte son maillot qui est encore humide pour le faire sécher et enfile une petite jupe et un petit haut légèrement transparent.

Par cette grande chaleur elle a opté pour une salade de pomme de terre et du jambon. Ils mangent sur la terrasse à l’ombre. Jacques ouvre une bonne bouteille de rosé bien fraîche. Nicole est assise pile en face de Karim et Jacques et elle s’arrange plusieurs fois pendant le repas pour ce pencher, pour passer les plats, pour servir à boire.

Pendant le repas, nous parlent des vacances qui approchent et Karim leurs explique que cette année, il va tester le naturisme pour la première fois avec des amis à lui dans un camping. Jacques dit qu’il aime être nu mais à la maison et qu’il se verrait mal vivre nu en communauté et lorsque Karim demande son avis à Nicole, elle répond qu’elle est un peu du même avis que Jacques, qu’elle aime vivre nue surtout l’été à la maison mais que pratiquer une fois le naturisme ne la tente pas.

Karim qui vit dans un appartement leurs confie qu’il est souvent nu chez lui mais qu’il doit toujours faire attention aux voisins et que c’est agaçant. C’est sur que chez eux sans aucun vis-à-vis ils ne se gênent pas. D’ailleurs l’été ils se baignent la plupart du temps sans maillot et font du bronzage intégral. Karim les envie de pouvoir vaquer à leurs occupations dans le plus simple appareil. Nicole en rajoute une couche en disant que c’est quand même bien plus agréable de nager nue dans la piscine et ensuite de sentir le soleil réchauffer chaque centimètre de son corps et puis c’est plus joli un corps sans marque de bronzage.

Le repas terminé ils débarrassent la table et boivent le café après quoi ils jouent à la pétanque. A chaque fin de mène, Nicole ce baisse de cette manière, les garçons voient ses seins soit son cul et ça ne loupe pas. Karim ne se gêne pas pour la mater.

La fin de l’après-midi est plutôt calme. Ils regardent un DVD que Karim à emmener. Vers dix neuf heures, Jacques propose qu’on aille manger au restaurant. Il réserve en terrasse dans un restaurant italien pour vingt heures trente.

Après le restaurant Karim est reparti. Pendant le retour Jacques lui fait remarquer qu’il l’a vu reluquer le maillot de bain de Karim. – Tu sais il a un queue énorme, ce doit être de vingt huit ou trente de long sur quatre ou cinq de diamètres, et encore je ne l’ai vu qu’au repos dans les douches du vestiaire.

Nicole confuse de la remarque rougie comme une pivoine.

Elle esquisse un sourire timide, haussa les épaules puis demande : – C’est si impressionnant que ça?

– Il est bien foutu! Et comme c’est un naturiste………….

Elle haussa à nouveau les épaules et rougit un peu.

Quelques escort jours plus tard, Jacques est absent pour cinq jours, alors que Nicole vaque à ses occupations dans sa maison, la sonnette retentit. Nicole pose son chiffon et va ouvrir. Là surprise, elle tombe sur Karim. Après un instant de surprise, elle le fait entrer. Elle est un peu gênée et c’est lui qui fait la conversation.

Il porte un pantalon de toile, elle ne peu s’empêcher de regarder rapidement ce qu’elle avait entendu sur sa légende. Qu’il en aurait une de taille impressionnante??

Karim ce rend compte de son regard et il en joue en donnant un petit coup de rein en avant.

Elle est morte de honte, ses joues virent au rouges, elle ce trouve bien sotte.

Karim rigole de son embarra.

Il lui dit que cela lui arrive souvent. La nature l’a trop gâtée et les regards des hommes et des femmes ont parfois tendance à lui rappeler. Il a l’air de prendre ça à la rigolade. Elle est gênée lui propose un verre, ils s’installent dans le salon et parlent du sujet de sa visite.

Pourtant sans savoir pourquoi et sans ce contrôler, plusieurs fois elle regarde de nouveau son entrejambe.

– Çà a l’air de t’intéresser tant que ça, je te la montre??? – EUUH…… Non ….. Je suis désolée ………

Sur ce il se lève, tandis qu’elle essaye de le stopper. Il dégrafe son pantalon et d’un coup, il le retire en même temps que son slip.

Paniquée, elle détourne les yeux mais la tentation est plus forte, son regard revient vers lui. Elle reste bouche bée devant le phénomène qu’elle a sous les yeux . Il le secoue légèrement, le tient d’une main et il y a bien dix centimètres qui dépasse encore.

Devant son regard halluciné, il sourit de satisfaction. – Voilà l’engin pour envoyer les femmes aux firmaments de leurs plaisirs. – Incroyable……Je n’ai rien vu d’aussi gros!!!!! La situation est très troublante. Cet relation de son mari vient de lui présenter sous ses yeux, son sexe hors normes. Sa curiosité féminine n’a plus de limite, elle ce laisse aller à d’autres questions. – Il devient plus gros que ça ….. Quand ……..Euh??? – Quand je bande??? Lui dit il en souriant. – Euh…. Oui …….J’ai du mal à imaginer?????

Que venait elle de dire là??? En ce rendant compte de sa bêtise, elle rougit de plus belle. L’atmosphère devient électrique dans le salon. – Je vais te le montrer, je te garantis une belle suite, après…………… Il a maintenant les cartes en main, elle ne sait pas trop quoi faire?????? Son sexe a légèrement gonflé depuis tout à l’heure, la situation l’excite. Il commence alors a le caresser lentement, découvrant à chaque va et vient de sa main un gland énorme.

Celui ci devient rapidement violacé, le reste prend des mensurations incroyable. Il le relâche alors le membre de chair se tient à l’horizontal. La peau tendue fait apparaître de nombreuses veines, la queue doit mesurer plus de trente centimètres de long et faire sept ou huit centimètres d’épaisseur. Elle n’en revient pas!!!!!!!!!!! Elle met sa main devant sa bouche en voyant le calibre, mais ne détourne pas les yeux. Elle se surprend même à passer sa langue sur ses lèvres.

– Vient la prendre dans tes mains.

Elle ne réfléchit plus, elle s’approche de lui. Debout a ses cotés, elle la prend timidement dans sa main. La queue réagit immédiatement. Ses doigts n’en font pas le tour, elle les fait coulisser le long du mandrin.

Elle relève sa tête, elle est à quelques centimètres de celle de ……….. Interloqué, il la regarde,

Karim est un homme qui aime le sexe, il sent que la femme devant lui est en manque…. Il ne réfléchit pas davantage, il s’approche d’elle, son visage près du sien, ses grosses lèvres écrasent la jolie bouche de Nicole et leurs langues s’emmêlent, Nicole, sous le baiser profond défaille. Elle ne lâche pas pour autant sa queue qui semble encore grossir dans sa main.

Il l’enlace, son sexe cogne contre son ventre. Ils continuent à s’embrasser, elle est terriblement excitée, sa culotte est de plus en plus trempée. Il glisse ses mains son son tee shirt, le remonte et fait sauter adroitement l’attache de son soutien- gorge. Puis, il remonte son tee shirt qu’il fait passer par dessus sa tête, elle le laisse dénuder sa poitrine, libérant ses seins. Il ne tarde pas à les embrasser et à les malaxer.

– Ils sont magnifiques!! Dit il et mordille les tétons dressés de désir.

Un frisson l’a parcourt, jusque dans son cuir chevelu…. Cela l’excite encore plus. Elle s’abandonne, en continuant de caresser sa queue douce , chaude et monstrueusement grosse.

Puis tout va très vite, comme en transe, elle s’agenouille devant lui. Affamée, elle se jette sur la verge, la lèche effrontément, il frémit sous la langue douce, humide et chaude.

Elle tente d’engloutir le pieu, il est si gros qu’elle peine à y arriver, il lui dit :

– Chut, nous avons tout notre temps…….. Montre moi ton lit!

Le tutoiement la sort de sa torpeur, elle réagit, mais que s’apprête escort bayan t-elle à faire.

La grande main noire se place dans la sienne

– Je te suis ma beauté, lui dit il gentiment, j’ai tellement envie de toi!!!

Puis le sourire radieux a raison d’elle, haletante, elle le conduit sur le lit conjugal

Il se dévêt lentement devant elle.

Elle regarde se superbe corps athlétique, un corps si parfait.

Le sexe raide d’un noir luisant, est majestueux. Nicole, absorbée par la nudité du black a gardé son string, il lui demande gentiment de s’allonger et entreprend d’ôter le minuscule vêtement. Il le renifle, il aime l’odeur intime d’une femme, de plus, la petite culotte est trempée. Il s’en imprègne les narines. Ils se dévisagent intensément.

Elle s’apprête à tromper son mari pour la première fois, son cœur bat la chamade, elle a tellement envie de cet homme, de sentir son corps sur le sien, elle veut être posséder par ce sexe, elle est prête, impatiente même.

Il lui écarte les jambes, sa chatte est épilée, ruisselante, il sent les effluves, dont il raffole, qui s’en dégagent.

Ses lèvres épaisses s’approchent de son minou, elle a envie de hurler, lui fait durer le plaisir, doucement il lui demande :

– As-tu envie que je suce ton berlingot? Demande t-il en la faisant languir.

Il joue avec ses nerfs, elle en devient folle, si posée habituellement, Nicole l’implore :

– OUUIII!! Vite, lèche moi,bouffe moi!!!Viens! Supplie t-elle, en s’ouvrant impudiquement.

Alors sans la quitter des yeux, il lui écarte les petites lèvres trempées de cyprine, et la bouche délicatement va s’abreuver de son nectar.

Aussitôt elle gémit de plaisir, quel délice, elle s’écarte au maximum. La langue délicieuse sillonne chaque pli et repli, puis s’aventure sur le bourgeon saillant.

Dans la chambre matrimoniale, on entend plus que les soupirs de Nicole et les bruits de succion lubriques de Karim, qui lèche avec délice la chatte de cette jolie femme blanche, en manque de sexe.

Les plaintes s’intensifient quand sa langue masse le clitoris tout gonflé, elle frémit, tressaille, il s’attarde longuement.

Elle plaque ses mains dans la chevelure crépue de l’homme noir, elle sent la jouissance qui monte

– OOOH!!! OOUUUIIII!!! CONTINUUUUUEE!! C’est bon, je vais jouir, AARRRRGG!!!!

L’épouse infidèle jouit sous la langue toute rose, elle s’écoule de plaisir dans cette bouche, traversée par un orgasme terrible qui la laisse toute retournée.

Karim, qui bande comme un âne, lui soulève les jambes pour les poser sur ses larges épaules, son membre épais et rigide s’engouffre dans le vagin béant et humide de cette femme, qui n’attend que ça.

Le pieu disparaît au plus profond de l’intimité baveuse, elle est envahie par la queue qui la remplit totalement. Elle se pâme de délectation. Il voit les seins blancs, aux auréoles roses, secoués par ses assauts

– MMMMM!!! T’es bonne toi, t’en avais drôlement envie, tu vas voir comme je sais faire du bien aux femmes, comme toi.

– Tu es chaude et bien humide, un vrai piège a bite.

Il la lime furieusement, elle a les yeux mi clos, la bouche entrouverte, elle gémit encore.

– Ouvre tes jolis yeux, regarde moi te baiser, ma bite te défonce, tu aimes???

Elle le regarde, de grosses gouttes lui coulent sur son visage, il halète, il retire les jambes de ses épaules et se précipite pour l’embrasser, ses lèvres épaisses baisent les siennes, elle avale sa langue, sa salive, elle l’aspire de bonheur.

C’est si bon, elle aime ce sexe qui la remplit entièrement.

C’est sous leurs langues entremêlées, que sa queue infatigable qui la pilonne, qu’elle jouit une nouvelle fois.

– Dit moi que tu es ma putain!!! Allez!! Dit le moi que tu es ma putain!!!!

– OOOHH!!! OOUUIII!! Je suis …….Ta PUUUUTAIN!!! AARRRG!! TAAA….PUUTAIN!!!

Puis sans attendre, il retire son sexe et se positionne au dessus de sa tête, elle comprend son envie, elle ouvre la bouche pour recevoir une quantité de sperme impressionnante, qu’elle avale goulûment.

– OOORRRH!!!! PPPFFFF!!! C’est bon, avale mon sperme!! Ah nettoie ma queue, doucement…

Nicole du foutre plein la bouche et le menton, nettoie avidement la bite de Karim, elle aime le goût fort et légèrement épicé, qu’il dégage.

Enfin il se couche à ses cotés, il la regarde la bouche encore souillée, elle s’apprête à s’essuyer pour éviter une remarque, mais Karim n’est pas Jacques, doucement sa grosse bouche s’empare de ses lèvres et à nouveau ils s’embrassent, ils mélangent salive et sperme, c’est doux, chaud, enivrant. Puis il lape le foutre qui a coulé sur son visage, elle ferme les yeux, elle se sent merveilleusement bien.

Il est midi déjà, elle meurt de faim.

Elle s’étire sur le lit puis se colle à Karim.

– Je vais nous préparer quelque chose à manger?

Elle se lève et se prépare à enfiler un peignoir .

– Non, reste nue, dit -il

Elle hésite, elle est assez prude, elle escort bayan gaziantep ne reste jamais sans vêtement dans la maison, même si elle est seule

– Tu es très belle, j’ai envie que tu restes comme ça, lui dit il en souriant.

Nue, elle rejoint la cuisine rapidement pour éviter son regard, c’est étrange pour elle de vaquer à la préparation du repas, dévêtue. Il la rejoint, il s’assoit devant l’assiette, elle rougit alors qu’il la mate, sans vergogne. En posant le pain sur la table, il lui caresse les fesses….

– Tu sais, j’adore ton cul, tu aimes qu’on s’en occupe?

Nicole secoue la tête, elle ne garde pas un excellent souvenir des essais de sodomies, avec Jacques. Elle essayait par amour, mais n’en éprouvait pas le plaisir.

– Moi, j’aime enfoncer ma grosse verge, dans le fondement de mes partenaires, tu verras, tu aimeras ça toi aussi..!

Elle distingue le sexe entre les cuisses musclées, qui même au repos conserve une belle taille, elle frémit malgré elle, en imaginant ce superbe engin déflorer son petit trou.

Elle se presse de servir les steaks pour ne plus y penser.

Karim lui, ne pense qu’à ça, il avale de grandes bouchées, les yeux rivés sur sa nouvelle maîtresse.

Elle est pas mal balancée cette femme, il va pouvoir en faire des choses avec, se dit il!

Pendant qu’elle cuisinait, il a vu son fessier bien large, il n’a plus qu’une idée en tête, enculer cette mère de famille, si sage en apparence.

Il a été surpris de la bestialité de cette femme, elle est vraiment en manque de sexe la bourgeoise, elle va lui manger dans la main.

Nicole est assez déroutée par la suite des événements, tout à l’heure elle était comme égarée, mais maintenant, elle se rend compte que la situation dérape, que fait elle à manger nue, avec ce type qu’elle connaît à peine. Elle prend le torchon à vaisselle, elle le tient négligemment devant elle, c’est assez puéril mais protégée ainsi, elle se sent un peu moins vulnérable.

Karim remarque ce petit changement d’attitude, il ne faut surtout pas qu’elle reprenne le pouvoir, se dit il!

– Enlève moi ça, en indiquant le torchon …. Viens près de moi!

Nicole envoûtée par le magnétisme de Karim se place devant lui. Les larges mains caressent son corps, des mains chaudes, si douces.

A nouveau, elle défaille……

– Tourne toi, montre toi, sans honte

Elle exécute un quart de tour et ses fesses sont présentées à Karim. Toujours assis, il lui effleure l’anus.

