Fanny 03
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Fanny. 03
TEXTE POUR LECTEUR AVERTI
Fanny est à nouveau officiellement depuis trois mois la copine de Franck. Elle est heureuse. Les autres filles l’envient. Les garçons lui fichent la paix. Franck vient la chercher régulièrement devant le lycée. Tous la voient monter dans cette voiture et filer avec son homme.
Son vagin lubrifie dès qu’il reçoit le sexe puissant de Franck. Son anus s’est assoupli et elle peut boire toute la semence envoyée par son amant dans sa bouche. Dès que son homme la touche elle devient fontaine. Dès que ses fesses sont sollicitées, elle se cambre. Elle est folle de son mec. Hypnotisée par lui comme une souris devant un serpent.
Ils vont régulièrement dans la maison des répétitions. Le groupe est toujours présent. La musique tonitruante. Ils baisent dans la même chambre. Franck est endurant et la fait jouir plusieurs fois. Avec son sexe ou sa langue dans tous les trous de la jeune fille. Elle est réceptive à tous les attouchements de son homme. Il l’appelle ma petite enculée même devant les musiciens. Cela ne la gêne plus alors qu’au début elle n’osait même plus les regarder.
Franck lui demande de passer un weekend complet avec lui. Difficile de convaincre ses grands-parents. Franck lui trouve une fille qui lui servira d’alibi. Fanny est très gênée de mentir mais l’envie est trop forte et le pouvoir du garçon sur elle impossible à contrecarrer.
Elle a préparé un sac plein à craquer de toutes sortes de tenues. S’est épilée en cachette de sa grand-mère.
Il vient la chercher vendredi. Elle est heureuse.
Elle reconnait la route, demande à Franck pourquoi on va chez les musiciens. Il lui répond d’un air gourmand qu’il a envie d’elle tout de suite. Cela la flatte. Il lui demande d’écarter les jambes et de remonter sa robe au maximum. Elle obéit avec plaisir. Elle est excitée.
– Ecarte ton slip… Montre-moi ton épilation….
Il dévore des yeux les lèvres intimes glabres et fermée.
– T’as une super chatte… Sors ton bouton et caresse-toi…. Aller personne peut voir…
Elle mouille et fait ce qu’il demande…
– Putain j’ai une super gaulle… Attends qu’on arrive… Reste comme çà… Continue tes caresses…
Ils arrivent enfin. Fanny était à deux doigts de l’explosion. Ils saluent à peine les musicos et filent dans la chambre. Ils sont vite nus. Franck vient en elle direct. Il la pilonne de toutes ses forces. La jouissance monte crescendo et Fanny est prise de tremblement sous la puissance de l’orgasme. Elle ne peut s’empêcher de crier son bonheur. Il la libère sans jouir. Se couche sur le dos, sa bite bien droite.
– Viens dessus
Elle s’empale. La bite l’occupe pleinement. Elle ondule lentement sur le mandrin palpitant.
Son amant lui pétrit les seins, pince ses tétons. Un des doigts lui frotte le clitoris. Sa chatte est pleine par le barreau de chair brûlant et son bouton caressé par les doigts inquisiteurs de son amant.
C’est trop pour elle qui jouit à nouveau.
Elle s’affale sur le lit, en position fœtale, une main sur son sexe. Elle est repue. Lui non. Toujours bandé.
Il allume une cigarette.
– Suce-moi…
Elle est fatiguée, mais elle ne peut pas lui refuser la demande après la jouissance qu’il lui a donnée.
Il la regarde s’occuper de son sexe en fumant lentement.
– Suce mieux que ça
Il jette un coup d’œil à sa montre. Tire un dernier taf avant d’écraser sa cigarette. Il lui relève la tête et devant l’air interrogateur de la fille, il lui montre le tube de gel.
– Vas y prépare moi ….
Fanny comprend et fataliste prend une noisette de gel dans sa paume et branle lentement le sexe très dur. Elle recommence plusieurs fois l’opération étalant la crème tout le long de la tige, jusqu’aux couilles pleines.
– Tartine ton cul…
Elle obéit à l’ordre sordide, puis sans attendre la demande de son amant se met à plat ventre, cul surélevé, fesses tendues légèrement entrouvertes, jambes bien écartées. Position de grenouille.