Il veut qu’elle s’assoie sur ses genoux. Il la désire en permanence, Nicole en est si heureuse, alors rapidement il engage sa verge dans sa grotte d’amour lubrifiée. Avec les doigts, il récupère le sperme expulsé du conduit accueillant. Encore une fois, le membre envahit toute la vulve, la déformant un maximum, le gros gourdin de chair propage un bien-être fou dans le corps de la femme.

Elle ne peut s’empêcher de se tourner vers lui pour lui donner ses lèvres ou constater son excitation pour ses fesses et son anus.

– Ton mari te prend par derrière de temps en temps???? – EUUUH!! Il a essayé plusieurs fois, mais sans succès………… – Tu me laisse essayer……..???? – Je ne sais pas si tu pourras rentrer ton engin????? – Faut bien préparer l’entrée pour faire rentrer l’artiste en douceur……. Rien qu’à ses mots, elle frissonne d’excitation, avec lui tout lui semble possible, elle ce laisse guider. Amoureusement, elle met sa deuxième main autour de cet magnifique instrument de plaisir.

En la fixant au fond des yeux, il commence à enduire sa jolie petite ouverture. Elle se laissait faire, sachant ce qui était inévitable. De toute façon les mouvements du pénis dans son vagin ont déjà complètement anesthésié sa volonté, elle trouve si merveilleux de se livrer à ce mâle-là. Il lui a courbé le dos, pour mieux admirer ses reins. Elle s’offre à son regard de désir, soudain inquiète de la douleur à ressentir avec le gros mandrin. Mais pour rien au monde elle ne l’aurait empêché, car malgré son appréhension, elle en a envie. C’est un acte de soumission si pervers, surtout envers lui.

Partout en elle, des frissons l’électrisent. Les attouchements de l’homme sur son anus finissent par l’exciter. Karim a la technique, ce n’est pas la première fois qu’il apprend à une femme ce bonheur-là.

– Tu es vraiment une gourmande, je sens que l’on va bien m’amuser avec toi!!!!!!!! Il recueille du jus d’amour à l’entrée sa sa vulve pour graisser son anus. Il tourne autour puis y enfonce un doigt qui va et vient toujours un peu plus loin. Puis un deuxième le rejoint, ils vont et viennent, prenant de temps en temps au bord de son puits d’amour, le jus d’amour qui s’en écoule, pour lubrifier d’avantage l’entrée de son jardin secret.

Il lui a fallu de nombreuses séances pour que sa dernière conquête aime et qu’elle,aime aussi que d’autres bittes l’enculent. Quand il juge que l’orifice est suffisamment préparé, il commence à torturer le clitoris dressé, le pinçant entre ses doigts, le serrant fort, ou le caressant doucement. Nicole sent monter le plaisir lorsque l’homme la pousse sur la table. Elle cambre les reins pour faciliter sa tâche, il admire un moment les fesses offertes, posant simplement son gland sur l’entrée secrète de ses reins. – Allez!! Ma belle, j’ai envie de te sodomiser de te faire jouir du cul……….

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La Voisine du Dessus Ch. 02

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Amateur

Il est sculpté comme un sexe, qui serait très épais, je ne fais pas le tour avec mes mains, mais plus court, ne dépassant pas 15 centimètres. La base est légèrement resserrée pour le maintenir, m’explique Céline, mais il reste plus épais que mon propre sexe. Je suis impressionné qu’elle puisse le porter en elle, c’est très troublant.

– Cela fait longtemps que tu es enculée ainsi (J’utilise un vocabulaire un peu ordurier qui ne m’est pas coutumier, comme si elle le suscitait)

– Celui-ci? Deux mois peut-être

– En continu

– Oui Laurent, je me sens très vide, j’ai besoin de me sentir remplie

– Et si je t’ordonne de ne plus être enculée

– Alors je serais aussi heureuse de vous obéir

– Rassure-toi, l’idée me plaît beaucoup. C’est le plus gros que tu aies?

– C’est le plus gros que je puisse porter longtemps, mais j’en ai d’autres plus larges encore.

– Il faudra me les montrer, et que tu t’habitues eux aussi à les porter en continu.

– Oh (Je le sens se tendre, excitée par la perspective, trembler légèrement, comme si son corps jouissait doucement)

– Montre-moi ton cul!

Céline est à 4 pattes sur le lit, le dos bien à l’horizontal. Sa raie est brillante, elle a mis du lubrifiant. Toute dilatée qu’elle soit, le lubrifiant est incontournable. Je suis surpris de voir son anus fermé, j’aurais pensé qu’il resterait ouvert. Mais je glisse un puis deux doigts très facilement, la faisant gémir d’emblée. Je suis surpris par la tension intérieur, ce sentiment qu’il est complètement lisse, cela ne ressemble en rien à un vagin. C’est bien plus simple et au moins je comprends! Je glisse un troisième doigt, je fais de petits mouvements, plus pour la faire réagir. Elle doit avoir l’anus bien fatigué avec son gode permanent.

Je me fais la réflexion que je pourrais la fister. Au moins avec ma main gauche moins large, mais il faut que je me renseigne comment cela se fait. J’ai longtemps pensé que les images de fist que je voyais étaient fake, avant que je n’aie l’idée d’aller voir une vidéo. Une des rares scènes que j’aime voir en vidéo, tant c’est magique et impressionnant, j’aime beaucoup les pénétrations, et je crois qu’avec Céline je vais pouvoir jouer d’elle à l’infini. Là pour l’instant, c’est la sodomiser qui m’intéresse. Je la fais se redresser un peu plus pour que je sois à la bonne hauteur et je pose mon sexe sur l’entrée de son cul, un peu ouvert cette fois. Je saisi ses hanches, et je rentre doucement, la tension est divine, cela glisse par à coup, comme des résistances qui me laissent rentrer au fur et à mesure. Bien que je sois moins gros que son gode, Céline gémit, me saisit une fesse avec une main retournée, pour me pousser plus loin.

Je sens alors que je vais loin, très loin, cela remue en elle, elle gémit, elle demande encore plus, elle pousse pour s’empaler plus encore. Je commence mes va-et-vient, c’est délicieux, bercé par ses gémissements. Je sens sa peau douce sous mes doigts, je me penche pour saisir ses seins, mais la position est malaisée, dommage. Peut-être pourrais-je la sodomiser de face et m’accrocher à ses seins?

J’ai envie de lui en donner encore plus, à cet instant je veux effacer de son esprit tous les hommes qu’elle a pu avoir. Réflexe puéril, s’il en est. Je me redresse sans sortir mon sexe, je suis accroupi, j’appuie sur son dos, elle se couche, le cul en l’air, sous la pression de mon sexe qui s’enfonce comme jamais, je la pilonne puissamment, profondément, rapidement. Chaque va est ponctué d’un cri rauque de Céline, qui commence par m’encourager à continuer, avant de me supplier d’arrêter, qu’elle n’en peut plus. Mais avec elle pas question, au contraire, je me dis que je suis au point où je vais pouvoir marquer mon territoire. Je continue comme un forcené, les cuisses en feu, l’équilibre précaire sur le lit, elle ne bouge pas, ses râles et ses supplications se transforment en pleurs, mais je n’en ai pas fini. Ce n’est que quand elle ne dit plus rien, que je m’écroule enfin, les jambes carbonisées. Impossible de jouir, je me suis retenu trop longtemps.

Céline s’écroule l’instant d’après, mais pour quelques secondes seulement. Se retournant, elle vient vers moi, la bouche vers mon sexe qu’elle lèche doucement, avec application. Epuisé mon sexe est tout rétrécit, le plaisir de sa bouche est incroyable, je n’ai jamais été léché dans cette situation. Elle me décalotte bien, et quand elle est satisfaite, elle s’écroule entre mes cuisses. Nous sommes cuits. J’ai d’un coup peur d’être allé bien trop loin, je n’ai rien contrôlé.

– Ca va ma chatte?

– Oh Laurent, cela ne peut aller mieux, jamais je n’ai été prise ainsi, c’est kahramanmaraş escort incroyable, tu m’as brisée, oh pardon, vous m’avez brisée

– Tu peux me tutoyer

– Oh non le vouvoiement est bien plus adapté, je ne suis pas votre petite amie, mais votre soumise

– D’accord

– Je peux vous demander quelque chose?

– Oui bien entendu

– C’est très difficile de vous appeler par votre prénom pour moi, là aussi, je ne suis pas votre petite amie. Accepteriez-vous…?

– Monsieur? Non cela fait trop vieux, j’ai 19 ans!

– J’avais pensé à Mon Seigneur, je le sens tellement en moi

– Mmmhhh, d’accord, mais à une condition

– Oui Mon Seigneur

– Il n’y a aucune situation, je ne dis bien aucune, où tu ne m’appelleras pas ainsi.

– Oh, bien Mon Seigneur, cela me remplit de joie Mon Seigneur

– Tu vois, même en réunion de copropriété

– Oui Monseigneur, cela sera trop drôle

– Tu m’as complètement vidé, je n’ai plus ni énergie, ni désir

– Oh pardon Mon Seigneur, est-ce que je dois être punie pour cela?

– Non, quelle idée, mais j’aime la pensée de te battre quand tu me déplais

– J’ai l’habitude d’être battue matin et soir

– Vraiment? Mais pourquoi?

– C’est quelque chose d’important dans la relation, cela permet de l’ancrer à chaque instant. Vous savez toutes les soirées ne sont pas comme aujourd’hui, il y a le travail, les tracas quotidiens etc. Du coup ce rituel permet de maintenir la tension fondamentale dans la relation, même en période un peu agitée.

– Tu en sens le besoin?

– Oh oui, pour moi c’est si fort. Ce n’est pas recevoir quelques coups, mais être vraiment battue, avec chaque fois la question si je savais offrir ma souffrance à mon Propriétaire, si je saurais m’abandonner à lui autant qu’il le souhaite, en laisse tout de côté.

– C’est un peu sauvage, non? Comment supporter l’insupportable?

– Justement, c’est exactement cela, se dépasser, offrir à son Maître tout de soi, sa souffrance, sa vie, son temps, son énergie, son âme

– N’est-ce pas à sens unique? Le Maître comme tu dis, il ne donne pas grand-chose.

– Oh si, enfin cela dépend bien entendu. Mais il donne, pour moi ce qu’il y a de plus précieux : la vie, un sens, une énergie. Vivre pour lui est le plus beau des cadeaux, chaque jour renouvelé, en particulier avec ces rituels qui sont si difficiles parfois.

– C’est tellement à contrecourant de tout ce qui se fait chez les féministes

– Mais cela n’empêche, ce n’est que dans le cadre de cette relation, sinon je trouve cela abject, bien entendu.

– Alors tu aimerais que je te batte?

– Oui bien entendu, autant que vous l’aimeriez

– Cela fait beaucoup pour moi en quelques heures, j’avoue que j’ai besoin d’y réfléchir.

– Tout ce qui vous plaira Mon Seigneur

– Remplis-toi de ton gode, non attend je vais le faire, et après je descends.

L’échange m’a encore plus soufflé que la sodomie que j’ai beaucoup appréciée, mais je crois préférer quand même la pénétration classique. Céline est exaltée, folle c’est certain, mais rien de pathologique, je la ressens tellement vibrante. Je me demande pourquoi moi, qu’est-ce qui a fait qu’elle jette son dévolu sur moi, alors que tant d’hommes seraient sans doute trop heureux de la dominer. Et surtout la question est de savoir si j’en ai l’envie. C’est tout nouveau pour moi. Et je ne voudrais pas entretenir un faux espoir. J’ai des concours, et c’est primordial.

Je prends le plug, tandis qu’elle se positionne allongée sur le ventre. Je l’enduis de la crème qu’elle me propose, et je commence à le faire coulisser dans son cul ainsi offert. C’est terriblement excitant. Et difficile. La tension est très forte, je dois pousser, le tourner, suivre ses remarques, m’y reprendre à plusieurs fois. J’adore. Surtout, quand, d’un coup, elle l’avale, et ne reste plus qu’un disque de verre l’empêchant de se perdre dans ses abysses. Céline ronronne, bouge un peu pour le positionner au mieux, et avec un regret bien visible me baise les pieds tandis que je me lève pour partir. Je suis vidé de tout, la première chose c’est me doucher et dormir jusqu’ç plus soif, alors que la soirée n’est même pas entamée!

Je me retourne dans le lit depuis près d’une heure, il est maintenant 4 heures du matin, j’ai la tête remplie d’images si fortes de Céline, de ce qu’elle peut communiquer, des envies qu’elle suscite et des interrogations me concernant. Je rejette la couette, je vais me masturber pour essayer de dormir, quand je pense qu’elle est juste au-dessus de moi. J’hésite, je n’ose pas, kapalı gaziantep escort je me rappelle ses mots, du coup je me force un peu.

– Oui Mon Seigneur (Elle a répondu très vite)

– J’ai besoin d’une bouche pour me vidanger (J’ai répété la phrase dans ma tête avant, tellement ce n’est pas dans mes habitudes de parler à une femme ainsi!)

– Votre soumise descend tout de suite Mon Seigneur

J’entrebâille la porte et va me recoucher. Je l’entends entrer, tâtonner dans un appartement qu’elle ne connait pas, et trouver mon lit, se glisser sous les couvertures, prendre mon sexe déjà en acier de la situation. Sa bouche est fraiche, experte, c’est quelque chose de divin. C’est complètement fou comme situation, je m’étais promis d’éjaculer puis de la renvoyer, mais je n’en aurais pas la force, ni l’envie en fait. Mais cela aurait été si humiliant pour elle. Je me retiens, là il n’est plus question de prendre mon pied et de me rendormir, cette femme m’envoute et me donne des envies si fortes.

Je la fais remonter à côté de moi, nous nous embrassons, elle a un gout un peu acide, elle s’offre tellement, je l’allonge sur le dos, et je viens la prendre à genoux entre ses cuisses. Elle me guide elle-même dans son sexe, tout serré avec le plug bien enfoncé dans son cul, la sensation est unique, sa mouille picote sur mon sexe comme pour lui dire d’éjaculer en elle. Mais c’est trop tôt, j’ai envie de la prendre longuement, tendrement, pleinement. Je viens d’abord doucement, pour que son sexe puisse se détendre, puis profondément, arrachant un gémissement chaque fois que je suis au fond d’elle. Je m’accroche à ses seins, que je prends à pleine main, ils sont si fermes, mes ongles sont bien ancrés, ils sont tout déformés, je les sers si fort, elle gémit, ce qui ne fait que renforcer la pression de mes doigts, son buste est presque soulevé par la tension.

Quand je relâche, les marques sont profondes, rouge sombre, je trouve cela très beau, son regard est mouillé, éperdu, elle est béante comma jamais. Je m’allonge sur elle, passe mes mains sous ses fesses si douces et molles. En basculant, son bassin vient mettre son col contre le bout de mon sexe, je le sens comme jamais. Aucune idée si c’est sensible, érotique ou simplement douloureux. Céline me donne vite sa réponse, en gémissant de plus en plus fort, puis en me suppliant de lui permettre de jouir, de façon si pressante que je la crois au bord, et elle jouit instantanément quand je l’y autorise. Cela me fait jouir, pas seulement son orgasme ou ses cris, mais aussi ce pouvoir qu’elle m’octroyé.

Elle ne prend pas même le temps de savourer son orgasme, que déjà elle se relève pour me lécher avec une précaution infinie mon sexe, mes couilles, puis m’embrasser tout le corps. Je vois ses deux seins marqués, pendre sous elle, c’est magnifique, la courbure me paraît parfaite, et j’adore y avoir inscrit ma marque. J’ai envie qu’elle reste dormir avec moi ce soir, alors que je suis si réticent habituellement à avoir une fille dans mon lit pour la nuit. Nous nous lovons l’un contre l’autre en cuillère.

– Tu as toujours aimé cela?

– Aimer quoi Mon Seigneur?

– Etre soumise

– Je n’en ai pris conscience qu’il y a une dizaine d’années, avant j’avais une vie classique, on dit vanille, où je m’ennuyais

– Vanille?

– Oui la sexualité de tout le monde, comme le parfum de glace que tout le monde prend

– Amusant, et si tu n’es pas vanille tu es quoi? Chocolat?

– Oh ce serait plutôt piment, et piment fort (Je souris)

– Et comment cela a-t-il commencé?

– De façon très anodine, un amant me prenait comme vous tout à l’heure, moi pensant aux courses que je devais faire, quand il m’a pris les deux poignets, les a tenus très serrés dans ses mains, m’empêchant absolument tout mouvement. Et là, dans ma tête, un énorme bouleversement. Je me sentais captive, sans échappatoire, soumise, et cela m’a prodigieusement excité et j’ai joui en quelques secondes à ma grande surprise, ma première jouissance pendant un rapport! Après j’ai essayé d’aller plus loin avec le bondage, les suspensions, des expériences plus classiques avec l’échangisme ou le triolisme, mais je ne retrouvais pas ce plaisir inouï de cette première fois. Je me suis alors intéressée au SM et à la soumission et voilà.

– Tu as eu beaucoup de Maîtres?

– Une règle voudrait que nous n’en ayons qu’un, qu’après rien ne soit plus possible, et qu’avant ce ne soit que de l’apprentissage.

– Et donc?

– Et donc je n’ai vécu que des apprentissages, et que je sais que j’ai rencontré mon Maître, le kaliteli gaziantep escort seul et l’unique.

– Mais comment peux-tu en être si certaine

– Quand tu le sais, tu le sais. Ce n’est pas le fruit d’un raisonnement, mais d’une évidence. Du premier jour où je vous ai vu, comme si une aura t’entourait avec une énorme flèche clignotante disant c’est lui!

– Tu imagines la pression que tu me mets!

– Oh pardon Mon Seigneur, il vous faut du temps et surtout vous verrez comme bon vous semble, ce n’est pas ce je veux, mais ce que vous voulez et exigez qui est important. Même si c’est de vivre une vie vanille, je la vivrai pleinement heureuse et épanouie.

– Pourtant le SM t’est nécessaire

– Oui Mais pour vous…

– Je pourrais commencer à voir et te battre un peu

– Oh Mon Seigneur, j’ai pris la liberté de descendre avec une canne et un paddle

– Un paddle?

– C’est comme une grande raquette de ping Pong, c’est assez bruyant, et cela fait rougir toute une fesse d’un coup.

Je sors des couvertures et m’allonge nu sur le ventre.

– Je veux que tu les essaies sur moi, que je sache un peu à quoi m’attendre

– Oh Mon Seigneur, je n’ai jamais fait cela

– Tu vas commencer, c’est un ordre, et tu tapes fort, que je vois ce que cela fait comme douleur.

J’ai vu! J’ai aussi touché du doigt que cela pouvait être excitant sexuellement si pas trop fort, mais aussi ce que c’était que s’offrir. Céline est maintenant allongée à ma place, un peu fébrile de m’avoir fait aussi mal, mais cela va vite passer. Je prends le paddle, je l’assène doucement pour commencer, trouver le geste, la position. Les premiers coups ne la font pas réagir, elle me regarde intensément, je sais pertinemment ce qu’elle veut. Elle ne sera pas déçue. Pourtant les fesses sont déjà roses. Mais je sens bien le coup de main, et j’appuie les prochains coups, très fort. Céline sursaute, ses yeux se voilent, elle me remercie, elle se détend, elle soulève légèrement ses fesses pour s’offrir. Le bruit est assourdissant, je la frappe à toute volée, ses gémissements me remplissent d’excitation et m’incitent à frapper plus fort. Je passe aux cuisses, les fesses étant déjà cramoisies et brûlante, c’est surprenant! C’est moins jouissif, je ne sais pas pourquoi, en fait je n’aime pas trop avec le paddle sur les cuisses. Je la touche, je la caresse, je la sens fondre, elle semble complètement partie, presque soule. Elle m’envoie des mots d’amour, c’est troublant.

La canne c’est plus subtil, et surtout bien plus joli. Même à faible vitesse, les coups marquent. Quand j’accélèrent, les marques sont violettes, je m’applique à bien les faire en parallèle. Céline saute à chaque coup, mais aussitôt s’offre à nouveau, je lui tiens la main, elle est en sueur. Sur les cuisses le résultat est encore plus marquant et joli, je pourrais compter les différents coups donnés, je me sens ivre de cette violence et de ce sadisme, je voudrais la faire craquer, elle répète en boucle Mon Seigneur, hébétée, je n’y arriverai pas, je suis épuisé, surtout par la tension sexuelle. Je jette la cravache et m’engouffre dans son sexe dégoulinant, je l’utilise pour m’apaiser et je jouis très vite, une seconde fois, avant de l’écraser de tout mon poids.

Je me réveille, tandis que Céline dort, apaisée, sur je ventre. J’admire sa peau si douce, le mince duvet en bas de son dos, ses cheveux en bataille, ses fesses si marquées, comme ses cuisses. Le renflement transparent du gode omniprésent, presque invisible maintenant que j’y suis habitué. Il ne faut pas qu’elle le soit trop, habituée, sans doute elle a besoin de cet inconfort. Je me lève pour aller à la boulangerie, préparer un petit déjeuner complet avec une omelette, elle dort toujours, je la réveille avec des bisous dans le cou, c’est délicieux. Son sourire est un cadeau des dieux, comme ses yeux qui sont autant de gouffres dans lesquels je pourrais me perdre. Je la regarde vraiment pour la première fois je crois, son ventre est si doux, plat, tendre, descendant naturellement vers son sexe masqué tant ses lèvres semblent rentrées, son pubis est totalement épilé, sans une marque, comme une invitation à écrire une page de son histoire. Elle est une invitation au sexe, j’aime tout en elle, chaque partie de son corps m’excite. C’est grave docteur?

D’une voix un peu timide elle me demande si j’aimerais lire la lettre qu’elle m’a écrite. Pas hier, non, celle qu’elle a commencé après m’avoir croisé une première fois, la lettre à son futur Maître. Elle a quoi de faire flipper par son obsession, mais en même temps, tout ce qu’elle dégage est fait de sensualité, douceur, offrande. Elle pose le mot, cela de l’absolu, dont elle se sent remplie avec moi. Je me sens de moins en moins étranger à sa folie, de moins en moins inquiet à me laisser prendre dans ses rets, je reste dans une position où je peux tout décider à chaque instant. Comme là de l’envoyer, nue, chercher son manuscrit, au risque de croiser quelqu’un de la copropriété dans le court couloir à traverser!

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Une famille en camping-car (12) FIN

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Copyright © 2022 AngelCali. Les personnages et les événements dépeints dans ce livre sont fictifs. Toute similitude avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, est fortuite et non voulue par l’auteur. Aucune partie de cette histoire ne peut être reproduite, ou stockée dans un système d’extraction, ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre, sans l’autorisation écrite expresse de l ‘éditeur. Toute vente de cette histoire, par n’importe quel moyen, sans autorisation de l’auteur, vous engage à des poursuites!

Ce message s’adresse, principalement aux voleurs d’histoire, qui n’hésitent pas à copier/coller le texte pour le mettre sur d’autres sites, ou pire, revendre l’histoire sous le format d’un livre sur un site de vente bien connu dans le monde. Par manque d’imagination, ils copient des histoires sur les sites, et les revendent en ligne. Ou comment se faire de l’argent sur le dos des autres…

Nous avons les noms et les adresses des concernés. Les livres seront prochainement retirés de la vente.

*****

Il est temps, pour la famille d’aller dormir. La nuit de déroule dans le calme, car tout le monde est très fatigué… chacun dort dans sa propre tente.

Ce matin là, le jour n’est pas encore levé. Il y à une petite brise, qui rafraîchi Maxime et Océane, car la porte est ouverte. Ils sont nus, et ils ne se cachent plus.

– Bien dormis frangin?

– Ça va, je crois avoir fait plain de rêves érotiques.

– Oh, et j’étais dedans…?

– C’est surtout moi, qui était dans toi… nous étions entrain de t’enculer papa et moi.

– En même temps…?

– Oui, nos deux bites étaient dans ton cul. Pour finir, Marion est venue te lécher.

– Oh putain…

– Quoi?

– J’ai envie que tu me sodomise maintenant!

– Regarde ma queue, elle est déjà prête!

Maxime et Océane, sont allongés sur le dos. Elle le branle avec sa main gauche, puis elle se masturbe avec la main droite.

Elle se redresse vers sa queue raide, pour le sucer quelques minutes.

Elle s’installe dessus, dos à lui. Les jambes écartées, le sexe fraternel s’enfonce sans difficulté dans son anus. Elle pose son dos sur son torse, Maxime en profite pour caresser ses seins. Il défouraille le cul de sa sœur sans retenue.

– Oh oui, c’est tellement bon. J’ai de la chance d’avoir une sœur avec un trou du cul pareil!

– Beaucoup de frères fantasme sur leur sœurs…c’est vrai que tu es chanceux toi… oui, oh oui… vas-y baise moi le trou du cul! Baise le trou de ta sœur!

– Doucement Océane… Marion va t’entendre…

– C’est trop tard!! Répond Marion dans la cabine à côté.

– Oh… désolé sœurette! Réagit Océane.

Deux minutes plus tard, Marion sort de la cabine. Elle se retourne, et elle les voit. Océane se fait toujours prendre dans la même position, les jambes écartées sont face à la porte. Autrement dit, Marion observe la totalité de son entre jambes.

Marion est vêtue d’un petit shorty string, en dentelle rouge, avec au dessus, un grand t-shirt blanc. Après un léger coup d’œil dans la cabine, elle sort de la tente pour faire un café.

Discrètement, Océane dit à Maxime.

– Tu as tout raté…

– Raté quoi? Tu me cache la vue.

– Marion est sortie de la tente, avec un t-shirt blanc presque transparent. En dessous, elle ne porte rien d’autre, sauf un shorty rouge. Elle est terriblement sexy!

– Oh oui je l’imagine… Oh ça m’excite encore plus!

– Jouie moi dans le cul, et ensuite tu ne sera plus obligé d’imaginer ta grande sœur en tenue sexy.

Maxime jouie, et fait déborder le joli cul de sa sœur.

Ils rejoignent tout les deux Marion, qui leur à préparer le café.

Ils sont nus face à elle. Le pénis de Maxime est ramolli. Pourtant, le shorty de Marion est très voyant. Ils discutent tout les trois, du beau temps, des vacances, et du comment ils vont garder le secret au reste de la famille quand ils rentreront.

Ça ne devrait pas être compliqué de l’annoncer aux parents et à la sœur de Jennifer, car eux aussi pratiquent l’inceste.

Soudain, Marion se lève. Elle se dirige vers l’entrée de la tente, pour prendre ses baskets.

Elle se penche pour les ramassés. Le t-shirt remonte, laissant apparaître le joli fessier de Marion. Ce shorty lui va très bien. Il n’en faut pas longtemps pour Maxime, pour que son sexe se dresse. Il ne s’en cache pas, encore moins quand Marion se retourne vers lui. Océane rigole, puis elle s’éloigne pour prendre son bain dans le lac.

Marion à bien remarquée son érection, mais elle fait mine de rien. Ce matin là, l’ambiance est gênante. Maxime veut brisé la glace.

– Tu sais… pour hier soir…

– Quoi, hier soir?

– Tu ne regrettes pas…?

– Si. Et je ne sais pas comment réagir.

– Réagit comme d’habitude. Mais ça ta plu?

– Je ne vais pas te mentir… oui j’ai aimé. Mais j’ai honte, d’avoir aimé sucer mon propre père! J’ai même avalé son sperme, et le tien aussi. J’ai l’impression que je n’étais pas moi-même.

– Tu étais seulement gaziantep escort sitesi excité. Il n’y à aucune honte. Pour beaucoup, faire l’amour en famille, c’est mal. Mais pour nous, c’est normal.

– Je, sais que pour vous c’est normal. Vous avez raison.

– J’ai envie de te proposer quelque chose… mais je n’ose pas.

– Dis-moi.

– Non, laisse tomber.

– Mais aller!

– Bon… ne le prend pas mal, hein.

– T’inquiètes.

– Je te trouve vraiment, superbe dans cette tenue. Tu est simple, et tu arrives à être sexy.

– Ah, ça explique ton érection alors. Ta sœur ne t’a pas totalement vidé.

– J’ose espérer, que ma seconde sœur s’occupera de vider le reste…

– Maxime, non!

– Je ne parle pas de relation incestueuse, et d’aucun attouchement.

– De quoi, alors?

– Bien… genre, on se masturbe chacun de notre côté, mais en nous regardons…?

– Tu peux te branler, mais moi je ne participe pas.

– C’est dommage. Mais tu m’autorise à me faire du bien devant toi?

– Fait comme tu veux!

Sur sa chaise, Maxime se touche, et il se branle sous les yeux de sa sœur, qui bois tranquillement son café face à lui. Maxime, lui demande si elle peut écartées les jambes. Assise sur un rondin de bois, elle accepte avec beaucoup d’hésitation.

Terriblement excité, il sent venir l’éjaculation. Il lui demande si elle peut le finir, et jouir sur elle.

Elle accepte qu’il jouisse sur son visage, mais refuse de toucher son pénis.

Maxime se lève, et dirige son sexe face a son visage. Elle ferme les yeux, et les jets de sperme s’étalent partout.

– Ooohhh oui… c’est bon de jouir sur toi… tu ne souhaites toujours pas nettoyer ma queue?

– Non, c’est déjà trop la…

Elle meurt d’envie de le sucer, de mettre son sexe dans la bouche et le faire éjaculer une seconde fois. Sa chatte est mouillée, la cyprine transperce le shorty. Pour en être certaine, elle passe sa main entre les cuisses. Sa respiration accélère. C’est officiel, elle à besoin d’une queue. Maxime est parti rejoindre Océane. Maintenant seule, elle se masturbe à travers le tissu qui recouvre sa chatte.

– Oh oui… mmh c’est bon… j’ai tellement besoin d’une queue…

Elle récolte le foutre de son frère avec sa main, pour l’étaler sur la chatte.

– Oui voilà… jouie sur ma chatte… putain de famille!

Soudain, la fermeture qui baisse dans la tente derrière elle, la fait redescendre sur terre. Elle s’arrête, et referme les jambes.

Jennifer la rejoint. Julien dort encore.

En faisant la bise à sa fille, elle remarque qu’elle à du sperme sur les joues. Très gênée, Marion lui explique que Maxime est venu jouir sur elle.

– Je sais…

– Hein?!

– J’ai vue Maxime te jouir dessus. Et j’ai aussi vue, que tu te faisais plaisir à l’instant.

– Oh… euh…

– Ne t’en fait pas, tu t’ouvres de plus en plus, laissant de côté ta morale. Enfin.

– Ma morale est toujours là, maman… je me dis encore que ce n’est pas bien.

– Ça disparaîtra. Qu’est-ce qui fait, que tu laisse ton frère te jouir dessus, ou que tu face une fellation à ton père?

– L’excitation. Il y à longtemps que je n’ai rien fait, sexuellement. Et, vous voir faire l’amour devant moi, sans gène, bien que nous soyons tous de la même famille, ça m’excite quand même beaucoup.

– Alors lâche toi… ne détourne pas ton regard quand tu regardes mon corps… je suis la, totalement nue devant toi. Alors profites-en pour découvrir mon corps avec tes beaux yeux.