Sans attendre son amant roule sur le côté et la couvre. Ses jambes musclées et velues écartent mieux celles de Fanny. Il ne met pas longtemps à trouver la voie et d’un seul coup l’embroche au maximum. Fanny pousse un cri, mélange de douleur et de stupeur sous l’assaut.
– Putain! Qu’est-ce que t’es bonne!
Il la sodomise à grands coups de reins. Sourd aux gémissements que pousse la fille sous la puissance des chocs. Il va de plus en plus vite. Son corps puissant immobilise sa maitresse. Il l’encule en force. La bite entre le plus loin possible, pistonne le conduit anal. Franck, à la recherche de son plaisir, est sourd aux petits cris que pousse Fanny sous la douleur de l’intromission. Il empale en puissance la fille offerte et le cul ouvert. Puis il la libère, la manipuler comme une marionnette pour la positionner sur le dos en missionnaire. Il met les mollets de la fille sur ses épaules. Fanny est pliée en force les deux orifices offerts. Franck veut le cul et il l’embroche d’un coup. La fille en perd le souffle.
– Caresse-toi sinon trabzon escort tu vas avoir mal…. Vas-y caresse-toi la chatte… J’adore…
Elle obéit. Il a raison. Elle est emportée dans un maelstrom de sensation dons le centre brûle son ventre. Elle devient fontaine et hurle de jouissance quand il lui inonde les intestins. Il libère ses reins. Il est toujours tendu. S’approche de son visage à genou. Ses doigts musclés fouillent da chatte coulante. Puis les doigts forcent les lèvres.
– Suce….
Elle obéit subjuguée. Puis c’est le sexe qui se pose sur ses lèvres. Il vient de sortir de son anus. Il force à peine avant qu’elle n’ouvre ses lèvres pulpeuses et subisse cette virilité jusqu’au bord de l’étouffement.
– A fond. Applique-toi. T’as une bouche faite pour ça.
Il continue de lui fouiller la chatte pendant qu’elle le suce de plus en plus fort. Puis elle jouit une deuxième fois en pleurant.
Franck sait qu’elle est devenue sa chose. Qu’elle est totalement à sa disposition. Il est convaincu et comprend que c’est le moment. Il se lève, enfile son caleçon. Il la lève. Elle veut se vêtir.
– Pas la peine. Viens…
– Mais je suis nue! Ou on va…
Elle rechigne à le suivre. Mais obtempère. Quand il ouvre la porte elle gémit.
– Non Franck non…
Il la tire de force dans l’escalier. Dans un éclair de lucidité, elle sent le sperme coulait de sa chatte et son anus. Elle plaque sa main libre contre son vagin. Elle se sent faible et suit son amant. Elle a les larmes aux yeux en comprenant les intentions de son homme. La musique couvre tous les autres bruits et les musiciens ne se rendent pas tout de suite compte de leur présence. Elle veut se cacher derrière Franck, mais lui au contraire la tient devant lui, par les bras. Nue et immobile.
Franck siffle. Brusquement la musique stoppe. Les musiciens dans un ensemble parfait se tournent vers le couple et se figent silencieux. Ils dévorent des yeux la jeunes filles nue, bouche bée.
– Elle est belle hein les mecs…?
Ils ne répondent pas, la dévisagent en silence. Franck reprend
– Je viens de la baiser à l’os par tous les trous.
Fanny sanglote silencieusement.
– Venez la voir de plus près les mecs. Elle a un super cul et une chatte d’enfer.
Il l’oblige à ouvrir les jambes, ils peuvent deviner la chatte luisante de sécrétion et les traces sur le haut des cuisses. Franck la retourne leur présente les fesses.
– Et ce cul! Regardez ce cul les mecs.
Il lui ouvre les fesses dévoilant l’anus encore entre ouvert. Elle tente d’échapper, mais il est trop fort et elle devine que les autres s’approchent lentement.
– Allez-y! Vous gênez les mecs. Visez un peu la marchandise que je baise…
Des mains sur ses épaules, son dos, la chute de ses reins. Puis ses fesses et le haut des cuisses.
Elle sursaute en sentant un doigt s’enfoncer dans son fondement. Une main entre ses cuisses à la recherche de son intimité.
Son amant parle au bassiste. Elle ne comprend ce qu’ils se disent.
La musique reprend. Mais les musiciens sont toujours autour d’elle.