Marion, observe l’entièreté de son corps.

Ses seins, son ventre, et sa chatte, qui commence à se recouvrir de petits poils.

Sous le regard de sa fille, elle écarte ses grandes lèvres. Marion est assise, Jennifer est debout face à elle.

– J’ai la chatte toute humide… pas toi? Demande Jennifer.

– Euh… si, un peu.

– Bon allez… je vais me servir un café pour me calmer… car je commence à être excitée!

Les deux filles, discutent ensemble du beau temps, du lac, des amours.

Jennifer, soudainement prise d’une envie de soulager sa vessie, invite Marion à l’accompagner un peu plus loin du camp afin qu’elles continuent leur discussion.

Après avoir trouvée l’endroit idéal, près d’un grand arbre, Jennifer s’accroupit face à Marion. Elle écarte ses grandes lèvres pour uriner plus facilement.

– Oh… euh, ok… Marion s’étonne.

– Ça te dérange que j’urine devant toi?

– Non, pas du tout. Nous n’avons plus rien à nous cacher de toute façon… c’est juste que, je ne m’attendais pas à ce que tu face ça devant moi. D’ailleurs, tu as raison. Moi aussi j’ai envie de me soulager.

Marion s’accroupit face à Jennifer. Elle écarte son shorty, mettant à jour sa jolie chatte lisse.

Après s’être vider la vessie, Jennifer reste dans cette position, admirant sa fille.

Ses doigts, se faufilent à l’intérieur de son vagin. Elle se doigte, sous le regard envieux de sa fille.

Marion, à son tour se caresse timidement.

– Tu es superbe quand gaziantep escort forum tu te masturbe. Dit Jennifer.

– Toi aussi, maman.

Jennifer, s’avance vers elle. Toujours accroupie, elle lui caresse les seins à travers le soutien gorge.

Elle pose un genou à terre, puis avance sa tête vers ses seins. Elle baisse son soutien gorge, sous les seins. Les tétons de sa fille respirent enfin. Ils sont déjà durs, mais ils durcissent encore plus sous les coups de langues de Jennifer.

Elle remonte ses lèvres, pour l’embrasser. Marion accepte son baisé, et elle lui rend. Elles rapprochent encore leurs bouches, et cette fois, elles s’embrassent longuement avec la langue.

Jennifer lui caresse les seins.

Marion, se saisi de la main gauche de sa maman, pour la dirigée dans son entre-jambes. C’est une réelle invitation, à venir lui faire du bien.

– Oh oui… tu mouille ma fille…

– C’est toi qui me fais mouiller… caresse moi.

Sans attendre, Jennifer frotte sa main sur la chatte de sa fille, puis, la pénètre avec deux doigts. Dans la tête de Marion : « oh mon dieu… je me fais réellement masturber par ma maman…! Ses doigts, sont dans ma chatte… C’est vraiment étrange… »

Sans s’en rendre compte, car elle est dans ses pensées, Marion gémi.

Jennifer la positionne sur le dos.

– Tu fais quoi, maman…?

– Chuttt… laisse toi aller…

Sa tête entre les cuisses, Jennifer parviens enfin à goûter la cyprine de sa fille chérie. Elle lèche, et avale sa crème juteuse.

« Oh je n’arrive toujours pas à y croire… ma mère me lèche la chatte! J’ai l’impression de rêvée, tellement c’est surréaliste! »

Jennifer récolte sa cyprine. Elle la garde dans la bouche, pour la partager avec Marion. Elle sort sa langue, pour que sa mère déverse sa salive et sa cyprine dans la bouche. Elles s’embrassent, toujours avec la langue. Leurs salives se mélangent.

– Laisse-moi goûter ton jus, maman.

Jennifer pose sa chatte sur ses lèvres.

Marion lèche l’intégralité de sa chatte, en introduisant sa langue dans le vagin.

« Ma toute première relation sexuelle avec une autre fille… c’est avec ma mère! Quelle chatte, j’adore la lécher »

Sa langue, s’égare un peu plus. Cette fois, elle lèche son anus. Cet

anus, qui accueil régulièrement le pénis de Maxime et de Julien.

« Quand je pense que mon frère encule ma mère avec ce cul que je suis entrain de lécher… »

Jennifer se tourne. Les deux filles se lèchent mutuellement, en position du 69.

Jennifer doigte profondément sa fille.

Marion, se libère enfin. Elle ne retient plus ses jouissances, elle explose d’excitation.

– Oh! Oh oui! Ahh oui j’aime ce que tu me fais, maman!

Soudain, elle se rend compte qu’elle à dit cette phrase à voix haute. C’est encore plus bizarre pour elle. Mais à ce moment là, elle prend entièrement conscience que c’est sa mère qui la fait jouir avec sa langue.

D’ailleurs, Jennifer aussi gémi. Elle reçois les deux doigts de Marion dans le vagin.

Les minutes passent. Jennifer propose qu’elles retournent au camp, c’est plus discret et plus confortable.

Elles y trouvent Julien, assis sur son rondin de bois, avec sa tasse de café a la main.

Comme Jennifer, lui aussi est totalement nue. Il connaît très bien sa femme, ainsi que son corps. Il remarque immédiatement, l’humidité de sa chatte. Mais en regardant son visage, il remarque aussi qu’elle semble très satisfaite et très souriante. Après avoir fait l’amour, elle à toujours ce même regard et ce même sourire.

Quand Marion s’avance vers lui pour lui faire une bise, son regard descend instantanément vers son shorty rouge. Elle ne peut cacher à son père, cette sombre tâche humide à son entre jambes.

– Tu es très belle dans cette tenue, Marion.

– Merci papa….

Jennifer, interrompt ce petit silence gênant qui s’installe entre Marion et Julien.

– Ah, je ne te l’ai pas dit… mais Julien à beaucoup apprécié la pipe que lui a faite hier soir.

– Oh… bah merci. C’était ma première fellation depuis quelques années.

– Tu es une experte en la matière! Répond Julien.

– Merci, papa.

– C’est vrais ça, ou tu as appris à faire des fellation comme ça? Demande Jennifer.

– Bah, ça vient tout seul, à force de sucer des mecs. Je me suis inspirée de certains films pornos, aussi.

Cette conversation, attise l’excitation de Julien. Son pénis durci sous le regard des filles.

Marion est plutôt gênée, mais elle rigole.

Jennifer l’encourage à aller satisfaire son père.

Hésitante quelques secondes, Marion ne se pose plus de questions, et s’agenouille devant le sexe paternel.

Elle avec sa main droite, elle s’en saisie, et décalotte le gland en retirant doucement le prépuce. Excité, Julien n’est pas loin d’éjaculer.

Marion la bien vue, elle enlève alors sa main de sa queue. Elle serait déçu de voir son père éjaculer, alors qu’elle ne la même pas encore sucer.

Son excitation retombée, Marion recommence l’opération.

Doucement, escort gaziantep elle lèche le frein de cette grosse queue qui lui est offerte. Cette fois, elle lui appartient… elle ouvre la bouche, et le gland entre à l’intérieur. Elle le lèche intégralement. Elle enfonce sa queue, encore plus profondément. Quelques secondes suffisent pour que la totalité du sexe paternel disparaisse dans sa bouche. Elle le suce et le branle, sans retenue, mais surtout sans honte. Elle se sent enfin libéré.

Plus tard, elle se relève. Julien lui enlève son shorty. Pour la première fois, il voit la chatte de sa grande fille. Ses grandes lèvres sont serrées, sûrement par le manque de pénétration. Sa chatte ressemble à une fille de tout juste 18 ans.

Julien passe son pouce entre les lèvres, sans pénétration. Il regarde à quel point elle mouille. La cyprine colle sur ses doigts, il est temps d’y goûter.

Sa langue remonte sur toute la longueur de la fente, pour récolter un maximum de cyprine.

– Mhmmm… tu es délicieuse, ma fille.

– Merci, papa…

Il cherche avec sa langue, le bon chemin qui mène jusqu’à son vagin, pour lécher son intérieur. Il alterne entre sucer son clitoris, et lécher l’intérieur de son vagin.

Après avoir lécher et sucer ce fruit défendu, Julien est prêt à la pénétrer.

Toujours face à lui, Marion fléchi ses genoux pour descendre son bassin. Le pénis de papa, s’emboîte totalement dans la chatte.

– Ohhh… mhmmm… ça-y-est, nous y sommes… dit Marion excitée.

– Oui, voilà… mon pénis est entièrement dans ta chatte… ça va?

– Je réalise que nous faisons l’amour… Et qu’il n’y à plus de retour en arrière possible… mais oui, ça va. Tu peux me baiser maintenant.

Après ces mots, Marion joue du bassin. Elle fait des petits cercles, puis elle se lève et se rassied pour faire glisser sa queue. Elle bouge énergiquement son bassin vers l’avant et vers l’arrière, en embrassant Julien à pleine bouche.

Plus loin, Maxime et Océane reviennent de leur promenade en barque. Ils rejoignent Jennifer, qui observe les amants faire l’amour.

Ils sont contents de voir leur sœur se libéré.

Maxime bande dur. Il s’avance vers ce délicieux couple.

Il pose sa main sur la fesse de Marion. Maxime arrivant dos à elle, Marion fut surprise.

– Ah! C’est toi, tu m’as fait peur!

Maxime, s’agenouille derrière elle. Il tâte avec son doigt, l’anus de sa sœur pour voir si elle réagi. Mais aucune réaction. Au contraire, elle ralenti ses mouvements, comme pour faciliter la pénétration du doigt de Maxime dans son rectum.

Voyant qu’elle ne refuse pas, il se rapproche pour lécher son trou de balle, très serré. Elle ne s’est jamais faite sodomiser. Aujourd’hui, elle en à l’occasion.

Maxime pénètre un doigt, puis deux. Marion accuse le coup. Elle ne pensais pas qu’il aller introduire aussi rapidement son doigt en elle. Il fait des va-et-vient jusqu’au fond. Pour dilater son trou, il crache sur ses doigts, pour réussir à en mettre un troisième.

– Oh… putain…

– Je t’ai fait mal?

– Non, non… c’est que je n’ai pas l’habitude qu’un truc entre dans mon cul… je le sens s’élargir en plus.

– Je pense que tu es suffisamment dilaté pour accueillir mon sexe.

– Vas y doucement, d’accord?

– Le plus doucement possible. Tu sentiras ton cul s’élargir encore, et tu auras comme la sensation d’avoir la taupe au guichet… si tu vois ce que je veux dire…

– Oui… gênant!

– Ahah… il ne faudra pas que tu contracte, laisse toi totalement aller.

Son gland, s’enfonce très doucement. L’anus s’élargit de plus en plus.

– Ohhh… attend, attend!

– Ok.

Maxime se retire, puis il recommence. Cette fois, le gland pénètre entièrement.

– Félicitations grande sœur, pour ta première double pénétration!

– Tu es déjà dans mon… cul?!

– Le gland, seulement. Le plus dure est fait.

Maxime fait plusieurs va-et-vient. Après quelques secondes, son pénis est au fond. Il est maintenant temps, de pilonner sa sœur.

Il la tient par les hanches pour y mettre plus de force. Marion se laisse faire, elle se lâche totalement. Son cul est dilaté est humide. Les deux hommes, prennent leur pied. Marion gémi sans retenue. Elle n’a jamais connu une telle jouissance de toute sa vie.

– Oh oui! Oh oui c’est bon! Oh putain que c’est bon!! Je crois que je vais jouir… OH JE SENS QUE ÇA VIENT, PAPA ENLÈVE TA BITE!

Elle se relève. Le pénis de Julien se retire, laissant de puissants jets sortir de sa chatte, et inondé la verge de son père. C’est la première fois qu’elle jouie de la chatte.

Maxime se retire à son tour. Marion s’agenouille, et les hommes se branlent sur son visage. Elle les suce l’un après l’autre.

Soudain, ils déversent leur foutre, et ils inondent son visage. Son visage est recouvert de sperme incestueux. Elle récolte la semence sur ses lèvres avec sa langue, puis elle avale.

La journée se poursuit sans écart.

Le soir venu, après le dîner à la bonne franquette, ils font des petits jeux, chantent et jouent de la guitare, prêt du feu.

Pour la première fois, ce soir là ils sont tous totalement nue.

Le reste de la soirée, toute la famille finie à l’eau.

Quand ils en ressortent, l’ambiance change d’atmosphère. Pour finir la soirée, Maxime couche avec Marion. Il la prend par la chatte et le cul. Océane, se fait sodomiser par son père.

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Ocean’s Edge: The Tides Ch. 8 “The Plot Unfolds”

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I woke up not feeling my absolute best. For some reason, I never thought to bring any kind of medication. I scraped for whatever clothing was immediately available and wandered downstairs. I opened every cabinet in the kitchen looking for Ibuprofen but didn’t find any. In lieu of that, I got the biggest cup I could find and filled it with water. The kitchen sink was full of the previous night’s dinner dishes and I scoffed at the fact that they weren’t cleaned as I would have done. I couldn’t complain too much, though, since none of us were in a condition to do the dishes. I left the kitchen on my way to the patio to mix a small drink to help rid myself of the hangover when I stepped into the living room and was stopped dead in my tracks.”What the actual fuck!?” I said louder than I intended.Nothing that was there the first day we arrived was there. The room was completely different than it was the day we arrived. The new items gave me the same sense of familiarity as the rest of the items that had shown up to that point. I knew them but couldn’t remember what they reminded me of. It was driving me crazy.Also changed was the furniture. The couches that were there had been replaced by something else. I turned in circles staring at everything as I drove myself crazy trying to figure out why everything looked so familiar.”This room is different,” I said, knowing I had already established that as fact.I turned slowly trying to piece it all together.”The room is different! If the room was the same as where the items I recognize were when I last saw, then I would be able to put it all together.”Before I could make it out to the patio, Brandie sauntered down to the kitchen. Just like me, she began searching cabinets for pain relievers, slamming the doors when she didn’t find it.”Fucking… Advil!” she announced loudly. “Who doesn’t have pain relievers in their fucking house?”I turned and laughed internally when I saw my wife as frustrated as I was at the lack of medicine. She came out to the living room holding her pounding head.”Where the fuck is the Motrin!?” she asked.”I have no idea. Here, have some water,” I said, handing her my cup. “Have you noticed that more and more things around here seem to have changed as time passed? This room is completely different than when we arrived.”Brandie sipped the water and looked around the room, “It does seem different. Why does it look like someone cleaned here?” she asked.I scanned the room again and she was right. With the virtual orgy that went on the day before, the room was in disarray, and nobody cleaned it that I was aware of.”I don’t know. I was going to mix a small drink on the patio to help with the hangover, do you want one?””No, could you check the bathrooms upstairs? I really don’t want a drink right now.””Sure. I probably don’t need to be having a drink right now anyway.”I took another look around and went upstairs. I checked the bathroom we used and there was nothing in the cabinets there. I wandered to the bathroom that James and Hannah used and couldn’t find anything there, either. I was about to leave when I realized I couldn’t find anything. It was empty. No soap, no shampoo, no conditioner, no nothing. I thought for a moment that they might have just packed early so, I left and headed to the master bedroom.I listened at the door to see if I could hear any kind of movement but there was nothing. I quietly turned the knob and opened the door. When I took a couple steps into the room, I noticed Angie wasn’t in the bed and it was made up.”What the hell?” I thought, “What gaziantep kızıl escort is happening around here?”I walked to the bathroom and flung the door open without a care about who was in there or what they might be doing. As it turned out, it didn’t matter. There was no one and nothing in the master bathroom. I checked the cabinets regardless and found what I expected. Nothing.I stormed back down the hall to Hannah and James’ rooms and found those empty as well. I hurried down the stairs in confusion.”There’s nobody else here!” I practically yelled to Brandie.”Shhh! Not so loud, damnit! What do you mean there’s no one here?””There’s. Nobody. Here!” I said, pausing between each word. “Like, I checked all the rooms and the bathrooms, and all three of them have gone and taken all their crap.”Brandie looked as confused as I was.”Yeah. I have no idea what’s going on. First, all the decorations change, the role-playing seemed to change as we went along right up until the moment on the living room floor. Then we all get trashed, and Hannah wants you to finger her like it’s the la―.”I realized just then what was going on.”Could this exit be planned? If so, what happened to our sixth day? I hope we get some money back.”Brandie offered another option, “What if this is part of the package and we just haven’t given it time to see what comes next?”I considered her idea and figured we may as well wait to see what happens.”Maybe you’re right. Well, how about we get the dishes done, get some breakfast and go for a swim? Maybe some greasy food will help with the hangover.”Brandie smiled for the first time that morning. “That sounds like a plan.”We went into the kitchen and began washing dishes while we made guesses as to where that day might take us.”What if her husband shows up with his mistress not expecting anyone to be here?” she said sarcastically.”What if Angie’s long-lost children show up,” I started before bursting into song, “looking for love in all the wrong places!”We both laughed hysterically as we continued thinking up the most implausible scenarios we could think of. By the time we were done, we could barely finish the dishes we were laughing so hard. We were about to spray down and wipe the counters when the doorbell rang.”Oh! Here comes the mistress!” I announced with laughter as I headed to the front door.There was nothing I could have thought of that was more surprising than what confronted me when I opened the door.”ANGIE!?” I yelled in utter surprise.”Frank?” she responded in equal disbelief.Brandie wandered into the foyer and was as unprepared for that moment as I was.”Brandie?” she said looking beyond me.”Angie!” my wife cried out.”What are you doing here!?” I asked my sister.”What am I… what are you doing here? Why are you here?”My sister looked at the numbers nailed to the house next to the door then back to me before flopping her hands back to her sides in frustration.”I had an appointment somewhere this morning and this is where they told me to go.”I snatched the paper from her hand and confirmed she was at the right place.”Come in, we need to talk,” I said, pulling her inside.She dragged a small suitcase behind her as she stumbled into the house. I closed the door once she was completely inside.”What are we all doing here? Did you just get here this morning like me?” she asked.”Let’s go in the living room, there’s a lot to talk about,” I said again.We all went to the living room. I went to sit down when Angie walked up to a shelf with a gaziantep köle escort bunch of decorations on it. She picked up each one then looked around the room.”Why does this look like my living room? I have things in my house that look exactly like this shit. I am so confused.”Instantly, I transported myself to my sister’s living room and, sure enough, everything came roaring back. This was the stuff Angie had in her living room. The shape of the room was different and in my hungover state, I couldn’t put two and two together. It also didn’t help that Angie had those things in her home for more than a decade and I had gotten so used to seeing them that my subconscious didn’t alert me.”So are we, I assure you. I also promise that our story is much longer than yours. Let’s start with what brought you here.”Angie looked embarrassed. Just as she was beginning to speak, there was a lot of noise coming from the stairs. I turned to look toward the foyer when I saw the old Angie, James and Hannah walk past the opening to the living room. Angie and Hannah waved as they walked past. The door was opened and closed before I could get a word out.”Who the hell are they?” my sister asked. I knew not much more could happen before she became upset and started to mix English and Italian together as she was prone to.She refocused and began to tell her story.”So, a while back, I was browsing the internet when an out-of-place ad showed up on one of the pages I was on. Typically, I ignore ads on the internet because they all say the same thing, but this one seemed different.”Brandie and I looked at each other, recognizing the familiar story.”When I clicked on it, it brought me to another page. Shocking, I know. Well, the site was well designed, and I couldn’t help but see what it was about.””Was this a thing where you select stuff you want to see or do, and they craft a vacation for you?” Brandie asked her.Angie looked pale for a moment.”When did you see this ad?” I asked.”About two weeks ago,” she said, “why?”I started piecing a theory together as to how it all transpired and what series of events brought her there when Hannah popped back into the house. She walked past the opening to the living room and yelled as she went up the stairs.”Hi, Frank! My mom left something. I’m going to run upstairs and get it.””What happened to Uncle Frank?” I asked as I got up to follow her.I followed her up to the master bedroom and closed the door behind me. As soon as the door clicked shut, Hannah turned to me with a new expression on her face I hadn’t seen on her up to that point.”Don’t walk out and don’t yell at me, okay?””I don’t intend to do either, Hannah. I just need to know why my sister is here.””Well, let’s start off with my real name. It’s not Hannah. I’m Chloe. My brother is Nathan and Mom is Charlotte. Now it’s time for the next question you’re going to ask.””You’re actually a real family?” I asked, sitting on the edge of the bed.Chloe sat next to me, “how is your vacation so far?””Amazing! That doesn’t explain why my sister is here!””Of course, it doesn’t. Well, your vacation isn’t over. Remember when you clicked the ad? You eventually made your way to describe the type of vacation you wanted. Do you remember what you chose?”I tried to recall all the selections we made but I would never forget the overall theme: Incest.”Incest,” I said quietly.Chloe visibly cringed, “We don’t like that word but yes. Specifically, you selected siblings. I’ll save you some of the questions you’re no doubt gaziantep kumral escort thinking of. When you met Sarah for the first time, we got a lot of information about you and with that, we were able to track down your sister, but not Brandie’s. Maybe if we had some time, we could have, but time was not on our side.””It’s starting to make a lot of sense,” I conceded.”Had you selected literally anything else, you would not have met us, and your sister would not be sitting in the living room downstairs. Here we are, though.”I put my hands on my forehead and ran them through my hair as I came to grip with everything that has happened to that point.”Ask all the questions you want. Angie is down there spilling the beans and Brandie is no doubt filling in the gaps. Together, they will figure out what’s happened.””So, you are all related. Obviously, you’re here because you’ve all had sex together, right?””Yes,” she said with a chuckle, “but I do not have the time to go through how that all happened.””Of course not. Can you tell me anything about what happened between Nathan and Charlotte in the living room yesterday?””Oh. I don’t have an answer for that. I’m sure we will be talking about that tonight,” she said with some reservation.”Okay. So that was unexpected for everyone. What about you and my wife?””Also unexpected, but I like her,” she said.A smile grew on my face, “I like that you like her.”Chloe turned and looked at me, “You do?””Sure. She likes you, too. How many times have you done this?””This…?” she asked, leading me to be more specific.”Been the actors in someone else’s fantasy vacation.”Her face came alive, “This is where I blow your mind. It’s our first time. We were recruited after we did our fantasy vacation. Again, another long story.””I bet. Is there anything else I should know?” I asked.”Well, it’s your last day of vacation. We’ve done everything we can to…””To what?”Chloe stood up and got on her knees in front of me, “To make your fantasy come true, Frank. I’m standing here… well, kneeling before you telling you that this changed our lives. I’ll tell you that Mom was the missing link in our fantasy, and we brought her into it. Now she’s happier than she ever was, even though whatever happened between her, and Nathan yesterday might make her happier.”I looked at Chloe and shook my head.”Your sister is sitting down there because not only did you select siblings for your fantasy, Angie did as well. We brought you two together in an environment suitable to talk it all out. It’s on you now. You have until 4 o’clock tomorrow afternoon to seal the deal. Whether you do or not, you must leave. I promise you, once you leave, it will be that much harder to bring this fantasy into reality.””What if I can’t bring myself to convince her?””I can’t help you there, Frank. There’s consequences and rewards for every decision you make here. It’s up to you whether the reward outweighs the risks.””Let’s go downstairs. You have a lot to do and hopefully, if everything goes right, you’ll have some-one new to do.”I exhaled deeply before standing up and offering my hand to her.”You’ve been classy this whole time, Frank,” she said before leaning in for a whisper, “except for that anal part. I don’t recommend that with Angie.”I laughed heartily at her recommendation. She smiled slyly and we both moved toward the door. We both walked out of the room and silently downstairs. Chloe followed me into the living room and walked up to Brandie. My wife smiled when she saw her approach. Chloe knelt in front of Brandie, causing my wife more confusion.To everyone’s surprise, Chloe leaned in and kissed my wife full on the lips. Brandie looked happy to return it. When she was done, Chloe whispered something in my wife’s ear. Brandie looked around the room as she listened before suddenly locking eyes with me. She nodded a single time before Chloe handed her a slip of paper, got up and walked out.

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Emmanuelle, Déchéance Africaine 02

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Ass

Après cette première nuit passée dans le village de Kaboudiara, Emmanuelle se réveille tôt. En soulevant ses draps, elle retrouve son gode qui a glissé de sa chatte après s’être endormie. Elle s’en saisit et se dirige vers le cabinet de toilette pour le nettoyer avant de s’occuper de sa propre toilette. Elle retourne vers la chambre après ses ablutions et décide de s’habiller dans une tenue qui ne va pas attirer les convoitises.

Elle est une femme respectable et entend bien ne pas voir se renouveler l’épisode de la veille. Dans la pénombre, elle choisit un string en dentelle rouge et le soutien-gorge assorti mais, surtout, elle opte pour un pantalon type safari avec un chemisier blanc en coton. Elle se dit que de cette façon elle sera moins attirante et qu’elle évitera les convoitises du vieux chef.

Son inconscient la fait agir à l’inverse de ses pensées et elle ferme les boutons de son chemisier juste ce qu’il faut pour que l’on puisse voir la fine dentelle de son soutien-gorge. Lorsqu’elle ressort de la chambre, Emmanuelle tombe nez à nez avec Fadima qui est venue les chercher pour le petit déjeuner. Emmanuelle ne souhaite pas être confrontée au vieux chef et prétexte qu’elle ne déjeune pas le matin pour se soustraire à sa présence. Elle demande cependant à Fadima d’aller réveiller ses étudiantes pour qu’elles puissent profiter de ce petit-déjeuner.

Elle se retourne et se rend au cabinet dentaire pour y faire l’inventaire du matériel en place. La pièce a été coupée en deux au moyen d’une cloison amovible et présente deux cabinets dentaires avec fauteuils et appareillages de qualité correctes. En voyant la configuration des lieux, Emmanuelle comprend que seuls deux praticiens étaient attendus.

Elle va donc faire travailler ses deux internes et se contenter de les superviser. Elle se dit que de cette façon elle va pouvoir être intransigeante et mener la vie dure à ses deux interne qui… la désire.

Cette pensée vient de germer dans son cerveau et Emmanuelle se rappelle les événements de la veille. Elle se rappelle ses caresses alors que ses deux internes faisaient l’amour juste à coté d’elle mais surtout elle a le souvenir de ces deux mains masculines qui s’activaient entre ses cuisses. Elle ferme les yeux et sa main droite s’égare sur ses seins alors que sa main gauche rejoint son sexe.

Elle aurait pu se caresser jusqu’à se faire jouir si elle n’avait pas entendu les voix de Fadima et de ses étudiantes dans le couloir. En quelques secondes, Emmanuelle change d’avis et se précipite dans le couloir pour suivre les trois femmes.

Il faut… elle doit revoir le vieux chef au plus vite pour lui prouver qu’elle peut lui résister. Elle doit s’affirmer et rejeter cette envie irrépressible qu’elle a de lui offrir son corps. Il faut qu’elle le regarde dans les yeux et qu’elle lui fasse comprendre qu’elle appartient à un autre : son mari Michel!

Fadima n’a pas fait de remarque lorsqu’elle a vu Emmanuelle les suivre pensant que cette dernière avait changé d’avis. Les quatre femmes arrivent dans le quarré du chef de village et se présentent sous une paillote qui accueille la grande table de la famille. Mbemba est déjà à table et invite Emmanuelle à prendre place à ses cotés.

Elle se dérobe et emploie un banal prétexte pour s’installer au milieu des femmes. Elle baisse cependant la tête en voyant le regard noir que lui jette le vieux chef. Elle prend rapidement son petit-déjeuner et quitte la table après avoir donné son accord à Fadima qui lui demandait si elle pouvait les assister.

Trois jours viennent de passer et à chaque fois Emmanuelle a esquivé l’invitation de Mbemba à s’asseoir près de lui à table. Fadima est quasiment en permanence avec elle et ses internes lors des consultations des habitants du village. Emmanuelle ne pardonne rien à ses étudiantes et en rajoute pour les rabaisser devant la femme du vieux chef. Elle prend un certain plaisir à leur faire payer le complot qu’elles ont monté dans son dos mais Fadima, sans jamais rien dire, prend rapidement parti pour les deux jeunes femmes.

Lors de leurs temps libre, Gabrielle et Marie suivent Fadima qui leur montre les alentours du village. Fadima est très intéressée par le caméscope que Gabrielle utilise en permanence pour filmer la vie du village et, très vite, elle lui demande de l’initier à son utilisation. Fadima apprend très vite et Gabrielle lui confit facilement son caméscope pour qu’elle la filme avec Marie au fil de leurs promenades et de leurs rencontres.

En ce quatrième jour de présence, Emmanuelle rentre dans sa chambre après le déjeuner. Elle est épuisée car il faut dire que les journées commencent tôt au village. Pour palier aux fortes chaleurs, le petit-déjeuner se fait juste avant le lever du soleil vers 5H30 et la journée se poursuit vers le déjeuner qui a lieu aux environs de 11h00. Ensuite, les heures sont trop chaudes et le village s’endort pour une sieste réparatrice. Emmanuelle se hâte à retirer son pantalon et son chemisier épais car elle a bien compris escort numaraları que cette tenue n’est pas adaptée à la chaleur ambiante.

Le jour où elle a pris la décision de porter ce genre de tenue, elle a très vite déchanté en souffrant de la chaleur presque insupportable qui règne dans le cabinet. Elle s’est très vite rendue dans sa chambre pour ôter les vêtements superflus et se retrouver en sous-vêtements sous sa blouse de praticienne. Elle ne porte pantalon et chemisier que lorsqu’elle sort du dispensaire pour aller prendre ses repas chez le vieux chef mais, dès qu’elle rentre dans sa chambre, elle retire tout pour se retrouver en sous-vêtements.

Il est l’heure de la sieste et Emmanuelle se retrouve sous son léger drap en string en dentelle rouge car elle a décidé de retirer son soutien-gorge pour sentir les pointes de ses seins se frotter contre le doux tissu de son drap. En vérité, elle attend le retour de ses étudiantes en faisant semblant de dormir car elle sait que ces deux cochonnes ne manquent pas de se caresser mutuellement avant de dormir un peu.

Depuis la séance du premier soir, Emmanuelle attend avec impatience d’épier ses étudiantes en se remémorant les mots de Gabrielle : « Ce serait bien, elle pourrait venir nous lécher la chatte! Depuis le temps que je fantasme sur son corps parfait de femme mûre! ».

A chaque fois qu’elle s’allonge elle pense à ces mots en fermant les yeux et elle se voit en train de lécher la chatte de ses deux étudiantes. Emmanuelle ne se prive pas de se caresser en silence quand les deux jeunes femmes se font du bien alors qu’elles pensent que leur prof dort. Immanquablement, les pensées d’Emmanuelle glissent vers Mbemba et le prêtre. Elle se revoit encore avec leurs deux mains sur sa chatte et elle se met à mouiller abondamment et se met trois doigts dans le con avant de jouir en étouffant ses gémissements dans son oreiller.