Ils la portent comme un fétu de paille dans l’escalier, puis dans la chambre. Quand ils la balancent sur le lit elle tente un dernier combat. Mais ils sont tous autour du lit et commencent à se dévêtir.
A chaque fois qu’elle veut se lever, ils la repoussent sans méchanceté.
Elle les voit se déshabiller lentement, les chaussures épaisses à gros lacets, les chaussettes de laine les pieds nus et les pantalons qui descendent le long de cuisses épaisses musclées poilues. Les caleçons aux couleurs douteuses sont gonflés. Les torses d’une blancheur livide sont couverts de poils bruns, blonds, roux. Elle sent leurs odeurs de mâles en rut. La sueur. Quand ils se débarrassent de leurs derniers vêtements, les bites lourdes et gonflées se tendent vers elle. Les couilles lourdes se balancent doucement au rythme de leurs mouvements. Ils bandent déjà à moitié, sans même l’avoir touchée.
Elle les implore de la laisser partir. Leur dit qu’elle ne veut pas.
Mais ils se penchent sur le lit lui saisissent les chevilles et lui écartent gentiment les jambes
– Ca va bien se passer ma belle…
Fanny comprend qu’elle va passer le week-end promis par son amant dans cette chambre sordide à la merci de ces cinq mâles avides de son corps. La voix de son amant le confirme.
– Allez-y doucement les mecs faut pas l’abîmer si vous voulez en profiter tout le week-end.
– Casse-toi mec… T’as eu ton fric et tes doses alors casse-toi….
La porte claque. Son amant la laisse seule avec eux.
Le premier est déjà sur elle. Fataliste, elle ne se débat plus.
– C’est bien t’as compris.
Heureusement, ils ont des capotes. Le mec la pistonne en douceur sans violence et les papillons commencent à voler dans le ventre de la fille.
Quarante-huit heures à leur disposition. Ce sont des forces de la nature avec des carrures de déménageur et velus come des ours. C’est une poupée entre leurs tunceli escort mains et leurs bites. Des odeurs musquées de fauves.
Tous les trous, toutes les positions. A plusieurs sur elle. Insatiables du corps de la jeune femme. Leurs spermes pour nourriture, les autres trous dilatés. Même pas une douche en quarante-huit heures? Ils font de la musique, ils mangent et il la baise. Aucun répit. Mais aucune violence. Ils la font même jouir.
Son amant vient la chercher dimanche soir. Il est doux tendre. Elle fond et pardonne. Il la baise pas.
Même séance une ou deux fois par mois. Pendant six mois..
Sans s’en rendre compte c’est devenu leur pute. A Franck, Cédric, Fabien et le groupe de musicos.
Dimanche soir avant que son amant ne revienne le chef du groupe lui donne ses vêtements après la seule douche prise.
– Pourquoi tu restes avec ce con. Viens avec nous tu seras notre princesse.
Cette fois elle reste.
Son amant furieux la menace.
Un soir après le lycée, il arrive à la surprendre et l’oblige à monter avec lui.
Ils vont sur une aire d’autoroute réservée aux routiers. Il l’entraine de force derrière les toilettes. Beaucoup de camionneurs suivent la scène de leurs cabines. Certains routiers étrangers se doutent de ce qui va se passer. Cela arrive aussi chez eux.
Le mec revient sans la fille et jette la robe sur une table de parking au vu de tous.
Un des chauffeurs quitte le camion. L’amant l’apostrophe :
– Vous pouvez y aller, elle demande que ça cette pute. Elle adore être forcée.
Il l’abandonne et repart.
Dans la nuit, sur cette aire dans une minuscule clairière Fanny nue est au centre d’un cercle d’hommes qui la regardent avec envie. Ils n’osent pas la forcer ou lui faire du mal, mais ils veulent en profiter. C’est le chauffeur d’un camion turc qui ose en premier, lui toucher les cheveux, les seins, la bouche. La main est descendue, les autres ont sorti leurs sexes. Ils sont durs. Toutes tailles toutes formes. Fanny à froid. Pas peur non. Juste froid. Elle laisse l’homme la caresser. D’autres s’enhardissent.
– Mon camion est vide …
Un autre lui met une veste sur les épaules et ils la conduisent gentiment par les épaules à l’arrière d’un énorme camion. Ils la lèvent par les fesses pour l’aider à monter. Elle sent une main entre ses fesses.