Emmanuelle tente de chasser ces pensées de son esprit dans l’espoir de s’endormir mais ses seins se sont durcis et le frottement du drap sur ses tétons sensibles la mette en émoi. Une fois de plus, elle sent sa chatte se liquéfier et elle espère que ses internes vont vite venir se mettre au lit pour se faire jouir en les entendant se faire l’amour. Soudain, elle entend des éclats de voix. Enfin! Ses petites salopes d’étudiantes vont venir animer sa sieste.

Cependant, Emmanuelle entend une voix inhabituelle à cette heure de la journée. Elle tend l’oreille et reconnait la voix de Fadima. Les trois femmes entre dans la chambre et la femme du chef s’approche de son lit. Elle la bouscule doucement afin de la réveiller. Emmanuelle feint le réveil précipité et s’étonne de voir la femme du chef dans sa chambre.

– Fadima! Mais que faites-vous ici? Demande Emmanuelle dans un demi-sommeil de cinéma.

– Emmanuelle, tu dois me suivre. Le conseil s’est réuni et les membres demandent à te voir immédiatement!

– Je m’habille et j’arrive! Allez m’attendre dehors! Annonce Emmanuelle en feignant un bâillement.

– Non, ça ne peux pas attendre, le conseil n’aime pas attendre!! Tiens, prend ta blouse et suis-moi!! Déclare solennellement Fadima.

– Très bien, mais je ne sais même pas où se trouve le conseil!! Répond Emmanuelle, soudain affolée.

– Passe ta blouse et je vais t’y conduire!! Vite, je te rappelle qu’ils n’aiment pas attendre!!

Sans réfléchir, Emmanuelle s’extirpe de ses draps et se présente devant ses étudiantes et Fadima en string et seins nus. Elle n’a pas le temps de voir le regard envieux que lui jette Gabrielle et s’empresse d’enfiler sa blouse pour suivre la femme du chef.

Les deux femmes traversent rapidement le village car Fadima ne laisse pas le temps à Emmanuelle de réfléchir. Elle la tire par le bras et l’entraine devant un bâtiment à l’autre bout du village. Elle pousse la porte du bâtiment et entraine Emmanuelle à l’intérieur.

Après avoir habitué ses yeux à la pénombre ambiante, Emmanuelle découvre Mbemba assis sur un grand siège. Oumar, le sorcier, et Salim, le plus ancien après eux, siègent à ses cotés. Assane et Bakari sont postés de part et d’autre de la porte. Emmanuelle a à peine fait connaissance des lieux que le vieux chef prend la parole.

– Je te remercie pour ta diligence, Fadima! Tu peux maintenant te retirer, nous devons nous entretenir avec le docteur! Tout ceci a été déclaré sur un ton qui ne supporte pas la répartie et Fadima s’efface vivement en refermant la porte derrière elle.

– Docteur, vous vous êtes rendue coupable d’insoumission!! Déclare solennellement Mbemba dès que la porte s’est refermée.

– Mais… je …mais!!! bredouille Emmanuelle.

– Il est inutile de nier!! Vous avez tout fait pour vous soustraire à mon autorité ces trois derniers jours et après en avoir longuement discuté avec le conseil, nous avons jugé que vous deviez être punie!!

– Mais… mais, comment? Pourquoi? Qu’ai-je fait? s’indigne Emmanuelle.

– Il n’est plus temps de escort pornoları vous poser des questions, vous auriez du vous les poser avant, docteur!! Annonce Mbemba d’une voix glaciale.

– Qu’allez-vous faire de moi, chef? demande Emmanuelle d’une voix étranglée.

– Je vais te donner vingt coups de cravache pour t’apprendre à ne pas te dérober quand je veux t’avoir près de moi.

Emmanuelle commence à comprendre. Elle a irrité le vieux chef en ne souhaitant pas se soumettre à ses demandes de se rapprocher de lui et maintenant elle va en payer le pris. Assane et Bakari se sont rapprochés et la saisissent par les bras pour la faire mettre à genoux.

Elle tente de résister mais les nonagénaires sont dotés d’une force qu’elle n’aurait pu soupçonner. Rapidement, Emmanuelle se retrouve à genoux et Assane la maintient par les cheveux pour qu’elle regarde leur chef.

– Maintenant, à poil petite chienne allumeuse!! Annonce Mbemba.

– Non, je vous en supplie!! s’écrie Emmanuelle.

Elle ne comprend pas ce qui se passe mais cette soudaine autorité la plonge dans une sorte de transe qu’elle n’avait jamais ressentie au cours de toute son existence. Emmanuelle ressent une sensation nouvelle dans son ventre. Malgré une étrange sensation de nœud dans l’estomac, elle sent sa chatte s’inonder et une irrépressible envie d’obéir à ce mâle autoritaire.

Comme dans un rêve, elle se voit ouvrir sa blouse et la retirer de façon sensuelle. Elle a envie de plaire à ce mâle qui veut lui donner une correction. Peut-être que son subconscient la pousse à faire ce genre de geste dans le fol espoir de limiter la punition.

Elle fait lentement glisser son string le long de ses cuisses pour l’amener sur ses genoux et se dresse pour présenter ses seins et sa chatte épilée à son bourreau. Sur un geste de Mbemba, Assane et Bakari lui plaquent les épaules au sol. Emmanuelle prends conscience que, dans cette position, elle a le cul bien en l’air et qu’elle offre une vue imprenable sur ses orifices. Malgré la peur de la sentence qui l’attend, elle sent sa chatte se liquéfier et se surprend à attendre le premier coup.

Mbemba se saisit de sa cravache et se place derrière elle. Emmanuelle sait qu’il peut admirer sa chatte et sa petite rondelle bien offertes. Elle se sent humiliée mais son ventre va à l’encontre de ses pensées et elle se surprend à attendre le premier coup sur ses fesses.

Elle a envie de se soumettre à cet homme qui pourrait être son grand-père. Elle ne sait pas pourquoi mais elle veut que ce mâle la traite comme une pute désobéissante. La petite bourgeoise universitaire attend maintenant sa punition avec impatience et souhaite ardemment sentir la cravache lui cingler les fesses.

Mbemba lui caresse les fesses avec douceur. Emmanuelle se met à ronronner comme une chatte en chaleur au moment où le premier coup tombe. Le coup a été rude et Emmanuelle pousse un cri strident. Un deuxième coup tombe sur ses fesses et elle pousse un deuxième cri. Mbemba tend la cravache à son sorcier avant de se placer devant Emmanuelle.

– Oumar, tu vas prendre ma place et lui donner les coups de cravache. Je vais devoir la faire taire, sinon elle va réveiller tout le village cette petite pute blanche!!

Mbemba se place face à Emmanuelle et retire prestement sa djellaba pour se retrouver nu face à elle. Elle découvre juste devant son visage une queue monstrueuse qui mesure au moins 35 centimètres de long et a un diamètre de 7 bons centimètres. Emmanuelle n’a jamais vu un tel membre et commence à prendre peur rien qu’à cette vue.

Mbemba ne lui laisse pas le temps de réagir plus, d’une main, il la saisit par les cheveux et de l’autre il maintient son membre devant ses lèvres. Emmanuelle serre les lèvres mais, sur un signe du vieux chef, Oumar fait claquer la cravache sur ses fesses. Elle ouvre la bouche dans un grand cri et Mbemba en profite pour introduire sa queue dans la bouche offerte. Il tient maintenant Emmanuelle des deux mains par les cheveux et lui force la bouche avec son énorme chibre. La queue entre de plus en plus loin dans la bouche de la dentiste universitaire alors que les coups de cravache continuent à pleuvoir sur ses fesses.

Emmanuelle se sent totalement avilie mais, étrangement, elle sent sa chatte s’inonder et ses fesses se tendent vers les coups de cravache. Malgré la grosseur du membre qui lui rempli la bouche, elle se surprend à vouloir faire plaisir au vieux chef et sa bouche ne tarde pas à s’assouplir pour laisser le gros mandrin glisser entre ses lèvres. Très vite, l’énorme gland vient frapper contre sa glotte et, alors qu’elle déglutit pour reprendre son souffle, Emmanuelle sent la tête de cette grosse queue forcer ce dernier barrage et se frayer un chemin dans sa gorge.

Elle a un haut-le-cœur et se met à saliver abondamment. Jamais un homme n’a eu l’audace d’une telle pratique avec elle. Cette action de Mbemba dans sa bouche conjuguée aux coups de cravache sur son cul affole les escort portalı sens d’Emmanuelle. Pour limiter les nausées, elle s’efforce à respirer profondément par le nez et finit par s’habituer à ce corps étranger dans sa gorge.

Elle bascule lentement vers une soumission qui ne l’avait jamais effleurée. Elle aime sentir les coups sur son cul alors qu’elle offre sa gorge au maître des lieux. Elle se sent chienne et n’a jamais été autant excitée de toute sa vie. Elle veut plaire à cet homme, quitte à devenir sa pute soumise et obéir à tout ce qu’il lui demande.

Mbemba fait de lents vas et vient dans sa bouche et s’enfonce toujours un peu plus jusqu’à ce qu’Emmanuelle sente les poils pubien de l’homme sur son nez. C’est le moment où les coups cessent sur ses fesses et Mbemba se retire de la bouche accueillante.

Emmanuelle reprend son souffle et se laisse retomber sur le sol. Mbemba n’a pas l’intention d’interrompre son dressage et demande aux membres du conseil de la placer sur la table qui se trouve sur un coté de la pièce. Emmanuelle se laisse manipuler, encore épuisée par cette séance de gorge profonde qui l’a laissée pantelante.

Mbemba s’approche avec une corde et commence à lui lier les poignets. Il demande ensuite à ses conseillers de lui soulever les jambes qu’il va lier avec les poignets au dessus du ventre d’Emmanuelle. Il termine son bondage en tirant sur la corde vers la tête de la dentiste pour terminer son lien autour de son cou. Emmanuelle est sortie de sa torpeur et sais que dans cette position elle offre une vue parfaite sur sa chatte et son petit œillet.

– Maintenant, nous allons te baiser ma petite esclave blanche!! Annonce Mbemba.

– Non, je vous en prie, chef!! Pas ça!! Répond Emmanuelle sans grande conviction.

– Désormais, je ne suis plus le chef pour toi mais je suis ton maître et tu feras tout ce que je décide!! As-tu bien compris ma petite esclave blanche?

– Non, je vous en supplie, chef!! répond Emmanuelle dans un dernier sursaut de rébellion.

– Tu es mon esclave et je suis ton maître!! s’écrit Mbemba en lui donnant une gifle.

– Oui, maître! Se résigne Emmanuelle alors qu’une larme coule sur sa joue.

– Mes amis, nous allons baiser cette esclave blanche mais, moi seul ai le droit de la faire jouir!!

Sans rien dire, tous les membres du conseil se mettent nus. Dans la périphérie de son regard, Emmanuelle peut juger de la virilité de ses tortionnaires. Sans être aussi gros que leur chef, ils arborent tous des queux d’au moins 25 centimètres et elles sont toutes bien épaisses.

Mbemba veut avoir la primeur de ses orifices et il tire Emmanuelle vers le bord de la table. Sans aucuns préparatifs, il plante son énorme membre dans la chatte de son esclave lui arrachant un cri de surprise. La chatte d’Emmanuelle n’a jamais été habituée à une telle présence mais son antre est tellement lubrifié par la séance de cravache que la queue coulisse sans problème en elle. Elle se sent écartelée mais ses chairs épousent parfaitement l’énorme dard et ce sentiment de plénitude l’excite immédiatement.

Alors que Mbemba commence ses vas et vient en elle, les queues des membres du conseil se succèdent dans sa bouche. Oumar a pris l’initiative de lui lécher les seins. Il finit par se redresser et prend les deux tétons érigés entre ses doigts et les pince fortement.

Entre douleur et excitation, Emmanuelle se met à gémir et se surprend à vouloir qu’Oumar lui morde ses pointes de seins bien dressées. Elle a en permanence une queue dans la bouche et ne peut exprimer ses envies mais le sorcier a sûrement lu dans ses pensées et se penche de nouveau sur sa poitrine pour lui mordre les tétons. Emmanuelle se met à gémir de plus belle sentant le plaisir monter dans son ventre. Mbemba qui ne veut pas la voir jouir tout de suite se retire de sa chatte et laisse lentement tomber l’excitation de son esclave blanche. Lorsqu’il la juge suffisamment apaisée, il présente son gros dard entre les fesses de son esclave. Emmanuelle sent le gros gland se poser sur sa petite rondelle et elle remue des hanches pour tenter de se dérober à cette introduction.

Certes, elle a déjà pratiqué la sodomie mais jamais avec un aussi gros engin. Mbemba a compris sa réticence et lui enduit la rondelle d’un onguent avant de présenter à nouveau son gland à l’entrée du petit orifice. Il saisit Emmanuelle par les cuisses et pousse son bassin vers l’avant pour s’introduire dans le petit cul de sa proie. Elle sent son œillet s’élargir mais, étrangement, elle ne ressent aucune douleur. Comment est-ce possible? Emmanuelle se le demande alors que l’énorme membre entre sans résistance tout au fond de son cul. Au bout d’une minute, elle sent les couilles de son maître taper contre ses fesses. Elle a les 35 centimètres de chaire au fond de son cul et ne ressent aucune douleur.

D’abord lentement, Mbemba se met à remuer dans son fondement puis il accélère le rythme arrachant des soupirs à son esclave. Emmanuelle a l’impression de se faire prendre par l’âne qu’elle voyait dans le champ près de la maison de campagne de ses parents lorsqu’elle était adolescente. A plusieurs reprises, elle avait vu l’animal en érection et avait été fascinée par un membre d’une telle dimension. Combien de fois avait-elle été remplie de honte après s’être masturbée en pensant à la queue de l’animal!