Des couvertures de déménagement font office de couche.
Fanny se laisse faire. Elle se sent en sécurité. Ces hommes ne lui veulent aucun mal. Et il n’y a aucun mal à les rendre heureux. Le premier se couche sur elle. C’est le turc. Il est puissant, ses coups de reins l’ouvrent profondément. Elle mouille. Le gars grogne de contentement, les autres regardent en se branlant. Fanny enlace le cou puissant du routier qui accélère. Il s’enfonce en elle et jouit en prononçant des mots incompréhensibles.
Un autre le remplace. Ça va vite. Puis un troisième.
Fanny est excitée et au bord de la jouissance. Qui ne vient pas. Cela la maintient dans un état d’acceptation sexuelle. Elle est ouverte et offerte à ces sexes inconnus.
– Putain ça baigne les mecs.
On la met en levrette.
– Merci les mecs aidez la à garder la pose.
L’homme visite le cul de la jeune fille qui gémit.
– C’est ouvert derrière aussi. Quelle pute! Ça entre facile! Comme dans du beurre!
Le mec l’encule direct, puis après quelques secondes il la pistonne de plus en plus vite en appuyant sur ses reins pour la cambrer au maximum. Se bite épaisse perfore l’œillet fripé. Une bite devant la bouche de la jeune fille. Elle commence une fellation.
Les six mecs se relaient sans méchanceté. La fille est consentante et jouit aussi.
Ils se refont une santé en buvant et en se racontant des anecdotes de camionneurs. Elle attend recroquevillée, une main entre ses jambes.
Un mec se couche sur le dos, sa bite dressée dans la pénombre. Un autre saisit Fanny et la positionne sur le sexe. Elle est assise sur la pine fichée dans ventre. L’homme l’attire vers lui. Elle se couche sur le torse poilu en sueur. Un autre derrière, un autre sexe contre son anus. Puis dans ses entrailles. Les deux hommes la pilonnent. Elle gémit entre les deux corps puissants.
– Putain! Je sens ta bite mec
– Moi aussi!
– Il reste sa bouche les mecs.
– Elle est pour moi.
Quand les trois ont fini, c’est la deuxième équipe qui prend le relais. Et ça recommence.
Quand tout le monde est repu.
– Merci petite. Tu veux que je te dépose chez toi.
– Fais-nous un gros bisou. Merci
C’est dans un trente tonnes qu’elle regagne son domicile. Ses intimités baignent dans les sécrétions des mâles. Elle a la bouche pâteuse et l’estomac repu de sperme et a du mal à marcher.
Sous la douche, elle a mal au ventre et aux fesses.
Elle pleure sur son amant. Sur son sort. Sur son avenir.
Il ne la lâche pas. Tous les samedis soir, il vient la chercher et l’emmène dans des soirées. Il la présente à des mecs, des fois des groupes. Quand les soirées touchent à uşak escort leur fin, il discute avec certains. L’emmène dans une chambre. Presque toujours une chambre à coucher.
– Enlève ta culotte.
Alors elle sait ce qui va se passer. Franck la laisse seule. Pas longtemps. D’autres entrent. Bon gré ou mal gré ils sont là pour se soulager avec elle. Au début elle se débattait. Mais c’était encore pire. Maintenant elle obéit et soulage toute la nuit ses bites inconnues.
Franck la reprend au petit matin et la ramène chez elle meurtrie et souillée. Il ne la touche plus.
Et le samedi suivant cela recommence. Elle se fait un lavement profond au cas où.
Un samedi, il y a une autre fille dans la voiture. Elle ressemble à Fanny. Même physique, même douceur, même blondeur. Silencieuse. Fanny est assise à l’arrière. Elle voit la fille sortir le sexe de Franck et le sucer. Elle a mal. Envie de vomir. La fille suce mécaniquement. Franck appuie sur la tête.
– Suce mieux salope.
Franck regarde Fanny dans le rétro, un sourire méprisant sur les lèvres.
– Montre ta chatte pour m’exciter.
Fanny obéit talons sur la banquette jambes ouvertes jupe relevée. Elle se caresse devant lui qui conduit en fumant pendant que l’autre fille le suce.
En sortant de la voiture Franck met un collier et une laisse à la fille. Devant la porte du pavillon, la fille se fout à poil. Elle a un nombre tatoué sur le bas ventre et la nuque. Trois chiffres et une lettre. Franck se tourne vers Fanny.