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Caught In Two Minds

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1They were becoming known as the ‘Hansen sisters’, Doris and Joan, who lived in a sprawling country place on the edge of Des Moines and where Doris, the younger of the two had set up home and in the belief that her marriage was rock solid. She had lived in this part of the state for many years, with Joan working and living in Minneapolis where she managed her own furniture restoration and makeover business. They were arty, self-reliant, and spoke often; their bond evolved and stood them in good stead as the years passed ever more quickly.“You make your luck,” Tom Hansen had told his two daughters, thinking that the words would resonate with them and through their lives, just as they had done through the many years of his marriage to their mother, Ruth.The Hansen’s of Iowa could trace their family’s origins back to Scandinavia but little of that now resonated with the two women who had tried and failed in their marriages, their men abandoning them, and the decision son reached that, perhaps, there was some sense in the two of them living together, but in separate parts of the house and with the outbuildings put to good use in their business endeavors.If one, or both of them, fell into a relationship with a man then the present arrangements would have to be revisited, amended, or put aside. The prospect of that happening, at their age of sixty and fifty-eight, seemed unlikely, even if Doris and the younger of the two had dated and failed at that a few times since her marriage had broken up. Carl Hansen was the product of her marriage and he had inherited the self-reliant gene from his Mom. He worked in IT and was so darned good at making and mending things that he had been unfazed when Doris had suggested that he fitted out a part of the house for Joan to think of as her own, the two women gathering for meals in the spacious kitchen and relaxing in the living room, the space cluttered with their shares of the furniture that had been in the now fractured marital homes.Life was settling down again, the waters closing over all that had gone before, but Joan knew, as she heard the now familiar sound of Carl’s Jeep Cherokee, that a successful business and repeat work from customers, and from those to whom she had been recommended, did not fill every corner of her life…her emotional life, that is.Some of the ‘luck’ that Tom Hansen had spoken of so long ago would have to be found. She had come to look on Carl as a surrogate for the company and attention that she still craved, an emotional bond that was taking an ever-stronger hold in her and that Doris knew nothing of.♥Carl revved the engine as if to announce his arrival, the shimmering white vehicle serving his every need for work and getting about the State on its gridwork of arrow-straight roads. Time had been set aside to attend to simple building work and fitting out the rooms that Joan had been offered, the clap-boarded house with all of its iconic external features set in grassland that resembled a prairie and not a well-tended garden. The Hansen sisters were ‘Doris’ and ‘Joan’ to him, the word Mom rarely crossing his lips whenever he spoke to Doris.He found the two women only too alike when it came to their appearance, Joan’s mane of wispy greying hair a wild delight that Doris did not concede to. Instead, her sandy-blonde hair was tied back in a rebellious ponytail at the nape of her neck but it too was unruly, rebellious even. Sisters they undoubtedly were, their smile almost identical and the gaziantep manken escort intensity of their gaze upon you, when they were speaking, impossible to ignore. They each provoked a response from him on what had been said, Doris more matter of fact, Joan’s often teasing and even flirtatious, behavior that would distract him from the task at hand.He enjoyed being in Joan’s company, her lively chatter about the work that she did for a client often making him laugh. He had again become engrossed in her, just as he had been when just a kid, and the conversion and fitting out work often occupied so much of his free time that it kept him away from his live-in girlfriend, Evelyn. Whereas Joan and Doris were broad-hipped, full-breasted, and voluptuously mature, Evelyn was all but a slender waif and in whose body beat an only too passionate heart.The Hansen sisters, as even he often referred to them, were very much in his life and he did not want it any other way, but he also felt that he could so easily get caught in the middle with Joan seeking out his advice on some piece of furniture that she was restoring and ‘making over’. Doing that would bring him into her company and she would find some reason to have him stay a while longer, to talk and reassert a bond between them.He sure wasn’t imagining it and he wondered how long it would be, and how much work he would get done before she sought him out. Doris was away from the house, for work or on an errand. Her estate wagon was not to be seen, so he was alone in the place with Joan and it was a situation, once more, that set him wondering about her and that a brief touch or kiss in greeting to his cheek, might be the beginning of.The house was eerily quiet as he entered the hallway. He had his work plan and would follow that for as long as it took to get things done. The noisy work was over and finishings were now to be undertaken, so he could talk to her whenever Joan sought him out.It had been the plan on other occasions…2He wasn’t alone for long, Joan’s soft, sultry, call alerting him to her presence before he turned to see her standing in the doorway that led from her bedroom onto the brightly lit landing. The afternoon’s sunlight caught the silvery tints in Joan’s hair, gleamed off her bangled bracelets and baubles of a favored necklace that rested on the swell of her breasts.He quelled an instinctive gasp, on seeing her, as his mind spooled back to his formative years. Memories of how he had fantasized about the woman came rushing in again, recollections of pubescent longings that the sight of her, and the felt hat she had again put on so rakishly, aroused in him. He’d paid particular attention to the work he was doing because of her, for her, knowing from her oft-expressed compliments that it pleased her and that it was as she wanted them to be. He was being paid to be here but thoughts of her, and now the sight of Joan, were recompense enough. Just where was he to go with this, now?“Are you still okay living and working out here?” he chose to ask, stopping in the work he had set out to do and looking her way.“I’d be wasting my time and money if I wasn’t.”“That’s so true,” he laughed in response to her straight talking.Joan carried her weight so well, stood just to his shoulder and he was an inch or so short of six foot tall. She sure filled that blouse so well and those slacks, along with wedge shoes, showed off firm legs and gaziantep masaj yapan escort broad hips. Isolated the place, an old farmstead with its out-buildings might be but she still paid attention to her looks and only the dirtiest of jobs, when she spray-painted furniture before it was decorated to a client’s tastes, making her wear some overalls, her hair tied up in a ragged tangle that gave her a wilder and arty appearance. Now, it seemed, she was through with work for the day, was attending to admin chores, and had dressed accordingly, perhaps even for him.She gracefully brushed a hand through her riotous hair as she met his look upon her. “The workshop’s fine but my apartment, in this part of the house, sure needs finishing…and I’m so pleased with what you’re doing. You keep and leave the place so tidy it’s as if you’ve not been here.”“I’m doing it for you, first of all…then for Doris.” He didn’t take her comment as a criticism of the time it was taking him to get through it all. “That’s down to me and I’ve got a couple of lean days to be here and get on with it. The lighting system in here is as you asked.” Their shoulders brushed as he moved past her, met a fleeting smile his way, and demonstrated the various changes that the switches on the wall allowed.“I’m not getting at you,” she smiled touching his arm and making Carl look at her. “I came over from my office just to see that you’re okay.”“Curiosity is getting the better of you, I guess?”She shrugged. “Yeah, but I also wanted someone to talk to…and I like doing that with you. The workshop you fitted out for me is so good I wonder how I got my work done before I moved out here, but then,” she shrugged as if to make the point, “but then I wasn’t alone like I am now.”The point she was making registered.“So not everything is okay living and working out here,” he provoked, “is it?”“I’m not saying that! What your Mom and I have been through gets to us sometimes, that’s all I’m saying. And now,” she hesitated and did so for effect, “me interrupting your work and wanting to talk to you, and have some company, may be intruding on what you’ve got…with Evelyn I mean.”What she had said and done, in touching his arm, was not lost on him. Impetuously, he reached out to brush his fingers to Joan’s lips, felt her response, and saw her pout.“I can spare some of that, you know? It’s been that way for me for quite a while now, Joan.”“Crazy, isn’t it?”“No, it’s never that, or not to me it isn’t. Just don’t go telling Doris, will you?”“No, it’s our secret,” she blurted out in reply and loved the chance to get closer to him. Carl had spared her the embarrassment of seeking that from him. “Wait, Carl…”His breaths were on her parted lips and Joan held his gaze, as he hesitated before leaning in to kiss her, his tongue slicking over her parted lips before he kissed her deeply and without restraint. She clung to him as Carl embraced her tightly, putting his hands on her hips to draw her closer than close, his intentions now clear.“It’s wrong, I know, but I can’t help it or hold back my feelings!” Joan shuddered as if the dam of restraint and denial of a man’s touch had burst in her. She gripped his shirt and pushed against him, feeling the swell in his jeans as his prick pressed into her belly. She heard his gasp, and sharp intake of breath, as she brazenly sought him. She was wet and her lustful instincts were now set ablaze. gaziantep masöz escort “You sure are strong!”“And I’m not going to keep a secret from you any longer,” he kissed, tugging at the hem of her wrap-around blouse that shaped her so provocatively to his ways of seeing her. Joan felt warm and soft, fleshy, and she beguiled him now. He ached to grip the swell of those breasts and share the heat that her actions suggested she wanted to do so with him. “Knowing you’re living here and that I can see you, so often, makes me hornier than ever before…whenever I met you when I was younger, no more than a kid.”She was hearing it for the first time. “You…you had a crush on me?”“Believe it!” Carl spoke on brushing past her and closing the door, her restraining touches no hindrance. He turned to face her and Joan saw him tug loosen his shirt and pull it up over his head, his stomach muscles tightening. He was lean and strong, not overly muscled and vain,  his breastbone showing a hint of blonde chest hair. “I’m here, and can be with you…as we both want it to be, now. I hope that I’m right?”“You read me too well,” she gasped through his kisses and clung to him as she kicked off her shoes, languished in his embrace, and breathed in his heat. She ached to share the heat and skin on skin, young and horny that he was.“Touch me…and love me everywhere!” she exclaimed, soon leaning back against him and pulling on his hands as he caressed her tummy. His hands would soon discover the warm clammy skin of her pussy’s lips, her untrimmed bush now brushed by his fingers as she tugged loose her slack’s fastening. His fingers were rough, those of a working man.“Touch you like this?!” he asked and she gasped in approval, bit her lips to stifle sharper cries as she felt his hands begin to roam, to cup her heavy breasts under her blouse then sweep down to her heat. She lifted her face and twisted to meet his kisses as his touches on her continued, her hips beginning to push forward to meet his claims upon her. “I want to find you, touch you in there, and then be so deep in you.”“You say it how it is for you now!”“And for you, Joan…and for you.”He wrestled free of Joan’s restraining hands and laid one palm over her exposed midriff, pressed into her rhythmically in mimicking the act of loving. He caressed it, circling her belly button.“Go on!” she yelped, lifting her face and closing her eyes in response to the surge of pleasure that he aroused in her.Their kiss didn’t stop, the clamp of hands to their bodies persisted as Carl’s kisses deepened and his tongue swirled into her mouth, brazenly dancing with hers as a vibrant act of foreplay was pursued. She shivered as one hand slipped under the elasticated rim of her panties and fingers parted her pussy’s lips, caressed over their slicked heat before he cupped her mound, had her know of his presence there.“I…I want you, Joan,” he kissed as she was coaxed to spread her thighs and allow him deeper entry, his fingers dancing over her labia and probing into her, pressing deeper and applying pressure. His confident touch aroused rushes of raging pleasure from her pussy and up through her belly, making her nipples tingle.  She seemed to be burning up with painful anticipation, as he rubbed again, pulling her back into a kiss. He began to rub her, to torture her body as he suckled on her lips – coaxing from her gentle whimpers of desperation.“I’m sure learning of that now!” Joan felt her pussy’s soft plips swell and her muscles clamp on his invading fingers deep within her.“Good, we’re closer than ever….”“I’m going to be your lover, no longer your aunt!” she shrieked, shuddering in response to the rushes of her orgasm and lifting one arm to reach out and keep his lips to her throat. Carl slid his fingers down over her pussy’s lips, then cupped her mound once more in one rough hand as he lifted her back and against him.

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Évolution de Carrière 09

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Anklet

STÉPHANIE est allongée dans la baignoire, elle est recouverte de mousse. Ses seins semblent flotter comme par magie, au dessus des nuages, ses tetons pointent avec une troublante insolence. L’image est d’une sensualité toride. J’ai vraiment de la chance, c’est la plus belle, la plus sensuelle, la plus désirable femme du monde, même si je suis amoureux il faut être objectif. C’est un vrai canon.

_S_ Vient me savonner mon juju, c’est tellement agréable quand tu t’occupes de moi, commence par mes pieds, après tu me frottera le dos s’il te plaît. Tu faisais quoi?

_J_ Je remplis un questionnaire que m’a donné PATRICIA.

_S_ Ah oui, elle m’en a parlé, c’est bien tu fais tes devoirs, n’oublie pas ton cahier aussi. Frotte bien mes pieds oui c’est bien, masse les un peu plus fort, oui bien en profondeur…

Tu sais, j’aime beaucoup te lire, je ne savais pas que tu étais si talentueux, c’est vraiment passionnant tout ce que tu écris, c’est tellement instructif. Je te découvre enfin totalement. Tu décris si bien tes émotions, tu parles de tout avec une précision délicieuse, sans aucune retenue, j’adore.

_J_ Merci mon Amour.

_S_ Vraiment mon chéri, tu as du talent, c’est un plaisir de te lire. La forme est très bien, mais le fond est absolument génial. Ça me permets de tellement mieux te comprendre. Pour la première fois, je sais ce que tu penses vraiment. Je suis d’accord avec toi le hasard n’existe pas. Il y quelques mois, quand tu as commencé à me parler de tes désirs un peu particuliers, je ne savais pas où tu voulais en venir. Je t’ai laissé faire. Je dois te dire que j’ai été très agréablement surprise. Déjà que tu faisais plein de choses, tu t’es surpassé pour moi, ces derniers temps. Je ne te cache pas que j’adore. Tu prends si bien soin de moi. Je me sens comme une reine.

_J_ Merci mon Amour, tu es tellement géniale, tu es ma reine, je veux vraiment te rendre heureuse.

_S_ Je sais que tu veux mon bonheur, mais toi, es tu heureux?

_J_ Oui mon Amour, je suis vraiment le plus heureux des hommes.

_S_ Tant mieux si tu le penses, mais c’est quand même extrême ce qui t’arrive. Je veux que tu me dises comment tu te sens? Que tu penses de ses derniers jours.

_J_ Je me sens vraiment très bien. Bon, j’ai un peu mal au cul, je me sens encore tout ouvert, sinon je suis en pleine forme. Pour ses derniers jours j’apprécie beaucoup tout ce qui arrive.

_S_ D’accord, je comprends pour ton petit trou, qui n’est plus tout petit d’ailleurs, PATRICIA aime jouer avec des objets diaboliques, je comprends. Tu as vécu quand même beaucoup de nouvelles expériences ses derniers jours.

Alors dis moi vraiment. Veux-tu que ça continue?

_J_ Comment ça? quoi?

_S_ C’est simple comme question. Veux-tu continuer?

_J_ Je ne suis pas posé la question. Je ne sais pas,….

_S_ Écoute moi, je ne veux pas te brusquer ni te faire peur. J’ai beaucoup parlé, tu t’en doutes, avec PATRICIA, et puis je lis ton journal tous les jours. Je te comprend beaucoup mieux. Je ne veux que ton bonheur julien et surtout notre bonheur. Je t’aime tu sais, tu es l’homme de ma vie.

Tu me connais je n’ai jamais été très intéressée par toutes tes histoires de domination et de soumission dont tu me parlais. Mais PATRICIA m’a ouvert des perspectives nouvelles.

Je te vois différemment, tu es toujours mon magnifique mari, le beau mec, viril, puissant mais tu es aussi un homme dévoué, attentionné, obéissant. Tu es un mâle soumis. Je t’aime mon juju. Grâce à toi, j’assume une facette de ma personnalité qui m’a toujours un peu effrayée. Mais sentir ton désir d’obéissance, découvrir ta soumission me permet enfin d’être moi même. Merci.

_J_ De rien mon Amour. Tu es absolument géniale.

_S_ Tu me connais, j’ai toujours aimé avoir le contrôle, la maîtrise des choses. Eh bien, figure toi, depuis quelques semaines au boulot, j’ai de plus en plus de responsabilités, je vais bientôt prendre le poste de Nicolas.

_J_ C’est génial.

_S_ Oui, je sais. Je m’aperçois que tout ça me plaît beaucoup, plus je te domine, plus je me sens forte. J’ai de plus en plus confiance en moi. Notre couple est encore plus soudé qu’avant. Je me sens si puissante, si forte et c’est en partie grâce à toi.

Donc julien, je veux que tu réfléchisse bien, prend ton temps. Continue d’être honnête avec toi et avec moi.

Tout d’abord, sache que tout ce qui se passe avec les filles au travail peut s’arrêter demain. On en a parlé toutes ensemble, elles sont toutes d’accord. Je ne suis pas jalouse, elles te font progresser. Elles t’aident dans ton évolution. Elles ont promis de respecter ta décision. Tout peu redevenir comme avant à ton travail ou presque.

De plus on sait tous les deux que nous n’avons pas besoin de ton salaire, tu as de nombreuses rentrées d’argent avec tes héritages, moi j’ai un très bon salaire qui va bientôt augmenter.

Je veux que tu fasses le choix pour toi et pour nous bien entendu. Quoi que tu décides je le respecterai.

Je t’aime.

_J_ Mon Amour, moi aussi je t’aime. Je ne escort haberleri sais pas quoi dire maintenant. C’est tellement troublant tout ce m’arrive. Même dans mes phantasmes les plus fous, je n’ai jamais imaginé vivre autant de choses si fabuleuses.

_S_ Tu sais que pour moi aussi mon juju, j’ai découvert un monde fascinant. tu es si beau quand tu t’abandonnes, c’est tellement excitant de prendre le contrôle. De plus, je ne sais pas si tu est conscient mais tu me donnes encore plus de pouvoir de jour en jour, mon juju. Je dois t’avouer que j’aime vraiment ce qui nous arrive.