– C’est son numéro de pute.
Cette nuit-là Fanny va être baisée par six mecs. La fille par une dizaine.
Elle comprend que Franck veut faire d’elle la même chose que cette fille.
Elle quitte la région et va dans le sud poursuivre ses études. Les réussir.
Elle n’a plus quitté le sud. Peu d’aventure en trois ans. Et maintenant ces deux jeunes.
ooooOOooo
Fanny est heureuse, elle prépare le dîner pour ses deux amoureux qui ne vont pas tarder. On est le dernier samedi de Juillet. Elle a envie de leur corps, de leur joie de vivre. Elle a envie de les sentir contre elle. Elle a passé la journée à la plage. Est passée chez l’esthéticienne et rapidement chez le coiffeur. Epilation des bras, des jambes, du maillot et entretient de la petite toison blonde. Avant sa douche, elle a pris soin de se faire un lavement profond. Elle n’aime pas trop cela mais elle sait que ses deux tourtereaux ne vont pas hésiter à lui visiter le derrière. Et elle est bien obligée de reconnaître qu’elle commence à aimer cela. Elle porte juste une minirobe blanche. Rien d’autre. Elle a conscience que si elle se penche on peut voir sans trop de difficulté son intimité. Elle sait qu’ils aiment. Elle est heureuse depuis qu’elle les a rencontrés.
Les coups de klaxon la font sourire.
Cavalcade dans le couloir de l’immeuble. Coups de sonnette impatients.
Elle ouvre. Ils portent deux gros baluchons sur les épaules, ils les déposent dans l’entrée et Ils se jettent sur elle. Ils sentent le savon et l’eau de Cologne bon marché. Leurs odeurs excitent la jeune femme. Ils lui dévorent la bouche à tour de rôle. Quatre mains la caressent. Ils se plaquent contre et elle sent les virilités tendues. Elle a envie.
Saïd tombe sa chemise au sol et appui sur les épaules de la fille qui comprend. Elle est attendrie qu’il a pensé à ses genoux. Les bites sortent. Droites, dures. Les garçons sont impatients. Mehdi saisi la nuque de Fanny et attire la tête vers le sexe. Fanny ouvre la bouche.
– Prends ton temps ma belle on a toute la nuit.
Ils sont encore dans l’entrée, les jeunes hommes adossés au mur et elle à leurs genoux. Ils la laissent faire, profitant de leur pouvoir sur la française comme il la surnomme entre eux. Saïd offre une cigarette à son pote. Ils fument lentement en regardant la fille lécher les hampes ou les bourses, avaler leurs bites au maximum, saliver abondement sur le gland. Manifestement elle ça.
Saïd n’en revient pas d’une telle pute à leur pied. Une gentille petite bourgeoise à leur disposition.
– Fanny regarde nous ma belle. Regarde nous en suçant….
Elle obéit. Regard langoureux et bouche bien pleine.
– On va bien te niquer ma belle. Tu vas grimper aux rideaux cette nuit. On tient une super forme.
– Oui on n’a pas arrêté de penser à toi ma belle…. Suce bien à fond et bouffe nos couilles… Elles sont pleines de jus pour toi.
Fanny s’applique. Elle commence à avoir mal aux genoux mais elle aime trop leur bitte. Mehdi se tourne face au mur. Elle a les fesses musclées devant ses yeux.
– Ecarte les fesses de Mehdi. Lèche-lui le cul.
Moment d’hésitation. Saïd insiste
– Vas-y ma belle. Lèche le boule de mon pote.
Elle embrasse les fesses puis la raie. Mehdi écarte ses fesses et Saïd appui sur la tête de Fanny. Elle a une vue parfaite sur la raie brune à peine poilue et sur la corolle de l’anus. Elle avance la tête. Les odeurs épicées l’enivrent. Elle avance la langue et lèche. Saïd m’encourage.
– C’est bien ma belle. C’est bien. Nous aussi on aime te lécher le fion. N’oublie pas ma bite chérie.
Fanny alterne, obéissante. Elle branle, lèche, suce, salive. Sa langue pointue force sur l’anus. Mehdi parle en arabe. Il vient de dire à son ami que cette française était une vraie pute et qu’ils allaient bien en profiter.
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