Je suis vraiment très ému. Mon Épouse apprécie tout ce qui se passe.

Je suis nu assis sur le rebord de la baignoir, je lui frotte le dos.

Je ne peux pas lui cacher mon érection. Parler de ma soumission m’excite beaucoup. Elle me demande si je veux continuer d’être juju, d’être son mari soumis, de devenir réellement son esclave. Elle me laisse le choix.

Sa peaux est douce, elle a un corps magnifique. Je l’aime.

_J_ Mon Amour, tu sais tu es mon Épouse, tu es la seule femme que j’aime, je n’ai pas envie de d’autres femmes. C’est toi seule qui décide, je n’aurai jamais fait tout ça si tu ne m’avais pas poussé.

_S_ Laisse moi maintenant, tu as des choses à faire et une décision à prendre.

Écrit aussi tout ça sur ton cahier, on en reparle quand tu auras finit. Julien sache que tu es l’amour de ma vie. Tu es mon mari, j’ai choisie de me marier avec toi. Je suis très heureuse de ce choix. J’ai très envie de continuer très longtemps avec toi. Je t’aime julien. Tu m’as entendu?

_J _Oui STÉPHANIE, oui mon Amour, je t’ai bien écouté.

_S_ Alors va finir tes devoirs.

Après un long baiser, je la laisse à son bain. Mes devoirs?

Je me retrouve devant le questionnaire. Qu’est ce que je fais? Est-ce que je veux arrêter tout? En même temps remplir ce questionnaire m’excite, je bande. Je ne peux pas me mentir. J’aime vraiment tout ce qui vient de m’arriver.

Est-ce que je veux arrêter ou continuer? Est-ce que j’ai envie de devenir le soumis de toutes mes collègues? C’est déjà bien avancé. Est-ce que STÉPHANIE va accepter de me partager?

Ma décision est prise. Sans hésitation, je m’installe devant le questionnaire. J’écris, je réponds, explique, détaille, développe,… Je dévoile tout. Sans filtre ni pudeur. Je fais le choix de me soumettre volontairement à leurs demandes, de répondre à toutes leurs questions….

Je suis tellement appliqué que je n’ai même pas entendu mon Épouse entrer dans le salon. C’est son parfum, qui illumine toute la pièce, qui me fait lever la tête. Elle porte une serviette autour du corps, une autre entoure ces cheveux mouillés. Elle est belle, elle est magnifique.

_J_ Je n’ai pas encore fini, tu veux lire les premières pages?

_S_ Comment ça?

_J_ Je fais mes devoirs.

_S_ Tu réponds au questionnaire?

_J_ Oui, j’ai fais mon choix.

_S_ C’est à dire soit plus clair.

_J_ Je souhaite continuer d’être juju.

_S_ C’est à dire julien?

_J_ Je ne veux pas revenir en arrière, je désire continuer mon évolution de mâle soumis.

_S_ Donc tu réponds à toutes les questions de tes collègues? Et tu veux que je lise les premières réponses?

_J_ Oui mon Amour.

Je me lève, je m’agenouille devant elle. Je lève la tête. Le moment est solennel. Je sais au plus profond de mon être, que je désire depuis toujours: appartenir corps et âme à mon Épouse.

_J_ S’il te plaît, puis-je te demander quelque chose.

_S_ Vas y, je t’écoute.

_J_ Je souhaite sincèrement du plus profond de mon âme t’appartenir corps et âme. Veux-tu de moi comme ton mari dévoué et soumis? Veux-tu devenir ma MAÎTRESSE?

L’instant est magique. Elle est tellement heureuse, son visage rayonne de bonheur. Elle a les yeux brillants, elle pleure. Elle me prend le visage à deux mains, nos yeux sont aimantés. Elle s’approche, son baiser est intense.

_S_ Je t’aime JUJU.

_J_ Moi aussi, je t’aime “Maîtresse STÉPHANIE”.

Elle se relève, détache sa serviette, elle est nue devant moi, les mains posées sur ses hanches. Elle me regarde de sa hauteur, sûre d’elle, puissante. Sa beauté est un cadeau du ciel, son sourire éclaire mon âme. Son sexe est lisse, elle a les jambes légèrement écartées,.je vois ces petites lèvres luisantes, sa chatte est magnifique, je sens le parfum de son excitation, je désire tant la déguster.

_J_ Je t’aime, Maîtresse STÉPHANIE.

Tu es absolument magnifique, tu es la plus belle femme du monde. Tu es, tu seras la seule femme de ma vie.

Je suis tout à toi, mon corps, mon coeur, mon âme t’appartiennent. Merci.

_S_ Merci à toi mon juju, ton cadeau est la plus belle des offrandes. Tu es magnifique aussi. Je t’aime mon juju.

Embrasse moi, montre moi ta dévotion, ne met pas ta langue, juste tes lèvres. Oui approche ton visage, tu es à la bonne hauteur. Très bien, c’est parfait continue.

Tu vas vraiment faire absolument tout ce que je veux?

_J_ escort hikayeleri Oui mon Amour

_S_ Tu es mon mari dévoué et obéissant.

_J_ Oui Maîtresse STÉPHANIE.

_S_ Mon juju, si tu savais à quel point c’est bon de se sentir adulée, vénérée, je me sens si puissante.

Oui tu sens comme je suis excitée, je mouille, je coule comme une fontaine, ouvre grand ta bouche, avale, régale toi.

Stop.!!

Arrête, tu vas me faire jouir. Et puis non, continue, sert toi de toute ta langue, de tes lèvres maintenant, oui, plus haut, là c’est parfait. Ouiii mon clito, continue, ouiii plus fort, plus vite, oui aspire, utilise tes doigts, c’est ça enfonce les, ouiiiiiiiiiiiii, ne t’arrête pas, continu, plus vite, plus fort. OOOUUIIIIIII!!!

Elle jouie sur ma bouche, son orgasme est fulgurant, son nectar abondant, est délicieux, une cascade de ciprine coule directement dans ma bouche.

_S_ C”est trop bon mon juju. Tu es vraiment très doué. Non! ne bouge pas, tu vas avoir une stimulation supplémentaire pour finir tes devoirs. C’est tellement bon de me frotter la chatte sur ton visage. Garde la bouche ouverte.

Parfait, tu as le visage luisant de mon plaisir, ne t’essuie pas. je suis ta Maîtresse maintenant. Tu es marqué de mon parfum.

Allez finit la récréation, tu as des devoirs à terminer. Donne moi les feuilles. Il te reste 30 questions, bien. Après tu n’oublies pas ton cahier, il me tarde de te lire. La nuit dernière à été exceptionnelle et cet après-midi fut très riche aussi. Je te laisse, je dois téléphoner.

Applique toi bien, c’est parfait ce que tu écris. Les filles vont adorer.

Je t’aime mon petit juju.

Un baiser sur mes lèvres, elle a disparu. Je retourne à mes écrits, je bande comme un fou.

Ça y est elle veut bien être ma Maîtresse. Je suis le plus heureux des hommes. Je n’ai aucune idée de la suite, cela n’a pas du tout d’importance. Ce qui compte maintenant c’est de satisfaire mon Épouse. Elle seule compte. Je ne veux que son bonheur. Je lui fais entièrement confiance. Je me sens léger, heureux, libéré.

Sa saveur est absolument divine, je l’ai partout sur moi, en moi, son goût est le plus puissant aphrodisiaque du monde. Les questions s’enchaînent rapidement, oui j’aime ça,… oui j’ai déjà fait ça,… non je ne pratique pas ça,… Une heure plus tard je suis devant mon cahier, le questionnaire est rempli.

Par où commencer? La soirée, la nuit?j’ai découvert un monde insoupçonné. Je me suis découvert. Écrire me procure une émotion si troublante si excitante. Je n’ai même pas entendu STÉPHANIE qui, sans un mot vient récupérer les dernières feuilles.

La nuit dernière, elles m’ont cassé, humilié, elles ont brisé mes barrières, mes limites. Mais surtout, elles m’ont libéré. Je n’ai plus honte de mes désirs. Je peux accepter maintenant toutes leurs demandes sans crainte d’être rejeté ou jugé.

Elles ont un réel pouvoir sur moi. Je ne suis pas un homme faible, je ne suis pas un lâche. Je me soumets à leur autorité naturelle. Je sais ça va à l’encontre de toute la société patriarcale. Les “hommes” (les mâles) dominent les FEMMES depuis des siècles dans notre société occidentale. Je suis heureux de pouvoir dire, de montrer que je suis fier de vous obéir, et de vous servir MESDAMES.

Mes émotions de cette nuit sont tellement puissantes. Je ne crois pas avoir débandé de la soirée. La description de mes ressentis m’apporte en fait, une meilleure compréhension de moi même. Je comprends vraiment l’intérêt de cette mise à distance par l’écrit, c’est nécessaire et essentiel pour mon évolution. Cette introspection m’oblige à être honnête avec STÉPHANIE et avec moi même. Je ne triche plus avec mes sentiments, je n’en ai plus honte. Depuis toujours, ce désir est présent en moi. J’ai été élevé par mes grand-parents dans le respect des traditions. Mes parents sont morts quand j’avais 12 ans, j’ai vécu dans l’opulence toute ma vie. J’ai reçu beaucoup d’amour de mes grand-parents et surtout de mes grand-mères. C’était des femmes fortes qui tenaient les propriétés viticoles d’une main de maître. Elles m’ont appris le respect du travail et des femmes. Elles étaient féministes bien avant l’heure. Elles ont compris très vite que je ne reprendrai pas le travail de la vigne, ni les propriétés familiales elles m’ont encouragé à vivre ma vie comme je l’entendais. Elle m’ont laissé libre tout en faisant fructifier leurs biens, mes biens aujourd’hui. Je suis un homme riche, personne n’est au courant à part mon Épouse, bien sûr et son amie CHLOÉ.

Que dire de CHLOÉ? C’est la meilleure amie de mon Épouse. Je n’ai jamais eu envie de la “baiser”, pourtant, c’est une très belle Femme. Je: suis juste un serviteur zélé, excité par sa féminité et mon désir de soumission.

J’écris, je note toutes mes pensées, je me livre totalement. Le temps passe vite. STÉPHANIE est venue plusieurs fois, elle a ramené toutes les feuilles du questionnaire.

_S_ Je vais me coucher juju, continue.

_J_ Je n’ai pas finit mon Amour. Désolé, escort ilanları excuse moi.

_S_ Ce n’est pas grave mon juju, continue, applique toi, c’est vraiment génial tout ce que tu as écrit, je ne pensais jamais que tu ailles aussi loin dans tes réponses. J’ai encore appris des choses sur toi. PATRICIA et les filles vont alluciner, à tout à l’heure. Je suis très très fière de toi mon juju.

_J_ Merci mon Amour de Maîtresse.

Quatre heures du matin, je ferme le cahier heureux. Je pars me coucher, je ne réveille pas STÉPHANIE, elle a une grosse journée de travail qui l’attent. On se réveille en même temps, la journée s’annonce belle. Petit déjeuner tous les deux en terrasse, le soleil va être chaud aujourd’hui.

Une bonne douche, un nettoyage approfondi, un petit rasage de partout, il faut que je demande si une épilation définitive peu être possible, c’est une tâche fastidieuse même si je suis peu poilu.

Départ au travail, je suis le premier comme d’habitude, je me dénude dans la cuisine. Tout est prêt quand mes collègues arrivent.

J’ai posé la chemise rose sur la table. Personne ne me pose de questions, je suis nu, je fais le service. Les discussions vont bon train, je les serts, avec encore plus d’application et d’enthousiasme. Une voiture arrive, c’est MANON, elle nous informe que la réunion se fait à l’entrepôt. La directrice doit arriver dans un instant. PATRICIA me regarde longuement.

_P_ Habille toi juju, mais ne met pas ton caleçon. Tu continues comme d’habitude et tu ne prends aucune initiative.

_L_ Quel dommage, tu es si mignon tout nu, ironise LAETITIA.

Quelques minutes plus tard, la directrice arrive une poche de vienoiserie à la main. Elle salut chaque collègue pendant que j’installe le café, le thé et les vienoiseries sur un plateau. Je suis le dernier qu’elle salut.

_Dt_ Bonjour Julien, je vois que tu as tout bien préparé, c’est surprenant mais bien agréable.

_J_ Bonjour Madame la directrice.

Je suis le seul qui l’a salué ainsi. Elles l’on toutes appelé par son prénom et elles la tutoie. Tout le monde est installé, je suis le dernier assit. La réunion débute. L’ambiance se détend vite, Madame S, nous explique rapidement son parcours et les grandes lignes de son management. Elle ne souhaite pas tout révolutionner. Notre service fonctionne très bien, les enquêtes de satisfaction sont excellentes, les retours très positifs. Elle veut simplement être proche de ses salariés et faire son maximum pour améliorer nos conditions de travail.

La discussion est agréable, chacune parle de son poste, de ses conditions de travail,… Plusieurs fois je me lève pour servir un café, apporter du sucre, débarrasser.

La directrice ne fait pas de remarques sur mon attitude, mais j’ai l’impression que rien ne lui échappe. Je réponds moi aussi à différentes questions d’ordre technique et pratique.

MANON nous présente des documents pour améliorer le travail. Le contrôle qualité. La Réunion devient rapidement une vraie réunion de travail. Les dossiers passent de main en main.

PATRICIA à un moment ouvre le dossier rose, elle fait mine de le feuilleter, elle repose les feuilles sur la table, prétextant chercher un papier spécifique, toutes les filles ont compris ce que c’est, de plus ce sont les seules feuilles manuscrites. Là encore je suis sur que la directrice l’a remarqué. C’est le moment qu’elle choisie pour visiter l’entrepôt. Tout le monde se lève pour l’accompagner.

Je profite de ce moment pour ranger la table. MANON rassemble les différents documents. La table est vide seul le dossier rose reste ouvert sur la table. Elle ne me laisse pas le temps de le ranger elle m’appelle.

_M_ juju vient avec nous tu finira le rangement plus tard.

Les filles ont le sourire, quand je les rejoint avec MANON. je suis un peu mal à l’aise.

La directrice veut tout voir, elle discute simplement avec les filles, elles se tutoient, plaisantent. Vingt minutes suffisent pour faire le tour de l’entrepôt. La directrice nous complimente pour la propreté des locaux, PATRICIA lui répond qu’il faut féliciter notre petit juju car c’est moi le responsable.

Toujours pareil, elle ne fait pas de remarques mais son regard inquisiteur semble de plus en plus intéressé.

De retour dans la salle commune, elles continuent leurs discussion devant un café, pendant que je m’affaire à la préparation du repas. Le questionnaire est toujours sur la table.

_Dt_ MANON tu as oublié ce dossier.

C’est PATRICIA qui répond.

_P_ Non, ce n’est pas à MANON, c’est une sorte de contrôle qualité interne à notre équipe. C’est notre petit juju qui a bien voulu répondre à quelques questions pour nous aider à mieux le comprendre afin d’améliorer la dynamique d’équipe.

_Dt_ Je suis très surprise et surtout très curieuse PATRICIA, puis je le consulter?

_P_ Je n’y vois pas d’inconvénient, c’est juste un peu personnel je pense, n’est ce pas juju?

_J_ Oui Madame PATRICIA.

_P_ Tu devrais être content, notre directrice s’intéresse à ton travail. D’ailleurs, je dois te dire FLORENCE, aucune de nous ne l’a encore lu, il a fait ça ce week-end.

Je ne sais plus où me mettre, toute mon intimité est dans ce dossier. Je n’ai pas rempli ce questionnaire pour qu’il soit lu par ma directrice. J’ai vraiment peur d’être grillé, de perdre mon emploi, si elle découvre ce qu’il contient.

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